Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Ces géants qui cachent la gloire de Dieu

- Message de Noël -

Il y eut un homme envoyé de Dieu; son nom était Jean. Celui-ci vint pour [rendre] témoignage, pour rendre témoignage de la lumière, afin que tous crussent par lui...

... Il (Jésus, la lumière du monde) vint chez soi; et les siens ne l'ont pas reçu.

Mais à tous
ceux qui l'ont reçu, il leur a donné le droit d'être enfants de Dieu, [savoir] à ceux qui croient en son nom; lesquels sont nés, non pas de sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu. Jean 1: 6-13, version Darby.

Ils ne l'ont pas reçu!

Ils étaient invités à suivre Celui dont les prophètes avaient parlé dans le livre de la Loi, ce livre qui devait guider leurs pas vers la lumière. Parole de Vie, venant de l'Éternel, le seul vrai Dieu qui avait été un père plein d'attention pour les descendants d'Abraham, d'Isaac et de Jacob.
Ils étaient invités, mais n'ayant pas voulu reconnaître l'Envoyé du Seigneur, ils sont passés à côté de la bénédiction.
Aujourd'hui,
en ces jours de fin d'année, beaucoup passeront aussi à côté de l'essentiel en se contentant simplement de suivre les traditions, beaucoup ne comprendront pas que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs. (1 Timothée 1: 15)

Tout près du salut et pourtant perdu!

Perdu comme celui qui est près de la sortie de secours et qui ne peut plus l’atteindre parce qu’il s’est trop attardé à sauver des biens qu’il croyait précieux, son argent ou quelque autre trésor, quelque autre souvenir. Perdu parce qu'il n'a pas voulu prêter attention aux paroles d'un sauveteur qui l'encourageait pourtant à diriger ses pas dans la direction d'où venait sa voix.
Pareillement les hommes sont encore invités, en ce jour, à suivre la voix du Bon Berger qui les invite à changer de route. Combien seront-ils attentifs? Combien l'entendront-ils? Combien se décideront-ils enfin à prendre le chemin étroit qui conduit jusque dans la vie éternelle?

Bien des individus, en danger de mort, gâchent le temps qui est mis à leur disposition, ils perdent leurs forces pour courir après des futilités qui n'ont aucune valeur lorsqu'il est question de vie ou de mort, de salut ou de perdition éternelle!

C'est ainsi que des personnes seront jetées dans un lieu de tourment, l'enfer, ceci pour l'éternité, parce qu'elles n'ont
jamais voulu prendre en considération les appels du Seigneur qui les invitait à changer de chemin, à passer des ténèbres à la lumière.
Comme le dit l'Écriture, elles n'ont pas voulu changer parce que leurs oeuvres étaient mauvaises.

... la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré (c'est un choix) les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. Jean 3: 19

La question que je me pose et que je te pose à toi l'inconnu qui lira ces lignes et à toi que je connais plus ou moins bien:

Qu'est-ce qui t'empêche donc de venir à Jésus-Christ, ce Jésus dont le monde va rappeler, à sa façon, la naissance de celui qui est mort et ressuscité pour que tu aies le pardon de tes péchés et l'assurance de la vie éternelle? Aimes-tu donc tant que cela la vie misérable que tu mènes, cette vie où les plaisirs qui te sont accordés ne te donnent jamais la paix du coeur?

Qu'est-ce qui t'empêche donc de te jeter dans les bras du Seigneur alors que tu es prêt (e) à prendre des risques pour assurer ton avenir ou pour placer ton argent dans des entreprises qui ne tiennent debout que parce qu'elles sont soutenues artificiellement?

Quant à moi..., racheté par le précieux sang de Christ, qu'est-ce qui pourrait encore me freiner dans l'obéissance à la volonté de Dieu, alors que je fais profession de suivre Jésus?
Faut-il donc qu'ils soient impressionnants ces Goliath qui barrent la route à ceux qui hésitent à s'abandonner à Christ alors qu'ils ont maintes et maintes fois entendu la Parole de Dieu!
Comment se fait-il que leurs paroles (celles des Goliath) soient davantage écoutées que celles de l'Agneau de Dieu qui s'est donné lui-même, comme une rançon pour que nous ayons le DROIT de devenir enfants de Dieu?

Faut-il donc qu'ils soient impressionnants ces géants qui empêchent parfois les enfants de Dieu d'aller plus en avant dans la sanctification en leur insufflant la peur du lendemain, la peur d'avancer de faire un pas de plus dans leur engagement avec le Seigneur?

Et pourtant...

... il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur. Luc 2: 11

Il y a 2000 ans, un Sauveur est né pour nous sauver, pour nous tendre la main!
Loin de nous (aujourd'hui) l'image d'un bébé dans une crèche, d'un petit enfant fragile qui n'eut aucune puissance sur son environnement et qui dût être mis à l'écart afin que sa vie ne soit pas prise par un roi cruel qui se permit de faire assassiner tous les enfants de deux ans et au-dessous. (
Matthieu 2: 16)

Un Sauveur nous est né! Un Sauveur est venu dans le monde pour que nous puissions trouver, par son moyen, la paix avec Dieu (pour ceux qui ne la connaissent pas encore) et la victoire sur nos impressionnants géants qui nous font craindre de prendre le risque de la foi, d'aller de l'avant (pour nous qui sommes encore si souvent en proie au doute).

Même en ces jours de Noël, ne restons pas devant un simulacre de crèche, mais regardons plutôt l'ombre qu'elle projette,
une ombre en forme de croix, derrière laquelle s'ouvre le ciel pour tous ceux et toutes celles qui auront cru, non pas à la naissance d'un "petit Jésus"...,

... mais à la venue du Fils de Dieu
qui s'est donné volontairement pour effacer la dette de notre péché!

De ce fait, nous les croyants, repoussons, au nom de Jésus-Christ, celui qui pourrait nous barrer la route, ce découragement, cette suffisance. Allons de l'avant car le Sauveur qui nous est né a été victorieux sur toute la puissance de l'ennemi!
Comme le jeune David, sachons marcher au nom de l'Éternel et prendre la victoire que Jésus a acquise en notre faveur, une fois pour toutes.

... nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Romains 8: 37

Ne nous inclinons pas devant nos faibles forces, n'élevons pas nos faiblesses comme un rempart pour trouver une excuse à notre manque de sanctification!
Regardons à Celui qui nous invite à regarder en haut.

En cette période de Noël, souvenons-nous qu'il est assis (le Seigneur Jésus) à la droite du Père et qu'il intercède en faveur de ceux et celles qui lui appartiennent. (Romains 8: 34)
Lui appartiens-tu?

Ce n'est pas en fêtant Noël à la mode païenne que nous serons plus près du Seigneur, que nous trouverons ou retrouverons la paix qu'il a promise.

Combien "fêteront-ils" ce jour tout en étant loin de Christ, loin de l'amour de Dieu, embourbés dans leurs péchés, esclaves de leurs passions, craignant la mort car n'ayant point d'assurance pour ce qui concerne l'au-delà?

Combien de nos contemporains, de nos proches, seront-ils, encore cette année, éblouis par des idées préconçues, par des traditions qui forment barrage et qui les empêchent de saisir la main tendue d’Emmanuel, (Dieu avec nous), cette main percée de notre Seigneur Jésus, cet homme crucifié pour avoir tant aimé le monde...

CRUCIFIÉ POUR M'AVOIR TANT AIMÉ!

Combien ne verront-ils que le "petit Jésus" et s'attendriront-ils à l'écoute des chants païens et chrétiens qui s'entremêleront pour célébrer une fête instituée par des hommes?
Une larme de sensiblerie, de sentimentalité, d'émotion pour une fête qui s'enlise de plus en plus dans un paganisme honteux qui minimise davantage au fil des ans, la venue d'un Sauveur que cette fête est sensée représenter.
Mais pas de larmes pour ses péchés, pas de sentiment de culpabilité; rien qui puisse rapprocher un coeur de son Dieu!

Combien plus encore profiteront-ils de cette occasion pour
faire la fête SANS JÉSUS, une simple fête de famille qui sera l'occasion de faire bombance et de satisfaire les plaisirs de la chair?


Comme Jean le Baptiste, n’avons-nous pas à coeur de rendre témoignage à ceux qui nous entourent et qui vivent la fièvre des fêtes de fin d'année?

N’avons-nous pas à coeur de rendre témoignage de cette lumière qui est venue éclairer notre vie, cette lumière qui nous a montré la noirceur de notre péché et qui, par la même occasion a éclairé le seul chemin qui pouvait conduire à Dieu afin que nous puissions connaître et vivre cette paix que le monde païen ne peut recevoir?

Comme Jean le Baptiste, comme tout enfant de Dieu qui a reçu Jésus dans son coeur et qui cherche l'avancement du Royaume de Dieu, nous devrions avoir le brûlant désir de semer la bonne nouvelle de l'Évangile, de présenter la LUMIÈRE DU MONDE.

Je (Jésus) suis la lumière du monde... Jean 8: 12

Je
(Jésus) suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé Jean 10: 9

Je (Jésus) suis
le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Jean 14: 6

Jésus est notre
Paix! (Éphésiens 2: 14)

Quelle carte de visite! Et nous voudrions rester silencieux! Et nous aurions honte de celui qui n'a pas honte de se nommer notre Dieu! (Hébreux 11: 16)

Justifiés par la foi que nous avons mise en lui, croyant à l’efficacité de sa mort sur la croix, de son sang qui a coulé, nous avons la paix avec Dieu!
Cette paix incomparable, ne ressemble pas aux trêves de Noël que le monde a instituées pour que des personnes en guerre puissent avoir le temps de célébrer la naissance de Sauveur avant de s'entretuer, de se déchirer sur les champs de batailles. Cette paix est une paix durable, éternelle si nous voulons la saisir et la garder.
Si nous aimons Dieu, si nous voulons suivre sa Parole,
Dieu ne se mettra jamais en guerre contre nous; la paix que certains connaissent aujourd'hui sera un état permanent et non une simple trêve.

Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre coeur ne se trouble point, et ne s'alarme point. Jean 14: 27

Cette paix, il nous l'a
donnée! Elle nous appartient et nous pourrons toujours en bénéficier si nous ne nous inclinons pas devant ces géants qui cachent la gloire de Dieu, ces géants qui en impressionnent plusieurs et qui les poussent à se fondre dans la masse afin de passer le plus discrètement possible au travers de cette fête de Noël dont le paganisme n'est plus à démontrer.
Qu'ils sont nombreux ces géants en ces fêtes de fin d'année, ces géants qui montrent d'un doigt accusateur les enfants de Dieu qui ne se soumettent pas à leur volonté mondaine! Ces géants qui se sont infiltrés dans le corps de Christ et qui "condamnent" les enfants de Dieu qui veulent passer ce jour du souvenir sans se mêler aux "divertissements" traditionnels.

Ne le nions pas! La tentation est grande de se plier devant eux et de se mêler à la foule des païens qui vont "célébrer" la naissance d'un Christ qu'ils méprisent tout le reste de l'année.
Cette tentation est d'autant plus grande lorsqu'il y a des enfants dans une famille!

Mais..., sommes-nous des chrétiens qui ne seraient disciples de Christ que pour endormir les païens en pratiquant les mêmes choses qu'eux?

Comment n’auraient-ils pas bonne conscience en nous voyant célébrer une fête avec les mêmes symboles que les leurs? C'est à dire en mélangeant les coutumes étrangères à la bonne pâte de l'Évangile alors que la Parole de Dieu nous invite à:

Faites disparaître le vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, 1 Corinthiens 5. 7

Lorsque la foi se marie aux traditions païennes il en résulte un mélange qui attriste le Seigneur et qui le pousse à dire à ceux qui se réclament de son Nom:

Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition? Matthieu 15: 3

Reconnaissez-vous cette voix lointaine qui a traversé les siècles et qui nous rappelle qu'elle est toujours d'actualité, même en cette période de la nativité?

Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face. Exode 20: 3

Les voyez-vous ces sapins de Noël faits sur mesure, ces géants qui scintillent de mille feux et qui font en sorte que l'on porte nos regards sur eux? Les voyez-vous ces géants de quelques jours qui prennent la place centrale de divers salons ou salles à manger, ces arbres que l'on installe même dans certaines églises et qui volent l'attention due au Seigneur Jésus?
Ils ont pris une place d'honneur alors que le Fils de Dieu, mis à l'écart une fois de plus, me fait penser au prophète Esaïe qui l'a dépeint ainsi:

Il s'est élevé devant lui (l'Éternel) comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire. Esaïe 53: 2

Et que dire de cet autre géant en habit rouge qui usurpe la place de notre Seigneur en se faisant "adorer"! Le voyez-vous s'asseoire sur un trône afin de se faire immortaliser en compagnie d'enfants qui sont éduqués dans le mensonge?

Que Dieu nous garde de conduire nos fils et nos filles au pied de cet usurpateur car là aussi le Seigneur nous met en garde:

... je ne donnerai pas ma gloire à un autre, Ni mon honneur aux idoles. Esaïe 42: 8

Les idoles de Noël, taillées sur mesure, n'ont rien à faire dans les foyers de ceux qui ont la crainte de l'Éternel, ceux qui ont été libérés de leur ancienne façon de vivre!

Dieu n'accepte pas de "feu étranger"! Il les accepte d'autant moins de son peuple, de ses rachetés!

Nadab et Abihu moururent, lorsqu'ils apportèrent devant l'Éternel du feu étranger. Nombres 26: 61

Puisque vous n'avez vu aucune figure le jour où l'Éternel vous parla du milieu du feu, à Horeb, veillez attentivement sur vos âmes, de peur
que vous ne vous corrompiez et que vous ne vous fassiez une image taillée, une représentation de quelque idole... Deutéronome 4 : 15-19 (à lire)

Alors comment fêter Noël, me direz-vous? Comment nous souvenir de Jésus-Christ?

La réponse est simple: comme la Bible nous l'enseigne! C'est la seule manière de ne pas nous tromper et de ne pas tromper les autres.

Souviens-toi de Jésus-Christ, issu de la postérité de David, ressuscité des morts, selon mon Évangile. 2 Timothée 2: 8

Voilà le souvenir que nous sommes invités à garder, à partager, à vivre. Le souvenir que Christ est ressuscité et qu'au travers de sa résurrection il y a aussi la nôtre!

Sa naissance ne nous servira à rien, même si elle est célébrée avec le plus grand respect dû à son rang.
Elle ne servira à rien si nous n'allons pas jusqu'au pied de la croix en pleurant sur nos péchés afin d'obtenir son pardon et de recevoir sa grâce.


Pour commémorer le souvenir du Fils de Dieu d'une façon qui lui soit agréable, il nous a donné, LUI-MÊME, la façon de procéder:

Ensuite il (Jésus) prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant: Ceci est mon corps, qui est donné pour vous; faites ceci en mémoire de moi. Luc 22: 19

En nous tenant strictement à ce que le Seigneur nous demande, en l'accomplissant selon l'Esprit dans lequel ce commandement a été donné, (afin que nous n'ayons pas à subir les conséquences de notre légèreté, (1 Corinthiens 11: 29-30), nous n'aurons pas besoin d'y ajouter des ordonnances païennes pour mieux montrer notre attachement au Roi des rois.

Si malgré tout, nous aimerions nous rappeler du jour de la naissance de notre Sauveur, sachons le faire d'une façon si différente de celle des païens qu'ils soient interpellés par notre comportement.

Les mages venus d'Orient pour adorer le Fils de Marie, sont venus avec des trésors, de l'or, de l'encens et de la myrrhe. Qu'allons offrir au Seigneur pour marquer ce moment que nous voulons mettre à part?

Celui qui a pitié du pauvre prête à l'Éternel, Qui lui rendra selon son oeuvre. Proverbes 19: 17

Nous aurons toujours des pauvres au milieu de nous (Matthieu 26: 11), voilà une bonne façon d'offrir notre or à celui qui fut l'enfant de la crèche.

Quant à l'encens et la myrrhe!
C'est nous qui devons devenir la bonne odeur de Christ pour Dieu afin qu'il soit honoré par notre conduite, par notre témoignage (
2 Corinthiens 2: 15)
Tout le monde n'aime pas l'odeur de l'encens, de même tout le monde n'aime pas l'odeur de Christ, quoiqu'il en soit cherchons quand même à être un parfum agréable aux yeux de celui qui nous a sauvés.

Dieu nous laisse la liberté de faire ou de ne pas faire une distinction entre les jours. (Romains 14: 5)
Toutefois sachons qu'il nous a mis en garde en nous prévenant que nous devons user de sagesse quant à cette liberté, ceci afin que nous ne retombions pas dans ce que nous avons abandonné le jour où nous nous sommes engagés pour Christ.

C'est pour la liberté que Christ nous a affranchis. Demeurez donc fermes, et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude.
Frères, vous avez été appelés à la liberté, seulement
ne faites pas de cette liberté un prétexte de vivre selon la chair... Galates 5: 1; 5:13


Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable.
Ne vous conformez pas au siècle présent... Romains 12: 1-2


Que personne donc ne vous juge au sujet du manger ou du boire, ou au sujet d'une fête, d'une nouvelle lune, ou des sabbats: c'était l'ombre des choses à venir, mais le corps est en Christ. Colossiens 2: 16-17


- À nous de savoir si nous vivons encore dans l'ombre des choses à venir!

- À nous de savoir si nous avons pleinement saisi que nous ne devons plus marcher comme autrefois, mais comme des enfants de lumière! (
Éphésiens 5: 8)


© J-M Ravé 19 décembre 2004

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