Il y eut un
homme envoyé de Dieu; son nom était
Jean. Celui-ci vint pour [rendre]
témoignage, pour rendre témoignage de
la lumière, afin que tous crussent par
lui...
... Il
(Jésus, la
lumière du monde) vint chez soi; et les
siens ne l'ont pas reçu.
Mais à tous ceux qui l'ont
reçu, il leur a
donné le droit d'être enfants de
Dieu,
[savoir] à ceux qui croient en son nom;
lesquels sont nés, non pas de sang, ni de la
volonté de la chair, ni de la volonté
de l'homme, mais de Dieu. Jean 1: 6-13, version Darby.
Ils ne l'ont pas
reçu!
Ils étaient
invités à suivre Celui dont les
prophètes avaient parlé dans le livre
de la Loi, ce livre qui devait guider leurs pas
vers la lumière. Parole de Vie, venant de
l'Éternel, le seul vrai Dieu qui avait
été un père plein d'attention
pour les descendants d'Abraham, d'Isaac et de
Jacob.
Ils étaient invités, mais n'ayant pas
voulu reconnaître l'Envoyé du
Seigneur, ils sont passés à
côté de la
bénédiction.
Aujourd'hui, en ces
jours de fin d'année, beaucoup passeront aussi à
côté de l'essentiel en se contentant
simplement de suivre les traditions, beaucoup ne
comprendront pas que Jésus-Christ est venu
dans le monde pour sauver les pécheurs.
(1 Timothée 1: 15)
Tout près du
salut et pourtant perdu!
Perdu comme celui qui est près de la sortie
de secours et qui ne peut plus l’atteindre
parce qu’il s’est trop attardé
à sauver des biens qu’il croyait
précieux, son argent ou quelque autre
trésor, quelque autre souvenir. Perdu parce
qu'il n'a pas voulu prêter attention aux
paroles d'un sauveteur qui l'encourageait pourtant
à diriger ses pas dans la direction
d'où venait sa voix.
Pareillement les hommes sont encore invités,
en ce jour, à suivre la voix du Bon Berger
qui les invite à changer de route. Combien
seront-ils attentifs? Combien l'entendront-ils?
Combien se décideront-ils enfin à
prendre le chemin étroit qui conduit jusque
dans la vie éternelle?
Bien des individus, en danger de mort,
gâchent le temps qui est mis à leur
disposition, ils perdent leurs forces pour courir
après des futilités qui n'ont aucune
valeur lorsqu'il est question de vie ou de mort, de
salut ou de perdition éternelle!
C'est ainsi que des personnes seront jetées
dans un lieu de tourment, l'enfer, ceci pour
l'éternité, parce qu'elles n'ont
jamais voulu prendre en considération
les appels du Seigneur qui les invitait à
changer de chemin, à passer des
ténèbres à la
lumière.
Comme le dit l'Écriture, elles n'ont pas
voulu changer parce que leurs oeuvres
étaient mauvaises.
... la
lumière étant venue dans le monde,
les
hommes ont préféré (c'est un choix) les
ténèbres à la lumière, parce
que leurs oeuvres étaient mauvaises.
Jean 3: 19
La question que je me
pose et que je te pose à toi l'inconnu qui
lira ces lignes et à toi que je connais plus
ou moins bien:
Qu'est-ce qui
t'empêche donc de venir à
Jésus-Christ,
ce Jésus dont le monde va rappeler, à
sa façon, la naissance de celui qui est mort
et ressuscité pour que tu aies le pardon de
tes péchés et l'assurance de la vie
éternelle? Aimes-tu donc tant que cela la
vie misérable que tu mènes, cette vie
où les plaisirs qui te sont accordés
ne te donnent jamais la paix du coeur?
Qu'est-ce qui
t'empêche donc de te jeter dans les bras du
Seigneur alors que tu
es prêt (e) à prendre des risques pour
assurer ton avenir ou pour placer ton argent dans
des entreprises qui ne tiennent debout que parce
qu'elles sont soutenues artificiellement?
Quant à moi..., racheté par le
précieux sang de Christ, qu'est-ce qui
pourrait encore me freiner dans l'obéissance
à la volonté de Dieu, alors que je
fais profession de suivre Jésus?
Faut-il donc qu'ils
soient impressionnants ces Goliath qui barrent la route à ceux
qui hésitent à s'abandonner à
Christ alors qu'ils ont maintes et maintes fois
entendu la Parole de Dieu!
Comment se fait-il que leurs paroles (celles des
Goliath) soient davantage écoutées
que celles de l'Agneau de Dieu qui s'est
donné lui-même, comme une
rançon pour que nous ayons le DROIT de
devenir enfants de Dieu?
Faut-il donc qu'ils
soient impressionnants ces
géants qui
empêchent parfois les enfants de Dieu d'aller
plus en avant dans la sanctification en leur
insufflant la peur du lendemain, la peur d'avancer
de faire un pas de plus dans leur engagement avec
le Seigneur?
Et
pourtant...
... il
vous est né un
Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur.
Luc 2: 11
Il y a 2000 ans, un Sauveur est né pour nous
sauver, pour nous tendre la main!
Loin de nous (aujourd'hui) l'image d'un
bébé dans une crèche, d'un
petit enfant fragile qui n'eut aucune puissance sur
son environnement et qui dût être mis
à l'écart afin que sa vie ne soit pas
prise par un roi cruel qui se permit de faire
assassiner tous les enfants de deux ans et
au-dessous. (Matthieu 2: 16)
Un Sauveur nous est né! Un Sauveur est venu
dans le monde pour que nous puissions trouver, par
son moyen, la paix avec Dieu (pour ceux qui ne la
connaissent pas encore) et la victoire sur nos
impressionnants géants qui nous font
craindre de prendre le risque de la foi, d'aller de
l'avant (pour nous qui sommes encore si souvent en
proie au doute).
Même en ces jours de Noël, ne restons
pas devant un simulacre de crèche, mais
regardons plutôt l'ombre qu'elle projette,
une ombre en forme de
croix, derrière laquelle s'ouvre le ciel
pour tous ceux et toutes celles qui auront
cru, non pas à
la naissance d'un "petit Jésus"...,
... mais à la venue du Fils de Dieu
qui s'est donné
volontairement pour effacer la dette de notre
péché!
De ce fait, nous les croyants, repoussons, au nom
de Jésus-Christ, celui qui pourrait nous
barrer la route, ce découragement, cette
suffisance. Allons de l'avant car le Sauveur qui
nous est né a été victorieux
sur toute la puissance de l'ennemi!
Comme le jeune David, sachons marcher au nom de
l'Éternel et prendre la victoire que
Jésus a acquise en notre faveur, une fois
pour toutes.
...
nous
sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a
aimés. Romains 8: 37
Ne nous inclinons pas
devant nos faibles forces, n'élevons pas nos
faiblesses comme un rempart pour trouver une excuse
à notre manque de sanctification!
Regardons à Celui qui nous invite à
regarder en haut.
En cette
période de Noël, souvenons-nous qu'il
est assis (le
Seigneur Jésus) à la droite du
Père et qu'il
intercède en faveur de ceux et celles qui
lui appartiennent. (Romains 8: 34)
Lui appartiens-tu?
Ce n'est pas en
fêtant Noël à la mode
païenne que nous serons plus près du
Seigneur, que nous trouverons ou retrouverons la
paix qu'il a promise.
Combien
"fêteront-ils" ce jour tout en étant
loin de Christ, loin de l'amour de Dieu,
embourbés dans leurs péchés,
esclaves de leurs passions, craignant la mort car
n'ayant point d'assurance pour ce qui concerne
l'au-delà?
Combien de nos contemporains, de nos proches,
seront-ils, encore cette année,
éblouis par des idées
préconçues, par des traditions qui
forment barrage et qui les empêchent de
saisir la main tendue d’Emmanuel, (Dieu avec
nous), cette main percée de notre Seigneur
Jésus, cet homme crucifié pour avoir
tant aimé le monde...
Combien ne verront-ils que le
"petit Jésus" et s'attendriront-ils à
l'écoute des chants païens et
chrétiens qui s'entremêleront pour
célébrer une fête
instituée par des hommes?
Une larme de sensiblerie, de sentimentalité,
d'émotion pour une fête qui s'enlise
de plus en plus dans un paganisme honteux qui
minimise davantage au fil des ans, la venue d'un
Sauveur que cette fête est sensée
représenter.
Mais pas de larmes pour ses péchés,
pas de sentiment de culpabilité; rien qui
puisse rapprocher un coeur de son Dieu!
Combien plus encore profiteront-ils de cette
occasion pour faire la
fête SANS JÉSUS, une simple fête de famille qui
sera l'occasion de faire bombance et de satisfaire
les plaisirs de la chair?
Comme Jean le
Baptiste, n’avons-nous pas à coeur de
rendre témoignage à ceux qui nous
entourent et qui vivent la fièvre des
fêtes de fin d'année?
N’avons-nous pas
à coeur de rendre témoignage de cette
lumière qui
est venue éclairer notre vie, cette
lumière qui nous a montré la noirceur
de notre péché et qui, par la
même occasion a éclairé le seul
chemin qui pouvait conduire à Dieu afin que
nous puissions connaître et vivre cette paix
que le monde païen ne peut recevoir?
Comme Jean le Baptiste, comme tout enfant de Dieu
qui a reçu Jésus dans son coeur et
qui cherche l'avancement du Royaume de Dieu, nous
devrions avoir le brûlant désir de
semer la bonne nouvelle de l'Évangile, de
présenter la LUMIÈRE DU MONDE.
Je
(Jésus) suis la lumière du
monde... Jean 8: 12
Je (Jésus) suis la
porte. Si quelqu'un entre par moi, il
sera sauvé Jean 10: 9
Je (Jésus) suis le chemin, la vérité,
et la vie. Nul ne vient au Père
que
par moi. Jean 14: 6
Jésus est notre Paix! (Éphésiens 2:
14)
Quelle carte de visite!
Et nous voudrions rester silencieux! Et nous
aurions honte de celui qui n'a pas honte de se
nommer notre Dieu! (Hébreux 11: 16)
Justifiés par la
foi que nous avons mise en lui, croyant à
l’efficacité de sa mort sur la croix,
de son sang qui a coulé, nous avons la paix
avec Dieu!
Cette paix incomparable, ne ressemble pas aux
trêves de Noël que le monde a
instituées pour que des personnes en guerre
puissent avoir le temps de célébrer
la naissance de Sauveur avant de s'entretuer, de se
déchirer sur les champs de batailles. Cette
paix est une paix durable, éternelle si nous
voulons la saisir et la garder.
Si nous aimons Dieu, si nous voulons suivre sa
Parole, Dieu ne se
mettra jamais en guerre contre nous; la paix que certains connaissent
aujourd'hui sera un état permanent et non
une simple trêve.
Je vous
laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous
donne pas comme le monde donne. Que votre coeur ne
se trouble point, et ne s'alarme point.
Jean 14: 27
Cette paix, il nous l'a donnée! Elle nous appartient et nous pourrons toujours
en bénéficier si nous ne nous
inclinons pas devant ces géants qui cachent
la gloire de Dieu, ces géants qui en
impressionnent plusieurs et qui les poussent
à se fondre dans la masse afin de passer le
plus discrètement possible au travers de
cette fête de Noël dont le paganisme
n'est plus à démontrer.
Qu'ils sont nombreux ces géants en ces
fêtes de fin d'année, ces
géants qui montrent d'un doigt accusateur
les enfants de Dieu qui ne se soumettent pas
à leur volonté mondaine! Ces
géants qui se sont infiltrés dans le
corps de Christ et qui "condamnent" les enfants de
Dieu qui veulent passer ce jour du souvenir sans se
mêler aux "divertissements"
traditionnels.
Ne le nions pas! La tentation est grande de se
plier devant eux et de se mêler à la
foule des païens qui vont
"célébrer" la naissance d'un Christ
qu'ils méprisent tout le reste de
l'année.
Cette tentation est d'autant plus grande lorsqu'il
y a des enfants dans une famille!
Mais..., sommes-nous
des chrétiens qui ne seraient disciples de
Christ que pour endormir les païens en
pratiquant les mêmes choses qu'eux?
Comment
n’auraient-ils pas bonne conscience en nous
voyant célébrer une fête avec
les mêmes symboles que les leurs? C'est
à dire en mélangeant les coutumes
étrangères à la bonne
pâte de l'Évangile alors que la Parole
de Dieu nous invite à:
Faites
disparaître le vieux levain, afin que vous
soyez une pâte nouvelle, 1 Corinthiens 5. 7
Lorsque la foi se marie aux traditions
païennes il en résulte un
mélange qui attriste le Seigneur et qui le
pousse à dire à ceux qui se
réclament de son Nom:
Et vous,
pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu
au
profit de votre tradition? Matthieu 15: 3
Reconnaissez-vous cette voix lointaine qui a
traversé les siècles et qui nous
rappelle qu'elle est toujours d'actualité,
même en cette période de la
nativité?
Tu
n'auras pas d'autres dieux devant ma
face.
Exode 20: 3
Les voyez-vous ces sapins de Noël faits sur
mesure, ces géants qui scintillent de mille
feux et qui font en sorte que l'on porte nos
regards sur eux? Les voyez-vous ces géants
de quelques jours qui prennent la place centrale de
divers salons ou salles à manger, ces arbres
que l'on installe même dans certaines
églises et qui volent l'attention due au
Seigneur Jésus?
Ils ont pris une place d'honneur alors que le Fils
de Dieu, mis à l'écart une fois de
plus, me fait penser au prophète Esaïe
qui l'a dépeint ainsi:
Il s'est
élevé devant lui (l'Éternel) comme une
faible
plante, Comme un rejeton qui sort d'une
terre desséchée; Il n'avait ni
beauté, ni éclat pour attirer nos
regards, Et son aspect n'avait rien pour
nous plaire. Esaïe 53: 2
Et que dire de cet autre géant en habit
rouge qui usurpe la place de notre Seigneur en se
faisant "adorer"! Le voyez-vous s'asseoire sur un
trône afin de se faire immortaliser en
compagnie d'enfants qui sont éduqués
dans le mensonge?
Que Dieu nous garde de conduire nos fils et nos
filles au pied de cet usurpateur car là
aussi le Seigneur nous met en garde:
... je
ne donnerai pas ma gloire à un
autre, Ni mon honneur aux idoles.
Esaïe 42: 8
Les idoles de Noël, taillées sur
mesure, n'ont rien à faire dans les foyers
de ceux qui ont la crainte de l'Éternel,
ceux qui ont été
libérés de leur ancienne façon
de vivre!
Dieu n'accepte pas de "feu étranger"! Il les
accepte d'autant moins de son peuple, de ses
rachetés!
Nadab et
Abihu moururent, lorsqu'ils apportèrent
devant l'Éternel du feu étranger.
Nombres 26: 61
Puisque vous n'avez vu aucune figure le jour
où l'Éternel vous parla du milieu du
feu, à Horeb, veillez attentivement sur vos
âmes, de peur que vous ne vous corrompiez et que
vous ne vous fassiez une image taillée, une
représentation de quelque
idole... Deutéronome 4 :
15-19 (à
lire)
Alors comment
fêter Noël, me direz-vous? Comment nous
souvenir de Jésus-Christ?
La réponse est simple: comme la Bible nous
l'enseigne! C'est la seule manière de ne pas
nous tromper et de ne pas tromper les autres.
Souviens-toi de
Jésus-Christ, issu de la
postérité de David, ressuscité des
morts, selon mon Évangile.
2 Timothée 2: 8
Voilà le souvenir que nous sommes
invités à garder, à partager,
à vivre. Le souvenir que Christ est
ressuscité et qu'au travers de sa
résurrection il y a aussi la
nôtre!
Sa
naissance ne nous servira à rien, même
si elle est célébrée avec le
plus grand respect dû à son
rang.
Elle ne
servira à rien si nous n'allons pas jusqu'au
pied de la croix en pleurant sur nos
péchés afin d'obtenir son pardon et
de recevoir sa grâce.
Pour commémorer le souvenir du Fils de Dieu
d'une façon qui lui soit agréable, il
nous a donné, LUI-MÊME, la
façon de procéder:
Ensuite
il (Jésus) prit du pain; et,
après avoir rendu grâces, il le
rompit, et le leur donna, en disant: Ceci est mon
corps, qui est donné pour vous;
faites
ceci en mémoire de moi. Luc 22: 19
En nous tenant
strictement à ce que le Seigneur nous
demande, en l'accomplissant selon l'Esprit dans
lequel ce commandement a été
donné, (afin que nous n'ayons pas à
subir les conséquences de notre
légèreté, (1 Corinthiens 11: 29-30), nous n'aurons pas besoin d'y
ajouter des ordonnances païennes pour mieux
montrer notre attachement au Roi des rois.
Si malgré tout, nous aimerions nous rappeler
du jour de la naissance de notre Sauveur, sachons
le faire d'une façon si différente de
celle des païens qu'ils soient
interpellés par notre comportement.
Les mages venus d'Orient pour adorer le Fils de
Marie, sont venus avec des trésors, de l'or,
de l'encens et de la myrrhe. Qu'allons offrir au
Seigneur pour marquer ce moment que nous voulons
mettre à part?
Celui
qui a pitié du pauvre prête à
l'Éternel, Qui lui rendra selon son
oeuvre. Proverbes 19: 17
Nous aurons toujours des pauvres au milieu de nous
(Matthieu 26: 11), voilà une bonne
façon d'offrir notre or à celui qui
fut l'enfant de la crèche.
Quant à l'encens et la myrrhe!
C'est nous qui devons devenir la bonne odeur de
Christ pour Dieu afin qu'il soit honoré par
notre conduite, par notre témoignage
(2 Corinthiens 2: 15)
Tout le monde n'aime pas l'odeur de l'encens, de
même tout le monde n'aime pas l'odeur de
Christ, quoiqu'il en soit cherchons quand
même à être un parfum
agréable aux yeux de celui qui nous a
sauvés.
Dieu nous laisse la
liberté de faire ou de ne pas faire une
distinction entre les jours. (Romains 14: 5)
Toutefois sachons qu'il nous a mis en garde en nous
prévenant que nous devons user de sagesse
quant à cette liberté, ceci afin que
nous ne retombions pas dans ce que nous avons
abandonné le jour où nous nous sommes
engagés pour Christ.
C'est
pour la liberté que Christ nous a
affranchis. Demeurez donc fermes, et
ne
vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de
la servitude.
Frères, vous avez été
appelés à la liberté,
seulement ne faites pas de cette
liberté un prétexte de vivre selon la
chair... Galates 5: 1; 5:13
Je vous exhorte donc, frères, par les
compassions de Dieu, à offrir vos corps
comme un sacrifice vivant, saint, agréable
à Dieu, ce qui sera de votre part un culte
raisonnable.
Ne
vous conformez pas au siècle
présent... Romains 12: 1-2
Que
personne donc ne vous juge au sujet du manger ou du
boire, ou au sujet d'une fête, d'une nouvelle
lune, ou des sabbats: c'était l'ombre des choses
à venir, mais le corps est en Christ.
Colossiens 2: 16-17
- À nous de savoir si nous vivons encore
dans l'ombre des choses à venir!
- À nous de savoir si nous avons pleinement
saisi que nous ne devons plus marcher comme
autrefois, mais comme des enfants de
lumière! (Éphésiens 5:
8)
© J-M Ravé 19 décembre
2004
- CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse