Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

l'Abécédaire pour une vie bénie

(50) (Tav)

Les mots de la fin serviront-ils à la fin de nos maux?

Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement... Ecclésiaste : 7. 8 (v. L. S)

Quand il
(le filet) est rempli, les pêcheurs le tirent et, après s'être assis sur le rivage, ils mettent dans des vases ce qui est bon, et ils jettent ce qui est mauvais.
Il en sera de même à la fin du monde.
Les anges viendront séparer les méchants d'avec les justes, et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents.
Matthieu 13: 48-50 (v. L. S)

Si d'un côté l'Ecclésiaste nous dit que la fin est préférable au commencement, le Seigneur Jésus ne manque pas de préciser que
la fin ne sera pas la même pour tout le monde.
Il n'hésite pas à dire que, pour certains, ce sera la fin de leurs maux, tandis que, pour d'autres, commencera une "vie infernale" consécutive au choix qu'ils auront fait durant leur séjour terrestre.

La Parole de Dieu est suffisamment claire pour que l'on comprenne que la mort n'est pas la fin de tout. Elle débouchera sur une éternité qui sera le point final d'une vie terrestre où larmes et souffrances laisseront la place à un bonheur qui ne pourra plus être troublé par quoi que ce soit !
Pas même par les cris et les grincements de dents de ceux et celles qui auront été jetés dans la fournaise ardente ! (
Tu es juste, toi qui es, et qui étais ; tu es saint, parce que tu as exercé ce jugement - Apocalypse 16. 5)
Ainsi ceux qui n'auront pas aimé Dieu, ceux qui auront refusé de suivre Jésus, se retrouveront en compagnie de Satan, des anges déchus, des injustes, des impudiques (vie sexuelle non conforme à la Parole de Dieu), des idolâtres, des adultères..., des voleurs, des ivrognes, des parjures, des voleurs d'hommes, des meurtriers, des lâches etc... (
1 Corinthiens 6: 9-10 ; Apocalypse 21: 8)

Alors, si aujourd'hui nous semons avec larmes, que notre coeur se réjouisse quand même tout en restant fermement attaché à notre Sauveur et Seigneur ! Sachons qu'un jour, nous récolterons avec allégresse les fruits de notre fidélité, de notre engagement, de notre fermeté !
Ne retournons jamais à ce que nous avons vomi (
2 Pierre 2: 21-22) !
L'Écriture nous enseigne qu'il est préférable de ne pas avoir connu la voie de Dieu plutôt que d'avoir bénéficié, pour un temps, de son amour et de sa justice et ensuite de s'en détourner.

Sans doute, comme l'auteur du Psaume 119, avons-nous eu à subir des injustices ? Peut-être sommes-nous en ce moment sous le feu de l'adversaire qui, par divers moyens, essaie de nous faire abandonner la foi ?
Mais est-ce bien une raison suffisante pour se détourner du Seigneur et prendre le risque de perdre son âme ?

Si les épreuves peuvent nous attrister un temps (
1 Pierre 1: 6), l'apôtre a bien précisé que ce n'était que pour un temps !
Rien que pour un temps ! Ceci, afin que notre foi soit éprouvée et nous conduise à chercher davantage le secours de l'Éternel.

En aucun cas l'épreuve n'a été destinée à nous faire perdre la foi puisque l'Écriture nous dit que
DIEU NE PERMETTRA PAS que nous soyons tentés au-delà de nos forces, c'est-à-dire jusqu'à en perdre la foi !

Aucune tentation ne vous est survenue qui n'ait été humaine, et Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au delà de vos forces ; mais avec la tentation il préparera aussi le moyen d'en sortir, afin que vous puissiez la supporter. 1 Corinthiens 10: 13 (v. L. S)

Ainsi, parce que Dieu ne permet pas que nous soyons anéantis par une épreuve, parce qu'il est fidèle (à sa Parole), nous devons croire que le chemin difficile par lequel nous passons va contribuer à notre éducation. Il nous permettra de découvrir notre compagnon de marche, Celui qui a promis d'être
avec nous jusqu'à la fin du monde et d'expérimenter sa paix ! Cette paix que les gens du monde ne peuvent connaître lorsqu'ils passent par des difficultés.

L'auteur du Psaume 119 n'a pas manqué de nous faire part de ses tribulations, des craintes qu'il avait, mais
il a TOUJOURS fait valoir la foi qu'il avait placée en l'Éternel.

Si la Bible déclare "qu'Élie était un homme de la même nature que nous" pour souligner
l'efficacité de la prière (Jacques 5: 17), nous pouvons faire la même réflexion au sujet de notre Psalmiste qui nous dépeint si bien son parcours. Un chemin semé de pièges (v. 61, 110) où l'attendent des ennemis qui en veulent à sa vie (v. 95), tandis que d'autres le salissent par des mensonges, des calomnies (v. 69).
Notre vie de pèlerin voyageant dans un monde étranger ne ressemble-t-elle pas un peu à la sienne ?

Si ces hommes étaient de notre nature, sommes-nous de la leur ?
Sommes-nous des personnes qui croient ce que Dieu dit ?
Avons-nous la foi dans ses promesses ?

S'ils étaient de même nature que nous, ils n'avaient rien de particulier qui puisse les différencier des autres hommes, ils n'étaient ni des géants, ni des surhommes ! Élie n'a-t-il pas eu un moment de profonde dépression au point de réclamer la mort ? (pas de se la donner !
1 Rois 19: 4)

Quant à l'auteur du plus long Psaume, nous avons vu qu'à de nombreuses reprises, il n'en menait pas large et que, jusqu'à la fin de son Psaume, il ne cessera pas de réclamer le secours de son Dieu.

Pour lui, Dieu a TOUJOURS ÉTÉ LE DIEU DE SON ESPÉRANCE !
Est-il toujours le nôtre, le mien ?

Pour moi, je regarderai vers l'Éternel, Je mettrai mon espérance dans le Dieu de mon salut ; Mon Dieu m'exaucera. Michée 7: 7 (v. L. S)

Si Michée pouvait prendre cette position, nous voyons que le Psalmiste avait la même détermination. S'il n'avait pas eu la même pensée, il n'aurait pas terminé son Psaume en rappelant qu'il n'oublie pas (au présent) les commandements de Dieu.
Par sa position, sa fermeté, sa foi, il était donc en mesure de réclamer son aide, d'agir
pour que Dieu agisse comme il l'a lui-même promis à ceux qui craignent son nom.

Marchons-nous dans les pas de foi de ces hommes, de toute cette nuée de témoins (
Hébreux 11) qui ont accompli l'exploit de garder la foi en dépit des circonstances ?

Souvent notre intelligence est aveuglée par nos raisonnements, c'est pourquoi il est bon de se rappeler la pensée d'Asaph déclarant qu'il était le plus stupide des hommes (
Proverbes 30: 2). Une stupidité que nous partageons chaque fois que nous nous appuyons sur nos raisonnements plutôt que sur la Parole de Dieu, que nous regardons aux circonstances plutôt qu'aux promesses de CELUI QUI NE PEUT MENTIR.

Point n'est besoin de dire que ma "stupidité" a souvent été un boulet bien pénible à tirer ! Que c'est un soulagement d'avoir pu enfin déposer ce fardeau de doutes au pied de la Croix !

Je prie le Seigneur qu'il me garde de reprendre quoique ce soit de ce que j'ai déposé un jour. Je n'ai pas envie de perdre cette paix qu'il a mis dans mon coeur dès l'instant où j'ai enfin pu accepter qu'il défende ma cause (
Jérémie 51: 36) sans que j'aie besoin de m'en mêler ! Tout comme il défendra celle de tous ses enfants lorsqu'ils le laisseront faire !

Puissions-nous nous rappeler - et apprendre par coeur - ces quelques textes qui, vécus dans la foi, feront barrage au doute ainsi qu'à tous nos raisonnements.

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Rien n'est impossible à Dieu (Luc 1: 37).
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Tout est possible à Dieu (Marc 10: 27).
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Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu (Luc 18: 27).
-
Y a-t-il rien qui soit étonnant de la part de l'Éternel (Genèse 18: 14) ?

Et que penser de ces paroles donner au peuple de Dieu, à l'Israël terrestre, nous qui sommes aussi fils et filles d'Abraham
en raison de notre foi ? (Galates 3: 7)

Ne crains rien, car je suis avec toi ; Ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu ; Je te fortifie, je viens à ton secours, Je te soutiens de ma droite triomphante.

Voici, ils seront confondus, ils seront couverts de honte, Tous ceux qui sont irrités contre toi ; Ils seront réduits à rien, ils périront, Ceux qui disputent contre toi.
Tu les chercheras, et ne les trouveras plus, Ceux qui te suscitaient querelle ; Ils seront réduits à rien, réduits au néant, Ceux qui te faisaient la guerre.

Car je suis l'Éternel, ton Dieu, Qui fortifie ta droite, Qui te dis : Ne crains rien, Je viens à ton secours.
Esaïe 41: 10-13 (v. L. S)

Quel pouvait bien être le secret de l'auteur de Psaume 119 pour garder l'espérance dont nous sommes devenus les témoins ? Cette espérance que nous envions peut-être !
C'est une question que nous pourrions nous poser en pensant à tous les moments où nous avons été fatigués d'espérer, tous les moments où il s'en est fallu de peu pour que l'on bascule dans l'incrédulité.

Son secret est facile à découvrir !
Il est écrit en lettre de feu tout au long de son Psaume ! Il se nourrissait de la Parole de Dieu ! Non pas à la petite cuillère, non pas de temps à autre lorsqu'il avait besoin d'un remontant, d'un médicament !
Non ! La Parole de Dieu était comme une table garnie où il se servait à profusion, en en demandant et redemandant toujours plus ! Son âme était insatiable !
Quelle différence avec certains qui prennent le Saint Livre à doses homéopathiques, juste ce qu'il faut pour se donner bonne conscience !

Pour ce qui concerne le Psalmiste, j'ai été surpris de voir que chacune des lettres de cet "abécédaire" se terminait par une pensée qui le ramenait aux commandements, à la loi : À LA PAROLE DE DIEU !

Quelques fussent ses déclarations dans le contenu de ses paragraphes,
le mot de la fin a toujours été et de mettre en avant son espérance et sa foi dans ce que Dieu a dit !
Quels sont mes mots de la fin lorsque je termine un paragraphe de ma vie, lorsque s'achève une journée dont le parcours a été un peu chaotique ?
Suis-je en mesure de dire :

Je me couche et je m'endors en paix, Car toi seul, ô Éternel ! tu me donnes la sécurité dans ma demeure. Psaume 4. 9 (v. L. S)

Ou, au contraire, l'Esprit doit-il me prévenir :

... que le soleil ne se couche pas sur votre colère, et ne donnez pas accès au diable. Éphésiens 4: 26-27 (v. L. S)

La qualité de mon sommeil dépendra de mes "mots de la fin", des dernières pensées qui me berceront pour que je trouve un sommeil doux et agréable. Des pensées qui seront en harmonie avec la Parole de Dieu qui, elle-même, restera pour moi une lumière qui éclairera mon sentier aussi longtemps que je garderai la foi dans ce qu'elle dit.

... que ces enseignements ne s'éloignent pas de tes yeux (de nos yeux), Garde la sagesse et la réflexion : Elles seront la vie de ton âme, Et l'ornement de ton cou. Si tu te couches, tu seras sans crainte ; Et quand tu seras couché, ton sommeil sera doux. Proverbes 3: 21-24 (v. L. S)

Comment le psalmiste nous invite-t-il à finir nos... tranches de vie" ? Comment termine-t-il lui-même ses paragraphes ?
J'ai classé ses réflexions en 5 catégories .

1) Apprendre à garder et respecter la Parole de Dieu :

-
En apprenant les lois de ta justice (v.7).
-
Je veux garder tes statuts (v. 8).
-
Je n'oublie point ta parole (v. 16).
-
Enseigne-moi tes statuts (v. 64).
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Afin que j'observe les préceptes de ta bouche (v. 88).
-
Je crains tes jugements (v. 120).
-
Je garde tes ordonnances et tes préceptes (v.168).
- J
e n'oublie point tes commandements (v. 176).

C'est en apprenant que l'on peut garder l'instruction. C'est en désirant apprendre, en ayant faim et soif de la connaissance de Dieu que nous pourrons être rassasiés car Dieu donne en abondance à celui qui le cherche d'un coeur sincère.
Qu'ai-je appris pendant ces 12 derniers mois durant lesquels le Psaume 119 a été mon compagnon ?

2) Réfléchir, méditer sur la Parole de Dieu

-
Je veux méditer tes statuts (v. 48).
-
Je vois des bornes à tout ce qui est parfait : Tes commandements n'ont point de limite (v. 96).
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Je trouve justes toutes tes ordonnances (v. 128).
-
Je sais par tes préceptes que tu les as établis pour toujours (v. 152).

Ces temps de méditations sont indispensables pour saisir la richesse des enseignements bibliques. Lire la bible sans réfléchir à son contenu n'apportera rien à l'âme. Combien de personnes n'ont-elles pas lu la Bible sans rien en recevoir ?
Avons-nous réfléchi lors de notre dernière lecture ?
Étions-nous en position d'étudiants ou de simples lecteurs prenant rapidement connaissance du verset du jour ?

3) Pratiquer, observer les commandements de Dieu :

-
Je désire pratiquer tes ordonnances (v. 40).
-
J'observe tes ordonnances (v.56).
-
J'incline mon coeur à pratiquer tes statuts (v. 112).
-
Mes yeux répandent des torrents d'eaux, parce qu'on n'observe point ta loi (v. 136).

Toute étude serait vaine si elle n'était pas suivie de mise en pratique. Un refus de mettre en pratique la Parole de Dieu démontrerait que notre lecture n'a pas porté de fruit, tout cela parce qu'elle n'aurait pas été méditée suffisamment pour comprendre l'importance qu'il y a à suivre ses enseignements.
À chacun de voir ce qu'il a fait de ce qu'il a lu ou entendu !

4) La loi de Dieu est un délice pour son âme :

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Je fais mes délices de tes statuts (v.16).
-
Tes préceptes font mes délices, Ce sont mes conseillers (v. 24).
-
Mieux vaut pour moi la loi de ta bouche que mille objets d'or et d'argent (v. 72).
-
Que tes paroles sont douces à mon palais, plus que le miel à ma bouche (v. 103).

L'apprentissage, l'étude, la réflexion et la mise en pratique de ce que Dieu a dit, vont nous conduire à aimer davantage les Saintes Écritures. Au fur et à mesure de notre progression nous nous rendrons compte de leur qualité et comprendrons que les délices du monde ne peuvent se mélanger avec la Parole de Dieu sans gâter la saveur de cette dernière.

Nos propres choix sont là pour démontrer si nous aimons l'Écriture plus que ce que le monde propose, que ce que les gens du monde proposent !
Peut-être est-il temps de regarder dans notre "assiette spirituelle" et de faire, une bonne fois pour toute, l'inventaire de ce que nous donnons comme nourriture à notre âme ?

5) Reconnaissance absolue que la Parole de Dieu est la vérité et qu'à cause de cela, il désire s'y conformer :

-
Tes préceptes sont éternellement justes (v. 144).
-
Le fondement de ta parole est la vérité, et toutes les lois de ta justice sont éternelles (v. 160).
-
Je cours dans la voie de tes commandements (v.32).
-
Ce sont mes conseillers (v.24).

Que mon coeur soit sincère dans tes statuts,
Afin que je ne sois pas couvert de honte !
(v. 80)

Ce n'est qu'à partir du moment où nous avons compris que Dieu ne peut pas mentir que nous accepterons sa Parole comme la vérité, TOUTE SA PAROLE, et que nous la garderons comme telle quoiqu'il puisse arriver !

N'est-ce pas encourageant de constater que toutes ces paroles que nous avons relevées dans le Psaume 119, toutes ces réflexions, toutes ces prières, sortent de la bouche d'un homme qui attend le secours de l'Éternel ! Qu'il l'attend sans faiblir dans la foi ! Qu'il l'attend depuis longtemps sans perdre l'espoir que le secours viendra au moment opportun !

À notre de tour de croire que plus le temps d'attente a été long, plus la délivrance est proche !

"Quand je pense à ma détresse et à ma misère" (
Lamentations de Jérémie 3: 19), ce n'est pas un péché, loin de là ! C'est plutôt l'occasion de reconnaître notre impuissance et de se reposer sur celui qui peut tout.

"Quand je pense à ma détresse et à ma misère", je veux quand même me coucher avec l'espérance dans le coeur et m'endormir avec la pensée que celui qui espère en l'Éternel ne sera pas confus.

En lisant le Psaume 119, en passant d'une lettre à l'autre, en sachant nous arrêter sur des pensées fortes, nous avons découvert ce que cet homme avait dans le coeur.
S'il a pu parler de sa misère, de ses craintes, de son désespoir face à la méchanceté de ceux qui le poursuivaient, son coeur n'était pas rempli d'amertume !

Sa bouche parlant de l'abondance de son coeur, nous comprenons bien qu'il aimait la Parole de Dieu et que l'Éternel était le sujet principal de ses préoccupations.

Si nous ne savons pas trop de quoi est rempli notre coeur, tournons-nous vers notre voisin, notre conjoint, nos enfants, nos amis et demandons-leur ce qu'ils en pensent !
Demandons-leur ce qu'ils ont retenu de nos conversations ou du moins des sujets abordés !
Demandons..., et n'oublions pas que nous devrons rendre compte de toutes paroles vaines que nous aurons prononcées !

Sans doute est-il urgent de confesser nos péchés de la langue tout en demandant à ce qu'il nous soit donné la force de la mettre en bride afin que nous ne tombions pas sous la condamnation du grand Juge :

Je (JÉSUS) vous le dis : au jour du jugement, les hommes rendront compte de toute parole vaine (oiseuse) qu'ils auront proférée. Matthieu 12: 36 (v. L. S)

Attention... !
Nos "mots de la fin" pourraient bien être des paroles vaines car nous ne connaissons pas l'heure de notre départ. Il serait vraiment triste de finir notre vie sur une fausse note ou sur une note qui serait en désharmonie avec la foi que nous avons voulu vivre.

Pour cette raison : "
entretenons-nous par des psaumes, par des hymnes, et par des cantiques spirituels, chantant et célébrant de tout votre coeur les louanges du Seigneur" (Éphésiens 5: 19).

Cette bonne habitude, recommandée par le Saint-Esprit, nous aidera à garder une foi ferme, semblable à celle de l'auteur du Psaume 119.

Comme lui nous pourrons, sans mentir et sans crainte pour l'avenir, conclure notre journée ou notre vie en disant :

Cherche ton serviteur Psaume 119: 176

Viens, Seigneur Jésus ! Apocalypse 22: 20

***

Ceux qui sèment avec larmes moissonneront avec chants d'allégresse. Psaume 126: 5

Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec tous ! Apocalypse 22: 21

© J-M Ravé 12 avril 2008 -
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