Mieux vaut la
fin d'une chose que son commencement...
Ecclésiaste : 7.
8 (v.
L. S)
Quand il (le
filet) est rempli, les pêcheurs le
tirent et, après s'être assis sur le
rivage, ils mettent dans des vases ce qui est bon,
et ils jettent ce qui est mauvais.
Il en
sera de même à la fin du monde.
Les anges viendront séparer les
méchants d'avec les justes, et ils les
jetteront dans la fournaise ardente, où il y
aura des pleurs et des grincements de dents.
Matthieu 13: 48-50 (v. L. S)
Si d'un côté l'Ecclésiaste nous
dit que la fin est préférable au
commencement, le Seigneur Jésus ne manque
pas de préciser que la fin ne sera pas la même pour
tout le monde.
Il n'hésite pas à dire que, pour
certains, ce sera la fin de leurs maux, tandis que,
pour d'autres, commencera une "vie infernale"
consécutive au choix qu'ils auront fait
durant leur séjour terrestre.
La Parole de Dieu est suffisamment claire pour que
l'on comprenne que la mort n'est pas la fin de
tout. Elle débouchera sur une
éternité qui sera le point final
d'une vie terrestre où larmes et souffrances
laisseront la place à un bonheur qui ne
pourra plus être troublé par quoi que
ce soit !
Pas même par les cris et les grincements de
dents de ceux et celles qui auront
été jetés dans la fournaise
ardente ! (Tu es juste, toi qui es, et qui
étais ; tu es saint, parce que tu as
exercé ce jugement
- Apocalypse 16. 5)
Ainsi ceux qui n'auront pas aimé Dieu, ceux
qui auront refusé de suivre Jésus, se
retrouveront en compagnie de Satan, des anges
déchus, des injustes, des impudiques (vie
sexuelle non conforme à la Parole de Dieu),
des idolâtres, des adultères..., des
voleurs, des ivrognes, des parjures, des voleurs
d'hommes, des meurtriers, des lâches etc...
(1 Corinthiens 6: 9-10 ; Apocalypse 21: 8)
Alors, si aujourd'hui nous semons avec larmes, que
notre coeur se réjouisse quand même
tout en restant fermement attaché à
notre Sauveur et Seigneur ! Sachons qu'un
jour, nous récolterons avec
allégresse les fruits de notre
fidélité, de notre engagement, de
notre fermeté !
Ne retournons jamais à ce que nous avons
vomi (2 Pierre 2: 21-22) !
L'Écriture nous enseigne qu'il est
préférable de ne pas avoir connu la
voie de Dieu plutôt que d'avoir
bénéficié, pour un temps, de
son amour et de sa justice et ensuite de s'en
détourner.
Sans doute, comme l'auteur du Psaume 119,
avons-nous eu à subir des injustices ?
Peut-être sommes-nous en ce moment sous le
feu de l'adversaire qui, par divers moyens, essaie
de nous faire abandonner la foi ?
Mais est-ce bien une raison suffisante pour se
détourner du Seigneur et prendre le risque
de perdre son âme ?
Si les épreuves peuvent nous attrister un
temps (1 Pierre 1: 6), l'apôtre a bien
précisé que ce n'était que pour un
temps !
Rien que pour un temps ! Ceci, afin que notre
foi soit éprouvée et nous conduise
à chercher davantage le secours de
l'Éternel.
En aucun cas l'épreuve n'a été
destinée à nous faire perdre la foi
puisque l'Écriture nous dit que
DIEU NE PERMETTRA
PAS que nous soyons
tentés au-delà de nos forces,
c'est-à-dire jusqu'à en perdre la
foi !
Aucune
tentation ne vous est survenue qui n'ait
été humaine, et Dieu, qui est
fidèle, ne permettra pas que vous soyez
tentés au delà de vos
forces ; mais avec la tentation
il
préparera aussi le moyen d'en
sortir, afin que vous puissiez la
supporter. 1 Corinthiens 10: 13 (v. L. S)
Ainsi, parce que Dieu ne permet pas que nous soyons
anéantis par une épreuve, parce qu'il
est fidèle (à sa Parole), nous devons
croire que le chemin difficile par lequel nous
passons va contribuer à notre
éducation. Il nous permettra de
découvrir notre compagnon de marche, Celui
qui a promis d'être avec nous jusqu'à la fin du
monde et
d'expérimenter sa paix ! Cette paix que
les gens du monde ne peuvent connaître
lorsqu'ils passent par des difficultés.
L'auteur du Psaume 119 n'a pas manqué de
nous faire part de ses tribulations, des craintes
qu'il avait, mais il a
TOUJOURS fait valoir la foi qu'il avait
placée en l'Éternel.
Si la Bible déclare "qu'Élie
était un homme de la même nature que
nous" pour souligner l'efficacité de la
prière
(Jacques 5: 17), nous pouvons faire la même
réflexion au sujet de notre Psalmiste qui
nous dépeint si bien son parcours. Un chemin
semé de pièges (v. 61,
110)
où l'attendent des ennemis qui en veulent
à sa vie (v. 95),
tandis que d'autres le salissent par des mensonges,
des calomnies (v. 69).
Notre vie de pèlerin voyageant dans un monde
étranger ne ressemble-t-elle pas un peu
à la sienne ?
Si ces hommes
étaient de notre nature, sommes-nous de la
leur ?
Sommes-nous des personnes qui croient ce que Dieu
dit ?
Avons-nous la foi dans ses promesses ?
S'ils étaient de même nature que nous,
ils n'avaient rien de particulier qui puisse les
différencier des autres hommes, ils
n'étaient ni des géants, ni des
surhommes ! Élie n'a-t-il pas eu un
moment de profonde dépression au point de
réclamer la mort ? (pas de se la
donner ! 1 Rois 19: 4)
Quant à l'auteur du plus long Psaume, nous
avons vu qu'à de nombreuses reprises, il
n'en menait pas large et que, jusqu'à la fin
de son Psaume, il ne cessera pas de réclamer
le secours de son Dieu.
Pour lui, Dieu a TOUJOURS ÉTÉ LE DIEU
DE SON ESPÉRANCE !
Est-il toujours le nôtre, le mien ?
Pour moi,
je regarderai vers l'Éternel,
Je
mettrai mon espérance dans le Dieu de mon
salut ; Mon Dieu m'exaucera. Michée 7: 7 (v. L. S)
Si Michée pouvait
prendre cette position, nous voyons que le
Psalmiste avait la même détermination.
S'il n'avait pas eu la même pensée, il
n'aurait pas terminé son Psaume en rappelant
qu'il n'oublie pas (au présent) les
commandements de Dieu.
Par sa position, sa fermeté, sa foi, il
était donc en mesure de réclamer son
aide, d'agir pour que
Dieu agisse comme il l'a lui-même promis
à ceux qui craignent son
nom.
Marchons-nous dans les pas de foi de ces hommes, de
toute cette nuée de témoins
(Hébreux 11) qui ont accompli l'exploit de garder la foi en
dépit des
circonstances ?
Souvent notre intelligence est aveuglée par
nos raisonnements, c'est pourquoi il est bon de se
rappeler la pensée d'Asaph déclarant
qu'il était le plus stupide des hommes
(Proverbes 30: 2). Une stupidité que nous
partageons chaque fois que nous nous appuyons sur
nos raisonnements plutôt que sur la Parole de
Dieu, que nous regardons aux circonstances
plutôt qu'aux promesses de CELUI QUI NE PEUT
MENTIR.
Point n'est besoin de dire que ma
"stupidité" a souvent été un
boulet bien pénible à tirer !
Que c'est un soulagement d'avoir pu enfin
déposer ce fardeau de doutes au pied de la
Croix !
Je prie le Seigneur qu'il me garde de reprendre
quoique ce soit de ce que j'ai déposé
un jour. Je n'ai pas envie de perdre cette paix
qu'il a mis dans mon coeur dès l'instant
où j'ai enfin pu accepter qu'il
défende ma cause (Jérémie 51:
36) sans que j'aie
besoin de m'en mêler ! Tout comme il
défendra celle de tous ses enfants
lorsqu'ils le laisseront faire !
Puissions-nous nous rappeler - et apprendre par
coeur - ces quelques textes qui, vécus dans
la foi, feront barrage au doute ainsi qu'à
tous nos raisonnements.
- Rien
n'est impossible à Dieu (Luc 1: 37).
- Tout
est possible à Dieu (Marc 10: 27).
- Ce qui
est impossible aux hommes est possible à
Dieu (Luc 18: 27).
- Y
a-t-il rien qui soit étonnant de la part de
l'Éternel
(Genèse 18: 14) ?
Et que penser de ces paroles donner au peuple de
Dieu, à l'Israël terrestre, nous qui
sommes aussi fils et filles d'Abraham
en raison de notre
foi ?
(Galates 3: 7)
Ne
crains rien, car je suis avec toi ; Ne
promène pas des regards inquiets, car je
suis ton Dieu ; Je te fortifie, je viens
à ton secours, Je te soutiens de ma droite
triomphante.
Voici, ils seront confondus, ils seront couverts de
honte, Tous ceux qui sont irrités contre
toi ; Ils seront réduits à rien,
ils périront, Ceux qui disputent contre
toi.
Tu les chercheras, et ne les trouveras plus, Ceux
qui te suscitaient querelle ; Ils seront
réduits à rien, réduits au
néant, Ceux qui te faisaient la guerre.
Car je suis l'Éternel, ton Dieu, Qui
fortifie ta droite, Qui te dis : Ne crains
rien, Je viens à ton secours. Esaïe 41: 10-13 (v. L. S)
Quel pouvait bien
être le secret de l'auteur de Psaume 119 pour
garder l'espérance dont nous sommes
devenus les témoins ? Cette espérance que nous
envions peut-être !
C'est une question que nous pourrions nous poser en
pensant à tous les moments où nous
avons été fatigués
d'espérer, tous les moments où il
s'en est fallu de peu pour que l'on bascule dans
l'incrédulité.
Son secret est facile à
découvrir !
Il est écrit en lettre de feu tout au long
de son Psaume ! Il se nourrissait de la Parole
de Dieu ! Non pas à la petite
cuillère, non pas de temps à autre
lorsqu'il avait besoin d'un remontant, d'un
médicament !
Non ! La Parole de Dieu était comme une
table garnie où il se servait à
profusion, en en demandant et redemandant toujours
plus ! Son âme était
insatiable !
Quelle différence avec certains qui prennent
le Saint Livre à doses
homéopathiques, juste ce qu'il faut pour se
donner bonne conscience !
Pour ce qui concerne le Psalmiste, j'ai
été surpris de voir que chacune des
lettres de cet "abécédaire" se
terminait par une pensée qui le ramenait aux
commandements, à la loi : À LA
PAROLE DE DIEU !
Quelques fussent ses déclarations dans le
contenu de ses paragraphes, le mot de la fin a toujours
été et de mettre en avant son
espérance et sa foi dans ce que Dieu a
dit !
Quels sont mes mots de la fin lorsque je termine un
paragraphe de ma vie, lorsque s'achève une
journée dont le parcours a été
un peu chaotique ?
Suis-je en mesure de dire :
Je me
couche et je m'endors en paix, Car toi seul,
ô Éternel ! tu me donnes la
sécurité dans ma demeure.
Psaume 4. 9 (v. L. S)
Ou, au contraire,
l'Esprit doit-il me prévenir :
... que
le soleil ne se couche pas sur votre colère,
et ne donnez pas accès au diable.
Éphésiens 4:
26-27
(v. L. S)
La qualité de mon sommeil dépendra de
mes "mots de la fin", des dernières
pensées qui me berceront pour que je trouve
un sommeil doux et agréable. Des
pensées qui seront en harmonie avec la
Parole de Dieu qui, elle-même, restera pour
moi une lumière qui éclairera mon
sentier aussi longtemps que je garderai la foi dans
ce qu'elle dit.
...
que ces enseignements ne s'éloignent pas de
tes yeux (de
nos yeux), Garde la sagesse et la
réflexion : Elles seront la vie de ton
âme, Et l'ornement de ton cou. Si tu te
couches, tu seras sans crainte ; Et quand tu
seras couché, ton sommeil sera doux.
Proverbes 3: 21-24 (v. L. S)
Comment le psalmiste nous invite-t-il à
finir nos... tranches de vie" ? Comment
termine-t-il lui-même ses
paragraphes ?
J'ai classé ses réflexions en 5
catégories .
1) Apprendre à
garder et respecter la Parole de
Dieu :
- En
apprenant les lois de ta justice (v.7).
- Je veux
garder tes statuts (v. 8).
- Je
n'oublie point ta parole
(v. 16).
- Enseigne-moi tes
statuts (v. 64).
- Afin
que j'observe les préceptes de ta
bouche (v. 88).
- Je
crains tes jugements (v. 120).
- Je
garde tes ordonnances et tes
préceptes
(v.168).
- Je
n'oublie point tes commandements (v. 176).
C'est en apprenant que l'on peut garder
l'instruction. C'est en désirant apprendre,
en ayant faim et soif de la connaissance de Dieu
que nous pourrons être rassasiés car
Dieu donne en abondance à celui qui le
cherche d'un coeur sincère.
Qu'ai-je appris pendant ces 12 derniers mois durant
lesquels le Psaume 119 a été mon
compagnon ?
2)
Réfléchir, méditer sur la
Parole de Dieu
- Je veux
méditer tes statuts (v. 48).
- Je vois
des bornes à tout ce qui est parfait :
Tes commandements n'ont point de limite
(v. 96).
- Je
trouve justes toutes tes ordonnances (v. 128).
- Je sais
par tes préceptes que tu les as
établis pour toujours (v. 152).
Ces temps de méditations sont indispensables
pour saisir la richesse des enseignements
bibliques. Lire la bible sans
réfléchir à son contenu
n'apportera rien à l'âme. Combien de
personnes n'ont-elles pas lu la Bible sans rien en
recevoir ?
Avons-nous réfléchi lors de notre
dernière lecture ?
Étions-nous en position d'étudiants
ou de simples lecteurs prenant rapidement
connaissance du verset du jour ?
3) Pratiquer, observer
les commandements de Dieu :
- Je
désire pratiquer tes ordonnances (v. 40).
- J'observe tes
ordonnances (v.56).
- J'incline mon coeur à
pratiquer tes statuts
(v. 112).
- Mes
yeux répandent des torrents d'eaux, parce
qu'on n'observe point ta loi (v. 136).
Toute étude serait vaine si elle
n'était pas suivie de mise en pratique. Un
refus de mettre en pratique la Parole de Dieu
démontrerait que notre lecture n'a pas
porté de fruit, tout cela parce qu'elle
n'aurait pas été
méditée suffisamment pour comprendre
l'importance qu'il y a à suivre ses
enseignements.
À chacun de voir ce qu'il a fait de ce qu'il
a lu ou entendu !
4) La loi de Dieu est
un délice pour son âme :
- Je fais
mes délices de tes statuts (v.16).
- Tes
préceptes font mes délices, Ce sont
mes conseillers
(v. 24).
- Mieux
vaut pour moi la loi de ta bouche que mille objets
d'or et d'argent
(v. 72).
- Que tes
paroles sont douces à mon palais, plus que
le miel à ma bouche (v. 103).
L'apprentissage, l'étude, la
réflexion et la mise en pratique de ce que
Dieu a dit, vont nous conduire à aimer
davantage les Saintes Écritures. Au fur et
à mesure de notre progression nous nous
rendrons compte de leur qualité et
comprendrons que les délices du monde ne
peuvent se mélanger avec la Parole de Dieu
sans gâter la saveur de cette
dernière.
Nos propres choix sont là pour
démontrer si nous aimons l'Écriture
plus que ce que le monde propose, que ce que les
gens du monde proposent !
Peut-être est-il temps de regarder dans notre
"assiette spirituelle" et de faire, une bonne fois
pour toute, l'inventaire de ce que nous donnons
comme nourriture à notre
âme ?
5) Reconnaissance
absolue que la Parole de Dieu est la
vérité et qu'à cause de cela,
il désire s'y
conformer :
- Tes
préceptes sont éternellement
justes (v. 144).
- Le
fondement de ta parole est la vérité,
et toutes les lois de ta justice sont
éternelles
(v. 160).
- Je
cours dans la voie de tes commandements (v.32).
- Ce sont
mes conseillers
(v.24).
Ce n'est qu'à partir
du moment où nous avons compris que Dieu ne
peut pas mentir que nous accepterons sa Parole
comme la vérité, TOUTE SA PAROLE, et
que nous la garderons
comme telle quoiqu'il puisse
arriver !
N'est-ce pas encourageant de constater que toutes
ces paroles que nous avons relevées dans le
Psaume 119, toutes ces réflexions, toutes
ces prières, sortent de la bouche d'un homme
qui attend le secours de l'Éternel !
Qu'il l'attend sans faiblir dans la foi !
Qu'il l'attend depuis longtemps sans perdre
l'espoir que le secours viendra au moment
opportun !
À notre de tour de croire que plus le temps
d'attente a été long, plus la
délivrance est proche !
"Quand je pense à ma détresse et
à ma misère" (Lamentations de Jérémie 3:
19), ce n'est pas un
péché, loin de là ! C'est
plutôt l'occasion de reconnaître notre
impuissance et de se reposer sur celui qui peut
tout.
"Quand je pense à ma détresse et
à ma misère", je veux quand
même me coucher avec l'espérance dans
le coeur et m'endormir avec la pensée que
celui qui espère en l'Éternel ne sera
pas confus.
En lisant le Psaume 119, en passant d'une lettre
à l'autre, en sachant nous arrêter sur
des pensées fortes, nous avons
découvert ce que cet homme avait dans le
coeur.
S'il a pu parler de sa misère, de ses
craintes, de son désespoir face à la
méchanceté de ceux qui le
poursuivaient, son coeur n'était pas rempli
d'amertume !
Sa bouche parlant de
l'abondance de son coeur, nous comprenons bien
qu'il aimait la Parole de Dieu et que
l'Éternel était le sujet principal de
ses préoccupations.
Si nous ne savons pas trop de quoi est rempli notre
coeur, tournons-nous vers notre voisin, notre
conjoint, nos enfants, nos amis et demandons-leur
ce qu'ils en pensent !
Demandons-leur ce qu'ils ont retenu de nos
conversations ou du moins des sujets
abordés !
Demandons..., et n'oublions pas que nous devrons
rendre compte de toutes paroles vaines que nous
aurons prononcées !
Sans doute est-il urgent de confesser nos
péchés de la langue tout en demandant
à ce qu'il nous soit donné la force
de la mettre en bride afin que nous ne tombions pas
sous la condamnation du grand Juge :
Je
(JÉSUS) vous le dis : au
jour du jugement, les hommes rendront compte de
toute parole vaine (oiseuse) qu'ils auront
proférée. Matthieu 12: 36 (v. L. S)
Attention... ! Nos "mots de la fin" pourraient bien
être des paroles vaines car nous ne connaissons pas l'heure
de notre départ. Il serait vraiment triste
de finir notre vie sur une fausse note ou sur une
note qui serait en désharmonie avec la foi
que nous avons voulu vivre.
Pour cette raison : "entretenons-nous par des psaumes,
par des hymnes, et par des cantiques spirituels,
chantant et célébrant de tout votre
coeur les louanges du Seigneur" (Éphésiens 5:
19).
Cette bonne habitude, recommandée par le
Saint-Esprit, nous aidera à garder une foi
ferme, semblable à celle de l'auteur du
Psaume 119.
Comme lui nous pourrons, sans mentir et sans
crainte pour l'avenir, conclure notre
journée ou notre vie en disant :
Ceux qui
sèment avec larmes moissonneront avec chants
d'allégresse. Psaume 126: 5
Que la
grâce du Seigneur Jésus soit avec
tous ! Apocalypse 22: 21
© J-M
Ravé 12 avril 2008 -
CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse