Voici
ce
que je
veux
repasser en mon coeur, Ce qui me donnera de
l'espérance.
Les bontés de l'Éternel ne sont pas
épuisées, Ses compassions ne sont pas
à leur terme...
L'Éternel est mon partage, dit mon
âme ; C'est pourquoi je veux
espérer en lui. Lamentations de Jérémie 3:
21-24
(v. L. S)
J'ai
fait plier ma volonté aux paroles de sa
bouche. Job 23: 12
Puisque nous sommes à la fin de notre voyage
dans le Psaume 119, il serait opportun de se
demander quel choix nous allons faire pour la suite
de notre vie.
- D'abord, que
repassons-nous dans notre coeur ?
Les soucis, les
épreuves, les injustices, les
persécutions dont nous sommes victimes, ou
faisons-nous l'effort de maintenir notre
espérance en celui qui peut tout ?
- Ensuite, quel est
notre plus profond désir ?
(En avons-nous encore
un ?)
Je veux repasser dans mon coeur...., je veux
espérer...
Souvent nous sommes limités dans nos
entreprises terrestres. C'est avec peine que nous
parvenons aux objectifs que nous nous sommes
fixés. Enfin, si nous arrivons à
atteindre notre but, c'est, il faut le
reconnaître, grâce à la
persévérance et au prix de quelques
sacrifices.
Les jeunes en formation savent ce qu'il en
coûte pour obtenir un diplôme. Ils
réalisent qu'il y a des choix à
faire et qu'il faut
parfois une bonne dose de volonté pour ne
pas se laisser séduire par des
activités qui les empêcheraient de
travailler pour leur avenir.
Pour ce qui concerne notre vie chrétienne,
nous devons constater que le parcours du croyant
n'est guère différent de celui que
nous venons de voir :
- Limitations humaines,
- Difficultés à avancer,
- Persévérance et sacrifices,
- Diverses séductions pour nous
écarter de la voie que nous avons
choisie.
Ajoutons encore que, malgré les bonnes
dispositions de coeur, l'enfant de Dieu n'arrive
pas toujours à faire ce qu'il veut,
d'où le triste constat de voir de nombreux
échecs jalonner sa route. Échecs constructifs si nous
savons en tirer les leçons.
L'apôtre Paul a su exprimer ce que beaucoup
ressentent lorsqu'ils s'aperçoivent qu'ils
ont raté le but à atteindre,
lorsqu'ils se retrouvent à être
là où ils ne voulaient pas aller, ou
quand ils se surprennent à faire ce qu'ils
ne voulaient pas faire : "Ce qui est bon, je le
sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans
ma chair : j'ai la volonté, mais non le
pouvoir de faire le bien"
(Romains 7: 18).
Nous sommes donc limités dans
notre pouvoir
personnel, mais,
quant à la
volonté, personne ne peut la diriger
à notre place
sans notre
consentement.
Si par hasard mes actions ne sont pas conformes
à ma volonté, si j'ai pu me laisser
piéger, ma
volonté doit rester intacte et ma
décision de marcher avec Dieu - ou de la
chercher - doit rester la même
quoiqu'il me soit
arrivé.
(Bien entendu, nous prenons maintenant en
considération uniquement des personnes ayant
accepté Jésus comme Sauveur et
Seigneur de leur vie ou en
chemin pour le faire. Nous restons dans le domaine
de la foi et non dans celui des activités
humaines ou réussites et échecs
s'entremêlent aussi).
Personne ne devrait avoir autorité sur ma
volonté pour me faire fléchir et
changer de direction. Le Seigneur lui-même,
n'oblige personne à le suivre dans son
Royaume et ne pousse personne dans
l'Enfer !
Peu importe la pression extérieure ! Si
j'ai pris une décision qui va dans une
direction que Dieu peut approuver, je me dois de la
garder quand bien même j'ai pu
trébucher lors de ma marche.
Ne te
réjouis pas à mon sujet, mon ennemi
(e) ! Car si je suis tombé (e), je me
relèverai ; Si je suis assis (e) dans les
ténèbres, L'Éternel sera ma
lumière. Michée 7: 8 (v. L. S)
Toute personne qui fait un faux pas, qui glisse sur
une peau de banane, fera tout pour se relever. Si
par hasard, elle n'en n'a pas la capacité,
elle acceptera volontiers un bras secourable. Dans
le cas où il n'y aurait personne autour
d'elle, il est certain qu'elle criera "au secours"
et qu'elle le fera d'autant plus fort que sa
blessure sera grave.
Il est rare qu'un "accidenté" veuille
à tout prix rester sur le chemin
jusqu'à la fin de ses jours !
Seuls les morts
restent à la place où ils sont
tombés de leur vivant !
Mieux encore ! Et cela s'adresse
particulièrement à ceux et celles qui
se sont levés pour aller à la
rencontre du Seigneur, ceux et celles qui ont
déjà fait quelques pas dans la bonne
direction et qui, tout-à-coup ont envie de
baisser les bras parce que le chemin semble trop
difficile à leurs yeux.
Ces bébés spirituels, dans lesquels
un embryon de foi s'est trouvé, doivent se
comporter comme le jeune enfant qui apprend
à marcher. Ils doivent persévérer, se
relever,
retrouver
l'équilibre,
et tenter un nouveau
pas. Existe-t-il des
bambins qui ont refusé de marcher sous
prétexte qu'ils sont tombés plusieurs
fois ?
Dans la vie quotidienne comme dans la vie avec le
Seigneur, ce sont donc ceux qui en veulent qui
progressent et qui finissent par obtenir ce que
leur coeur désirait.
Depuis le
temps de Jean-Baptiste jusqu'à
présent, le royaume des cieux est
forcé, et ce sont les violents qui s'en
emparent. Matthieu 11. 12 (v. L. S)
Il est clair que la violence dont il est question
dans ce texte, est une violence qui est faite
contre les habitudes de cette vieille nature
soumise au prince des ténèbres. C'est
contre elle qu'il faut agir, en ne lui permettant
plus de conduire nos décisions.
L'exercice de la volonté est donc essentiel
pour choisir la direction générale
que nous allons donner à notre vie :
"Moi et
ma maison, nous servirons
l'Éternel",
pouvait dire Josué au peuple d'Israël
alors qu'il venait de lui faire une
rétrospective de son passé - celui
des descendants d'Abraham - en montrant, tour
à tour, les bénédictions et
les malédictions qu'ils avaient
reçues en fonction de leur conduite
(Josué, chapitre
24).
De notre
côté, nous ne sommes pas ignorants
qu'à la fin de notre parcours terrestre,
notre vie se poursuivra dans
l'éternité : "les
uns
pour la vie éternelle, et les
autres pour l'opprobre, pour la honte
éternelle » (Daniel 12: 2).
Dès lors un choix est constamment devant
nous :
- Pour les uns, le choix de s'engager dans le
chemin étroit ou de rester sur la route
large qui mène à la perdition (appels
réitérés du Seigneur qui VEUT
que tous les hommes soient sauvés
(1 Timothée 2: 4).
- Pour les autres, le choix de poursuivre leur
route dans ce chemin étroit et cela, quels
que soient les passages difficiles, où alors
démissionner de la foi comme quelques-uns
l'ont fait : "Combats le bon combat de la
foi..." (1 Timothée 6: 12), "Démas m'a
abandonné
(Paul), par amour pour
le siècle
présent..."
(2 Timothée 4: 10)
Qu'est-ce que je
veux ?
Si la situation dans
laquelle je me trouve me laisse un peu confus parce
que mes yeux et mes pensées font le
va-et-vient entre mes difficultés
(épreuves, persécutions, tout ce que
je ne peux plus gérer) et le trône de
la grâce où le Seigneur semble
être indifférent à ma
situation...
... le moment est alors venu de savoir ce que
voulait l'auteur du psaume 119, lui qui a
été confronté à
la persécution
active et
au silence
prolongé de l'Éternel qui semblait être
indifférent aux multiples prières et
supplications montant vers lui.
Il est temps de découvrir comment, à
la fin de sa longue "épître", il
entend poursuivre sa route, ceci, afin que nous
soyons en mesure de suivre son exemple. Soyons
attentifs surtout si nous sommes dans une impasse
et que nous avons les mains liées face
à des géants qui en veulent à
notre vie, ou du moins qui la méprise,
n'étant, à leurs yeux, que de simples
numéros.
En lisant la dernière lettre (Tav) qu'il a
écrite dans cet "Abécédaire",
nous pouvons relever que sa détermination
est claire. Il sait ce qu'il veut !
- Que mes
lèvres publient ta
louange !
(v. 171)
- Que ma
langue chante ta parole ! (v. 172)
- Que mon
âme vive et qu'elle te
loue ! (v. 175)
- Je
soupire après ton salut, ô
Éternel ! Et ta loi fait mes
délices.
(v. 174)
Le but de sa vie est de glorifier le Seigneur par
les paroles, par le chant, par l'abandon de son
coeur à la volonté de
l'Éternel. Il
n'a jamais changé d'idée
malgré l'oppression. Il ne s'est pas laissé
séduire par toutes sortes de voix qui
auraient pu l'inviter à faire comme tout le
monde, à faire
comme le monde !
Mon désir est-il semblable au sien ou
suis-je plus sensible aux voix extérieures
qui m'invitent à partager leurs
activités qu'à la voix du Seigneur
qui m'invite à faire un pas de plus dans la
sanctification ? (ou un pas vers la porte
étroite, selon que je lui appartienne ou
qu'il m'appelle à lui pour passer des
ténèbres à la
Lumière !)
Quelle est MA
volonté ? Qu'est-ce que je
désire
prioritairement ?
Si parfois le choix peut être difficile entre
deux options attirantes, par contre, en ce qui
concerne le domaine qui touche à notre
âme, le choix n'est pas difficile car
une seule voie est
attirante, celle qui
conduira dans le Royaume de Dieu. Qui
hésiterait entre l'Enfer et le
Paradis ?
Celui qui
offre pour sacrifice des actions de grâces me
glorifie, Et à celui qui veille sur sa voie
Je ferai voir le salut de Dieu. Psaume 50: 23 (v. L. S)
Il peut paraître étrange qu'il nous
soit demandé de louer le Seigneur même
lorsque tout va mal. Néanmoins c'est bien
dans ces moments-là que nous avons besoin de
proclamer son Nom.
La proclamation, en elle-même, sera un
puissant réconfort qui, d'un balbutiement
peut-être, s'amplifiera au fur et à
mesure que nos lèvres continueront à
louer Dieu pour sa fidélité, son
amour, ses promesses, ses compassions et pour tout
ce qu'il a en réserve pour le bien de SES
enfants.
La louange est
l'antidote de la dépression !
Par elle, l'espérance renaît et la
victoire se dessine en pointillé à
l'horizon de notre avenir que nous envisagions
tellement sombre que la vie, à nos yeux,
n'avait guère d'intérêt.
Par la louange et la reconnaissance pour les
bienfaits que nous avons déjà
reçus dans le passé, il nous sera
plus facile d'entrevoir des lendemains qui
chantent, car les bontés de l'Éternel
se renouvellent CHAQUE MATIN tandis que
Jésus lui-même a promis d'être
AVEC nous TOUS LES JOURS jusqu'à la fin du
monde (Matthieu 28: 20).
Je
m'écrie : Loué soit
l'Éternel ! Et je suis
délivré de mes ennemis.
Les liens de la mort m'avaient environné, Et
les torrents de la destruction m'avaient
épouvanté ;
Les liens du sépulcre m'avaient
entouré, Les filets de la mort m'avaient
surpris...
Il étendit sa main d'en haut, il me saisit,
Il me retira des grandes eaux
Il me délivra de mon adversaire puissant, De
mes ennemis qui étaient plus forts que
moi.
Il m'a
mis au large, Il m'a sauvé, parce qu'il
m'aime ... Psaume 18 (à lire surtout si l'on
passe par des moments difficiles)
La suite du Psaume 18 met aussi en évidence
la droiture de coeur qu'il faut avoir pour obtenir
la délivrance dont il est question, une
droiture de coeur que l'on retrouve dans la
dernière lettre du Psaume 119, une droiture
VOULUE : "J'ai choisi tes ordonnances...,
je
n'oublie point tes commandements (v. 173
& 176) ! Un choix qui a
été fait et maintenu en dépit
des circonstances dramatiques !
Quelle est MA
volonté ? Qu'est-ce que je
désire
prioritairement ?
Je
veux faire ta volonté, mon
Dieu ! Et ta loi est au fond de mon
coeur. Psaume 40:8
Évidemment, le désir ardent de faire
la volonté de Dieu ne va pas empêcher
l'adversaire de nos âmes d'être
irrité contre nous et de tout faire pour
nous déstabiliser dans notre foi, cela aussi
longtemps que Dieu le lui permettra.
Souvenons-nous, une fois encore, de Joseph qui fut
vendu comme esclave et qui, durant 13 longues
années, dut subir les conséquences
des privations de liberté sans que cela ne
l'empêchât de rester attaché
fermement à son Dieu.
Sa foi et sa crainte (respectueuse) de
l'Éternel firent qu'il fut béni
même dans sa privation de
liberté ! L'apôtre Paul, lui
aussi dans les liens, connaissait la
présence de Dieu à tel point que
diverses épîtres ont été
écrites en prison (Éphésiens,
Philippiens, Colossiens...).
Nos liens, représentés par les
difficultés par lesquelles nous passons,
nous empêchent-ils d'être de
fidèles témoins ou, au contraire,
sont-ils des moyens de glorifier le Seigneur au travers de
notre fidélité, de notre
volonté à rester dans la
volonté de Dieu ?
Si tu
faiblis au jour de la détresse, Ta force
n'est que détresse. Proverbes 24: 10 (v. L. S)
Si tu perds courage au jour de la détresse,
ta force est mince. (v. D)
Dans la détresse..., dans ma
détresse, dans ta détresse..., dans
cette détresse où personne ne te
comprend, où tout le monde a d'autres choses
à faire que de te tirer de l'embarras, de
qui dois-tu attendre le secours ?
Regarder aux hommes ?
Attendre qu'un "puissant" intervienne pour te
sortir des sables mouvants où tu t'enfonces
toujours un peu plus chaque fois que tu essaies de
t'en sortir par toi-même ?
Les hommes, s'ils ne sont pas envoyés comme
des anges de Dieu, ne se saliront pas les
mains ; leurs intérêts personnels
passent avant ceux d'un inconnu, d'un
numéro.
Fort heureusement Dieu nous connaît par notre
nom, c'est nominativement qu'il nous a
sauvés, c'est individuellement qu'il
s'intéresse à nous, que nous soyons dans la joie ou dans
la peine !
"Je
t'appelle par ton nom : tu es à
moi !" (Esaïe 43: 1) " Toi suis-moi" (Jean 21: 22), "même les cheveux de votre
tête sont tous comptés" (Matthieu 10: 30).
Dieu ne nous a pas oubliés !
Il connaît sa
place de Père... et nous DEVONS croire qu'il ne sera
jamais pris en défaut dans cette
fonction !
N'a-t-il pas payé le prix fort pour nous
acquérir ?
Si, à ses yeux, mon âme vaut plus que
l'or du monde..., si mon âme a une telle
valeur, va-t-il être sourd à mes
appels de détresse ?
Maintenant, de mon côté, est-ce que je
connais ma place ?
Est-ce que je sais encore que je suis son enfant,
son serviteur, sa brebis, aussi bien lorsque je
suis dans la joie que lorsque je suis dans la
détresse ?
L'auteur du Psaume 119 savait très bien
où il en était et ne se faisait pas
d'illusion quand à sa situation
(v. 176) :
Je suis errant comme une
brebis perdue...
"Je ne sais plus
comment agir pour m'en sortir ! Je vais de
droite à gauche, j'explore tous les chemins,
je suis un vagabond qui a perdu son port d'attache,
une frêle coquille de noix qui est
ballottée par les tempêtes
extérieures et intérieures ! Je
suis errant en proie au doute à chaque
instant lorsque le ciel amasse sur ma tête de
sombres nuages qui n'annoncent rien de bon pour les
prochaines heures, les prochains jours !
"
Combien d'entre nous, ou autour de nous, dans le
monde chrétien, ne se trouvent-ils pas
prisonniers de circonstances qu'ils n'ont ni
voulues, ni cherchées, et dont ils ne
peuvent plus se dépêtrer ?
Combien peuvent-ils prendre à leur compte ce
qui vient d'être dit et y ajouter de tout
leur coeur : "Ne me livre pas au bon plaisir
de mes adversaires ..." (Psaume 27: 12)?
Ont-ils encore, tout comme David, la
possibilité de mettre en avant leur
foi ? "Oh ! si je n'étais pas
sûr de voir la bonté de
l'Éternel Sur la terre des
vivants !..."
(Psaume 27: 13)
Peuvent-ils dire à leur âme qu'ils ont
fait un choix et que ce choix ne dépend pas
des circonstances ? "Espère en
l'Éternel ! Fortifie-toi et que ton
coeur s'affermisse ! Espère en
l'Éternel !"
(Psaume 27: 14)
Je suis errant comme
une brebis perdue, cherche ton
serviteur !
N'est-ce pas parce qu'il lui reste toujours une
étincelle d'espérance, que l'auteur
du psaume 119 supplie le Bon berger de
venir
chercher sa brebis,
son serviteur ?
N'est-ce pas parce qu'il a entretenu cette
espérance en faisant en sorte que ses
lèvres publient les louanges de
l'Éternel, que sa langue chante la Parole de
Dieu (v. 171, 172), qu'il peut maintenant avoir
suffisamment de foi et de force pour crier à
Dieu ?
Non seulement crier pour être
délivré de ses ennemis, mais pour
qu'il soit éloigné de leur
présence : "Viens chercher ton
serviteur !"
Peut-être n'as-tu plus beaucoup d'ardeur pour
crier à ton Seigneur, mais les soupirs
inexprimables ont tout autant de valeur, si ce
n'est plus, que des paroles qui pourraient passer
pour de vaines redites.
Peut-être que ta flamme vacille, que les
forces te manquent... ?
Cherche ton serviteur, Seigneur, toi qui n'éteins pas le
lumignon qui fume,
qui ne brise pas le
roseau froissé
(Matthieu 12: 20).
Prière d'un malheureux,
lorsqu'il est abattu et qu'il répand sa
plainte devant l'Éternel.
Éternel, écoute ma
prière, Et que mon cri parvienne
jusqu'à toi !
Ne me cache pas ta face au jour de ma
détresse !
Incline vers moi ton oreille quand je crie !
Hâte-toi de m'exaucer !
Car mes jours s'évanouissent en
fumée... Psaume 102 (v. L. S)
Confie-toi
en l'Éternel de tout ton
coeur, Et ne t'appuie pas sur ta
sagesse ;
Reconnais-le dans toutes tes
voies, Et il aplanira tes sentiers.
Ne
sois point sage à tes propres
yeux,
Crains
l'Éternel, et détourne-toi du
mal :
Ce sera la santé pour tes muscles, Et un
rafraîchissement pour tes os. Proverbes 3: 5 et
suivants (v. L. S)
© J-M
Ravé 5 avril 2008 -
CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse