Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

l'Abécédaire pour une vie bénie

(44) (Resch)

2e partie: Notre secours est dans le nom de l'Éternel. En est-il bien ainsi pour ma vie?

Les rachetés de l'Éternel retourneront, Ils iront à Sion avec chants de triomphe, Et une joie éternelle couronnera leur tête ; L'allégresse et la joie s'approcheront, La douleur et les gémissements s'enfuiront. Esaïe 35. 10 (v. D)

Les rachetés de l'Éternel ! Faisons-nous partie de ces rachetés ? Avons-nous accepté Jésus comme Sauveur et Seigneur de notre vie ?
Si oui, alors il y a une grande espérance... L'espérance que les situations les plus douloureuses laisseront la place au bonheur, à la félicité éternelle.
L'allégresse et la joie s'approcheront si nous sommes les rachetés de l'Éternel, elles s'approcheront, elles avanceront dans notre direction !
Sont-elles en marche maintenant ?
Oui, puisque Dieu l'a dit !
Elles sont en marche même si l'épreuve nous enveloppe ! Elles sont en marche... et parce qu'elles sont en marche, la douleur et les gémissements reculeront au fur et à mesure que cette joie et cette allégresse d'appartenir à Christ gagnera du terrain.

Comme la lumière ne peut être stoppée par les ténèbres, la douleur et les gémissements, occasionnés par les épreuves et les persécutions, seront contraints de se retirer selon la promesse d'
Esaïe 35: 10, selon la promesse de l'Éternel qui a inspiré le prophète !

Alors que nous sommes toujours dans la lettre "Resch" du Psaume 119, suivant la marche d'un homme qui est dans la détresse, nous constatons que les épreuves ne l'empêchent pas de garder la foi. Son insistance à réclamer la délivrance démontre bien qu'il a confiance dans son Dieu, dans NOTRE Dieu !
Puissions-nous vivre ce qu'il a pu vivre et avoir les mêmes réactions que lui, celles qui le poussent à se tourner vers l'Éternel, à réclamer son secours en s'appuyant sur :

1) Ses promesses - Rends-moi la vie selon ta promesse ! (v. 154)

Retenons fermement la profession de notre espérance, car celui qui a fait la promesse est fidèle. Hébreux 10: 23 (v. L. S)

2) Ses jugements - Rends-moi la vie selon tes jugements ! (v. 156)

C'est une preuve du juste jugement de Dieu, pour que vous soyez jugés dignes du royaume de Dieu, pour lequel vous souffrez.
Car il est de la justice de Dieu de rendre l'affliction à ceux qui vous affligent, et de vous donner, à vous qui êtes affligés, du repos avec nous, lorsque le Seigneur Jésus apparaîtra du ciel avec les anges de sa puissance, au milieu d'une flamme de feu, pour punir ceux qui ne connaissent pas Dieu ... 2 Thessaloniciens 1: 5-8 (v. L. S)

3) Sa bonté - Éternel, rends-moi la vie selon ta bonté! (v. 159)

Il (Dieu) nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes, en Jésus-Christ, afin de montrer dans les siècles à venir l'infinie richesse de sa grâce par sa bonté envers nous en Jésus-Christ. Éphésiens 2: 6-7 (v. L. S)

Promesses, jugements et bonté, voilà les 3 points sur lesquels s'appuie le Psalmiste pour demander du secours à l'Éternel.
Chacun de ces points, nous venons de le lire, est en parfait accord avec l'enseignement du Nouveau Testament. Ainsi nous avons donc la même liberté de nous appuyer sur les promesses de Dieu, de nous fier à ses jugements et de compter, jour après jour sur sa bonté.

L'auteur du psaume 119 est conscient que
ce sont des hommes qui l'ont mis en situation de détresse et qu'ils l'ont fait en raison de sa foi.

Ainsi, n'est-il pas surprenant que les ennemis de l'Évangile agissent de la même façon aujourd'hui en employant les "armes" qui sont à leur disposition pour rendre la vie des croyants fidèles, le plus difficile possible ?
Peu importe aux adversaires de la Parole de Dieu que vous ayez le coeur sur la main, que vous soyez honnêtes, amis des gens de bien, peu importe que vous soyez justes,
vous êtes une cible à atteindre !
Votre justice, votre droiture et tout ce qui qualifie une vie chrétienne sanctifiée n'ont aucune valeur aux yeux du prince des ténèbres
et de ceux qui sont à sa solde !

"
Le malheur atteint souvent le juste" (Psaume 34: 19). Telle est la réalité de l'Ancien et du Nouveau Testament !
"
Tous ceux qui veulent vivre pieusement en Jésus-Christ seront persécutés" (2 Timothée 3. 12). Telle est la conséquence de la foi !

L'enfant de Dieu est donc destiné à souffrir en raison de son appartenance à Christ et de sa détermination à s'attacher à l'Écriture sainte.
Nulle part il est promis que nous vivrons sur cette terre dans une douce oisiveté gardés par des anges qui veilleraient à ce qu'aucun malheur nous effleure !

Nous avons envoyé Timothée, notre frère, Ministre de Dieu, et notre compagnon d'oeuvre en l'Évangile de Christ, pour vous affermir, et vous exhorter touchant votre foi. Afin que nul ne soit troublé dans ces afflictions, puisque vous savez vous-mêmes que nous sommes destinés à cela. 1 Thessaloniciens 3: 2-3 (v. D. M)

Si, par la grâce de Dieu, nous avons des temps de repos durant lesquels l'ennemi prépare de nouvelles armes, se prépare secrètement à nous assaillir par de nouvelles épreuves, soyons reconnaissants pour ces temps de tranquillité... ils ne dureront pas ! "
Le méchant forme des projets contre le juste, Et il grince des dents contre lui." (Psaume 37: 12)

Ainsi donc, ne soyons pas surpris si nous sommes la cible de quelques adversaires de l'Évangile. Ce qui serait plutôt étonnant, c'est que nous puissions
continuellement vivre notre foi chrétienne sans être harcelés par l'ennemi de nos âmes !
N'a-t-il pas tout fait pour détourner Jésus de sa mission ?
N'a-t-il pas toujours tout mis en oeuvre pour freiner ou anéantir le témoignage chrétien ?

Dès lors la persécution des chrétiens - sous quelque forme qu'elle puisse se manifester - peut fort bien être mise en parallèle avec celle qu'a due subir l'auteur du Psaume 119.
Ne soyons donc pas surpris si ceux qui souffrent à cause de Christ emploient le même langage que l'auteur du Psaume 119. Sans doute leur détresse est-elle suffisamment grande pour qu'ils en réclament la fin
afin que leur foi ne défaille point.

Les rachetés de l'Éternel, ceux de l'Ancien Testament et ceux du Nouveau auront (au futur) part à la cité céleste et "
une joie éternelle couronnera leur tête".
Mais, par la grâce de Dieu, la joie future nous est déjà donnée
en partie, raison pour laquelle nous pouvons, de temps à autre, apprécier des moments particuliers de bonheur que seul le Seigneur peut nous accorder en raison de notre position "d'enfants de Dieu".
Hélas, il faut avouer que cette joie a tendance à diminuer fortement lorsque l'adversaire de nos âmes emploie tous les moyens pour assombrir notre bonheur d'appartenir à Christ.

Ainsi la joie dans l'épreuve (
Jacques 1: 2), la joie d'appartenir à Christ, peut fort bien être altérée par la tristesse résultante du contrecoup de nos épreuves.
Loin d'être un signe négatif, cette joie qui s'estompe dépeint
une attitude que l'apôtre Pierre trouve normale pour autant que l'on ne perde pas de vue l'héritage qui nous est réservé dans les cieux.

C'est là ce qui fait votre joie, quoique maintenant, puisqu'il le faut, vous soyez attristés pour un peu de temps par diverses épreuves... 1 Pierre 1: 6 ((v. L. S)

La joie d'être gardés, la joie de recevoir un héritage qui ne peut se corrompre, la joie d'être devenus une nouvelle créature, mais aussi (hélas) la contrepartie de la vie chrétienne, à savoir les épreuves !

Promesse de vie éternelle et promesse de persécution ! Tel était le message du Seigneur Jésus lorsqu'il parlait à ceux qui abandonneraient quoique ce soit en faveur du royaume de Dieu. Promesse qu'ils retrouveraient en abondance ce qu'ils ont abandonné AVEC EN PLUS : "
... des persécutions, et, dans le siècle à venir, la vie éternelle" ! (Marc 10: 29-30)

La tristesse résultante de la persécution, si elle éclipse de temps à autre la joie du salut, n'empêche pas de garder cette paix qui provient de Dieu, cette paix qui dépasse notre intelligence et qui pourrait nous faire passer aux yeux des inconvertis pour des "je m'enfoutistes".

Conséquente à la présence de Dieu dans notre vie, cette paix bien réelle, ne nous interdit pas de réclamer d'être délivrés des hommes méchants qui nous harcèlent, pas plus qu'elle nous interdit de demander à ce que l'Église prie en faveur des persécutés, au contraire !

Frères, priez pour nous, afin que la parole du Seigneur se répande et soit glorifiée comme elle l'est chez vous, et afin que nous soyons délivrés des hommes méchants et pervers... 2 Thessaloniciens 3: 1-2 (v. L. S)

C'est lui qui nous a délivrés et qui nous délivrera d'une telle mort,
lui de qui nous espérons qu'il nous délivrera encore... 2 Corinthiens 1: 10 (v. L. S)

"
Qu'il nous délivrera ENCORE", c'est l'apôtre Paul qui met continuellement son espérance dans le Seigneur afin de poursuivre sa route semée d'embûches.
Il sait que, tant qu'il sera un témoin de Christ, il aura à affronter l'adversité et qu'il aura TOUJOURS besoin de délivrances.

Délivré pour mieux servir ! C'était le souhait de son coeur !
Délivré pour garder la liberté de proclamer la Parole de Dieu ! C'était son but !

Délivré pour que je devienne utilisable !
Délivré pour que je ne dépense pas mon énergie à résister, à défendre ma cause !

Ainsi toutes persécutions physiques, morales, ou administratives, peuvent conduire ceux et celles qui les subissent à crier à l'Éternel un pathétique :

Rends-moi la vie !

Ni heureux, ni malheureux, tel pourrait bien être notre état d'âme dans ce monde où il nous faut, non seulement marcher à contre-courant, mais aussi résister à la pression toujours plus forte d'un "ennemi" qui a décidé d'en finir avec nous ou du moins de nous mettre sur la touche quant à notre témoignage.

N'avons-nous pas eu parfois les mains liées en raison de la vie pitoyable que nous présentions, une vie dont l'apparence extérieure n'était pas enviable ?

Mais n'avons-nous pas aussi connu des moments de "résurrection" où notre coeur se réanimait lorsque l'occasion nous était donnée de rendre témoignage de ce que Dieu avait fait pour nous dans le passé ? C'est alors que l'Esprit nous ranimait, que la vie revenait, nous permettant d'être des témoins vivants et enviables en raison de la paix dans l'épreuve et de la joie qui venait d'être insufflée !

Rends-moi la vie ! Un cri qui prend toute son ampleur si nous savons supporter les souffrances (2 Timothée 4: 5) sans faire de compromis avec notre engagement chrétien.

Rends-moi la vie ! Un cri qui ne peut laisser notre Père céleste indifférent.

... le Seigneur sait délivrer de l'épreuve les hommes pieux, et réserver les injustes pour être punis au jour du jugement... 2 Pierre 2: 9

Alors si je sais que Dieu sait...., si je sais que Dieu délivrera ceux qui lui sont fidèles, n'ai-je pas la liberté de faire comme l'apôtre Paul lorsqu'il réclamait la délivrance et qu'il l'espérait pour les prochaines fois lorsqu'il serait confronté à l'adversité ?

Vois ma misère, et délivre-moi ! Car je n'oublie point ta loi. (v, 153)

Le Psalmiste a su dépeindre sa misère. L'apôtre Paul a su le faire aussi.
Ils nous ont laissé un modèle de fidélité dans l'épreuve, un modèle de persévérance, un modèle de foi.
Fidélité, persévérance et foi qui ont été entretenues parce que l'attachement à la Parole de Dieu valait plus que la tranquillité gagnée par divers compromis.

L'apôtre Paul, loin de rester sur un échec apparent : "ma grâce te suffit", a toujours su mettre son attente en Dieu pour être secouru.

Quelles persécutions n'ai-je pas supportées ? Et le Seigneur m'a délivré DE TOUTES. 2 Timothée 3: 11 (v. L. S)

Quelles persécutions j'ai souffertes - quelles persécutions j’ai endurées - quelles persécutions j'ai soutenues - quelles persécutions n'ai-je pas supportées ? Et le Seigneur m'a délivré de toutes. (toutes versions confondues)

Alors... ! N'ai-je pas le droit d'espérer ? N'ai-je pas le droit de croire qu'en tant qu'enfant de Dieu, mon Père céleste interviendra aussi en ma faveur ?
N'ai-je pas la foi de croire qu'il le fait en ce moment si je l'ai déjà prié ? Qu'il agit quoique je ne discerne pas le moindre signe prouvant que la délivrance est en marche ?

Vois ma misère... !
Nous voyons que le Psalmiste ne se lance pas dans une description sans fin de ses malheurs. Il a déjà exposé son problème dans la simplicité : "
Ils s'approchent, ceux qui poursuivent le crime" (v. 150).
Il ne lasse pas l'Éternel en fournissant force de détails ou en suggérant des conseils pour qu'il le délivre ! Non, il agit en toute simplicité : "Vois ma misère", puis demande, toujours aussi simplement, à en être délivré. Rien de plus, rien de moins si ce n'est
le rappel qu'il n'oublie pas la loi de Dieu.

Ce rappel nous remet en mémoire que sa vie est liée à la Parole de Dieu, il n'y a pratiquement pas de versets dans le psaume 119 qui n'ait un rapport avec les commandements de Dieu ou toute autre expression synonyme.
Ce "détail" a toute sa signification lorsque l'on prend en considération un texte de l'apôtre Jean qui met en évidence que nous devrions SAVOIR que,
pour être exaucé, il y a certaines conditions : La première étant d'honorer Dieu et de faire sa volonté :

Nous savons que Dieu n'exauce point les pécheurs ; mais, si quelqu'un l'honore et fait sa volonté, c'est celui-là qu'il exauce. Jean 9: 31 (v. L. S)

L'Éternel s'éloigne des méchants, Mais il écoute la prière des justes. Proverbes 15: 29 (v. L. S)

Nouveau et Ancien Testament se rejoignent une fois de plus pour mettre en avant la différence qu'il y a entre ceux qui servent l'Éternel, ceux qui ne le servent pas et aussi ceux qui se servent de l'Éternel sans le servir !

Si donc nous sommes dans la main de Dieu, si notre coeur ne nous condamne pas, nous pouvons avoir de l'assurance devant Dieu (
1 Jean 3: 21) et demander la délivrance que nous espérons :

Si notre coeur ne nous condamne pas, nous avons de l'assurance devant Dieu.
Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable. 1 Jean 3: 21-22 (v. L. S)

Pour mémoire :

... le Seigneur sait délivrer de l'épreuve les hommes pieux, et réserver les injustes pour être punis au jour du jugement... 2 Pierre 2: 9

Si nous ne demandons rien, il est clair que nous ne recevrons rien. Si nous ne voulons pas de délivrance, Dieu ne nous forcera pas la main : "... d'autres furent livrés aux tourments, et n'acceptèrent point de délivrance, afin d'obtenir une meilleure résurrection..." (Hébreux 11: 35)

En apparence, ces derniers, aux yeux des croyants de l'époque, auraient pu passer pour des gens de peu de foi surtout si l'on regarde la liste impressionnante que nous rapporte l'épître aux Hébreux (
Chapitre 11). Une liste incomplète que l'auteur a volontairement abrégée en raison du manque de temps pour relater tous les faits glorieux que la foi a engendrés aux travers d'hommes et de femmes qui avaient décidé, non seulement de croire en Dieu, mais aussi de CROIRE DIEU, de prendre sa Parole au mot !

Si nous ne demandons rien,
si nous ne voulons pas de délivrance, sachons aussi accepter notre sort sans nous plaindre de notre situation, sans parler d'injustice !
Dans le cas contraire, exposons librement nos besoins à Dieu tout comme l'a fait le Psalmiste (
v. 154a)

Défends ma cause

En écho à cette demande, j'entends la voix de l'Éternel par la bouche de son serviteur Jérémie : " C'est pourquoi ainsi parle l'Éternel : Voici, je défendrai ta cause, Je te vengerai !... " (Jérémie 51: 36)

Alors que nous vivons dans le temps de la grâce, pouvons-nous nous attendre à ce que notre cause soit aussi défendue par le Seigneur ?
Pourquoi pas !
Dieu n'a-t-il pas rappelé que la vengeance lui appartenait ? (
Romains 12: 19 ; Hébreux 10: 30).
N'a-t-il pas dit qu'il nous assisterait même devant les tribunaux ? "
Ne vous inquiétez pas de la manière dont vous vous défendrez ni de ce que vous direz ; car le Saint-Esprit vous enseignera à l'heure même ce qu'il faudra dire." (Luc 12: 11-12).

Ainsi il n'est pas anti-biblique de demander à Dieu qu'il défende notre cause. Il n'est pas anti-biblique de demander à être délivrés de ses ennemis !
Dès lors, rien nous empêche d'avoir la même pensée que le Psalmiste, que l'apôtre Paul et que bien d'autres encore à moins que...
À moins que nous préférions souffrir EN SILENCE sans accepter de délivrance comme l'ont fait quelques-uns dont les noms n'ont pas été cités dans le chapitre 11 des Hébreux, mais qui font partie de la liste des "héros de la foi".

Si tel n'est pas le cas, alors nous avons toute liberté de demander de l'aide au Seigneur selon :

1) Ses promesses (
v. 154)
2) Ses jugements (
v. 156)
3) Sa bonté (
v. 159)

Trois appuis que nous développerons la semaine prochaine si Dieu nous prête vie.
En attendant, et puisque nous croyons que Jésus est Dieu :
Croyons aussi qu'il apportera la délivrance à ceux qui souffrent, q
ue sa délivrance est en marche si nous avons réclamé son secours !

Parce que les malheureux sont opprimés et que les pauvres gémissent,
Maintenant, dit l'Éternel,


je me lève,
j'apporte le salut à ceux contre qui l'on souffle
.
Psaume 12. 5 (v. L. S)


On l'appellera (Jésus) Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix. Esaïe 9: 6 (v. L. S)


© J-M Ravé 23 février 2008 -
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