Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

l'Abécédaire pour une vie bénie

(43) (Resch)

1re partie Introduction: A ceux qui souffrent d'agueusie (perte du goût)

Peut-on manger ce qui est fade et sans sel ? Y a-t-il de la saveur dans le blanc d'un oeuf ? Job 6: 6 (v. L. S)

C'est avec cette question de Job que j'ai à coeur d'aborder une nouvelle lettre du psaume 119 (la lettre Resch). Avec cette question touchant le domaine gustatif, nous pourrons découvrir de nombreux parallèles avec notre vie spirituelle.

Ce qui est fade, nous est-il dit, n'est pas agréable à manger, raison pour laquelle le sel permettra de donner de la saveur même à un blanc d'oeuf.
Faut-il encore que le sel n'est pas perdu sa saveur...

Le sel est une bonne chose ; mais si le sel devient sans saveur, avec quoi l'assaisonnerez-vous ? Marc 9: 50 (v. L. S)

Notre but n'étant pas de parler de cuisine, nous profiterons de l'occasion pour rendre grâce à Dieu du privilège que nous avons de pouvoir faire la différence entre ce qui est fade et ce qui ne l'est pas.
En effet,
c'est une grâce qui passe souvent inaperçue tant il nous semble "normal" de pouvoir discerner le goût de chaque chose. Mais cette grâce, certains en sont dépourvus, ayant perdu le sens du goût.
Ne pouvant plus faire de différence entre le salé, l'amer, le sucré et l'acide, on dit qu'ils souffrent "d'agueusie" (perte du goût).
Dans la plupart des cas, les personnes atteintes de cet handicap souffrent aussi "d'anosmie", un phénomène qui dénonce la perte d'odorat !
(L'agueusie, non associée à une anosmie, est rare ! Source : encyclopédie médicale "vulgaris-medical")

Ces phénomènes de perte de goût et de perte d'odorat rendent la vie insipide et la perturbent. Mais ils le font aussi
lorsqu'ils se produisent dans la vie spirituelle du croyant alors qu'il se trouve confronté à d'incessantes détresses qui altèrent la qualité de sa vie chrétienne.

Combien n'ont-ils pas perdu le goût de la vie ?
Combien n'ont-ils pas désiré la mort comme le prophète Élie l'a désirée ?
Combien ne crient-ils pas sans relâche après une délivrance qui tarde à venir en dépit de leur foi et de leur confiance en Dieu ?


Écoutons bien l'auteur du psaume 119 nous faire part des circonstances dramatiques qui affectent sa vie de tous les jours et qui le poussent à crier vers l'Éternel. Écoutons-le et soyons aussi persévérants que lui si nos vies sont malmenées en ce moment !

Quoique Dieu soit proche de lui, "
Tu es proche, ô Éternel !" (v.151), le monde extérieur n'a pas changé.
Même si l'Éternel dresse une table en face de nos adversaires et nous bénit devant eux (Psaume 23), il n'en demeure pas moins que les adversaires sont toujours là et qu'ils détiennent toujours le pouvoir (limité) de nous persécuter.
Le présent peut donc toujours être difficile à vivre puisque l'ennemi ne s'est pas encore enfui et que ses oeuvres de destructions n'ont pas été anéanties.

"
Résistez au diable, et il fuira loin de vous" nous encourage Jacques (4:7) !
Par cette parole nous sommes encouragés à ne pas succomber à la tentation, à la supporter, à la repousser jusqu'au moment où, peine perdue, c'est le tentateur qui abandonnera la partie.

Mais en attendant, que deviennent ceux qui sont continuellement sous le feu de la puissance du prince des ténèbres et de ceux qui sont à sa solde, de ceux qui ont décidé de rendre la vie impossible à une catégorie de personnes ?
Que devient l'auteur du Psaume 119 ?
Que deviens-tu, toi qui passes par le feu de l'épreuve, un feu qui risquerait de ne s'éteindre qu'au jour où tu changeras de monde, celui où tu passeras la frontière de la mort ?

En ce qui concerne le Psalmiste, gardons en mémoire qu'il reste fidèle aux commandements de Dieu. C'est cette attitude de foi et de fidélité qui a permis que le Seigneur soit à ses côtés (
v. 151)

De la même façon, dans nos épreuves, et
pour autant que nous marchions avec Christ, nous pouvons bénéficier de la même présence !
Une présence qui se manifeste d'abord par la paix de Dieu dans notre coeur !
La paix, quoique l'ennemi continue son oeuvre de destruction, la paix quoique rien n'ait changé dans le décor !

L'apôtre Paul connaissait cette paix d'une façon particulière, lui qui osa déclarer qu'il avait du plaisir à être dans les difficultés !

Je me plais dans les faiblesses, dans les outrages, dans les calamités (les nécessités selon d'autres versions), dans les persécutions, dans les détresses, pour Christ ; car, quand je suis faible, c'est alors que je suis fort. 2 Corinthiens 12: 10 (v. L. S)

Notons que tous ces "ennuis" sont consécutifs à sa foi, à son engagement pour Christ et qu'il ne souffre pas parce qu'il a commis de mauvaises actions.
Dans le feu des épreuves, son goût de la vie...,
son goût de vivre POUR le Seigneur n'a pas été altéré par l'oppression ! Bien au contraire ! C'est dans ces temps douloureux qu'il était à même de trouver la force en Dieu afin de rester un témoin fidèle.

N'avez-vous jamais été surpris de constater que vous pouvez vivre avec la paix de Dieu dans votre coeur en dépit des problèmes insurmontables que l'ennemi de vos âmes a mis sur votre route ?
Cette paix dépasse notre intelligence !

Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces.
Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus-Christ.
Philippiens 4: 6-7 (v. L. S)

La paix de Dieu..., mais pas forcément la délivrance immédiate ! (Hélas !!!)
La paix de Dieu tant que les pensées restent en Christ !
La paix de Dieu qui s'estompe au fur et à mesure que nos regards se fixent sur les montagnes infranchissables que l'on voudrait aplanir !

Retenons donc que la paix de Dieu accompagne - toujours - celui qui se confie en lui, celui qui place son espérance en lui. Elle est là quoi que fasse l'adversaire pour manifester sa présence.

Alors que des vies sont chahutées par le prince des ténèbres (et ceux qui lui appartiennent), ne soyons pas étonnés que plusieurs, comme le Psalmiste, demandent à retrouver la vie.
Ne soyons pas surpris que l'auteur du Psaume 119 le fasse alors que l'Éternel est proche de lui !

Jusqu'à présent JAMAIS son cri n'avait atteint une telle intensité (3 fois dans une seule lettre!) ! Et jamais plus il n'aura l'occasion d'user autant d'énergie pour s'adresser à Dieu lorsque les vents lui seront contraires !

Rends-moi la vie selon ta promesse ! (v. 154)
Rends-moi la vie selon tes jugements ! (v.156)
Rends-moi la vie selon ta bonté ! (v. 159)

N'est-ce pas parce que Dieu est à ses côtés, parce qu'il est proche de lui (v. 151) qu'il va saisir l'occasion, qu'il va "mettre le paquet" afin de faire valoir sa détresse comme jamais il ne l'avait fait auparavant?

Sans doute, sa détermination a dû être payante, tout comme celle de la femme cananéenne qui, au pied de Jésus, demandait la délivrance pour son enfant ! (
Matthieu 15: 22 et suivants). À moins que.... vaincu par son impuissance, il ait laissé le Saint-Esprit s'exprimer pour lui.

Son dernier cri sera
une supplication (v. 170).
Puis la supplication n'ayant pas eu d'effet concret, elle deviendra
un soupir : "Je soupire après ton salut, ô Éternel !" (v. 174)
C'est ce genre de soupir qu'exprime une âme qui ne sait plus comment prier pour être entendue et exaucée :
"
l'Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables ; et celui qui sonde les coeurs connaît qu'elle est la pensée de l'Esprit" Romains 8: 26-27

Que nos prières, à leur tour, se fondent dans des soupirs inexprimables, des soupirs engendrés pas l'Esprit saint qui vient compatir à nos faiblesses!

L'Éternel était donc proche de son serviteur, de son enfant !
- Ne l'est-il pas aussi lorsque, en dépit de nos difficultés, il jette un regard bienveillant sur nos personnes et qu'il trouve le moyen
de nous utiliser dans notre faiblesse afin de faire du bien à nos frères et soeurs dans la foi ?
- N'est-il pas proche de nous
lorsqu'il parle à nos coeurs pour nous corriger ou nous conduire à accomplir un geste particulier ?
- N'est-il pas proche de nous
lorsque sa paix inonde notre coeur quoique nos géants restent toujours menaçants ?

Toutes ces manifestations sont là pour démontrer que l'Éternel est avec nous ! Sa présence, sa proximité, dans nos circonstances dramatiques et continuelles, ne sont-elles pas l'occasion favorable pour lui demander quelque chose de plus ?

Rends-moi la vie selon ta promesse !
Rends-moi la vie selon tes jugements !
Rends-moi la vie selon ta bonté !

Ces "rends-moi" dépeignent bien que la vie du moment n'a plus la même saveur que celle du passé, (passé chrétien vécu aussi bien que possible à la gloire de Dieu, cela va de soi).

Soyons honnêtes et acceptons de reconnaître - je parle à ceux et celles qui traversent des déserts ou qui passent pas des tribulations -, acceptons de reconnaître que la vie,
même avec la paix de Dieu dans le coeur, peut avoir perdu du goût (notre "agueusie spirituelle").

Reconnaissons que l'on peut aussi souffrir momentanément "d'anosmie", de perte d'odorat spirituel, en ne "sentant" plus les bontés que Dieu dispense à notre égard.

Sentez et voyez combien l'Éternel est bon ! Heureux l'homme qui cherche en lui son refuge ! Psaume 34: 8 (v. L. S)

Même si l'apôtre Paul, vivant dans le temps de la grâce (comme nous), pouvait se plaire "dans les outrages, dans les calamités (les nécessités selon d'autres versions), dans les persécutions, dans les détresses", ne passons pas sous silence qu'il fut un temps où, au plus fort de la tribulation, lui et ses compagnons "désespéraient de conservé la vie" (2 Corinthiens 1: 8)

Notre vie, pour la plupart d'entre nous, n'a jamais été en danger comme la sienne, mais il arrive quand même que nous puissions
"désespérer de vivre" et demander à notre tour : "rends-moi la vie !"

Ne nous trompons pas ! Dans nos pays dits "civilisés et humanistes", il y a des personnes qui souffrent le martyre sans que la chair soit elle-même torturée !
Pour bien comprendre la situation, je donnerai un exemple entre mille.

En effet, il y a en Suisse une loi (la Lamal) qui oblige toute personne à souscrire une assurance maladie, qu'elle soit pauvre ou riche,
qu'elle en ait les moyens ou non.
Là où le bât blesse, c'est que des dizaines de milliers de pauvres (oui il y en a aussi en Suisse) ne sont plus capables d'en payer les primes.

Ces derniers
sont alors déférés devant des instances de recouvrement afin que leurs maigres biens soient saisis pour couvrir tout ou partie de leur créance mensuelle; créance qui se renouvelle chaque mois comme le dirait Monsieur de la Palisse !

Notons encore que tant qu'il y a un arriéré dans le paiement des primes d'assurances (frais de rappel, de poursuites et intérêts de retard compris),
aucun remboursement de leurs frais médicaux ou pharmaceutiques ne leur sera octroyé !

Ainsi ces pauvres se trouvent pris dans une machinerie infernale sans avoir la possibilité d'en sortir, car l'assurance reste obligatoire! (Que l'on ait la possibilité de la payer ou non !)

En résumé,
l'État endette légalement et appauvrit encore plus ses citoyens vivant dans la précarité. Par cette attitude il fait en sorte qu'ils ne bénéficient d'aucune prestation, ... jusqu'à ce que mort s'ensuive ! Mort naturelle ou par maladie non soignée ! (Ces faits sont véridiques et vérifiables, nous en sommes témoins)

Sachant cela, ne jugeons plus nos frères et soeurs dans la foi qui vivent malgré eux de telles expériences. Ils ne sont pas épargnés s'ils ont le bonheur d'avoir une famille nombreuse et le "malheur" de n'avoir qu'un modeste revenu pour faire bouillir la marmite.

Ne les blâmons pas sous prétexte qu'ils pourraient vivre un peu renfermés sur eux-mêmes. Comprenons encore qu'ils puissent avoir de la peine à goûter aux plaisirs qualifiés de légitimes. Étant constamment sous le feu de l'ennemi de nos âmes, ils aspirent à la délivrance :

Rends-moi la vie selon ta promesse !
Rends-moi la vie selon tes jugements !
Rends-moi la vie selon ta bonté !

Derrière le cri du Psalmiste, sachons entendre celui de nos frères et soeurs qui se trouvent face à des Goliath qui ont tous la particularité de ne faire aucun sentiment, et encore moins lorsqu'ils sont dirigés par Mammon, le dieu de l'argent !

Ce cri de détresse..., ces cris de détresse ne signifient nullement que Dieu a abandonné ceux qui sont en proie à de graves difficultés.
Le Psalmiste lui-même reconnaissait que
l'Éternel était proche de lui, il est bon de le rappeler et de nous en souvenir afin que nous ne tombions pas dans l'erreur en pensant que les "persécutés" de nos pays "civilisés et humanistes" ont abandonné la source d'eau vive en se détournant du chemin étroit !

Jésus est toujours leur Seigneur ! La Parole de Dieu demeure accrochée dans leur coeur ! Point n'est besoin de relire le Psaume 119 en son entier pour confirmer que l'on peut rester fidèle à son engagement chrétien malgré la persécution et en même temps soupirer après la délivrance !

L'Éternel est toujours aussi proche qu'il a promis de l'être auprès de ceux qui craignent son Nom. Il l'est aussi bien dans l'Ancien Testament, que dans le Nouveau et qu'en 2008 ! Merci Seigneur !
Néanmoins, il faut savoir que cette proximité n'agit pas comme une baguette magique qui ferait disparaître tous les obstacles comme par enchantement !

- "
De ville en ville, l'Esprit-Saint m'avertit que des liens et des tribulations m'attendent." reconnaissait Paul ! (Actes 20: 23)
- "
Vous aurez des tribulations dans le monde..." disait Jésus à ses disciples (Jean 16: 33).

Avertissements donnés afin que nous ne soyons pas surpris de nous retrouver dans la fournaise de l'épreuve ! (
1 Pierre 4: 12)

Je vous ai dit ces choses, afin que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde ; mais prenez courage, j'ai vaincu le monde. Jean 16: 33 (v. L. S)

... vous aurez de l'angoisse au monde, mais ayez bon courage, j'ai vaincu le monde. (v. D. M)

Il est heureux que nous ayons été prévenus. Sans ces avertissements, plusieurs pourraient croire que Dieu a les mains liées devant les lois des hommes et qu'il ne peut rien faire d'autre que de donner sa paix à ceux qui se confient en lui.

Ne doutons jamais de la fidélité du Seigneur ! Croyons que sa passivité apparente face aux malheurs de ses enfants n'est qu'un signe de sa patience envers ceux qui "torturent", légalement ou non, leurs semblables.

Parfois la bonté de Dieu semble s'arrêter simplement à nous donner sa paix ! Ne minimisons pas ce "simplement", car
cette paix est une richesse si l'on regarde comment le monde païen réagit lorsqu'il est confronté aux mêmes tourments que les chrétiens !

Ajoutons encore que cette paix surnaturelle apporte avec elle un regain de foi.
Si Dieu est capable de nous faire vivre dans la fournaise de l'épreuve en nous assurant de sa paix, à combien plus forte raison il est aussi puissant de nous en faire sortir au moment opportun comme il l'a fait pour les 3 Hébreux au temps de Daniel, et, éventuellement, d'y mettre à notre place, les tourmentateurs ! (
Daniel chapitre 3).
Les trois compagnons de Daniel ont marché dans la fournaise, ils se sont "promenés" avec le Seigneur dans
un monde hostile qui n'a pas pu les détruire ! Ils y ont marché jusqu'au moment où le roi interrompit cette communion en invitant les trois Hébreux à sortir de la fournaise.

Pour en revenir à notre Psalmiste ainsi qu'à tous ceux qui passent par une expérience semblable à la sienne, tous ceux qui "désespèrent de vivre",
ce n'est pas un péché que de parler au Seigneur de la misère dans laquelle on est obligé de vivre, pas plus que c'est un péché que d'en demander à en être délivré !
Par contre, ce qui serait dommageable pour notre âme, serait de se détourner de la Parole de Dieu, de ses commandements sous prétexte que les Goliath de ce monde nous maintiennent dans les tourments. Afin que cela n'arrive pas, continuons à faire provision de cette Parole de Dieu, l'habitude prise, elle sera d'un grand secours dans les moments de détresse. Nous en reparlerons prochainement.

En attendant, nous voyons dans le Psaume 119 combien l'Écriture alimentait la vie du Psalmiste et lui procurait une joie de qualité quoiqu'il priait instamment de retrouver la vie !

- Tes préceptes sont la joie de mon coeur. (v. 111)
- Je me réjouis de ta parole. (
v. 162)

L'histoire nous apprends qu'en tout temps il y a eu des hommes et des femmes qui ont souffert à cause de l'Évangile beaucoup plus que ce que nous souffrons aujourd'hui dans nos pays "civilisés". Ils ont gardé la foi, entretenu leur espérance tout en priant pour être délivrés de leur "esclavage".

Qui nous séparera de l'amour de Christ ?
Sera-ce la tribulation, ou l'angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l'épée ?
Romains 8: 35 (v. L. S)

Tu as peut-être perdu le goût de la vie ?
Tu as peut-être perdu une partie de ton odorat spirituel en ne "sentant" plus les bontés de l'Éternel ?
Mais Dieu ne t'a pas perdu ! Il est resté proche de toi !
Aucun élément extérieur n'a la puissance ou l'autorité de te séparer de son amour ! Pas même la mort ! Alors...

Sois fidèle jusqu'à la mort, et je (Jésus) te donnerai la couronne de vie. Apocalypse 2: 10 (v. L. S)

***

Si vous êtes outragés pour le nom de Christ, vous êtes heureux, parce que l'Esprit de gloire, l'Esprit de Dieu, repose sur vous. 1 Pierre 4. 14 (v. L. S)

Si on vous dit des injures pour le Nom de Christ, vous êtes bienheureux : car l'Esprit de gloire et de Dieu repose sur vous, lequel est blasphémé par ceux qui [vous noircissent] mais pour vous vous le glorifiez. (v. D. M)

***


© J-M Ravé 16 février 2008 -
CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse