Peut-on
manger ce qui est fade et sans sel ? Y a-t-il
de la saveur dans le blanc d'un oeuf ?
Job 6: 6 (v. L. S)
C'est avec cette question de Job que j'ai à
coeur d'aborder une nouvelle lettre du psaume 119
(la lettre Resch). Avec cette question touchant le
domaine gustatif, nous pourrons découvrir de
nombreux parallèles avec notre vie
spirituelle.
Ce qui est fade, nous est-il dit, n'est pas
agréable à manger, raison pour
laquelle le sel permettra de donner de la saveur
même à un blanc d'oeuf.
Faut-il encore que le
sel n'est pas perdu sa saveur...
Le sel
est une bonne chose ; mais si le sel devient
sans saveur, avec quoi l'assaisonnerez-vous ?
Marc 9: 50 (v. L. S)
Notre but n'étant pas de parler de cuisine,
nous profiterons de l'occasion pour rendre
grâce à Dieu du privilège que
nous avons de pouvoir faire la différence
entre ce qui est fade et ce qui ne l'est pas.
En effet, c'est une
grâce qui passe souvent
inaperçue tant
il nous semble "normal" de pouvoir discerner le
goût de chaque chose. Mais cette grâce,
certains en sont dépourvus, ayant perdu le
sens du goût.
Ne pouvant plus faire de différence entre le
salé, l'amer, le sucré et l'acide, on
dit qu'ils souffrent "d'agueusie" (perte du
goût).
Dans la plupart des cas, les personnes atteintes de
cet handicap souffrent aussi "d'anosmie", un
phénomène qui dénonce la perte
d'odorat !
(L'agueusie, non
associée à une anosmie, est
rare ! Source : encyclopédie
médicale "vulgaris-medical")
Ces phénomènes de perte de goût
et de perte d'odorat rendent la vie insipide et la
perturbent. Mais ils le font aussi lorsqu'ils se produisent dans la vie
spirituelle du croyant alors qu'il se trouve
confronté à d'incessantes
détresses qui altèrent la
qualité de sa vie chrétienne.
Combien n'ont-ils pas perdu le goût de la
vie ?
Combien n'ont-ils pas désiré la mort
comme le prophète Élie l'a
désirée ?
Combien ne crient-ils pas sans relâche
après une délivrance qui tarde
à venir en dépit de leur foi et de
leur confiance en Dieu ?
Écoutons bien l'auteur du psaume 119 nous
faire part des circonstances dramatiques qui
affectent sa vie de tous les jours et qui le
poussent à crier vers l'Éternel.
Écoutons-le et soyons aussi
persévérants que lui si nos vies sont
malmenées en ce moment !
Quoique Dieu soit proche de lui, "Tu es proche, ô
Éternel !" (v.151), le
monde extérieur n'a pas changé.
Même si
l'Éternel dresse une table en face de nos
adversaires et nous
bénit devant eux (Psaume 23),
il n'en demeure pas
moins que les adversaires sont toujours
là et qu'ils
détiennent toujours le pouvoir
(limité) de nous persécuter.
Le présent peut donc toujours être
difficile à vivre puisque l'ennemi ne s'est
pas encore enfui et que ses oeuvres de destructions
n'ont pas été anéanties.
"Résistez au
diable, et il fuira loin de
vous" nous encourage
Jacques (4:7) !
Par cette parole nous sommes encouragés
à ne pas succomber à la tentation,
à la supporter, à la repousser
jusqu'au moment où, peine perdue, c'est le
tentateur qui abandonnera la partie.
Mais en attendant, que deviennent ceux qui sont
continuellement sous le feu de la puissance du
prince des ténèbres et de ceux qui
sont à sa solde, de ceux qui ont
décidé de rendre la vie impossible
à une catégorie de
personnes ?
Que devient l'auteur du Psaume 119 ?
Que deviens-tu, toi qui passes par le feu de
l'épreuve, un feu qui risquerait de ne
s'éteindre qu'au jour où tu changeras
de monde, celui où tu passeras la
frontière de la mort ?
En ce qui concerne le Psalmiste, gardons en
mémoire qu'il reste fidèle aux
commandements de Dieu. C'est cette attitude de foi
et de fidélité qui a permis que le
Seigneur soit à ses côtés
(v. 151)
De la même façon, dans nos
épreuves, et pour autant que nous marchions avec
Christ, nous pouvons
bénéficier de la même
présence !
Une présence
qui se manifeste d'abord
par la paix de Dieu dans notre coeur !
La paix, quoique
l'ennemi continue son oeuvre de destruction, la
paix quoique rien n'ait changé dans le
décor !
L'apôtre Paul connaissait cette paix d'une
façon particulière, lui qui osa
déclarer qu'il avait du plaisir à
être dans les difficultés !
Je me
plais dans les faiblesses, dans les
outrages, dans les calamités (les nécessités selon
d'autres versions), dans les persécutions,
dans les détresses, pour Christ ; car,
quand je suis faible, c'est alors que je suis fort.
2 Corinthiens 12: 10 (v. L. S)
Notons que tous ces "ennuis" sont
consécutifs à sa foi, à son
engagement pour Christ et qu'il ne souffre pas
parce qu'il a commis de mauvaises actions.
Dans le feu des épreuves, son goût de
la vie..., son
goût de vivre POUR le
Seigneur n'a
pas été altéré par
l'oppression !
Bien au contraire ! C'est dans ces temps
douloureux qu'il était à même
de trouver la force en Dieu afin de rester un
témoin fidèle.
N'avez-vous jamais été surpris de
constater que vous pouvez vivre avec la paix de
Dieu dans votre coeur en dépit des
problèmes insurmontables que l'ennemi de vos
âmes a mis sur votre route ?
Cette paix dépasse notre
intelligence !
Ne vous
inquiétez de rien ; mais en toute chose
faites connaître vos besoins à Dieu
par des prières et des supplications, avec
des actions de grâces.
Et la paix de Dieu, qui surpasse toute
intelligence, gardera vos coeurs et vos
pensées en Jésus-Christ. Philippiens 4: 6-7 (v. L. S)
La paix de Dieu..., mais pas forcément la
délivrance immédiate !
(Hélas !!!)
La paix de Dieu tant que les pensées restent
en Christ !
La paix de Dieu qui s'estompe au fur et à
mesure que nos regards se fixent sur les montagnes
infranchissables que l'on voudrait
aplanir !
Retenons donc que la paix de Dieu accompagne -
toujours - celui qui se confie en lui, celui qui
place son espérance en lui. Elle est
là quoi que fasse l'adversaire pour
manifester sa présence.
Alors que des vies sont chahutées par le
prince des ténèbres (et ceux qui lui
appartiennent), ne soyons pas étonnés
que plusieurs, comme le Psalmiste, demandent
à retrouver la vie.
Ne soyons pas surpris que l'auteur du Psaume 119 le
fasse alors que l'Éternel est proche de
lui !
Jusqu'à présent JAMAIS son cri
n'avait atteint une telle intensité (3 fois
dans une seule lettre!) ! Et jamais plus il
n'aura l'occasion d'user autant d'énergie
pour s'adresser à Dieu lorsque les vents lui
seront contraires !
N'est-ce pas parce que Dieu
est à ses côtés, parce qu'il
est proche de lui (v. 151)
qu'il va saisir l'occasion, qu'il va "mettre le
paquet" afin de faire valoir sa détresse
comme jamais il ne l'avait
fait auparavant?
Sans doute, sa détermination a dû
être payante, tout comme celle de la femme
cananéenne qui, au pied de Jésus,
demandait la délivrance pour son
enfant ! (Matthieu 15: 22 et
suivants). À
moins que.... vaincu par son impuissance, il ait
laissé le Saint-Esprit s'exprimer pour
lui.
Son dernier cri sera une supplication (v. 170).
Puis la supplication n'ayant pas eu d'effet
concret, elle deviendra un soupir : "Je soupire après ton salut,
ô Éternel !" (v. 174)
C'est ce genre de soupir qu'exprime une âme
qui ne sait plus comment prier pour être
entendue et exaucée :
"l'Esprit
lui-même intercède par des soupirs
inexprimables ; et celui qui sonde les coeurs
connaît qu'elle est la pensée de
l'Esprit" Romains 8: 26-27
Que nos prières, à leur tour, se
fondent dans des soupirs inexprimables, des soupirs
engendrés pas l'Esprit saint qui vient
compatir à nos faiblesses!
L'Éternel
était donc proche de son serviteur, de son
enfant !
- Ne l'est-il pas aussi lorsque, en dépit de
nos difficultés, il jette un regard
bienveillant sur nos personnes et qu'il trouve le
moyen de nous utiliser
dans notre faiblesse afin de faire du
bien à nos
frères et soeurs dans la foi ?
- N'est-il pas proche de nous lorsqu'il parle à nos
coeurs pour nous
corriger ou nous conduire à accomplir un
geste particulier ?
- N'est-il pas proche de nous lorsque sa paix inonde notre
coeur quoique nos
géants restent toujours
menaçants ?
Toutes ces manifestations sont là pour
démontrer que l'Éternel est avec
nous ! Sa présence, sa
proximité, dans nos circonstances
dramatiques et continuelles, ne sont-elles pas
l'occasion favorable pour lui demander quelque
chose de plus ?
Ces "rends-moi"
dépeignent bien que la vie du moment n'a plus la
même saveur que celle du
passé,
(passé chrétien vécu aussi
bien que possible à la gloire de Dieu, cela
va de soi).
Soyons honnêtes et acceptons de
reconnaître - je parle à ceux et
celles qui traversent des déserts ou qui
passent pas des tribulations -, acceptons de
reconnaître que la vie, même avec la paix de Dieu dans
le coeur, peut avoir
perdu du goût (notre "agueusie
spirituelle").
Reconnaissons que l'on peut aussi souffrir
momentanément "d'anosmie", de perte d'odorat
spirituel, en ne "sentant" plus les bontés
que Dieu dispense à notre égard.
Sentez et
voyez combien l'Éternel est bon !
Heureux l'homme qui cherche en lui son
refuge ! Psaume 34: 8 (v. L. S)
Même si
l'apôtre Paul, vivant dans le temps de la
grâce (comme nous), pouvait se plaire
"dans les
outrages, dans les calamités (les nécessités selon
d'autres versions), dans les persécutions, dans
les détresses", ne
passons pas sous silence qu'il fut un temps
où, au plus
fort de la tribulation, lui et ses compagnons
"désespéraient de
conservé la vie" (2 Corinthiens 1: 8)
Notre vie, pour la plupart d'entre nous, n'a jamais
été en danger comme la sienne, mais
il arrive quand même que nous puissions
"désespérer de
vivre" et demander
à notre tour : "rends-moi la
vie !"
Ne nous trompons pas ! Dans nos pays dits
"civilisés et humanistes", il y a des
personnes qui souffrent le martyre sans que la
chair soit elle-même
torturée !
Pour bien comprendre la situation, je donnerai un
exemple entre mille.
En effet, il y a en Suisse une loi (la Lamal) qui
oblige toute personne à souscrire une
assurance maladie, qu'elle soit pauvre ou riche,
qu'elle en ait les
moyens ou non.
Là où le bât blesse, c'est que
des dizaines de milliers de pauvres (oui il y en a
aussi en Suisse) ne sont plus capables d'en payer
les primes.
Ces derniers sont
alors déférés devant des
instances de recouvrement afin que leurs maigres
biens soient saisis
pour couvrir tout ou partie de leur créance
mensuelle; créance qui se renouvelle
chaque
mois comme le dirait
Monsieur de la Palisse !
Notons encore que tant qu'il y a un
arriéré dans le paiement des primes
d'assurances (frais de rappel, de poursuites et
intérêts de retard compris),
aucun
remboursement de
leurs frais médicaux ou pharmaceutiques ne
leur sera octroyé !
Ainsi ces pauvres se
trouvent pris dans une machinerie infernale sans
avoir la possibilité d'en
sortir, car
l'assurance reste obligatoire! (Que l'on ait la possibilité
de la payer ou non !)
En résumé, l'État endette
légalement et appauvrit encore plus ses
citoyens vivant dans la
précarité. Par cette attitude il fait en sorte
qu'ils ne bénéficient d'aucune
prestation, ... jusqu'à ce que mort
s'ensuive ! Mort naturelle ou par maladie non
soignée ! (Ces faits sont
véridiques et vérifiables, nous en
sommes témoins)
Sachant cela, ne jugeons plus nos frères et
soeurs dans la foi qui vivent malgré eux de
telles expériences. Ils ne sont pas
épargnés s'ils ont le bonheur d'avoir
une famille nombreuse et le "malheur" de n'avoir
qu'un modeste revenu pour faire bouillir la
marmite.
Ne les blâmons pas sous prétexte
qu'ils pourraient vivre un peu renfermés sur
eux-mêmes. Comprenons encore qu'ils puissent
avoir de la peine à goûter aux
plaisirs qualifiés de légitimes.
Étant constamment sous le feu de l'ennemi de
nos âmes, ils aspirent à la
délivrance :
Derrière le cri du
Psalmiste, sachons entendre celui de nos
frères et soeurs qui se trouvent face
à des Goliath qui ont tous la
particularité de ne faire aucun sentiment,
et encore moins lorsqu'ils sont dirigés par
Mammon, le dieu de l'argent !
Ce cri de détresse..., ces cris de
détresse ne signifient nullement que Dieu a
abandonné ceux qui sont en proie à de
graves difficultés.
Le Psalmiste lui-même reconnaissait que
l'Éternel
était proche de lui, il est bon de le rappeler et de nous
en souvenir afin que nous ne tombions pas dans
l'erreur en pensant que les
"persécutés" de nos pays
"civilisés et humanistes" ont
abandonné la source d'eau vive en se
détournant du chemin
étroit !
Jésus est toujours leur Seigneur ! La
Parole de Dieu demeure accrochée dans leur
coeur ! Point n'est besoin de relire le Psaume
119 en son entier pour confirmer que l'on peut
rester fidèle à son engagement
chrétien malgré la persécution
et en même temps soupirer après la
délivrance !
L'Éternel est toujours aussi proche qu'il a
promis de l'être auprès de ceux qui
craignent son Nom. Il l'est aussi bien dans
l'Ancien Testament, que dans le Nouveau et qu'en
2008 ! Merci Seigneur !
Néanmoins, il faut savoir que cette
proximité n'agit pas comme une baguette
magique qui ferait disparaître tous les
obstacles comme par enchantement !
- "De
ville en ville, l'Esprit-Saint m'avertit
que
des liens et des tribulations
m'attendent."
reconnaissait Paul ! (Actes 20: 23)
- "Vous
aurez des tribulations dans le monde..." disait Jésus à ses
disciples (Jean 16: 33).
Avertissements donnés afin que nous ne
soyons pas surpris de nous retrouver dans la
fournaise de l'épreuve ! (1 Pierre 4: 12)
Je vous
ai dit ces choses, afin que vous ayez la paix en
moi. Vous aurez des tribulations dans le
monde ; mais prenez courage, j'ai vaincu le
monde. Jean 16: 33 (v. L. S)
... vous
aurez de l'angoisse au monde, mais ayez bon
courage, j'ai vaincu le monde. (v. D. M)
Il est heureux que nous
ayons été prévenus. Sans ces
avertissements, plusieurs pourraient croire que Dieu a
les mains liées devant les lois des hommes
et qu'il ne peut rien faire d'autre que de donner
sa paix à ceux qui se confient en lui.
Ne doutons jamais de la fidélité du
Seigneur ! Croyons que sa passivité
apparente face aux malheurs de ses enfants n'est
qu'un signe de sa patience envers ceux qui
"torturent", légalement ou non, leurs
semblables.
Parfois la bonté de Dieu semble
s'arrêter simplement à nous donner sa
paix ! Ne minimisons pas ce "simplement", car
cette paix est une
richesse
si l'on regarde
comment le monde païen réagit lorsqu'il
est confronté aux mêmes
tourments que
les chrétiens !
Ajoutons encore que cette paix surnaturelle apporte
avec elle un regain de foi.
Si Dieu est capable de nous faire vivre dans la
fournaise de l'épreuve en nous assurant de
sa paix, à combien plus forte raison il est
aussi puissant de nous en faire sortir au moment
opportun comme il l'a fait pour les 3
Hébreux au temps de Daniel, et,
éventuellement, d'y mettre à notre
place, les tourmentateurs ! (Daniel chapitre 3).
Les trois compagnons de Daniel ont marché
dans la fournaise, ils se sont "promenés"
avec le Seigneur dans un monde hostile qui n'a pas pu les
détruire ! Ils y ont marché jusqu'au
moment où le roi interrompit cette communion
en invitant les trois Hébreux à
sortir de la fournaise.
Pour en revenir à notre Psalmiste ainsi
qu'à tous ceux qui passent par une
expérience semblable à la sienne,
tous ceux qui "désespèrent de vivre",
ce n'est pas un
péché que de parler au Seigneur de la
misère dans laquelle on est obligé de
vivre, pas plus que c'est un péché
que d'en demander à en être
délivré !
Par contre, ce qui
serait dommageable pour notre âme, serait de
se détourner de la Parole de Dieu, de ses
commandements sous prétexte que les Goliath
de ce monde nous maintiennent dans les tourments.
Afin que cela n'arrive pas, continuons à
faire provision de cette Parole de Dieu, l'habitude
prise, elle sera d'un grand secours dans les
moments de détresse. Nous en reparlerons
prochainement.
En attendant, nous voyons dans le Psaume 119
combien l'Écriture alimentait la vie du
Psalmiste et lui procurait une joie de
qualité quoiqu'il priait instamment de
retrouver la vie !
- Tes
préceptes sont la joie de mon coeur.
(v. 111)
- Je me réjouis de ta parole. (v. 162)
L'histoire nous apprends
qu'en tout temps il y a eu des hommes et des femmes
qui ont souffert à cause de
l'Évangile beaucoup plus que ce que nous
souffrons aujourd'hui dans nos pays
"civilisés". Ils ont gardé la foi,
entretenu leur espérance tout en priant pour
être délivrés de leur
"esclavage".
Qui nous
séparera de l'amour de Christ ?
Sera-ce la tribulation, ou l'angoisse, ou la
persécution, ou la faim, ou la
nudité, ou le péril, ou
l'épée ? Romains 8: 35 (v. L. S)
Tu as peut-être
perdu le goût de la vie ?
Tu as peut-être perdu une partie de ton
odorat spirituel en ne "sentant" plus les
bontés de l'Éternel ?
Mais Dieu ne t'a pas
perdu ! Il est resté proche de
toi !
Aucun
élément extérieur n'a la
puissance ou l'autorité de te séparer
de son amour ! Pas même la mort !
Alors...
Sois
fidèle jusqu'à la mort, et
je
(Jésus) te donnerai la couronne de vie.
Apocalypse 2: 10 (v. L. S)
Si vous
êtes outragés pour le nom de Christ,
vous êtes heureux, parce que l'Esprit de gloire,
l'Esprit de Dieu, repose sur vous. 1 Pierre 4. 14 (v. L. S)
Si on vous dit des injures pour le Nom de Christ,
vous êtes bienheureux : car l'Esprit de
gloire et de Dieu repose sur vous, lequel est
blasphémé par ceux qui [vous
noircissent] mais pour vous vous le glorifiez. (v.
D. M)