Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

l'Abécédaire pour une vie bénie

(38) (Phé)

(3e partie) Mes désirs "font désordre" si SES ordres ne font pas mes désirs.

La foi dans les oeuvres mortes, dans les traditions humaines, ne saurait être la foi qui plaît à Dieu. Si parfois elle peut être exaucée, nous pouvons affirmer que la réponse à une telle foi ne saurait venir de celui qui a créé le ciel et la Terre.

Comment Dieu pourrait-il récompenser celui ou celle qui a placé sa confiance dans des choses de néant ?
Seul le prince des ténèbres, Satan, le diable, seul lui est capable de répondre
de temps en temps "favorablement" à ceux qui se sont détournés de Dieu. Il le fait et honore leur mauvaise foi afin de les garder dans son giron. Combien de ce genre "d'exaucements" en ont-ils conduit plusieurs à mettre plus leur confiance dans des astrologues plutôt qu'en Dieu ?

Instruits à vivre dans les ténèbres spirituelles, bien de nos contemporains ne veulent plus rien entendre de Dieu et, s'ils osent encore croire à son existence, c'est pour lui faire porter la responsabilité de tous les maux que la terre supporte.

Que nos pères ont-ils laissé comme héritage pour qu'il en soit ainsi ?
Et nous ! Qu'enseignons-nous à nos enfants ?

Il est surprenant que nos contemporains acceptent sans difficulté les enseignements des hommes lorsqu'il s'agit de leur santé, qu'ils acceptent de ne pas goûter à ce qui est mortel (certains champignons par exemple), mais qu'ils ne veulent rien entendre pour tout ce qui touche à leur âme immortelle.
Prudents quant à leur corps, ils font la sourde oreille quand il est question de l'éternité et méprisent la santé de leur âme en méprisant les commandements de Dieu.

Pourtant si la pensée de l'éternité est dans le coeur de chaque homme...

Il (Dieu) fait toute chose bonne en son temps ; même il a mis dans leur coeur la pensée de l'éternité. Ecclésiaste 3: 11 (v. L. S)

... si cette pensée le pousse à tout faire pour prolonger sa vie le plus longtemps possible au point que certains riches se sont fait congeler en espérant que plus tard la science aura trouvé le moyen de les faire revivre, cette façon d'agir ne correspond pas à la pensée de Dieu : "
il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement..." (Hébreux 9: 27)

L'homme, en général, ne veut pas croire Dieu, ne veut plus croire Dieu lorsqu'il est question de son âme immortelle et du salut en Jésus-Christ, salut qui l'obligerait à changer de vie. Pour cette raison, il se fatigue à mettre sa foi, son espérance dans des choses de néant qui finiront par le détruire et le conduire à une perdition irréversible ! (qu'il y croit ou qu'il n'y croit pas !)

Alors qu'aujourd'hui, c'est encore le jour du salut pour ceux et celles qui sont interpellés par la Parole de Dieu (
2 Corinthiens 6: 2 ; Hébreux 3:7), il est temps que les témoins de Jésus-Christ se lèvent pour dire la vérité en déclarant d'une part, que l'homme est perdu à cause de son péché, et d'autre part, que la bonne nouvelle de l'Évangile proclame qu'il y a un pardon auprès de Dieu au travers de Jésus-Christ.
En faisant ainsi il se conduira en ambassadeur de Christ en rapportant le message de Dieu pour les hommes comme le faisait le prophète Samuel lorsqu'il s'adressait au peuple d'Israël :

N'ayez point de crainte ! Vous avez fait tout ce mal ; mais ne vous détournez pas de l'Éternel, et servez l'Éternel de tout votre coeur.
Ne vous en détournez pas ; sinon, vous iriez après des choses de néant, qui n'apportent ni profit ni délivrance, parce que ce sont des choses de néant.
1 Samuel 12: 20-21 (v. L. S)

Une fois encore, nous sommes mis en présence de la miséricorde d'un Dieu qui aime les hommes, qui veut les pardonner et qui les invite à ne pas se détourner de lui, mais, au contraire à placer leur confiance pleine et entière en Celui qui peut les délivrer de tous leurs ennemis et de leur plus grand ennemi : Satan !

La semaine passée nous avions relevé que
Dieu a des égards particuliers envers ceux qui aiment son Nom. Nous avions vu aussi que nous pouvions lui rappeler les promesses qu'il a faites pour autant que nous entrions bien dans la catégorie de "ceux qui aiment son Nom".
L'aimons-nous?

Aujourd'hui encore, l'auteur du psaume 119 va nous démontrer que les mots qui sortent de notre bouche prennent plus de valeur lorsqu'ils sont accompagnés de décisions qui vont confirmer que cet amour est bien réel.

Pourrions-nous tromper Dieu en lui faisant croire que nous l'aimons alors qu'en réalité nous cherchons simplement à obtenir quelque chose de sa part ?
Pourrions-nous le tromper alors qu'en réalité nous n'aurions que de vagues sentiments à son égard, des sentiments qui deviendraient plus démonstratifs chaque fois qu'un besoin pressant se ferait sentir ?

En son temps le Fils de Dieu avait déjà relevé qu'une partie de ceux qui le suivaient, le suivaient uniquement parce qu'ils avaient mangé des pains à satiété, parce qu'ils avaient nourri leurs corps mais non leur âme. Une âme qui n'était même pas impressionnée par les miracles qu'ils avaient vus :

"Vous me cherchez, non parce que vous avez vu des miracles, mais parce que vous avez mangé des pains et que vous avez été rassasiés. Travaillez, non pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui subsiste pour la vie éternelle..." Jean 6: 26-27 (v. L. S)

Nous pourrions encore ajouter :

Tout le travail de l'homme est pour sa bouche ; et pourtant son âme n'est jamais rassasiée. Ecclésiaste 6: 7 (v. Bible annotée)

Cette âme a des besoins aussi importants que le corps physique !
Elle en a d'autant plus, si elle s'est approchée du Seigneur et qu'elle se rend compte qu'étant sur le bord de l'immensité de l'amour de Dieu, le coeur de l'homme ne saurait jamais être trop rempli.

Comme une biche soupire après des courants d'eau, Ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu ! Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant... Psaume 42 (v. L. S)

Mon âme soupire et languit après les parvis de l'Éternel, Mon coeur et ma chair poussent des cris vers le Dieu vivant. Psaume 84: 2 (v. L. S)

C'est cette faim de Dieu, cette soif de sa Parole qui est agréable au Seigneur, cette faim et cette soif poussent immanquablement l'homme à désirer toujours plus la présence de Dieu dans sa vie !
Toujours plus à chercher à faire ce qui lui est agréable !
Toujours plus à s'enfoncer dans les voies de la justice en fuyant le péché comme la peste !

Écoutons encore le Psalmiste manifester son désir d'être plus près de l'Éternel et confirmer le choix qu'il a fait. Joignons notre voix à la sienne pour démontrer que nous voulons marcher avec assurance (
v. 133a) :

Affermis mes pas dans ta parole...

À bien réfléchir, qu'est-ce que cela voudrait dire ?
Mes pas ne seraient-ils pas sûrs ?
Aurais-je crainte de perdre pied en marchant sur le terrain inconnu que le Seigneur lui-même m'a recommandé ?
Une chose est sûre : je sais que Dieu ne veut pas me tromper, alors :

"Pourquoi, Ô mon coeur ! hésites-tu tant à croire ce que Dieu dit ?
Comment oses-tu imaginer que le Seigneur t'a tendu un piège alors qu'auparavant il a tout mis en oeuvre pour te sauver ?
Vas-tu tout-à-coup penser comme certains Israélites qui ont cru que c'était pour leur perte que l'Éternel les engageait à se diriger vers le pays de la promesse ? (
Nombres, chapitre 16).
Comment ton Sauveur, celui qui t'a délivré des peines éternelles en donnant SA vie pour toi, pourrait-il maintenant en vouloir à ta vie ?
Allez... Ressaisis-toi et pense aux jours d'autrefois, pense à toutes les fois où il t'a secouru parce que tu avais placé toute ta confiance en lui, il est encore le même aujourd'hui !"


Croire et puis ensuite laisser le doute ronger l'espérance que nous avons placée en Dieu ! Est-ce bien sage?
Croire dans sa Parole et se soumettre à la pensée de l'adversaire de nos âmes qui ne manquera jamais d'émettre un doute quant à la réalité des promesses divines pour notre vie personnelle !

Que je puisse craindre..., c'est humain ! C'est conforme à ma vieille nature, à celle qui me faisait vivre loin de Dieu, mais craindre encore aujourd'hui c'est démontrer que cette vieille nature à encore un pouvoir sur l'enfant de Dieu que je suis devenu. Craindre aujourd'hui c'est oublier que :

L'Ange de l'Éternel campe autour de ceux qui le craignent et qu'il les arrache au danger. Psaume 34. 7

C'est oublier que c'est Dieu que je dois craindre et non l'adversaire qui a été vaincu par Christ, non les circonstances qui semblent défavorables. (
Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. Romains 8: 28 - N'est-ce pas la Parole de Dieu, une parole pour ceux et celles qui passent pas des moments difficiles ?)

C'est aussi oublier que je n'ai rien à craindre, sinon de ne pas être à la hauteur dans la qualité de ma foi ! (
Je crois, viens au secours de mon... incrédulité ! - Marc, 9: 24)

"Affermis mes pas dans ta parole..." Oui, c'est bien là ma demande ! Une demande dont je ne dois pas avoir à rougir car si elle met en avant ma faiblesse, elle prouve aussi que mon attachement au Seigneur et à sa Parole est primordial pour moi !

"Affermis mes pas dans ta parole..." Affermis-les chaque fois que ma foi... que notre foi est engagée et que l'adversaire de nos âmes nous harcèle avec des pensées de doute !

N'hésitons jamais à faire une telle demande car il n'y a point de honte à se sentir faible : le Seigneur a le pouvoir de nous affermir afin que nous ne tombions pas : "
il (celui qui pourrait tomber) se tiendra debout, car le Seigneur a le pouvoir de l'affermir" (Romains 14: 4)

"
Quand je suis faible, c'est alors que je suis fort" disait l'apôtre Paul aux Corinthiens (2 Corinthiens 12: 10). Faible face à l'adversité, faible face aux épreuves, mais FORT PARCE QUE DIEU AFFERMISSAIT SES PAS, fort au point d'être réjouis de passer par les épreuves qu'il nous décrit au chapitre 12 de cette 2 ème épître aux Corinthiens.

Dans ce chemin particulier, ce chemin étroit de la Parole de Dieu, il est impossible d'avancer longtemps avec ses propres forces ou avec les acquis des premiers jours, ces premiers jours où nous sommes passés des ténèbres à la Lumière.
Pour cette raison, il est convenable que l'homme intérieur soit renouvelé de jour en jour (
2 Corinthiens 4: 16) par une connaissance toujours plus grande des Écritures et une mise en pratique régulière de ce qu'elles enseignent. Cette connaissance nous permettra de toujours mieux comprendre la sainteté du Seigneur, elle nous poussera à avoir les mêmes sentiments que l'auteur du Psaume 119 afin qu'aucun péché ne domine dans notre vie (v. 133b)

.... ne laisse aucune iniquité dominer sur moi !

À bien réfléchir, qu'est-ce que cela voudrait dire ?
Dieu pourrait-il être responsable des péchés qui me dominent ?
Assurément non, même si ce texte laisserait sous-entendre que si je pèche encore c'est parce que Dieu a laissé tel ou tel péché me dominer !

Le Seigneur ne pouvant être tenté par le mal (
Jacques 1: 13) et ne tentant lui-même personne pour l'inciter à aller vers le mal qu'il déteste, comment pourrait-il me laisser sous la domination de ce qu'il a en horreur ?

La vérité, c'est que
je suis personnellement responsable de mon péché et que Dieu ne saurait être pris en faute.
Si je suis esclave d'une passion que je n'ai pas trop envie d'abandonner tant elle est agréable ou "utile" pour ma vieille nature, je n'ai pas le droit de reprocher au Seigneur d'être dominé par quelque chose dont je ne veux pas me défaire.

Ainsi, loin de mettre Dieu en accusation pour les... "faiblesses" qui nous dominent encore, loin de prendre ce texte du psaume 119 pour excuser notre conduite ou notre vie spirituelle rachitique, osons regarder la vérité en face et prenons NOS responsabilités !

Vous n'avez pas encore résisté jusqu'au sang, en luttant contre le péché. Hébreux 12: 4 (v. L. S)

... rejetons tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement, et courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte... Hébreux 12. 1 (v. L. S)

Que le péché ne règne donc point dans votre corps mortel, et n'obéissez pas à ses convoitises. Romains 6: 12 (v. L. S)

Ces trois textes du Nouveau Testament sont suffisamment explicites pour comprendre que si un péché nous domine encore, c'est parce que nous n'avons pas agi en conséquence ! C'est aussi parce que bien souvent nous n'avons pas la maîtrise de nous-mêmes.

Même si Dieu n'a aucune part de responsabilité quant au fait que je pourrais encore être dominé par le mal, je veux quand même utiliser l'expression du Psalmiste et confirmer que mon désir est bien que Dieu...

.... ne laisse aucune iniquité dominer sur moi !

Si mon propre péché peut me cacher la face de Dieu et l'empêcher de prêter attention à mes prières (Esaïe 59: 2), il est d'autres péchés qui peuvent me voiler l'amour de Dieu.

Je veux parler des péchés d'autrui, des péchés de mes ennemis, de nos persécuteurs ! Eux qui mettent tout en oeuvre pour nous rendre la vie difficile, pour la rendre si difficile que leurs péchés, à notre égard, ne nous permettent plus de goûter aux joies du salut en Jésus-Christ.
À leur façon, ces péchés dominent notre vie, ils lui impriment des comportements que nous n'aurions pas si nous n'étions pas soumis à une telle pression.
Combien de pensées étrangères à la vie chrétienne n'ont-elles pas détruit la paix que Dieu avait mise dans notre coeur par Jésus-Christ ?
L'adversité est là ! Elle sera toujours présente et se manifestera continuellement durant notre pèlerinage terrestre, mais cette adversité ne doit pas prendre le dessus en nous poussant à penser plus à ceux qui nous persécutent qu'à celui qui a promis d'être avec nous tous les jours jusqu'à la fin du monde. Sa présence continuelle dans nos pensées devrait nous permettre de vivre en paix en dépit des circonstances : "Je vous donne ma paix" disait-il à ses disciples (
Jean 14: 27)

Faibles et parfois tremblants dans l'adversité, osons nous emparer des promesses de Dieu. Sachons lui faire part de nos troubles et lui demander de nous libérer de ce qui oppresse notre coeur tout comme le Psalmiste savait le faire (
v. 134) :

Délivre-moi de l'oppression des hommes,
Afin que je garde tes ordonnances !

L'apôtre Paul a su être délivré de l'oppression des hommes tout en subissant leurs coups ! Il a su rester fort dans la foi tout en étant en état de faiblesse devant ses adversaires qui parfois le rouaient de coup : "cinq fois j'ai reçu des Juifs quarante coups moins un" (2 Corinthiens 11: 24).
Comme lui,
nous sommes appelés à garder la foi quoiqu'il nous en coûte en nous rappelant que, même au plus fort du combat, au plus fort de l'injustice, le Seigneur nous a demandé de ne point nous venger nous-mêmes, de ne pas faire justice nous-mêmes et encore moins de nous réjouir de la chute de notre ennemi le jour où il exercera sa juste vengeance (Proverbes 24: 17-18)!

Ne vous faites point justice à vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère ; car il est écrit : C'est à moi de faire justice ; c'est moi qui rétribuerai, dit le Seigneur. Romains 12: 19 (v. Bible annotée)

Ne vous vengez point vous-mêmes, mes bien-aimés, mais laissez agir la colère de Dieu, car il est écrit : à moi [appartient] la vengeance ; je le rendrai, dit le Seigneur. (v. D. M)


Par ces textes, nous voyons bien que Dieu connaît notre coeur et nos faiblesses. Il veut nous tranquilliser en nous assurant que
c'est lui qui prendra la responsabilité d'agir en conséquence vis-à-vis de ceux qui nous persécutent.
Notre part consiste à résister à la tentation de rendre la pareille, de demander au Seigneur la force afin de ne pas faire des compromis avec sa Parole.

Notre part est aussi de lui demander de nous libérer des conséquences de ces oppressions afin que nous puissions garder avec joie les commandements du Seigneur et continuer à nous instruire librement des choses qui concernent le Royaume de Dieu. (
Délivre-moi... afin que je garde tes ordonnances. v. 134)

Ainsi, par la grâce de Dieu et avec l'aide de son Fils bien-aimé et du Saint-Esprit nous arriverons à prier pour ceux qui nous maltraitent -
en faveur de ceux qui nous maltraitent - comme l'enseignait Jésus à ses disciples :

Mais moi
(Jésus), je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux... Matthieu 5: 44-45 (v. L. S)

.... ne laisse aucune iniquité dominer sur moi !

Oui, c'est bien là ma prière, car je ne veux pas être mené par toutes sortes de pensées qui détruiraient la foi et la paix que Jésus donne à ceux qui se confient en lui !
C'est là ma prière qui va aussi rejoindre celle de l'auteur du psaume 119 afin qu'avec les sentiments qui étaient en Christ (et que je désire avoir), je puisse aussi pleurer sur ceux qui n'observent pas la loi de Dieu et non pleurer sur le mal qu'ils ont pu me faire et qu'ils pourraient encore me faire (
v. 136) !

Mes yeux répandent des torrents d'eaux,
Parce qu'on n'observe point ta loi.

Toutefois, avant de pleurer sur ceux qui ne connaissent pas Dieu et qui seront perdus pour l'éternité s'ils ne changent pas de voie...

... je dois considérer ma marche avec le Seigneur afin que d'autres n'aient pas des raisons de pleurer sur moi en constatant que je ne suis plus un observateur de la Parole de Dieu et qu'en conséquence le sort des précédents pourrait bien devenir le mien.

Suis-je toujours dans le camp de ceux qui aiment Jésus et qui l'aiment en le démontrant par l'obéissance à SA parole ?

***

Affermis mes pas dans ta Parole - encourage-moi dans mes pas de foi

***

Regarde si je suis sur une mauvaise voie,
Et conduis-moi sur la voie de l'éternité !
Psaume 139: 24


© J-M Ravé 12 janvier 2008 -
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