Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

l'Abécédaire pour une vie bénie

(34) (Aïn)

(2e partie) Dieu peut-il encore me cautionner?

Si Dieu est pour nous... Romains 8: 31 (v. L. S)

(Samson ne savait pas que l'Éternel s'était retiré de lui. Juges 16: 20)

Nous ferions bien de nous poser cette question :
Dieu est-il pour moi ?
Il le faudrait, car une réponse positive nous permettrait d'envisager l'avenir d'une façon beaucoup plus sereine, en nous donnant de l'assurance.

En effet,
si Dieu est pour nous, alors nous avons la majorité avec nous !
Être seul, tout seul avec Dieu, est préférable à toute autre situation où l'on se trouverait contre lui !
Gardons bien en mémoire que
c'est lui qui aura le dernier mot, que personne ne pourra faire pression sur lui pour qu'il change un seul iota, un seul trait de lettre de ce qu'il a dit ! (Matthieu 5: 18 ; Luc 16: 17)

Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles (celles de Jésus) ne passeront point. Matthieu 24: 35 (v. L. S)

Ce qu'il a dit, ne le fera-t-il pas ? Ce qu'il a déclaré, ne l'exécutera-t-il pas ?
Nombres 23: 19 (v. L. S)

Si Dieu est pour nous...
Ce "Si" a donc de l'importance, car une réponse positive va contribuer à ce que "toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu" (
Romains 8: 28). Il est évident que, dans le cas contraire, si Dieu n'est pas pour nous, la seule chose que nous ayons à faire sera de répondre à son amour en revenant à lui comme le fils prodigue a pu le faire.

Si Dieu est pour nous... rien ni personne, pas même l'accusateur (Satan)
ne pourra rompre l'alliance dans laquelle nous sommes entrés par notre acceptation du salut en Jésus-Christ.

En
restant dans cette alliance nous possédons une liberté inimaginable puisque nous avons accès au trône de Dieu étant "assis AVEC Christ dans les lieux célestes" (Éphésiens 2: 6). Sans doute ne suis-je pas assez conscient d'avoir un tel privilège et ne sais-je pas en profiter suffisamment pour y présenter mes requêtes, mes prières !

Libérés de tout un protocole (la loi de Moïse), si Dieu est pour nous, si nous avons un coeur qui cherche l'Éternel, un coeur qui a soif de Dieu, alors nous aurons l'audace qu'ont eue certains héros de la foi et nous oserons présenter, dans une crainte respectueuse, des prières que bien peu oseraient faire.
Souvenons-nous d'Abraham qui fit baisser les exigences de Dieu pour tenter de sauver les habitants de Sodome de la destruction !
Regardons aussi l'auteur du psaume 119 ! N'a-t-il pas eu l'audace de demander à ce que l'Éternel devienne son garant, à ce que l'Éternel le cautionne ? Il a osé alors qu'il ne bénéficiait pas de la liberté que nous avons en Jésus-Christ ! (
v. 122 - version Darby)

Sois le garant de ton serviteur pour [son] bien...

Fallait-il qu'il ait l'assurance d'être aimé de Dieu pour faire une telle demande !
Fallait-il que rien dans sa vie ne fasse obstacle à une telle hardiesse !

N'était-ce pas un peu exagéré de demander à ce que le Seigneur des seigneurs,
le Dieu trois fois saint, prenne sous sa protection celui qui s'adressait à lui et qui se reconnaissait pécheur ? Il est vrai que d'autres l'avaient fait avant lui, tel Job par exemple !

Sois auprès de toi-même ma caution ; Autrement, qui répondrait pour moi ? Job 17: 3 (L. S)
Si des hommes ont pu faire une telle demande alors qu'ils vivaient sous la loi, à combien plus forte raison devons-nous avoir la même liberté qu'eux puisque vivant sous la grâce, étant sous la nouvelle alliance, Jésus, en portant nos péchés, s'est porté garant de la purification de nos péchés en subissant, A NOTRE PLACE, la condamnation que nous méritions tous !

Si Dieu est pour nous...
En tout cas, il l'était le jour où nous sommes passés par la porte étroite !
Mais..., l'est-il toujours ?
Il serait utile de le savoir, car la réponse à nos prières dépend de notre attitude à son égard. Nous savons que Dieu n'exauce pas les pécheurs et que si nous vivons dans le péché, il ne saurait être pour nous !

Nous savons que Dieu n'exauce point les pécheurs ; mais, si quelqu'un l'honore et fait sa volonté, c'est celui-là qu'il exauce. Jean 9: 31 (v. L. S)

Avec le temps, le Seigneur rétrécit les mailles du tamis ! Avec le temps il devient plus exigent et ne permet plus que tel ou tel comportement, autrefois toléré en raison de notre jeunesse dans la foi, puisse encore se manifester maintenant que nous allons vers la stature parfaite de Christ (Éphésiens 4: 13).
Ceci nous aide à comprendre pourquoi nous ne devons jamais calquer notre vie sur les faiblesses de nos frères qui semblent avoir moins de contraintes que nous.
Puisque que nous sommes invités à "marcher de progrès en progrès" (
1 Thessaloniciens 4: 1), il n'est pas pensable que le Seigneur abaisse ses exigences envers nous qui avons déjà fait un bon bout de chemin.
La sanctification appelle à une marche continuelle qui, au fur et à mesure, doit permettre à l'image de Christ (en nous) de devenir de plus en plus ressemblante à l'original (Jésus).

Le Psalmiste voulait toujours aller de l'avant dans la connaissance de la Parole de Dieu.
Ayons le même désir et, comme lui mettons en pratique ce que nous avons appris. Ce sera un moyen d'avoir un coeur qui ne nous condamne pas pour "refus d'obéissance" et permettra au Seigneur de prouver son approbation en démontrant qu'il est POUR nous, même lorsque nous serons confrontés aux adversaires de l'Évangile.

Mon coeur est-il en paix quand l'orage gronde autour de moi ? Est-il assuré de la présence du Seigneur lorsque je suis dans la tourmente ou suis-je en train de m'inquiéter parce que je ne vois pas la main de Dieu ?
N'y a-t-il pas un petit quelque chose qui me tracasse et qui jette du trouble dans mon coeur parce que je prends soudainement conscience que je n'ai pas été comme le Seigneur aurait voulu que je sois ?

L'apôtre Jean pouvait dire que : "
si notre coeur ne nous condamne pas, nous avons de l'assurance devant Dieu" (1 Jean 3: 21).

Il est évident qu'il faut envisager cette dernière pensée en fonction de notre engagement avec le Seigneur car il est reconnu qu'un grand nombre de personnes ne se sentent plus coupables de rien simplement
parce qu'elles ont fait taire leur conscience.

Certains l'ont fait taire
en partie en refusant d'entrer en matière concernant certaines portions de l'Écriture qui les dérangeaient et dont ils ne veulent plus entendre parler. La cause étant entendue pour eux, ils se sont enfermés dans leurs raisonnements au risque même de se séparer du corps de Christ, du rassemblement des frères.

Une conscience muette, une conscience qui n'a plus la liberté de s'exprimer ne peut évidemment pas être prise en considération !
Seule une conscience alliée à la foi dans la Parole de Dieu peut être tenue comme fiable !

Ainsi il y a des domaines où Dieu ne peut plus agir parce que des hommes et femmes ont décidé,
à la place de Dieu, que dorénavant, les choses ne se passeraient plus comme par le passé, comme au temps où l'apôtre a pu écrire : "Jésus-Christ EST le même hier, aujourd'hui, et éternellement" (Hébreux 13: 8).

Si dans certains domaines, cette position intransigeante ferme la porte à quelques bénédictions, par contre, il y en d'autres beaucoup plus à risques puisque la Bible parle carrément de.... "naufrage" !

Cette conscience, quelques-uns l'ont perdue, et ils ont fait naufrage par rapport à la foi. 1 Timothée 1: 19 (v. L. S)

Le moyen le plus sûr pour faire naufrage en ce qui concerne la foi, c'est de ne plus croire Dieu, ne plus croire dans SA Parole, dans TOUTE SA PAROLE !

Il suffit d'une petite voie d'eau pour que le navire coule !
De même c'est aussi l'abandon progressif de quelques vérités bibliques qualifiées de "mineures" qui feront que la foi n'aura plus la même portance pour soutenir quelqu'un dans l'épreuve.
Tout le reste du navire peut être en bon état, mais si une brèche a été faite c'est par elle, et uniquement par elle, que pourra s'infiltrer ce qui va contribuer à la mort !
Combien de "courants" étrangers à la "saine doctrine" ne se sont-ils pas engouffrés dans l'Église de la fin des temps parce que certains dirigeants n'ont pas été vigilants ?

"
Nous ne falsifions point la Parole de Dieu, comme font plusieurs" pouvait affirmer l'apôtre Paul aux Corinthiens (2 Corinthiens 2: 17) ! Déjà on frelatait (selon la traduction Darby) la Parole de Dieu à son époque, déjà on y ajoutait des éléments pour la rendre plus acceptable aux adeptes de cultes étrangers, déjà on en ôtait d'autres afin de la rendre plus souple, moins rigide !

Qu'à notre tour nous ne tombions pas dans les mêmes pièges ! Soyons honnêtes devant le Seigneur et laissons dire à SA Parole, ce qu'elle dit, laissons dire au Saint-Esprit ce qu'il a à nous dire en conformité avec l'Écriture.

Émettre un doute sur l'importance de ce que Dieu a pu nous transmettre, va déjà affaiblir la portée de sa Parole, l'affaiblir au point d'estimer (à tort) que tel ou tel enseignement peut fort bien être négligé.
Puis, chemin faisant, en compagnie du "père du mensonge" qui a pu inspirer de telles pensées, il s'ensuivra un attiédissement progressif.
C'est à cause de cet attiédissement qu'il ne restera plus que la caricature d'un christianisme sans force, sans puissance, un christianisme à la portée d'un monde qui se chargera de "l'oecuméniser" et qui ne manquera pas de se moquer de ceux et celles qui, comme le Psalmiste, pourront dire haut et fort (v.
127) :

J'aime tes commandements, Plus que l'or et que l'or fin !

Nous en parlions déjà la semaine passée et nous pouvons de nouveau nous remettre à l'ouvrage afin de convaincre les timides quant à la nécessité absolue de rester fermement attachés à l'Écriture, à ce qu'elle dit, comme elle le dit !

Sans cet attachement, il n'est pas possible d'envisager que Dieu puisse approuver notre conduite !
Sans cet attachement comment Dieu pourrait-il nous être favorable ?
Si nous sommes infidèles, si nous le renions, si nous repoussons sa Parole, ne nous reniera-t-il pas aussi puisqu'il demeure fidèle à sa propre Parole ?
N'ayons pas honte des Paroles de notre Seigneur !
N'ayons pas la crainte de les défendre contre le monde qui veut nous absorber et n'ayons pas peur de les défendre
contre notre vieille nature charnelle. "Quiconque aura honte de moi et de mes paroles..." (Luc 9: 26) disait Jésus tout en précisant : "Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie" (Jean 6: 63).

Sachant cela, connaissant l'importance que le Seigneur Jésus a donnée à SES paroles (Paroles de Dieu, ne l'oublions pas !), comment pourrais-je ne pas les aimer plus que tout au monde, plus que l'or fin dont nous parle le Psalmiste ?
Ce dernier a su faire la part des choses et reconnaître, en connaisseur, ce qui avait véritablement de la valeur dans notre monde !
Une valeur qui ne se dépréciera pas, une valeur qui ne pourra jamais subir de changement, une valeur vraie qui ne saurait se dévaluer avec le temps : "
l'Écriture ne pouvant être anéantie" (Jean : 10: 35).

Tenir la Parole de Dieu pour la vérité... se tenir à ce qu'elle dit ! Voilà ce qui fera pencher le coeur de Dieu vers son enfant ! Un enfant qui, à son tour, comme le Psalmiste, pourra témoigner (
v. 128)

Je trouve justes toutes tes ordonnances,
Je hais toute voie de mensonge.

Avoir une telle attitude nous démarquera de ceux qui prétendent que Dieu est injuste, de ceux qui n'ont pas plus conscience de l'amour du Seigneur que de sa justice et de sa sainteté, jugeant hâtivement le Créateur selon l'image qu'ils se donnent de ce que devrait être leur Dieu !

Une fois de plus, l'auteur du psaume 119 va remettre en avant le fait qu'il déteste le mensonge. Son aversion pour le mensonge ira toujours plus en grandissant au fil du temps.

- Je hais toute voie de mensonge. (v. 104 & 128)
-
Je hais, je déteste le mensonge ; J'aime ta loi. (v. 163)

Puissions-nous avoir la même attitude que cet homme qui savait craindre Dieu et prendre SA parole pour appui !
Il nous rappelle qu'il n'est pas possible d'aimer la Parole de Dieu et d'approuver le mensonge et encore moins de vivre dans le mensonge, pas même dans le "pieux mensonge" qui est aussi exécrable que n'importe quel autre mensonge puisqu'il est en opposition avec la vérité !

Notre Psalmiste ayant une si bonne attitude de coeur, nous sommes maintenant de moins en moins surpris qu'il se permette de faire des demandes qui étonneraient ceux qui restent superficiels et qui négligent de marcher de progrès en progrès (
v. 122 - version Darby)  :

Sois le garant de ton serviteur pour [son] bien...

Qui répondrait pour moi, s'interrogeait Job ?
Qui nous défendra contre l'accusateur si ce n'est celui qui a porté la peine de nos péchés ?
Cet ennemi qui, encore selon la Parole de Dieu, passe son temps à accuser nos frères, c'est-à-dire à
nous accuser puisque que, pour d'autres, nous sommes aussi des frères !

Des frères qui peuvent être accusés à tort, mais
aussi avec raison si nous ne nous sommes pas de bons serviteurs et de bonnes servantes du Seigneur !
Satan ne manquera pas une occasion pour mettre en lumière nos manquements et nos fautes cachés ! Il n'a aucune compassion pour nous, aucun désir de nous faire du bien, même lorsqu'il nous aide à satisfaire nos propres désirs.
Si nous devons être mis en accusation, il est préférable que ce soit par le Saint-Esprit plutôt que par le diable car le Saint-Esprit nous reprendra dans notre conscience dès qu'il constatera que nous ne marchons plus dans la Vérité. Il le fera pour notre bien et non pour amener la condamnation sur nous.

Acceptons sa façon d'agir, même s'il doit utiliser un homme ou une femme pour nous reprendre. Il veut notre bien afin que les accusations de l'adversaire de nos âmes ne puissent plus tenir, nous étant pliés à la volonté de notre Père céleste.

Maintenant, il se peut que nous ne comprenions pas telle ou telle instruction, parce que notre éducation spirituelle n'a pas été faite correctement ou plus simplement que nous comprenions mal ce qui a été écrit. ("
Certes, je suis plus stupide que personne, Et je n'ai pas l'intelligence d'un homme..." - Proverbes 30: 2 - paroles d'Agur)
Dans ce cas, ne nous cachons pas derrière de mauvaises excuses pour nous défendre, mais, si nous sommes droits de coeur, réclamons au Seigneur sa lumière pour nous faire comprendre SA pensée (
"La révélation de tes paroles éclaire, Elle donne de l'intelligence aux simples." - Psaume 119: 130)

Je suis ton serviteur : donne-moi l'intelligence,
Pour que je connaisse tes préceptes !
(v. 125)

Nous ne reviendrons pas sur cette demande faite par le Psalmiste, si ce n'est pour relever que si nous avons le privilège d'être appelés "enfants de Dieu" (Jean 1: 12) et NOUS LE SOMMES (1 Jean 3: 1), nous restons quand même des serviteurs au même titre que l'a été le Seigneur Jésus à l'égard de son Père (Actes 4: 27) et des hommes (Romains 15: 8).
Et, puisque Jésus a dû apprendre l'obéissance, lui qui était sans péché, comment ne devrions-nous pas tout faire pour être agréables à Dieu en plongeant nos regards dans la loi parfaite de Dieu et en mettant en pratique ce qu'elle nous demande ?

Celui qui aura regardé au-dedans de la Loi parfaite, qui [est la Loi] de la liberté ; et qui aura persévéré, n'étant point un auditeur oublieux, mais s'appliquant à l'oeuvre [qui lui est prescrite], celui-là sera heureux dans ce qu'il aura fait. Jacques 1: 25 (v. D. M)

Nous avons vu que le bien le plus précieux que nous avons sur la Terre est la Parole que Dieu nous a donnée. C'est un bien qui n'a pas son équivalent, un bien qu'il nous appartient de conserver intact afin qu'un autre bien, notre âme... ne perde pas la valeur que Dieu lui a accordée en donnant son Fils pour la racheter !

"Sois le garant de ton serviteur pour [son] bien..." disait le Psalmiste dans la version Darby !
"Prends sous ta garantie le bien de ton serviteur" nous disent d'autres versions qui, sans se contredire, permettent aussi de dire que le bien sur lequel l'homme doit veiller, est son âme immortelle.
Dieu veille sur sa Parole pour qu'elle s'accomplisse (
Jérémie 1: 12), et moi je veille sur mon âme (Deutéronome 4: 9).
Mon âme dont la destinée dépendra de ce que j'aurai fait du trésor le plus merveilleux qui ait pu être en ma possession : La Parole de Dieu !

Si Dieu est pour nous..., si nous sommes pour lui...,
Alors nous garderons l'assurance que J
ésus s'est porté garant de la purification de nos péchés en subissant, A NOTRE PLACE, la condamnation que nous méritions tous !

Dieu est-il toujours pour moi comme il l'a été lorsque je me suis engagé avec lui en obéissant à sa Parole en passant par les eaux du baptême ?

Dépose, je te prie, [un gage] ; sois toi-même garant pour moi auprès de toi ! Qui d'autre voudrait me frapper dans la main ? Job 17: 3 (v. Bible annotée)

Dépose, je te prie, [un gage] ; cautionne-moi auprès de toi-même : qui donc frappera dans ma main ? (v. D)


Dieu pourrait-il "taper dans ma main" pour agir à la manière des hommes et ainsi conclure qu'il est bien avec moi et que son accord d'assistance, de soutien est toujours valable parce qu'il a constaté que, de mon côté, je n'ai pas brisé mon engagement à son accord, que j'ai respecté ma parole en respectant la sienne ?

Que le Dieu de paix, qui a ramené d'entre les morts le grand pasteur des brebis, par le sang d'une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus, vous rende capables de toute bonne oeuvre pour l'accomplissement de sa volonté, et fasse en vous ce qui lui est agréable, par Jésus-Christ, auquel soit la gloire aux siècles des siècles ! Amen ! Hébreux 13: 20-21 (v. L. S)


© J-M Ravé 8 décembre 2007 -
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