Si Dieu
est pour nous... Romains 8: 31 (v. L. S)
(Samson ne savait pas
que l'Éternel s'était retiré
de lui. Juges 16: 20)
Nous ferions bien de nous poser cette
question : Dieu
est-il pour moi ?
Il le faudrait, car une réponse positive
nous permettrait d'envisager l'avenir d'une
façon beaucoup plus sereine, en nous donnant
de l'assurance.
En effet, si Dieu est
pour nous, alors nous avons la majorité avec
nous !
Être seul, tout
seul avec Dieu, est préférable
à toute autre situation où l'on se
trouverait contre
lui !
Gardons bien en mémoire que c'est lui qui aura le dernier
mot, que personne ne
pourra faire pression sur lui pour qu'il change un
seul iota, un seul trait de lettre de ce qu'il a
dit ! (Matthieu 5: 18 ; Luc 16: 17)
Le ciel
et la terre passeront, mais mes paroles
(celles de
Jésus) ne passeront point. Matthieu 24: 35 (v. L. S)
Ce qu'il a dit, ne le fera-t-il pas ? Ce qu'il
a déclaré, ne l'exécutera-t-il
pas ? Nombres 23: 19 (v. L. S)
Si Dieu est pour
nous...
Ce "Si" a donc de l'importance, car une
réponse positive va contribuer à ce
que "toutes choses concourent au bien de ceux qui
aiment Dieu" (Romains 8: 28). Il est évident que, dans le
cas contraire, si Dieu n'est pas pour nous, la
seule chose que nous ayons à faire sera de
répondre à son amour en revenant
à lui comme le fils prodigue a pu le
faire.
Si Dieu est pour nous... rien ni personne, pas
même l'accusateur (Satan) ne pourra rompre l'alliance dans
laquelle nous sommes entrés par notre
acceptation du salut en
Jésus-Christ.
En restant
dans cette alliance nous possédons une
liberté inimaginable puisque nous avons
accès au trône de Dieu étant
"assis
AVEC Christ dans les lieux
célestes"
(Éphésiens 2:
6). Sans doute ne
suis-je pas assez conscient d'avoir un tel
privilège et ne sais-je pas en profiter
suffisamment pour y présenter mes
requêtes, mes prières !
Libérés de tout un protocole (la loi
de Moïse), si Dieu est pour nous, si nous
avons un coeur qui cherche l'Éternel, un
coeur qui a soif de Dieu, alors nous aurons
l'audace qu'ont eue certains héros de la foi
et nous oserons présenter, dans une crainte
respectueuse, des prières que bien peu
oseraient faire.
Souvenons-nous d'Abraham qui fit baisser les
exigences de Dieu pour tenter de sauver les
habitants de Sodome de la destruction !
Regardons aussi l'auteur du psaume 119 !
N'a-t-il pas eu l'audace de demander à ce
que l'Éternel devienne son garant, à
ce que l'Éternel le cautionne ? Il a
osé alors qu'il ne bénéficiait
pas de la liberté que nous avons en
Jésus-Christ ! (v. 122 -
version Darby)
Fallait-il qu'il ait
l'assurance d'être aimé de Dieu pour
faire une telle demande !
Fallait-il que rien dans sa vie ne fasse obstacle
à une telle hardiesse !
N'était-ce pas un peu exagéré
de demander à ce que le Seigneur des
seigneurs, le Dieu
trois fois saint,
prenne sous sa protection celui qui s'adressait
à lui et qui se reconnaissait
pécheur ? Il est vrai que d'autres
l'avaient fait avant lui, tel Job par
exemple !
Sois
auprès de toi-même ma caution ;
Autrement, qui répondrait
pour moi ? Job 17: 3 (L. S)
Si des hommes ont pu
faire une telle demande alors qu'ils vivaient
sous la
loi, à combien
plus forte raison devons-nous avoir la même
liberté qu'eux
puisque vivant sous la
grâce,
étant sous la
nouvelle alliance,
Jésus,
en portant nos
péchés,
s'est porté garant de la purification de nos
péchés en subissant, A NOTRE PLACE,
la condamnation que nous méritions
tous !
Si
Dieu est pour nous...
En tout cas, il
l'était le jour où nous sommes
passés par la porte
étroite !
Mais..., l'est-il toujours ?
Il serait utile de le savoir, car la réponse
à nos prières dépend de notre
attitude à son égard. Nous savons que
Dieu n'exauce pas les pécheurs et que
si nous vivons dans le péché, il ne
saurait être pour nous !
Nous
savons que Dieu n'exauce point les
pécheurs ; mais, si quelqu'un l'honore
et fait sa volonté, c'est celui-là
qu'il exauce. Jean 9: 31 (v. L. S)
Avec le temps, le
Seigneur rétrécit les mailles du
tamis ! Avec le
temps il devient plus exigent et ne permet plus que
tel ou tel comportement, autrefois
toléré en raison de notre jeunesse
dans la foi, puisse encore se manifester
maintenant que nous
allons vers la stature parfaite de Christ
(Éphésiens 4:
13).
Ceci nous aide à comprendre pourquoi nous ne
devons jamais calquer notre vie sur les faiblesses
de nos frères qui semblent avoir moins de
contraintes que nous.
Puisque que nous sommes invités à
"marcher de progrès en progrès"
(1 Thessaloniciens 4: 1), il n'est pas pensable que le
Seigneur abaisse ses exigences envers nous qui
avons déjà fait un bon bout de
chemin.
La sanctification appelle à une marche
continuelle qui, au fur et à mesure, doit
permettre à l'image de Christ (en nous) de
devenir de plus en plus ressemblante à
l'original (Jésus).
Le Psalmiste voulait toujours aller de l'avant dans
la connaissance de la Parole de Dieu.
Ayons le même
désir et,
comme lui mettons en
pratique ce que nous avons appris. Ce sera un moyen d'avoir un coeur
qui ne nous condamne pas pour "refus
d'obéissance" et permettra au Seigneur de
prouver son
approbation en
démontrant qu'il est POUR nous, même
lorsque nous serons confrontés aux
adversaires de l'Évangile.
Mon coeur est-il en paix quand l'orage gronde
autour de moi ? Est-il assuré de la
présence du Seigneur lorsque je suis dans la
tourmente ou suis-je en train de m'inquiéter
parce que je ne vois pas la main de Dieu ?
N'y a-t-il pas un petit quelque chose qui me
tracasse et qui jette du trouble dans mon coeur
parce que je prends soudainement conscience que je
n'ai pas été comme le Seigneur aurait
voulu que je sois ?
L'apôtre Jean pouvait dire que :
"si notre
coeur ne nous condamne pas, nous avons de
l'assurance devant Dieu"
(1 Jean 3: 21).
Il est évident qu'il faut envisager cette
dernière pensée en fonction de notre
engagement avec le Seigneur car il est reconnu
qu'un grand nombre de personnes ne se sentent plus
coupables de rien simplement parce qu'elles ont fait taire leur
conscience.
Certains l'ont fait taire en partie en refusant d'entrer en
matière concernant certaines portions de
l'Écriture qui les dérangeaient et
dont ils ne veulent plus entendre parler. La cause
étant entendue pour eux, ils se sont
enfermés dans leurs raisonnements au risque
même de se séparer du corps de Christ,
du rassemblement des frères.
Une conscience muette, une conscience qui n'a plus
la liberté de s'exprimer ne peut
évidemment pas être prise en
considération !
Seule une conscience
alliée à la foi dans la Parole de
Dieu peut être tenue comme fiable !
Ainsi il y a des domaines où Dieu ne peut
plus agir parce que des hommes et femmes ont
décidé, à la place de
Dieu, que
dorénavant, les choses ne se passeraient
plus comme par le passé, comme au temps
où l'apôtre a pu écrire :
"Jésus-Christ EST le même hier,
aujourd'hui, et éternellement" (Hébreux 13: 8).
Si dans certains domaines, cette position
intransigeante ferme la porte à quelques
bénédictions, par contre, il y en
d'autres beaucoup plus à risques puisque la
Bible parle carrément de....
"naufrage" !
Cette
conscience, quelques-uns l'ont
perdue, et ils ont fait naufrage par
rapport à la foi. 1 Timothée 1: 19 (v. L. S)
Le moyen le plus
sûr pour faire naufrage en ce qui concerne la
foi, c'est de ne plus croire Dieu, ne plus croire
dans SA Parole, dans TOUTE SA
PAROLE !
Il suffit d'une petite voie d'eau pour que le
navire coule !
De même c'est aussi l'abandon progressif de
quelques vérités bibliques
qualifiées de "mineures" qui feront que la
foi n'aura plus la même portance pour
soutenir quelqu'un dans l'épreuve.
Tout le reste du navire peut être en bon
état, mais si une brèche a
été faite c'est par elle, et
uniquement par elle, que pourra s'infiltrer ce qui
va contribuer à la mort !
Combien de "courants" étrangers à la
"saine doctrine" ne se sont-ils pas
engouffrés dans l'Église de la fin
des temps parce que certains dirigeants n'ont pas
été vigilants ?
"Nous ne
falsifions point la Parole de Dieu, comme font
plusieurs" pouvait
affirmer l'apôtre Paul aux Corinthiens
(2 Corinthiens 2: 17) ! Déjà on
frelatait (selon la traduction Darby) la Parole de
Dieu à son époque, déjà
on y ajoutait des éléments pour la
rendre plus acceptable aux adeptes de cultes
étrangers, déjà on en
ôtait d'autres afin de la rendre plus souple,
moins rigide !
Qu'à notre tour nous ne tombions pas dans
les mêmes pièges ! Soyons
honnêtes devant le Seigneur et laissons dire
à SA Parole, ce qu'elle dit, laissons dire
au Saint-Esprit ce qu'il a à nous dire en
conformité avec l'Écriture.
Émettre un
doute sur
l'importance de ce que Dieu a pu nous transmettre,
va déjà
affaiblir la portée de sa
Parole, l'affaiblir
au point d'estimer (à tort) que tel ou tel
enseignement peut fort bien être
négligé.
Puis, chemin faisant, en compagnie du "père
du mensonge" qui a pu inspirer de telles
pensées, il s'ensuivra un
attiédissement progressif.
C'est à cause de cet attiédissement
qu'il ne restera plus que la caricature d'un
christianisme sans force, sans puissance, un
christianisme à la portée d'un monde
qui se chargera de "l'oecuméniser" et qui ne
manquera pas de se moquer de ceux et celles qui,
comme le Psalmiste, pourront dire haut et fort (v.
127) :
Nous en parlions
déjà la semaine passée et nous
pouvons de nouveau nous remettre à l'ouvrage
afin de convaincre les timides quant à
la
nécessité absolue de rester fermement
attachés à
l'Écriture,
à ce qu'elle
dit, comme elle le dit !
Sans cet attachement, il n'est pas possible
d'envisager que Dieu puisse approuver notre
conduite !
Sans cet attachement comment Dieu pourrait-il nous
être favorable ?
Si nous sommes infidèles, si nous le
renions, si nous repoussons sa Parole, ne nous
reniera-t-il pas aussi puisqu'il demeure
fidèle à sa propre Parole ?
N'ayons pas honte des Paroles de notre
Seigneur !
N'ayons pas la crainte de les défendre
contre le monde qui veut nous absorber et n'ayons
pas peur de les défendre contre notre vieille nature
charnelle.
"Quiconque aura honte de moi et
de mes
paroles..."
(Luc 9: 26)
disait Jésus tout en précisant :
"Les
paroles que je vous ai dites sont esprit et
vie" (Jean 6: 63).
Sachant cela, connaissant l'importance que le
Seigneur Jésus a donnée à SES
paroles (Paroles de Dieu, ne l'oublions
pas !), comment pourrais-je ne pas les aimer
plus que tout au monde, plus que l'or fin dont nous
parle le Psalmiste ?
Ce
dernier a su faire la
part des choses et reconnaître, en
connaisseur, ce qui avait véritablement de
la valeur dans notre monde !
Une valeur qui ne se dépréciera pas,
une valeur qui ne pourra jamais subir de
changement, une valeur vraie qui ne saurait se
dévaluer avec le temps :
"l'Écriture ne pouvant
être anéantie" (Jean : 10: 35).
Tenir la Parole de Dieu pour la
vérité... se tenir à ce
qu'elle dit ! Voilà ce qui fera pencher
le coeur de Dieu vers son enfant ! Un enfant
qui, à son tour, comme le Psalmiste, pourra
témoigner (v. 128)
Avoir une telle attitude nous
démarquera de ceux qui prétendent que
Dieu est injuste, de ceux qui n'ont pas plus conscience de
l'amour du Seigneur que de sa justice et de sa
sainteté,
jugeant hâtivement le Créateur selon
l'image qu'ils se donnent de ce que devrait
être leur Dieu !
Une fois de plus, l'auteur du psaume 119 va
remettre en avant le fait qu'il déteste le
mensonge. Son aversion pour le mensonge ira
toujours plus en grandissant au fil du temps.
- Je hais
toute voie de mensonge.
(v. 104
& 128)
- Je
hais, je déteste le mensonge ; J'aime
ta loi. (v. 163)
Puissions-nous avoir
la même attitude que cet homme qui savait
craindre Dieu et prendre SA parole pour
appui !
Il nous rappelle qu'il n'est pas possible d'aimer
la Parole de Dieu et d'approuver le mensonge et
encore moins de vivre dans le mensonge, pas
même dans le "pieux mensonge" qui est aussi
exécrable que n'importe quel autre mensonge
puisqu'il est en opposition avec la
vérité !
Notre Psalmiste ayant une si bonne attitude de
coeur, nous sommes maintenant de moins en moins
surpris qu'il se permette de faire des demandes qui
étonneraient ceux qui restent superficiels
et qui négligent de marcher de
progrès en progrès (v. 122 -
version Darby) :
Sois
le garant de ton serviteur pour [son]
bien...
Qui répondrait pour moi, s'interrogeait
Job ?
Qui nous défendra contre l'accusateur si ce
n'est celui qui a porté la peine de nos
péchés ?
Cet ennemi qui, encore selon la Parole de Dieu,
passe son temps à accuser nos frères,
c'est-à-dire à nous
accuser puisque que, pour d'autres, nous sommes aussi des
frères !
Des frères qui peuvent être
accusés à tort, mais aussi avec raison si nous ne nous sommes pas de bons
serviteurs et de bonnes servantes du
Seigneur !
Satan ne manquera pas une occasion pour mettre en
lumière nos manquements et nos fautes
cachés ! Il n'a aucune compassion pour
nous, aucun désir de nous faire du bien,
même lorsqu'il nous aide à satisfaire
nos propres désirs.
Si nous devons être mis en accusation, il est
préférable que ce soit par le
Saint-Esprit plutôt que par le diable car le
Saint-Esprit nous reprendra dans notre conscience
dès qu'il constatera que nous ne marchons
plus dans la Vérité. Il le fera pour
notre bien et non pour amener la condamnation sur
nous.
Acceptons sa façon d'agir, même s'il
doit utiliser un homme ou une femme pour nous
reprendre. Il veut notre bien afin que les
accusations de l'adversaire de nos âmes ne
puissent plus tenir, nous étant pliés
à la volonté de notre Père
céleste.
Maintenant, il se peut que nous ne comprenions pas
telle ou telle instruction, parce que notre
éducation spirituelle n'a pas
été faite correctement ou plus
simplement que nous comprenions mal ce qui a
été écrit. ("Certes, je suis plus
stupide que personne, Et je n'ai pas l'intelligence
d'un homme..." -
Proverbes 30: 2 - paroles d'Agur)
Dans ce cas, ne nous cachons pas derrière de
mauvaises excuses pour nous défendre, mais,
si nous sommes droits de coeur, réclamons au
Seigneur sa lumière pour nous faire
comprendre SA pensée ("La
révélation de tes paroles
éclaire, Elle donne de
l'intelligence aux simples." - Psaume 119: 130)
Nous ne reviendrons pas sur
cette demande faite par le Psalmiste, si ce n'est
pour relever que si
nous avons le privilège d'être
appelés "enfants de Dieu"
(Jean 1: 12) et NOUS LE SOMMES (1 Jean 3: 1), nous
restons quand même des
serviteurs au
même titre que l'a été le
Seigneur Jésus à l'égard de
son Père (Actes 4: 27) et des hommes (Romains 15: 8).
Et, puisque Jésus a dû apprendre
l'obéissance, lui qui était sans
péché, comment ne devrions-nous pas
tout faire pour être agréables
à Dieu en plongeant nos regards dans la loi
parfaite de Dieu et en mettant en pratique ce
qu'elle nous demande ?
Celui qui
aura regardé au-dedans de la Loi parfaite,
qui [est la Loi] de la liberté ; et qui
aura persévéré, n'étant
point un auditeur oublieux, mais s'appliquant à
l'oeuvre [qui lui est prescrite], celui-là sera
heureux dans ce qu'il aura fait. Jacques 1: 25 (v. D. M)
Nous avons vu que le bien le plus précieux
que nous avons sur la Terre est la Parole que Dieu
nous a donnée. C'est un bien qui n'a pas son
équivalent, un bien qu'il nous appartient de
conserver intact afin qu'un autre bien, notre
âme... ne perde pas la valeur que Dieu lui a
accordée en donnant son Fils pour la
racheter !
"Sois le
garant de ton serviteur pour [son]
bien..." disait le
Psalmiste dans la version Darby !
"Prends
sous ta garantie le bien de ton
serviteur" nous disent
d'autres versions qui, sans se contredire,
permettent aussi de dire que le bien sur lequel
l'homme doit veiller, est son âme
immortelle.
Dieu veille sur sa Parole pour qu'elle
s'accomplisse (Jérémie 1:
12), et moi je veille
sur mon âme (Deutéronome 4: 9).
Mon âme dont la destinée
dépendra de ce que j'aurai fait du
trésor le plus merveilleux qui ait pu
être en ma possession : La Parole de
Dieu !
Si Dieu est pour
nous...,
si nous sommes pour
lui...,
Alors nous garderons l'assurance que
Jésus s'est
porté garant de la purification de nos
péchés en subissant, A NOTRE PLACE,
la condamnation que nous méritions
tous !
Dieu est-il toujours
pour moi comme il l'a été lorsque je
me suis engagé avec lui en obéissant
à sa Parole en passant par les eaux du
baptême ?
Dépose, je te prie, [un
gage] ; sois toi-même garant pour moi
auprès de toi ! Qui d'autre voudrait me
frapper dans la main ? Job 17: 3 (v. Bible annotée)
Dépose, je te prie, [un gage] ;
cautionne-moi auprès de
toi-même : qui donc frappera dans ma
main ? (v. D)
Dieu pourrait-il
"taper dans ma main" pour agir à la
manière des hommes et ainsi conclure qu'il
est bien avec moi et que son accord d'assistance,
de soutien est toujours valable parce qu'il a
constaté que, de mon côté,
je n'ai pas
brisé mon engagement à son accord,
que j'ai
respecté ma parole en respectant la
sienne ?
Que le
Dieu de paix, qui a ramené d'entre les morts
le grand pasteur des brebis, par le sang d'une
alliance
éternelle, notre Seigneur Jésus, vous
rende capables de toute bonne oeuvre
pour
l'accomplissement de sa
volonté, et fasse en vous ce qui lui est
agréable, par Jésus-Christ, auquel
soit la gloire aux siècles des
siècles ! Amen ! Hébreux 13: 20-21 (v. L. S)
© J-M
Ravé 8 décembre 2007 -
CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse