L'exercice
corporel est utile à peu de chose, mais
la
piété est utile à
toutes choses, ayant les promesses
de la vie présente, et de celle qui est
à venir. 1 Timothée 4: 8 (v. D. M)
Nous vivons une époque où l'accent
est particulièrement mis sur le sport. En
son nom, des grands de ce monde essaient de
créer une fraternité qui soit
à même de démontrer que les
hommes peuvent s'entendre entre eux et ainsi
construire la paix ici-bas.
Malheureusement, malgré la bonne
volonté de bien des dirigeants, force est de
constater que les stades sont souvent l'occasion de
"conflits" où les règles du sport
sont parfois bafouées par les professionnels
et les champions, le désir de la victoire
étant plus fort que tout.
En dehors des sports d'équipe où il y
a un adversaire à vaincre pour remporter la
coupe, les honneurs et... des espèces
sonnantes et trébuchantes que Mammon sait
mettre en valeur, il y a aussi ceux qui pratiquent
des sports dit "extrêmes".
Là, le grand frisson est assuré au
point que parfois les "trompe la mort" se
retrouvent dans ses bras (ceux de la mort) pour
avoir sous-estimé le danger et
présumé de leurs forces, ou plus
exactement n'avoir point eu la sagesse qu'il
convenait d'avoir.
L'exercice corporel étant donc utile
à peu de chose, surtout en face de
l'éternité, rangeons-nous à
l'avis de l'apôtre Paul qui nous invite
à pratiquer la piété. Elle
sera utile autant pour nous-mêmes que pour
notre entourage et nous permettra d'avoir des
émotions bien plus fortes que les
sportifs.
Ainsi, pour connaître le "grand frisson",
pour connaître des émotions fortes,
point n'est besoin de pratiquer de sport
extrême !
Il suffit de se mettre sous la lumière de la
Parole de Dieu pour "connaître", non pas une
poussée d'adrénaline qui va augmenter
notre rythme cardiaque, mais un "grand frisson"
comme l'a connu l'auteur du psaume 119 au verset
120. Un "grand
frisson" qui l'a conforté dans l'idée
de suivre les enseignements de celui qui tient nos
vies dans sa main.
Dès que nous prenons
conscience de la majesté de Dieu, dès
que nous commençons à avoir une
idée de sa sainteté, de sa justice,
dès que nous réfléchissons aux
jugements passés et à ceux à
venir, comment
n'aurions-nous pas une certaine crainte de celui
qui nous a tant aimés ? Comment ne
"tremblerions-nous pas" à l'idée de
le courroucer ?
Qui
prend garde à la force de ta
colère, Et à ton courroux,
selon
la crainte qui t'est due ? Psaume 90: 11 (v. L. S)
Je
(Jésus) vous montrerai qui vous devez
craindre. Craignez celui qui, après
avoir tué, a le pouvoir de jeter dans la
géhenne ; oui, je vous le dis,
c'est
lui que vous devez craindre. Luc 12: 5 (v. L. S)
Ainsi l'amour de Dieu, ô combien réel,
ne saurait laisser en arrière-plan la
"redoutabilité" de Dieu (Néhémie 1:
5 ; Psaume 47: 2 ; 76: 7) ; "C'est une chose terrible que de tomber entre
les mains du Dieu vivant"
(Hébreux 10: 31) !
Terrible, car la sanction est sans appel pour les
rebelles :
"une
attente terrible du jugement et l'ardeur d'un feu
qui dévorera les rebelles" (Hébreux 10: 27).
Au fait..., ne
serais-je pas un rebelle sans m'en
douter ?
Un rebelle n'est pas uniquement celui qui refuse le
salut en Jésus-Christ et qui ne veut rien
entendre aux choses de Dieu. Un rebelle n'est pas
seulement quelqu'un qui combat la foi
chrétienne !
Un rebelle pourrait aussi être un enfant de
Dieu qui ne veut pas
se soumettre,
qui n'accepte pas la
discipline..., celle
du Seigneur, celle de sa Parole !
Suis-je un "gentil rebelle" qui chante des
cantiques, qui dit aimer le Seigneur, mais qui
n'accepte pas tout ce qu'il dit et qui, de ce
fait, résiste au Saint-Esprit ?
Un "gentil rebelle" qui a oublié que
l'obéissance vaut mieux que tous les
sacrifices (1 Samuel 15: 22) ?
Mon obéissance
est-elle connue de tous (Romains 16: 19) ?
Il faudrait en tout cas qu'elle soit connue de
Dieu, faute de quoi l'entrée dans le Royaume
de Dieu risque d'être compromise.
Que contient, aujourd'hui le livre qui relate mes
actions ? De la rébellion ou de
l'obéissance ?
Une chose est sûre, le Seigneur attend de moi
que je me comporte d'une manière qui
glorifie son Nom. Il attend aussi que j'entretienne
mon âme et que j'aie de la reconnaissance
pour le salut qu'il m'a offert gratuitement. Une
reconnaissance continuelle qui me permettra de lui
rendre un culte qui lui soit agréable, avec
la crainte que le disciple doit avoir à
l'égard de son Sauveur.
C'est pourquoi, recevant un royaume
inébranlable, montrons notre reconnaissance en
rendant à Dieu un culte qui lui soit
agréable, avec piété et avec
crainte, car notre Dieu est
aussi un feu dévorant.
Hébreux 12: 28-29
Des hommes, bien plus éclairés que
nous, ont tremblés devant la présence
du Seigneur alors
qu'ils étaient invités à
s'approcher de lui
pour recevoir des instructions de sa part.
Moïse était "épouvanté et
tout tremblant" suite au spectacle qui était
sous ses yeux (Hébreux 12: 21) !
Et l'auteur de l'épître de nous
avertir que nous
n'échapperons pas si nous nous
détournons de celui qui parle du haut des
cieux, si nous
n'obéissons pas à SA parole. Dieu
serait injuste s'il avait deux poids, deux mesures
et se contredirait lui-même (Lévitique 19: 36).
... si
ceux-là n'ont pas échappé qui
refusèrent d'entendre celui qui publiait les
oracles sur la terre, combien moins
échapperons-nous, si nous nous
détournons de celui qui parle du haut des
cieux..."
Hébreux 12: 25 (v. L. S)
Ainsi nous devons comprendre, même en ne
lisant que le Nouveau Testament, qu'il doit y avoir
dans le coeur des enfants de Dieu, une certaine
crainte qui devrait les pousser à ne pas
sous-estimer la Parole qui nous a été
donnée par Celui qui est assis dans la
gloire et par son Fils qui s'est fait homme pour
nous offrir le salut !
Un saut dans l'Apocalypse nous montre encore Jean,
le disciple bien-aimé qui fut convié
à jeter un regard sur la fin des temps; nous
le voyons tomber "comme mort" au pied du Fils de
Dieu glorifié. Écroulé
à ses pieds tant la majesté de son
Sauveur était impressionnante et
redoutable : "Quand je le vis, je tombai à
ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main
droite en disant : Ne crains
point !"
Apocalypse 1: 17
Si un homme tel que Jean, qui autrefois
s'abandonnait sur la poitrine du fils de Marie
(Jean 13: 23),
a pu trembler en présence du Fils de Dieu
dans le Ciel, comment
pourrions-nous délibérément
agir sans nous soucier de la Parole de celui qui
nous jugera ?
N'avons-nous pas envie d'entendre à notre
tour : "Ne
crains point" et d'être qualifiés de
"bons et fidèles serviteurs" ?
Faut-il rappeler que la "crainte de
l'Éternel est le commencement de la
sagesse", le COMMENCEMENT ! Et que ce
"commencement" se signale d'abord par le fait de ne
pas négliger la Parole de Dieu et de ne pas
s'en écarter !
C'est peut-être lassant d'entendre toujours
la même chose, mais si Dieu s'est
donné la peine de dire et de redire et de
"re-redire" les mêmes exhortations, c'est
parce que LUI sait que la
désobéissance conduit à la
perdition et qu'il ne veut pas nous voir
périr alors qu'il a tout fait pour que nous
soyons sauvés de la condamnation !
Agir à l'opposé de sa volonté
démontrerait qu'il n'y a ni crainte de
l'Éternel, ni sagesse, ni aucune
intelligence spirituelle !
Acquiers
la sagesse, acquiers l'intelligence ;
N'oublie pas les paroles de ma
bouche, et ne t'en détourne
pas.
Proverbes 4: 5 (v. L. S)
Dieu pourrait-il
être plus clair ? "N'oublie pas..., ne te
détourne pas..." !
Maintenant, si la crainte que l'on doit avoir de
Dieu est parfaitement justifiée en raison de
sa personnalité, cette crainte-là,
loin de nous faire frissonner, devrait nous pousser
à aimer encore
plus l'auteur de
notre salut, à apprécier encore
davantage SA parole, ses instructions !
L'amour consiste à marcher dans
l'obéissance ! "l'amour de Dieu
consiste à garder ses commandements" (1 Jean 5: 3) ; "l'amour consiste à
marcher selon ses
commandements"
(2 Jean 1: 6). (Il n'y donc pas d'amour dans la
désobéissance, pas plus qu'il n'y a
de crainte.)
N'est-il pas Admirable,
n'est-il pas Merveilleux, ce Dieu puissant qui a
choisi de nous aimer quoique nous étions
haïssables ? Et quelle expression
d'amour!
Un tel amour ne
fait-il pas peur ?
Peur, dans le sens où cet amour
démesuré est tellement impressionnant
qu'il est difficile de comprendre que Dieu ait
été obligé de donner de sa
Personne pour que nous soyons
sauvés !
Peur, parce que je me rends compte que s'il a fallu
payer un tel prix pour racheter un être aussi
misérable que moi, c'est que
l'éternité sans Dieu doit être
si horrible, si cauchemardesque, si terrifiante
qu'il était impossible qu'un Dieu trois fois
saint n'entreprenne pas tout pour présenter
son amour aux hommes dépravés
à cause du péché.
Mais cette peur, cette crainte ne devrait pas nous
faire frissonner d'effroi comme elle a fait
frissonner l'auteur du Psaume 119 !
Dieu n'est pas un tortionnaire, un tyran qui veut
nous faire marcher à la baguette !
Même si nous avons péché, c'est
encore son amour et non sa colère, qui se
manifestera à notre égard.
Son premier geste sera
de nous tendre la main afin que nous ayons la liberté
de faire la paix avec LUI en confessant notre faute et en
abandonnant ce qui nous a poussés dans cette
faute, ce péché.
L'apôtre Jean, dans une de ses
épîtres, nous apprend que la crainte
(consécutive à la peur de la
punition) n'a pas sa place dans le coeur de l'homme
racheté et que, si elle y était
encore présente, ce serait un signe que
notre amour pour Dieu n'est pas encore ce qu'il
devrait être.
En effet, si nous aimons Dieu de tout notre coeur,
de toute notre âme, de toute notre force
(Deutéronome 6:5), l'amour nous poussera toujours
à chercher à faire ce qui lui est
agréable sans avoir peur d'avoir
manqué à nos obligations.
Il n'y a
pas de crainte dans l'amour, mais l'amour parfait
bannit la crainte ; car la crainte implique
châtiment, et celui qui craint n'est pas
parfait dans l'amour. 1 Jean 4: 18 (v. Bible
annotée)
Si donc nous n'avons pas à craindre le
châtiment correspondant à nos
péchés puisque nous savons comment
agir en cas de... dérapage, notre crainte,
puisqu'il doit y en avoir une, doit donc être
différente de celle qui génère
l'angoisse ou la peur.
Honorez
tout le monde ; aimez les
frères ; craignez
Dieu ; honorez le roi.
1 Pierre 2: 17 (v. L. S)
Et si vous invoquez comme Père celui qui
juge selon l'oeuvre de chacun, sans acception de
personnes, conduisez-vous avec
crainte pendant le temps de votre
pèlerinage... 1 Pierre 1:17 (v. L. S)
... purifions-nous de toute souillure de la chair
et de l'esprit, en achevant notre sanctification
dans la crainte de Dieu. 2 Corinthiens 7:1 (v. L. S)
Ces quelques versets mettent bien en
évidence que nous ne pouvons pas agir avec
désinvolture, nous qui sommes rachetés
à un grand prix. "C'est par la grâce que vous
êtes sauvés"
(Éphésiens 2:
8).
Conscient de cette grâce, vais-je agir en
conséquence et conformer ma vie aux
désirs de celui qui me l'a
accordée ?
- Oui, parce que je suis conscient que je ne
méritais rien.
- Oui, parce que je dois démontrer que
cette grâce a de
la valeur à mes yeux et que si je désire que d'autres en
bénéficient, je dois montrer
l'exemple en respectant celui qui me l'a
accordée.
Connaissant donc la crainte du
Seigneur, nous cherchons à
convaincre les hommes... 2 Corinthiens 5: 11 (v. L. S)
Pour convaincre les autres de venir à
Jésus-Christ, je dois donc connaître
cette crainte, c'est crainte RESPECTUEUSE qui me
poussera à agir afin que d'autres soient
aussi au bénéfice de l'oeuvre de la
Croix.
Comment pourrais-je les convaincre s'ils se rendent
compte que je n'obéis pas à ce que la
Parole de Dieu demande, si je ne respecte pas la
volonté de mon Père céleste,
si ma façon de me comporter démontre
une liberté excessive à
l'égard des enseignements de
l'Écriture ?
Comment des païens pourraient-ils
vénérer le Dieu que je
déshonorerais en faisant ma volonté
plus que la sienne ?
Afin qu'il n'y ait pas de malentendu,
l'apôtre Paul nous invite à montrer
notre reconnaissance par un comportement
extérieur et intérieur qui, tous deux, démontreront
que nous avons un véritable
intérêt pour le Royaume de Dieu et que
rien ni personne ne pourra nous détourner du
but à atteindre.
...
montrons notre reconnaissance en rendant à
Dieu un culte qui lui soit agréable, avec
piété et avec crainte. Hébreux 12: 28 (v. L. S)
Comment est-ce que je
rends un culte à Dieu, un hommage continuel
à mon Seigneur ? Comment est-ce que je
lui prouve mon attachement ?
Noé fut un des
premiers à manifester une crainte
respectueuse à
l'égard de l'Éternel dès qu'il eut compris la
portée des Paroles de Dieu.
Ce n'est point la peur qui le fit agir, mais
le respect et la foi
dans la parole reçue. Par son action il devint un
témoin pour sa génération et
pour toutes celles qui allaient suivre :
C'est par
la foi que Noé, divinement averti des choses
qu'on ne voyait pas encore, et saisi d'une
crainte respectueuse,
construisit une arche pour sauver
sa famille ; c'est par elle qu'il condamna le
monde, et devint héritier de la
justice qui s'obtient par la foi. Hébreux 11: 7 (v. L. S)
Ma foi en Dieu est-elle
suffisante pour qu'à mon tour
je sois saisi de cette
même crainte
respectueuse ?
Ma foi croit-elle que Dieu est capable de tenir
parole et de
manifester sa colère comme il l'a fait au
temps de Noé?
Une crainte respectueuse n'envahit-elle pas mon
coeur à la pensée des terribles
jugements qui vont fondre sur les rebelles ?
Ne me pousse-t-elle pas à
réfléchir aux répercussions
que des actes (répétés) de
désobéissance pourraient avoir
concernant mon éternité ?
La crainte respectueuse qui nous est
demandée d'avoir, ne vient pas tourmenter
l'âme, elle ne vient pas semer le doute dans
les esprits. Bien au contraire !
Cette crainte sera salutaire dans le sens où
elle va nous guider
dans les sentiers de la justice et de la
droiture. Elle le
fera sans contrainte puisque c'est l'amour qui nous
portera à nous
éloigner du mal pour que nous ne
déshonorions point notre Père
céleste.
Ayant toujours le désir d'être
agréables au Seigneur, nous chercherons
à mieux connaître les Saintes
Écritures afin d'y découvrir des
éléments nécessaires pour
notre sanctification. De cette façon, nous
pourrons nous conduire "avec crainte" sans que
notre "chair frissonne d'effroi".
Mais ma chair "frissonne quand même d'effroi"
en pensant à ceux et celles qui s'obstinent à
agir avec désinvolture à
l'égard de l'Écriture, avec légèreté
à l'égard des enseignements du Fils
de Dieu.
Elle frissonne en songeant à leur avenir
éternel, raison pour laquelle il nous faut
TOUT entreprendre pour
les arracher du
feu !
Ce n'est pas moi qui
le dit, c'est la Parole de Dieu qui parle de feu
à l'encontre de quelques-uns qui
étaient des bien-aimés faisant partie
du corps de Christ :
...
maintenez-vous dans l'amour de Dieu, en attendant
la miséricorde de notre Seigneur
Jésus-Christ pour la vie
éternelle.
- Reprenez les uns, ceux qui
contestent ;
- Sauvez-en d'autres en les arrachant
du feu ; et pour d'autres
encore,
- Ayez
une pitié mêlée de
crainte, haïssant jusqu'à la
tunique souillée par la chair...
Jude 1: 21-23 (v. L. S)
Reprendre, sauver tant qu'il est possible de le
faire, et s'écarter de ceux qui ont
délibérément choisi de
s'éloigner du corps de Christ pour vivre
dans une liberté qui les a rendus esclaves
du prince des ténèbres...!
Oui, je frisonne d'effroi en pensant aux
"irrécupérables" selon Dieu, à
ceux qui se sont endurcis, ceux qui ne veulent rien
savoir, je frissonne car la Parole de Dieu est
là pour nous prévenir du sort qui
attende les rebelles, voire les... "gentils
rebelles".
Je frisonne pour les autres, mais, pour moi,
je veux vivre en ayant
une crainte respectueuse de mon Sauveur et
Seigneur.
Sans doute devra-t-il encore souvent me corriger,
mais je sais qu'il le fera par amour et non dans la
colère.
La piété est utile à toutes
choses, lisions-nous dans 1 Timothée au
début de ce message, exerçons-nous
donc à cette discipline bien plus utile que
les exercices corporels, car en pratiquant la
piété nous serons portés
à nous discipliner davantage et à
utiliser toujours la Parole de Dieu pour
éclairer notre vie.
Exerce-toi à la
piété ; car l'exercice
corporel est utile à peu de chose, tandis
que la piété est utile à tout,
ayant la promesse de la vie présente et de
celle qui est à venir. 1 Timothée 4: 7-8) (v. L. S)
... sa divine puissance nous a donné
TOUT ce qui contribue à la vie et à
la piété... 2 Pierre 1: 3 (v. L. S)
Sache que,
dans les derniers jours, il y aura des temps
difficiles. Car les hommes seront
égoïstes, amis de l'argent, fanfarons,
hautains, blasphémateurs, rebelles à
leurs parents, ingrats, irréligieux,
insensibles, déloyaux, calomniateurs,
intempérants, cruels, ennemis des gens de
bien, traîtres, emportés,
enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que
Dieu, ayant l'apparence de la
piété, mais reniant
ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces
hommes-là. 2 Timothée 3: 1-5 (v. L. S)
© J-M
Ravé 24 novembre 2007 -
CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse