Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

l'Abécédaire pour une vie bénie

(28) (Samek)

(1) Entre les deux, mon coeur ne balancera plus !

À celui qui est ferme dans ses sentiments Tu assures la paix, la paix, Parce qu'il se confie en toi. Esaïe 26: 3 (v. L. S)

En relisant ce texte, je me souviens des périodes où mon coeur était angoissé parce que la crainte me dominait. Pour en être arrivé dans un pareil état de délabrement, il faut croire que ma foi n'avait certainement pas la grosseur d'un grain de sénevé et qu'en raison de cet état, je suis passé à côté de bénédictions que Dieu avait préparées à mon intention, des bénédictions conformes à l'Écriture !

Fort heureusement, les expériences du passé n'ont été négatives que par rapport au temps perdu ! Ce temps où
Dieu ne pouvait rien construire de stable dans une vie qui était ballottée de tous côtés, une vie sensible à toutes les pensées que le prince des ténèbres pouvait avancer pour déstabiliser l'enfant de Dieu passant dans la tourmente de l'épreuve.

Certes ! Il est facile d'incriminer l'adversaire de nos âmes ! Facile de tout lui mettre sur le dos et de lui faire porter la responsabilité de nos échecs ! Facile d'accuser l'accusateur
alors qu'il ne peut faire que ce que nous lui permettons de faire dans notre vie.
Combien de fois n'avons-nous pas été responsables des destructions qu'il a pu faire dans nos vies, simplement parce que nous avons prêté une oreille attentive à ses discours au lieu d'écouter la voix de notre Sauveur qui a donné la victoire à tous ceux et toutes celles qui se confient en lui ?

Grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! 1 Corinthiens 15: 57 (v. L. S)

Grâces soient rendues à Dieu,
qui nous fait toujours triompher en Christ... 2 Corinthiens 2: 14 (v. L. S)

Sachant qu'il est impossible que Dieu mente (Hébreux 6: 18), comment se fait-il que son enfant - le racheté que nous sommes si nous avons accepté Jésus comme Sauveur et Seigneur - puisse (parfois) être bousculé dans son assurance et devenir indécis quand il doit choisir entre ce que Dieu a dit, ce qu'il a promis et les pensées négatives qui viennent semer le trouble dans un esprit complètement désorienté par l'épreuve de la foi ?

Reprenons notre texte de départ dans une autre version afin de mieux réaliser que notre foi n'aura de la valeur et ne portera du fruit, que si sa progression n'est pas en dents de scie.


Au coeur constant tu assures la paix, la paix, parce qu'il se confie en toi. Esaïe 26: 3 (v. Bible annotée)

C'est donc notre constance, notre fermeté, notre persévérance, notre obstination à rester attachés, coûte que coûte, aux diverses promesses du Seigneur, qui fait la différence et qui permet à notre Père céleste de nous donner la victoire en Christ !

Nos doutes nous "condamnent", non seulement à ne rien recevoir de Dieu, mais à nous tourner vers les hommes afin que nous puissions avoir au moins quelque chose qui nous rassure un temps !

Celui qui doute est semblable au flot de la mer, agité par le vent et poussé de côté et d'autre. Qu'un tel homme ne s'imagine pas qu'il recevra quelque chose du Seigneur : c'est un homme irrésolu, inconstant dans toutes ses voies. Jacques 1: 6-8 (v. L. S)

L'épreuve étant indissociable de la vie chrétienne, nous devons nous faire une raison et ne plus paniquer lorsqu'elle se représentera sous une autre forme ! Le Seigneur a promis les épreuves et, au minimum, son soutien dans l'épreuve !

Notre espérance dans les promesses de Dieu DOIT donc être comme une ancre qui nous permettra de rester ferme dans nos sentiments au lieu d'être ballottés de tous côtés.
En raison de l'oeuvre accomplie par le Seigneur Jésus à la Croix, nous avons, pour ainsi dire, bien plus de garanties de recevoir la paix dans nos afflictions qu'en avait l'auteur du Psaume 119 qui vivait principalement sous la Loi.
S'il a pu être ferme dans ses sentiments sans avoir Christ en lui, combien plus nous pouvons être rassurés par sa présence et dire à notre tour (
v. 114) :

Tu es mon asile et mon bouclier ; j'espère en ta promesse.

C'est avec cette vérité que nous allons entrer dans le paragraphe de la lettre "Samek", une vérité qu'il est facile d'exprimer quand tout va bien, mais qu'il est plus difficile de vivre lorsque l'adversaire de nos âmes ne cesse de nous harceler en démontrant, preuves à l'appui, que notre foi en Dieu pourrait bien être déçue comme l'a été celle de nombreuses personnes.
Mais, ce qu'il oublie de dire, c'est que ces gens ne sont pas allés jusqu'au bout de leur foi, c'est qu'ils n'ont pas persévéré dans les promesses de Dieu !

Eh quoi ! si quelques-uns n'ont pas cru, leur incrédulité anéantira-t-elle la fidélité de Dieu ? Romains 3: 3 (v. L. S)

... la parole qui leur fut annoncée ne leur servit de rien, parce qu'elle ne trouva pas de la foi chez ceux qui l'entendirent.
Hébreux 4: 2 (v. L. S)

Que dans les épreuves nous sachions et que je sache aussi toujours crier : "Au secours Seigneur -
je crois ! viens au secours de mon incrédulité !" (Marc 9: 24) Que cet aveu de foi en la Parole de Dieu nous conduise aussi à reconnaître la faiblesse de notre chair qui tremble à l'idée de perdre le contrôle de la situation.

"
Tu es mon asile et mon bouclier ; j'espère en ta promesse."
C'est intentionnellement que j'ai commencé par le verset 114 et non le 113 afin que nous réfléchissions d'abord sur notre conduite par rapport à la Parole de Dieu. En effet, je crains bien que nous ayons tous eu des moments de faiblesse où le bouclier de la foi était trop lourd à porter, si lourd qu'il fut déposé sur le bas-côté de la route pendant quelques instants, pendant quelques jours, quelques mois, si ce n'est depuis longtemps !

Sans protection, sans ce bouclier de la foi, il paraît peu probable que l'on puisse atteindre l'asile protecteur de Dieu, cette forteresse inébranlable où les pèlerins reçoivent la récompense de... leur foi.

Reprenons-nous ! Reprenons ce bouclier ! Désirons ardemment le récupérer si nous l'avons laissé tomber. C'est alors que le Seigneur agira pour que nous puissions retrouver du goût à marcher en lui faisant confiance.

En songeant au passé, je peux me rendre compte que si je suis encore vivant aujourd'hui quant à la foi, c'est que j'ai bénéficié d'une patience et d'un amour infini de mon Sauveur qui n'a pas permis que l'ennemi m'achève lorsque je suis tombé dans le doute..., lorsque nous sommes tombés dans le doute comme bien d'autres avant nous !
Certainement restait-il encore quelques fils ténus qui nous reliaient à peine au Seigneur ! Un minimum qui lui permettait néanmoins de constater qu'il pouvait encore rallumer les lumignons fumants que nous étions devenus en raison de notre manque de foi.

- "
Pourquoi avez-vous peur, gens de peu de foi ?" (Matthieu 8: 26 ; 16:8 ; Luc 12: 28) pouvait dire Jésus à ses disciples.
- "
Homme de peu de foi, pourquoi as-tu douté ?" (Matthieu 14: 31)

Dans chacun de ces cas,
les remontrances du Seigneur n'ont pas mis un terme à ses relations avec eux, au contraire ! Il continua à les enseigner, les invitant toujours à avoir foi en Dieu et en lui !
Étant toujours le même,
hier comme aujourd'hui, il veut encore nous encourager comme il a encouragé ceux qui marchait avec lui. Ses promesses restant les mêmes, il nous les propose toujours, même si dans le passé nous avons été des "gens de peu de foi" !
Nos échecs, semblables à ceux des disciples, loin d'être des pierres d'achoppement pour notre marche dans la foi, peuvent donc nous propulser en avant si nous savons en retenir les enseignements.

Espère en l'Éternel ! Fortifie-toi et que ton coeur s'affermisse ! Espère en l'Éternel ! Psaume 27: 14 (v. L. S)

Voilà ce que nous aurions dû nous dire à l'époque de nos tremblements et voilà ce que nous nous dirons la prochaine fois, si nous avons compris la leçon de nos échecs !

Le Seigneur veut nous fortifier dans notre foi, mais c'est d'abord à nous de puiser dans la réserve de ses promesses, d'y croire de tout notre coeur même si nous devons souffrir pendant un temps.

C'est d'abord à nous de nous fortifier :

- "Fortifiez donc vos mains languissantes et vos genoux affaiblis ; et suivez avec vos pieds des voies droites" Hébreux 12: 12-13 (v. L. S)

- "Fortifiez-vous, et ne laissez pas vos mains s'affaiblir, car il y aura un salaire pour vos oeuvres."
2 Chroniques 15: 7 (v. L. S)

- "Veillez, demeurez fermes dans la foi, soyez des hommes, fortifiez-vous."
1 Corinthiens 16: 13 (v. L. S)

Ensuite, après nous être fortifiés nous-mêmes en nous nourrissant de la Parole de Dieu, en la prenant pour appui, c'est notre Père céleste qui nous fortifiera ! Il le fera APRÈS que nous ayons souffert un peu de temps !

Le Dieu de toute grâce, qui vous a appelés en Jésus-Christ à sa gloire éternelle, après que vous aurez souffert un peu de temps, vous perfectionnera lui-même, vous affermira, vous fortifiera, vous rendra inébranlables. 1 Pierre 5: 10

En résumé, si nous sommes capables de tenir fermes dans la foi, nous avons le droit de nous attendre,
APRÈS un certain temps de mise à l'épreuve, à être merveilleusement soutenus par le Seigneur qui, rappelons-le, nous perfectionnera, nous affermira, nous fortifiera, nous rendra INÉBRANLABLES !

Cette ligne de conduite, dépeinte par l'apôtre, ne fait que mettre en évidence la marche glorieuse du croyant qui avance par la foi, ce croyant qui ne doute pas un seul instant que Dieu puisse lui faire faux-bond, c'est-à-dire qu'il puisse agir d'une façon différente que celle qu'il a promise.

Nos hésitations à faire confiance à la Parole du Seigneur risqueraient bien de démontrer que notre foi en lui a des limites à ne pas dépasser, des limites qui prouvent que le terrain de notre coeur a été ensemencé par des doutes qui ont pour propriété de faire balancer notre coeur entre deux options : " Dieu a-t-il réellement dit... ? " (
Genèse 3: 1).

Assis entre deux chaises, ne sachant plus si nous devons prendre Dieu au mot ou bien agir selon d'autres pensées qui sont venues nous perturber, nous voici placés dans une catégorie que notre Psalmiste déteste (
v. 113) :

Je hais les hommes indécis...

N'allons pas le critiquer pour son franc parlé et n'utilisons pas son langage pour mettre en évidence ceux et celles qui sont torturés par le doute, ceux et celles qui voudraient bien croire mais qui hésitent.
Remémorons-nous plutôt ces temps où nous n'arrivions pas à nous décider, ces temps où nous aurions bien voulu croire, mais où nous nous sommes méfiés de Dieu, ce temps où nous avons pu imaginer ce qu'il pourrait bien arriver si Dieu ne répondait pas : " Dieu a-t-il réellement dit... ? ", Dieu est-il vraiment toujours le même ? Les temps n'ont-ils pas changé ?

Quelle peste que ce doute !
Quel pourrait bien être le contrepoison qui puisse nous immuniser contre lui, afin que son pouvoir destructeur ne nous atteigne plus et que l'incrédulité, toujours plus galopante en ces temps de la fin, ne vienne plus nous voiler les glorieuses promesses du Seigneur ?
Bien sûr, nous allons répondre la foi !
Mais comment alimenter cette foi pour qu'elle subsiste en tout temps ?

... la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ. Romains 10: 17 (v. L. S)

Jésus lui dit :
Ne t'ai-je pas dit que, si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? Jean 11: 40 (v. L. S)

Si tu crois...
Le Psalmiste avait entendu la Parole de Dieu,
il croyait à ce qu'elle disait et c'est pour cette raison qu'il ne supportait pas les douteurs qui, en raison de leurs doutes, ne pouvaient pas aimer ce qui sortait de la bouche de Dieu (v.113) :

Je hais les hommes indécis, et j'aime ta loi.

Ainsi, à mon tour je dois haïr ! Mais je dois haïr la personne indécise que j'étais ! Je dois détester cette vieille nature qui m'a fait grandir dans un monde sans Dieu, cette vieille nature toujours sensible à ce qui déplaît au Seigneur.
Pour bien lui montrer mon dégoût à cette vieille nature, je veux aimer la loi de Dieu comme le Psalmiste l'aimait et démontrer que cet amour est bien réel car il m'engagera à placer une totale confiance en ce qui est écrit.

Encore une fois cet engagement de la bouche, cet engagement du coeur, sera consolidé par une conduite qui ne laissera aucun doute quant à mon appartenance comme l'auteur du psaume 119 l'a clairement exprimé (
v. 115) :

Éloignez-vous de moi, méchants,
Afin que j'observe les commandements de mon Dieu !"

Une détermination qui révèle :

1) Qu'il y a
une connaissance entre le bien et le mal, entre ceux qui servent Dieu et ceux qui ne servent pas,
2) Ensuite, qu'il y a
une volonté de ne pas se laisser influencer par des gens qui minimiseraient la valeur des enseignements divins.

Loin d'être un conseil pour les temps anciens, nous retrouvons la même pensée dans le Nouveau Testament lorsque l'apôtre Paul avertit les Corinthiens :

Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l'iniquité ? ou qu'y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres ? " 2 Corinthiens 6: 14 (v. L. S)

Le joug étranger, il va de soi, ne nous permet pas de marcher sous celui de Christ, car on ne peut pas faire partie de deux "attelages" différents, de deux "attelages" qui vont dans des directions opposées.
Ce joug que le Seigneur Jésus nous propose (
Matthieu 11: 29), une fois mis en place, une fois SA volonté acceptée, nous permettra de recevoir les instructions de celui qui a promis d'être avec nous tous les jours jusqu'à la fin du monde.
Porter le joug de Christ est donc la condition indispensable pour savoir ce qu'il conviendra de faire dans telle ou telle situation.

Désormais, il apparaît clairement que les éventuels attachements que nous pourrions encore avoir avec le monde, ceux que nous ne voulons pas lâcher, sont amplement suffisants pour jeter le trouble dans nos coeurs.

Déjà que nous avons bien de la peine à nous soumettre à la volonté de l'Esprit, lorsque la chair réclame sa part, "
la chair a des désirs contraires à ceux de l'Esprit, et l'Esprit en a de contraires à ceux de la chair... (Galates 5: 17), combien plus il nous sera difficile d'avoir une position juste si nous nous sommes placés sous un joug étranger !

Mais nous ne voulons pas insister sur ce dernier comportement sachant que ceux qui veulent marcher avec Christ sauront être fermes : "
Éloignez-vous de moi, méchants, Afin que j'observe les commandements de mon Dieu !". (v. 115)

"Le juste néanmoins demeure ferme dans sa voie, Celui qui a les mains pures se fortifie de plus en plus"
Job 17: 9 (v. L. S)

"... que le juste pratique encore la justice, et que celui qui est saint se sanctifie encore"
Apocalypse 22: 11 (v. L. S)

Pour les autres... ! S'ils ne veulent pas se laisser avertir, ils en porteront eux-mêmes les conséquences :

- "Leur coeur est partagé : ils vont en porter la peine" Osée 10: 2 (v. L. S)

- "si celui qui entend le son de la trompette ne se laisse pas avertir... son sang sera sur sa tête"
Ézéchiel 33: 4 (v. L. S)

Puisque c'est la Parole de Dieu qui est une lumière sur notre sentier (Psaume 119: 105), sachons discerner chacun de ces deux chemins qui viennent d'être présentés et choisir celui qui conduit à la Vie éternelle.
Rien de telle qu'une bonne connaissance des Écritures pour être convaincu d'aller dans une direction plutôt que dans une autre, rien de telle que de mettre en avant les promesses de Dieu pour réclamer ce qu'il a promis (
V. 116) !

Soutiens-moi selon ta promesse, afin que je vive,
Et ne me rends point confus dans mon espérance !

Dieu pourrait-il me couvrir de honte parce que j'ai placé ma confiance en lui ?
N'est-ce pas moi qui devrais rougir lorsque je prétends lui avoir donné ma vie et que j'en garde le contrôle afin d'avoir quelques sécurités palpables?

Ils criaient à toi, et ils étaient sauvés ; Ils se confiaient en toi, et ils n'étaient point confus. Psaume 22: 5 (v. L. S)

Celui qui croit en lui ne sera point confus. Romains 9: 33: 10:11 (v. L. S)

- En prenant appui sur de tels témoignages,
- En me rappelant des paroles du Seigneur qui disait qu'il ne fallait pas s'inquiéter,
- En me souvenant de mes temps d'incertitudes qui n'apportaient que du mécontentement,
- En repensant à toutes les fois où ma foi n'a pas été à la hauteur et que j'étais plus enclin à murmurer qu'à prier...

... Je dois pouvoir maintenant repartir d'un bon pied et aller de l'avant avec une foi ferme au moins équivalente à celle de l'auteur du psaume 119 qui n'a jamais cessé d'espérer en Dieu, même aux plus sombres moments de sa vie.

Écoutons notre bien-aimé Seigneur, pensons à notre Dieu qui a tant aimé le monde..., qui nous a tant aimés !

-
Pourquoi vous inquiétez-vous au sujet.... (Matthieu 6: 28)
-
Ne vous inquiétez donc point, et ne dites pas : Que mangerons-nous ? que boirons-nous ? de quoi serons-nous vêtus ? (Matthieu 6: 31)
-
Ne vous inquiétez donc pas du lendemain... (Matthieu 6: 34)

L'inquiétude, le manque de foi peut nous conduire à prendre des décisions qui, par la suite, pourront être des points sur lesquels Satan pourra revenir pour nous déstabiliser.
N'écoutons plus ses suggestions, soyons des hommes et des femmes de foi qui sondent les Écritures afin d'y trouver les réponses à nos problèmes.

L'inquiétude dans le coeur de l'homme l'abat, Mais une bonne parole le réjouit. Proverbes 12: 25 (v. L. S)

Quoi de mieux que la bonne Parole du Seigneur qui m'aime, même lorsqu'il me corrige, lorsqu'il me reprend? "Seigneur, à qui irions-nous? Tu as les paroles de la vie éternelle." Jean 6: 68 (v. L. S)

***

L'Éternel était avec lui (avec moi, avec toi), et il ne laissa tomber à terre aucune de ses paroles. 1 Samuel 3: 19 (v. L. S)

Rien n'est impossible à Dieu. Luc 1: 37 (v. L. S)

Je crois ! viens au secours de mon incrédulité ! Marc 9: 24 (v. L. S)

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© J-M Ravé 27 octobre 2007 -
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