Ceux qui
te craignent me voient et se
réjouissent, car j'espère en tes
promesses. Psaume 119: 74(v. L. S)
Voilà une pensée fort agréable
à partager aujourd'hui !
Agréable parce que ceux qui craignent
l'Éternel ne jugent pas un frère en
fonction de ce qu'il est en train de vivre, mais
par rapport à
sa fermeté dans la foi.
- Une fermeté qui résiste dans
l'adversité,
- Une fermeté qui résiste à
l'attrait d'une vie plus facile qui serait faite
à coup de compromis,
- Une fermeté qui se manifeste par la
démonstration d'un désir toujours
plus vif de connaître Dieu, de vivre SA
Parole tout en se séparant des
pécheurs.
C'est encore l'auteur du Psaume 119, qui, par l'une
de ses remarques, va nous interpeller au travers de
quelques réflexions consécutives au
contenu de cette lettre "Yod". Une lettre dont nous
avons déjà parlé la semaine
passée en relevant deux textes de base
servant à encadrer ce que nous allons
découvrir aujourd'hui :
Ces pensées profondes
marquent, à elles seules, le sérieux
d'une vie engagée avec le Seigneur. Puis-je
me les approprier ? Puis-je affirmer qu'il en
est bien ainsi dans ma vie ?
Est-ce que j'ai vraiment envie de mieux comprendre
la Parole de Dieu ?
Mon coeur est-il sincère lorsque je dis que
j'ai donné ma vie à Christ? Mes actes
le prouvent-ils ?
Si nous pensons pouvoir répondre par
l'affirmative à ces questions, sachons qu'il
y en a d'autres qui ont aussi leur mot à
dire : nos frères et soeurs dans la
foi !
Voulons-nous les entendre ?
Sommes-nous prêts à accepter ce qu'ils
auraient à nous dire, même s'ils
présentent un point de vue différent
du nôtre ? Espérons-le et
réjouissons-nous de leurs remarques tant que
ces dernières s'appuient sur
l'Écriture !
Que le
juste me frappe, c'est une faveur ; qu'il me
reprenne, c'est une huile excellente ; ma
tête ne la refusera pas... Psaume 141: 5 (v. D)
En dehors du fait de "redresser" avec amour un
frère ou une soeur qui s'écarte du
chemin étroit ou de le secouer un peu pour
qu'il se réveille, croyons qu'ils ont aussi
le même discernement pour remarquer la
fidélité de certains.
Notre Psalmiste l'avait constaté, aussi
s'exprime-t-il dans le verset 74 du Psaume 119 en disant : "Ceux qui te craignent
me voient et se réjouissent, car
j'espère en tes promesses."
Cette simple phrase, si riche d'enseignements, va
nous permettre d'en extraire quelques-uns qui
seront précieux pour notre vie.
Premièrement,
elle nous apprend à regarder à l'essentiel et non
aux apparences.
Notre homme vivait
une période si difficile dans sa vie que les
croyants de l'époque ne pouvaient faire
autrement que de s'en apercevoir :
"Ceux qui
te craignent (qui
craignent l'Éternel) me
voient..."
Nous sommes environnés de paires d'yeux qui
nous observent et dont les propriétaires ont
des réactions différentes selon
qu'ils appartiennent à Dieu ou au monde.
Dans le cas présent, nous sommes devant des
personnes qui aiment Dieu et qui se
réjouissent de la fidélité
d'un de leurs semblables : "Ceux qui te craignent
me voient et se
réjouissent".
Ce constat devait
réchauffer le coeur de notre homme, lui qui
était environné de personnes qui ne
pensaient qu'à lui causer du tort (v. 78) et
qui, elles aussi, ne manquaient pas de se
réjouir, mais de se réjouir chaque
fois qu'un de leurs coups semblait affaiblir leur
victime ! Joie malsaine qui les
entraînait toujours plus loin dans leur
méchanceté, si loin qu'à un
moment la foi ou la vie de notre homme s'est
trouvée en péril : "Ils ont failli me
terrasser et
m'anéantir... !" (v.87)
Oui ! Cela devait faire chaud au coeur de
constater qu'en arrière-plan, il y avait des frères, des
bien-aimés du Seigneur qui se
réjouissaient de la foi d'un de leurs
collègues qui tenait ferme en dépit
de toutes les attaques orchestrées par le
prince des ténèbres :
Satan ! Le prince de ce monde (Jean 12: 31) qui trouve toujours parmi les hommes
des instruments pour exprimer son ardente
colère contre Dieu et ceux qui le
servent !
Quelle grâce de savoir qu'au travers de nos
difficultés, il existe des personnes dans la
foi qui ne vous méprisent pas et qui savent
reconnaître que vous êtes toujours un
enfant de Dieu fidèle. Ils le reconnaissent parce qu'ils ne
regardent pas aux apparences !
Quelle aurait été notre attitude
à l'égard du Psalmiste si nous avions
vécu à son époque ?
Aurions-nous prêté attention à
ce que nos yeux auraient pu constater ou à
la voix de notre coeur
animé par l'Esprit de
Dieu ?
Ne nous précipitons pas pour
répondre !
Nos actes parlent déjà pour
nous ! Ils sont à même de
raconter comment nous nous comportons à
l'égard de nos frères et soeurs dans
la foi qui vivent autour de nous et qui sont plus
ou moins durement éprouvés !
Que voyons-nous dans
un frère qui passe et repasse dans le
creuset de l'épreuve ?
Sommes-nous de ceux
qui pensent comme les païens ?
Sommes-nous de ceux qui montrent du doigt celui qui
semble abandonné de Dieu en raison de
l'absence de bénédictions visibles
d'où la déduction, un peu rapide,
qu'il doit y avoir un grave péché
dans sa vie ?
Ou bien sommes-nous les premiers à nous
réjouir de ce que la foi d'un tel homme (ou
d'une telle femme) se maintienne enracinée
dans son Sauveur et Seigneur malgré les
circonstances défavorables ?
Il est possible que notre première
réaction, celle de notre vieille nature,
aille "cataloguer" négativement celui pour
qui Jésus a versé son sang. Elle le
sera jusqu'au moment où le bon sens nous
reviendra et nous
permettra d'agir avec compassion en appliquant une
des paroles de l'apôtre Paul inspiré par le
Saint-Esprit :
Portez
les fardeaux les uns des autres, et vous
accomplirez ainsi la loi de Christ. Galates 6: 2 (v. L. S)
Quelle est cette loi de Christ ? Ne serait-ce
point la loi de l'amour ? Cet amour qui ne
soupçonne point le mal ! "La charité est
patiente, elle est pleine de bonté... elle
ne soupçonne point le mal..." (1 Corinthiens 13: 4 à
8)
Ainsi donc, la
manifestation de l'amour chrétien ne saurait
avoir d'égard à l'apparence puisqu'il
ne soupçonne pas le mal.
L'amour chrétien sait que l'épreuve n'est pas toujours
conséquente au péché
de celui qui la subit
et que, même
s'il elle en était
conséquente,
le véritable
amour aurait encore de larges possibilités
de se manifester afin de conduire la brebis
égarée au pied de la croix.
"Seigneur aide-moi
à avoir un nouveau regard sur ceux qui sont
tombés subitement dans la misère,
ceux qui se trouvent sous le feu de
l'adversité, apprends-moi à avoir un
coeur comme le tien et à ne plus
réagir comme au temps où je ne
t'appartenais pas."
L'Éternel ne
considère pas ce que l'homme
considère ; l'homme regarde
à ce qui frappe les yeux, mais l'Éternel
regarde au coeur. 1 Samuel 16: 7 (v. L. S)
Nous venons donc de voir que le psalmiste
s'était rendu compte que ceux qui
craignaient l'Éternel ne le jugeaient pas
selon l'apparence, c'est-à-dire que ces
hommes respectaient la loi de Dieu
promulguée par Moïse !
Vous
n'aurez point égard à l'apparence des
personnes dans vos jugements... Deutéronome 1: 17 (v. L. S)
Une loi qui imprimera la vie du Seigneur
Jésus puisque Esaïe le dépeindra
de la façon suivante :
Il
(Jésus) respirera la crainte
de l'Éternel ; Il ne jugera point
sur l'apparence, Il ne prononcera point sur un
ouï-dire. Mais il jugera les pauvres avec
équité, Et il prononcera avec
droiture sur les malheureux de la terre...
Esaïe 11: 3-4 (v. L. S)
Les "malheureux de la Terre", loin d'être
condamnés ou défavorisés
à cause de leur misère seront
jugés au même titre que les autres.
Celui à qui tout jugement a
été remis (Jean 5: 22) ne fait point de
préférence : "celui qui agit
injustement recevra selon son injustice, et il n'y
a point d'acception de personnes. (Colossiens 3: 25)
Cette notion de "ne point jugé selon
l'apparence" (Jean 7: 24) étant bien comprise, nous
allons pouvoir aller un peu plus loin dans notre
réflexion sur le texte du jour :
"Ceux qui
te craignent me voient et se réjouissent,
car j'espère en tes promesses."
Le deuxième point à relever est une
question que je dois me poser :
Ceux qui craignent
Dieu peuvent-ils se
réjouir en ME voyant ?
Une question dont la
réponse sera comparable au point
numéro 3 qui est inséparable du
précédent :
En tant que
frère en Christ (ou soeur), puis-je me réjouir en voyant TA marche
avec le Seigneur ?
Nous venons de voir que l'entourage croyant
du psalmiste se réjouissait parce que
lui-même avait un comportement (et non des
paroles) qui mettait en valeur sa foi parce qu'il
continuait à espérer en
l'Éternel.
Sachant que mes
paroles et mes actes peuvent être
contradictoires...
Que je puis dire que
j'ai foi en Dieu sans pour autant avoir une vie qui
démontre que j'appartiens au Seigneur et que
ses commandements sont ma ligne de
conduite, il faut
donc que je trouve un
juge impartial qui puisse se prononcer sans que
j'aie à discuter.
Sachant qu'il est
préférable que je me juge
moi-même :
"Si nous
nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas
jugés"
(1 Corinthiens 11: 31) ce jugement ne peut être fait
qu'avec les conseils de ce juge impartial.
Sachant que j'ai aussi
l'obligation d'intervenir si je vois mon
frère pécher...
Faut-il encore que je sois suffisamment spirituel
(1 Corinthiens 2: 15: "L'homme spirituel... juge de
tout...) pour intervenir
et que je ne tombe pas moi-même sous le
jugement de Dieu pour avoir condamné chez
autrui, ce que je pourrais faire
moi-même !
De ce fait, dans un cas comme dans l'autre, il me
faut faire appel à ce juge impartial, un
juge que personne ne pourra contester
sous peine d'une
sanction grave puisque SA parole ne se discute pas,
ne se déforme pas avec le
temps !
Quoi de mieux pour
trancher, sinon l'épée de la Parole
de Dieu ?
Car la
parole de Dieu est vivante et efficace
(opérante), plus tranchante
(acérée,
pénétrante) qu'une
épée quelconque à deux
tranchants, pénétrante jusqu'à
partager âme et esprit, jointures et
moelles ; elle juge (discerne) les sentiments et les
pensées du coeur.
Nulle créature n'est cachée devant
lui, mais tout est à nu et à
découvert aux yeux de celui à qui
nous devons rendre compte. Hébreux 4: 12-13 (v. L. S)
Voilà donc où nous en sommes les uns
comme les autres !
Que dit la Parole de
Dieu lorsqu'elle considère mon engagement
actuel, ma vie spirituelle, ma vie dans le corps de
Christ ?
Avant que Jésus, ce Juge impartial prononce
un jugement définitif, il m'accorde, il nous
accorde à tous le privilège de nous
juger nous-mêmes face à sa Parole
écrite.
Vais-je le faire ou au contraire, vais-je me
détourner afin de ne pas avoir à
changer quelque chose dans mon comportement tant je
me satisfais de ce que je suis
aujourd'hui ?
Si nous sommes droits devant Dieu, honnêtes
face à l'Écriture, si nous le
cherchons de tout notre coeur, alors nous
n'hésiterons pas à mettre en ordre ce
que le Saint-Esprit nous a peut-être
déjà montré, soit au travers
de la Bible, soit de nos frères qui ont
remarqué notre conduite étrange.
Nous ne nous chercherons pas des excuses sachant
qu'il nous est demandé de marcher de
progrès en progrès :
"Ce que
Dieu veut, c'est votre
sanctification...." (lire
1 Thessaloniciens 4: 1-8)
Dieu n'a pas prévu d'excuse, d'exception
pour que l'on s'arroge la liberté de marcher
comme nous l'entendons et non comme IL le
désire !
Le monde voudrait nous aspirer, voudrait nous
absorber, mais c'est
EN Christ que nous devons vivre afin de rester la nouvelle
créature qu'il a fait de nous le jour
où nous sommes passés des
ténèbres à son admirable
lumière. (2 Corinthiens 5: 17 ; 1 Pierre 2: 9)
"Tout est
à nu et à découvert aux yeux
de celui à qui nous devons rendre compte" et
toutes nos motivations,
nos oeuvres si bonnes soient-elles, ne pourront
jamais remplacer l'obéissance à la
Parole de Dieu.
Je tremble à la pensée que le nom de
Dieu a pu être glorifié par des
âmes qui ont été au
bénéfice de la grâce de Dieu,
mais que cette
bénédiction ait pu être
apportée par des hommes ou des femmes qui
connaissaient suffisamment bien la valeur de la
Parole de Dieu pour les autres, mais qui
négligeaient de la mettre en pratique pour
eux-mêmes !
"Plusieurs me diront (à
Jésus)
en ce
jour-là : Seigneur, Seigneur,
n'avons-nous pas ... fait
ceci ou cela... en ton nom ? Alors
je (Jésus)
leur
dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais
connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez
l'iniquité."
D'après Matthieu 7: 22-23
"Seigneur tes
jugements sont plein de bontés (Psaume 119: 39) même lorsqu'ils mettent en
lumière nos défaillances.
Ne cesse jamais de m'interpeller par ton Esprit en
moi ou par tes serviteurs ou servantes afin que
jamais je ne reste dans le péché de
la désobéissance dans le cas
où j'y tomberai.
Je sais que c'est le seul péché qui,
depuis Adam et Eve a conduit l'humanité dans
les ténèbres et qu'il en conduira
encore plusieurs de ceux qui disent t'appartenir
mais qui ne veulent pas se plier à TA
Parole.
Que ta Parole soit toujours la seule lumière
sur mon sentier et, s'il y a parfois quelques
nuages qui viennent assombrir ma vie, je veux
continuer à croire dans ta
fidélité, même si je ne vois
plus ta main. "Envoie ta lumière et ta
fidélité ! Qu'elles me guident,
qu'elles me conduisent à ta montagne sainte
et à tes demeures !" (Psaume 43: 3)"
Ceux qui craignent
Dieu peuvent-ils se réjouir en ME
voyant ?
Puis-je me réjouir en voyant TA marche avec
le Seigneur ?
Mieux encore !
Dieu peut-il faire
de moi un sujet de joie en voyant ma
conduite ?
L'Éternel ton Dieu est au
milieu de toi, un vaillant Sauveur ;
il
éclatera de joie, à cause de
toi,
il se taira dans son amour ; il tressaillera
à cause de toi avec des cris de
joie.
Sophonie 3: 17 (v. Bible
annotée)
Il fera de toi sa plus grande joie... Il aura pour
toi des transports d'allégresse. (v. L.
S)
Alors que nous avons vu trois
aspects de la réflexion du Psalmiste qui
disait : "Ceux qui te craignent me voient et
se réjouissent, car j'espère en tes
promesses", cet homme va
maintenant nous dépeindre la profonde tristesse de son âme
face à l'attitude de ceux qui se
réjouissaient de sa fermeté dans la
foi et de son
désir de dépendance à
l'égard de l'Éternel.
C'est en sautant quelques versets que nous
comprendrons l'importance qu'il y a à
participer aux souffrances de nos frères et
soeurs dans la foi,
ceci afin de montrer que nous sommes bien le corps
de Christ et que lorsqu'un membre souffre, tous les
membres souffrent (1 Corinthiens 12: 26).
Des hommes se réjouissaient de la marche
triomphante du psalmiste, mais lui-même
s'interrogeait de ce que cette joie les maintenait
à distance (v 79) :
Il s'interrogeait de cet
éloignement alors que lui-même, au
travers de ses paroles devant l'Éternel
proclamait : "Je suis l'ami de tous ceux qui te
craignent, Et de ceux qui gardent tes
ordonnances"
(v. 63).
(Sont-ils mes amis?)
Si nous étions enchantés du
comportement de ceux qui craignaient
l'Éternel au début de ces lignes,
voilà que maintenant le ciel s'assombrit et
que monte en moi une nouvelle question :
Pourquoi sont-ils
partis ces hommes ? "Qu'ils reviennent à
moi" se lamentait celui
qui répandait son coeur devant
l'Éternel !
Combien, aujourd'hui encore, se
détournent-ils de leurs frères ou de
leurs soeurs lorsque ces derniers sont dans
l'adversité ?
Je pense à ce frère accusé
faussement d'actes que la morale réprouve et
qui s'est retrouvé abandonné de
l'Église..., mais non du Seigneur.... Je
pense à cette soeur qui n'est jamais
saluée dans l'Église et qui se
lamente de ne pouvoir trouver un peu de chaleur
fraternelle... Je pense ..., mais la liste serait
trop longue ... !
Seul un verset définissant l'Église
de la fin des temps est capable de donner la
raison, l'unique raison qui fait que plusieurs
soupirent dans une
solitude qu'ils n'ont pas voulue. Une solitude qui leur a
été imposée parce qu'ils ont
eu le "malheur" de subir des contrecoups dans leur
vie, le "malheur" d'avoir eu une foi qui a
été testée :
" La
charité (l'amour) du plus grand nombre se
refroidira... !" Matthieu 24: 12 (v. L. S)
À cet instant je comprends mieux pourquoi
l'auteur du Psaume 119, accompagné de tous
ceux qui vivent l'abandon de leurs frères
dans la foi, s'attend à ce que
l'Éternel use de compassion envers eux.
Que
tes compassions viennent sur moi, pour que je
vive ! (v. 77)
Ne
m'abandonne pas entièrement (v. 8)
Ne voulant pas terminer sur une note
défaitiste en pensant que certains ont
été relégués aux
oubliettes d'une partie du monde chrétien
bien trop riche de lui-même, je voudrais dire
aux "exclus" de ces communautés sans amour ,
à ceux qui frappent encore à leur
porte...
Je voudrais leur dire qu'ils ne sont pas seuls car
quelque part, non loin d'eux, il y a un Dieu qui
s'est fait homme, un Dieu, notre Seigneur
Jésus qui frappe à la porte de
l'Église de Laodicée afin de pouvoir
y entrer !
Non tu n'es pas seul, tu n'es pas seul à
frapper, et c'est parce que tu n'es pas seul qu'il
faut absolument t'encourager et accompagner
l'auteur du Psaume 119 en redisant avec
lui :
Le
veux-tu ?
Moi je le
veux !
© J-M
Ravé 1er septembre 2007 -
CP 474 -
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