Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

l'Abécédaire pour une vie bénie

(20) (Yod)

2 ème partie - La fermeté dans la foi produit la joie des uns. Une joie qui pourrait alimenter la tristesse des autres.

Ceux qui te craignent me voient et se réjouissent, car j'espère en tes promesses. Psaume 119: 74(v. L. S)

Voilà une pensée fort agréable à partager aujourd'hui ! Agréable parce que ceux qui craignent l'Éternel ne jugent pas un frère en fonction de ce qu'il est en train de vivre, mais
par rapport à sa fermeté dans la foi.

- Une fermeté qui résiste dans l'adversité,
- Une fermeté qui résiste à l'attrait d'une vie plus facile qui serait faite à coup de compromis,
- Une fermeté qui se manifeste par la démonstration d'un désir toujours plus vif de connaître Dieu, de vivre SA Parole tout en se séparant des pécheurs.

C'est encore l'auteur du Psaume 119, qui, par l'une de ses remarques, va nous interpeller au travers de quelques réflexions consécutives au contenu de cette lettre "Yod". Une lettre dont nous avons déjà parlé la semaine passée en relevant deux textes de base servant à encadrer ce que nous allons découvrir aujourd'hui :

Donne-moi l'intelligence, pour que j'apprenne tes commandements ! (v. 73)
&
Que mon coeur soit sincère dans tes statuts,
Afin que je ne sois pas couvert de honte ! (
v. 80)

Ces pensées profondes marquent, à elles seules, le sérieux d'une vie engagée avec le Seigneur. Puis-je me les approprier ? Puis-je affirmer qu'il en est bien ainsi dans ma vie ?
Est-ce que j'ai vraiment envie de mieux comprendre la Parole de Dieu ?
Mon coeur est-il sincère lorsque je dis que j'ai donné ma vie à Christ? Mes actes le prouvent-ils ?

Si nous pensons pouvoir répondre par l'affirmative à ces questions, sachons qu'il y en a d'autres qui ont aussi leur mot à dire : nos frères et soeurs dans la foi !
Voulons-nous les entendre ?
Sommes-nous prêts à accepter ce qu'ils auraient à nous dire, même s'ils présentent un point de vue différent du nôtre ? Espérons-le et réjouissons-nous de leurs remarques tant que ces dernières s'appuient sur l'Écriture !

Que le juste me frappe, c'est une faveur ; qu'il me reprenne, c'est une huile excellente ; ma tête ne la refusera pas... Psaume 141: 5 (v. D)

En dehors du fait de "redresser" avec amour un frère ou une soeur qui s'écarte du chemin étroit ou de le secouer un peu pour qu'il se réveille, croyons qu'ils ont aussi le même discernement pour remarquer la fidélité de certains.
Notre Psalmiste l'avait constaté, aussi s'exprime-t-il dans le
verset 74 du Psaume 119 en disant : "Ceux qui te craignent me voient et se réjouissent, car j'espère en tes promesses."

Cette simple phrase, si riche d'enseignements, va nous permettre d'en extraire quelques-uns qui seront précieux pour notre vie.

Premièrement, elle nous apprend à regarder à l'essentiel et non aux apparences.
Notre homme vivait une période si difficile dans sa vie que les croyants de l'époque ne pouvaient faire autrement que de s'en apercevoir : "Ceux qui te craignent (qui craignent l'Éternel) me voient..."

Nous sommes environnés de paires d'yeux qui nous observent et dont les propriétaires ont des réactions différentes selon qu'ils appartiennent à Dieu ou au monde.
Dans le cas présent, nous sommes devant des personnes qui aiment Dieu et qui se réjouissent de la fidélité d'un de leurs semblables : "
Ceux qui te craignent me voient et se réjouissent".
Ce constat devait réchauffer le coeur de notre homme, lui qui était environné de personnes qui ne pensaient qu'à lui causer du tort (v. 78) et qui, elles aussi, ne manquaient pas de se réjouir, mais de se réjouir chaque fois qu'un de leurs coups semblait affaiblir leur victime ! Joie malsaine qui les entraînait toujours plus loin dans leur méchanceté, si loin qu'à un moment la foi ou la vie de notre homme s'est trouvée en péril : "Ils ont failli me terrasser et m'anéantir... !" (v.87)

Oui ! Cela devait faire chaud au coeur de constater qu'en
arrière-plan, il y avait des frères, des bien-aimés du Seigneur qui se réjouissaient de la foi d'un de leurs collègues qui tenait ferme en dépit de toutes les attaques orchestrées par le prince des ténèbres : Satan ! Le prince de ce monde (Jean 12: 31) qui trouve toujours parmi les hommes des instruments pour exprimer son ardente colère contre Dieu et ceux qui le servent !

Quelle grâce de savoir qu'au travers de nos difficultés, il existe des personnes dans la foi qui ne vous méprisent pas et qui savent reconnaître que vous êtes toujours un enfant de Dieu fidèle.
Ils le reconnaissent parce qu'ils ne regardent pas aux apparences !

Quelle aurait été notre attitude à l'égard du Psalmiste si nous avions vécu à son époque ? Aurions-nous prêté attention à ce que nos yeux auraient pu constater ou à la voix de
notre coeur animé par l'Esprit de Dieu ?

Ne nous précipitons pas pour répondre !
Nos actes parlent déjà pour nous ! Ils sont à même de raconter comment nous nous comportons à l'égard de nos frères et soeurs dans la foi qui vivent autour de nous et qui sont plus ou moins durement éprouvés !

Que voyons-nous dans un frère qui passe et repasse dans le creuset de l'épreuve ?
Sommes-nous de ceux qui pensent comme les païens ?
Sommes-nous de ceux qui montrent du doigt celui qui semble abandonné de Dieu en raison de l'absence de bénédictions visibles d'où la déduction, un peu rapide, qu'il doit y avoir un grave péché dans sa vie ?
Ou bien sommes-nous les premiers à nous réjouir de ce que la foi d'un tel homme (ou d'une telle femme) se maintienne enracinée dans son Sauveur et Seigneur malgré les circonstances défavorables ?

Il est possible que notre première réaction, celle de notre vieille nature, aille "cataloguer" négativement celui pour qui Jésus a versé son sang. Elle le sera jusqu'au moment où le bon sens nous reviendra et
nous permettra d'agir avec compassion en appliquant une des paroles de l'apôtre Paul inspiré par le Saint-Esprit :

Portez les fardeaux les uns des autres, et vous accomplirez ainsi la loi de Christ. Galates 6: 2 (v. L. S)

Quelle est cette loi de Christ ? Ne serait-ce point la loi de l'amour ? Cet amour qui ne soupçonne point le mal ! "
La charité est patiente, elle est pleine de bonté... elle ne soupçonne point le mal..." (1 Corinthiens 13: 4 à 8)

Ainsi donc,
la manifestation de l'amour chrétien ne saurait avoir d'égard à l'apparence puisqu'il ne soupçonne pas le mal.

L'amour chrétien sait que
l'épreuve n'est pas toujours conséquente au péché de celui qui la subit et que, même s'il elle en était conséquente, le véritable amour aurait encore de larges possibilités de se manifester afin de conduire la brebis égarée au pied de la croix.

"Seigneur aide-moi à avoir un nouveau regard sur ceux qui sont tombés subitement dans la misère, ceux qui se trouvent sous le feu de l'adversité, apprends-moi à avoir un coeur comme le tien et à ne plus réagir comme au temps où je ne t'appartenais pas."

L'Éternel ne considère pas ce que l'homme considère ; l'homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l'Éternel regarde au coeur. 1 Samuel 16: 7 (v. L. S)

Nous venons donc de voir que le psalmiste s'était rendu compte que ceux qui craignaient l'Éternel ne le jugeaient pas selon l'apparence, c'est-à-dire que ces hommes respectaient la loi de Dieu promulguée par Moïse !

Vous n'aurez point égard à l'apparence des personnes dans vos jugements... Deutéronome 1: 17 (v. L. S)

Une loi qui imprimera la vie du Seigneur Jésus puisque Esaïe le dépeindra de la façon suivante :

Il (Jésus) respirera la crainte de l'Éternel ; Il ne jugera point sur l'apparence, Il ne prononcera point sur un ouï-dire. Mais il jugera les pauvres avec équité, Et il prononcera avec droiture sur les malheureux de la terre... Esaïe 11: 3-4 (v. L. S)

Les "malheureux de la Terre", loin d'être condamnés ou défavorisés à cause de leur misère seront jugés au même titre que les autres. Celui à qui tout jugement a été remis (
Jean 5: 22) ne fait point de préférence : "celui qui agit injustement recevra selon son injustice, et il n'y a point d'acception de personnes. (Colossiens 3: 25)

Cette notion de "ne point jugé selon l'apparence" (
Jean 7: 24) étant bien comprise, nous allons pouvoir aller un peu plus loin dans notre réflexion sur le texte du jour : "Ceux qui te craignent me voient et se réjouissent, car j'espère en tes promesses."

Le deuxième point à relever est une question que je dois me poser :
Ceux qui craignent Dieu peuvent-ils se réjouir en ME voyant ?

Une question dont la réponse sera comparable au point numéro 3 qui est inséparable du précédent :

En tant que frère en Christ (ou soeur), puis-je me réjouir en voyant TA marche avec le Seigneur ?

Nous venons de voir que l'entourage
croyant du psalmiste se réjouissait parce que lui-même avait un comportement (et non des paroles) qui mettait en valeur sa foi parce qu'il continuait à espérer en l'Éternel.

Sachant que mes paroles et mes actes peuvent être contradictoires...
Que je puis
dire que j'ai foi en Dieu sans pour autant avoir une vie qui démontre que j'appartiens au Seigneur et que ses commandements sont ma ligne de conduite, il faut donc que je trouve un juge impartial qui puisse se prononcer sans que j'aie à discuter.

Sachant qu'il est préférable que je me juge moi-même :
"
Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés" (1 Corinthiens 11: 31) ce jugement ne peut être fait qu'avec les conseils de ce juge impartial.

Sachant que j'ai aussi l'obligation d'intervenir si je vois mon frère pécher...
Faut-il encore que je sois suffisamment spirituel (
1 Corinthiens 2: 15: "L'homme spirituel... juge de tout...) pour intervenir et que je ne tombe pas moi-même sous le jugement de Dieu pour avoir condamné chez autrui, ce que je pourrais faire moi-même !

De ce fait, dans un cas comme dans l'autre, il me faut faire appel à ce juge impartial, un juge que personne ne pourra contester
sous peine d'une sanction grave puisque SA parole ne se discute pas, ne se déforme pas avec le temps !

Quoi de mieux pour trancher, sinon l'épée de la Parole de Dieu ?

Car la parole de Dieu est vivante et efficace (opérante), plus tranchante (acérée, pénétrante) qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge (discerne) les sentiments et les pensées du coeur.
Nulle créature n'est cachée devant lui, mais
tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte. Hébreux 4: 12-13 (v. L. S)

Voilà donc où nous en sommes les uns comme les autres !
Que dit la Parole de Dieu lorsqu'elle considère mon engagement actuel, ma vie spirituelle, ma vie dans le corps de Christ ?

Avant que Jésus, ce Juge impartial prononce un jugement définitif, il m'accorde, il nous accorde à tous le privilège de nous juger nous-mêmes face à sa Parole écrite.
Vais-je le faire ou au contraire, vais-je me détourner afin de ne pas avoir à changer quelque chose dans mon comportement tant je me satisfais de ce que je suis aujourd'hui ?

Si nous sommes droits devant Dieu, honnêtes face à l'Écriture, si nous le cherchons de tout notre coeur, alors nous n'hésiterons pas à mettre en ordre ce que le Saint-Esprit nous a peut-être déjà montré, soit au travers de la Bible, soit de nos frères qui ont remarqué notre conduite étrange.
Nous ne nous chercherons pas des excuses sachant qu'il nous est demandé de marcher de progrès en progrès : "
Ce que Dieu veut, c'est votre sanctification...." (lire 1 Thessaloniciens 4: 1-8)
Dieu n'a pas prévu d'excuse, d'exception pour que l'on s'arroge la liberté de marcher comme nous l'entendons et non comme IL le désire !

Le monde voudrait nous aspirer, voudrait nous absorber, mais
c'est EN Christ que nous devons vivre afin de rester la nouvelle créature qu'il a fait de nous le jour où nous sommes passés des ténèbres à son admirable lumière. (2 Corinthiens 5: 17 ; 1 Pierre 2: 9)

"
Tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte" et toutes nos motivations, nos oeuvres si bonnes soient-elles, ne pourront jamais remplacer l'obéissance à la Parole de Dieu.

Je tremble à la pensée que le nom de Dieu a pu être glorifié par des âmes qui ont été au bénéfice de la grâce de Dieu, mais que
cette bénédiction ait pu être apportée par des hommes ou des femmes qui connaissaient suffisamment bien la valeur de la Parole de Dieu pour les autres, mais qui négligeaient de la mettre en pratique pour eux-mêmes !

"
Plusieurs me diront (à Jésus) en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas ... fait ceci ou cela... en ton nom ? Alors je (Jésus) leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité." D'après Matthieu 7: 22-23

"Seigneur tes jugements sont plein de bontés (Psaume 119: 39) même lorsqu'ils mettent en lumière nos défaillances.
Ne cesse jamais de m'interpeller par ton Esprit en moi ou par tes serviteurs ou servantes afin que jamais je ne reste dans le péché de la désobéissance dans le cas où j'y tomberai.
Je sais que c'est le seul péché qui, depuis Adam et Eve a conduit l'humanité dans les ténèbres et qu'il en conduira encore plusieurs de ceux qui disent t'appartenir mais qui ne veulent pas se plier à TA Parole.
Que ta Parole soit toujours la seule lumière sur mon sentier et, s'il y a parfois quelques nuages qui viennent assombrir ma vie, je veux continuer à croire dans ta fidélité, même si je ne vois plus ta main. "
Envoie ta lumière et ta fidélité ! Qu'elles me guident, qu'elles me conduisent à ta montagne sainte et à tes demeures !" (Psaume 43: 3)"

Ceux qui craignent Dieu peuvent-ils se réjouir en ME voyant ?
Puis-je me réjouir en voyant TA marche avec le Seigneur ?
Mieux encore !

Dieu peut-il faire de moi un sujet de joie en voyant ma conduite ?

L'Éternel ton Dieu est au milieu de toi, un vaillant Sauveur ; il éclatera de joie, à cause de toi, il se taira dans son amour ; il tressaillera à cause de toi avec des cris de joie. Sophonie 3: 17 (v. Bible annotée)

Il fera de toi sa plus grande joie... Il aura pour toi des transports d'allégresse. (v. L. S)

***

Alors que nous avons vu trois aspects de la réflexion du Psalmiste qui disait : "Ceux qui te craignent me voient et se réjouissent, car j'espère en tes promesses", cet homme va maintenant nous dépeindre la profonde tristesse de son âme face à l'attitude de ceux qui se réjouissaient de sa fermeté dans la foi et de son désir de dépendance à l'égard de l'Éternel.

C'est en sautant quelques versets que nous comprendrons
l'importance qu'il y a à participer aux souffrances de nos frères et soeurs dans la foi, ceci afin de montrer que nous sommes bien le corps de Christ et que lorsqu'un membre souffre, tous les membres souffrent (1 Corinthiens 12: 26).

Des hommes se réjouissaient de la marche triomphante du psalmiste, mais lui-même s'interrogeait de ce que cette joie les maintenait à distance (
v 79) :

Qu'ils reviennent à moi, ceux qui te craignent,
Et ceux qui connaissent tes préceptes !

Il s'interrogeait de cet éloignement alors que lui-même, au travers de ses paroles devant l'Éternel proclamait : "Je suis l'ami de tous ceux qui te craignent, Et de ceux qui gardent tes ordonnances" (v. 63).
(Sont-ils mes amis?)

Si nous étions enchantés du comportement de ceux qui craignaient l'Éternel au début de ces lignes, voilà que maintenant le ciel s'assombrit et que monte en moi une nouvelle question :

Pourquoi sont-ils partis ces hommes ? "Qu'ils reviennent à moi" se lamentait celui qui répandait son coeur devant l'Éternel !

Combien, aujourd'hui encore, se détournent-ils de leurs frères ou de leurs soeurs lorsque ces derniers sont dans l'adversité ?
Je pense à ce frère accusé faussement d'actes que la morale réprouve et qui s'est retrouvé abandonné de l'Église..., mais non du Seigneur.... Je pense à cette soeur qui n'est jamais saluée dans l'Église et qui se lamente de ne pouvoir trouver un peu de chaleur fraternelle... Je pense ..., mais la liste serait trop longue ... !

Seul un verset définissant l'Église de la fin des temps est capable de donner la raison, l'unique raison qui fait que plusieurs soupirent dans
une solitude qu'ils n'ont pas voulue. Une solitude qui leur a été imposée parce qu'ils ont eu le "malheur" de subir des contrecoups dans leur vie, le "malheur" d'avoir eu une foi qui a été testée :
" La charité (l'amour) du plus grand nombre se refroidira... !" Matthieu 24: 12 (v. L. S)


À cet instant je comprends mieux pourquoi l'auteur du Psaume 119, accompagné de tous ceux qui vivent l'abandon de leurs frères dans la foi, s'attend à ce que l'Éternel use de compassion envers eux.

Que tes compassions viennent sur moi, pour que je vive ! (v. 77)

Ne m'abandonne pas entièrement (v. 8)

Ne voulant pas terminer sur une note défaitiste en pensant que certains ont été relégués aux oubliettes d'une partie du monde chrétien bien trop riche de lui-même, je voudrais dire aux "exclus" de ces communautés sans amour , à ceux qui frappent encore à leur porte...

Je voudrais leur dire qu'ils ne sont pas seuls car quelque part, non loin d'eux, il y a un Dieu qui s'est fait homme, un Dieu, notre Seigneur Jésus qui frappe à la porte de l'Église de Laodicée afin de pouvoir y entrer !
Non tu n'es pas seul, tu n'es pas seul à frapper, et c'est parce que tu n'es pas seul qu'il faut absolument t'encourager et accompagner l'auteur du Psaume 119 en redisant avec lui :

Que mon coeur soit sincère dans tes statuts,
Afin que je ne sois pas couvert de honte !
(v. 80)

Le veux-tu ?
Moi je le veux !


© J-M Ravé 1er septembre 2007 -
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