Depuis le début de
cette série sur le psaume 119, nous voyons
que Dieu est fortement mis à contribution.
Ce n'est pas moins de 20 demandes qui lui ont
été formulées du verset 1 au
verset 37. Et tout cela par le même
homme !
20 demandes
précises dont
la majorité d'entre elles a un rapport avec
l'être intérieur du demandeur qui a
soif du Dieu vivant, soif de mieux connaître
SA volonté : v, 8, 10, 12,17, 18, 19,
22, 25, 26, 27, 28, 29 (2x), 31, 33, 34, 35, 36, 37
(2x), - voir l'annexe
à la fin du message (1) -
Ce désir de progression, exprimé par
ses lèvres, pourrait n'être que de
simples paroles, de simples prières qui
monteraient d'un coeur soudainement embrasé
par un désir momentané.
Mais il n'en n'est rien, car ses actes sont
là pour prouver que sa démarche est
associée à un comportement qui
démontre que ses actions sont en rapport
avec sa foi : il a déjà mis en
pratique ce qu'il connaît, et il veut
progresser.
En reprenant les 37 premiers versets, il m'a
semblé que l'on pourrait aussi trouver pas
loin d'une vingtaine
d'engagements personnels qui prouveraient que les
prières faites correspondent bien à
une volonté de plaire à
Dieu : v.8,
10,11, 13,14, 15 (2x),16 (2x), 20, 22, 23, 24, 28,
30 (2x), 31, 32, 35, -
voir l'annexe à la fin du message
(2) -
Sa démarche vis-à-vis de
l'Éternel est donc sérieuse,
voilà pourquoi il peut poursuivre sans
crainte ses demandes tout en rappelant à
Dieu SES propres promesses (v. 38);
S'il est bon de rappeler
à Dieu ses propres promesses, de s'appuyer
sur elles afin de montrer que nos prières
ont un sens et qu'elles sont selon la pensée
du Seigneur, encore
faut-il que nous ayons la bonne attitude à
son égard.
La bonne attitude dites-vous ?
Mais lorsque l'on prie Dieu ne sommes-nous pas dans
une position qui lui est agréable puisqu'il
nous invite à "prier sans cesse" ?
(1 Thessaloniciens 5: 17)
La Bible nous apprend qu'il y a des situations
où les prières ne sont pas
entendues !
Non pas que Dieu soit devenu sourd, mais simplement
son refus de prêter attention à des
demandes est lié au comportement du
demandeur.
Celui qui refuse d'obéir à la Parole
de Dieu et qui, de ce fait, pratique le
péché
en faisant passer ses propres pensées avant
celles de son Père céleste, ne
saurait être entendu et exaucé.
La
désobéissance est donc un choix
désastreux dont les conséquences
pourraient avoir des répercussions jusque
dans l'éternité.
Ils
crieront vers moi, Et je ne les écouterai
pas....
... je
ne les écouterai pas, quand ils
m'invoqueront à cause de leur malheur.
Jérémie 11: 11&
14
(v. L. S)
Alors ils
m'appelleront, et je ne répondrai
pas ; Ils me chercheront, et ils ne me
trouveront pas.
-
Parce qu'ils ont haï la science, Et qu'ils
n'ont pas choisi la crainte de
l'Éternel,
-
Parce qu'ils n'ont point aimé mes
conseils,
- Et
qu'ils ont dédaigné
toutes mes réprimandes... Proverbes 1: 28 et
suivants (v. L. S)
Ces textes, tirés de l'Ancien Testament,
sont là pour mettre en évidence une
vérité que l'apôtre Jacques
rappelle à sa façon. Il nous montre
que, dans la nouvelle alliance, dans cette
époque de la grâce, de nombreuses
prières ne seront jamais
exaucées.
Vous
demandez, et vous ne recevez pas, parce que vous
demandez mal, dans le but de satisfaire vos
passions.... ne savez-vous pas que l'amour du monde
est inimitié contre Dieu ? Celui donc
qui veut être ami du monde se rend ennemi de
Dieu. Jacques 4: 3-4 (v. L. S)
Si j'ai bien compris, cette présentation peu
agréable de Jacques va m'obliger à
réfléchir aux motivations de mes
demandes afin de savoir si je puis
véritablement les présenter
au nom du Seigneur
Jésus. Elle va
aussi me conduire à regarder si je suis bien
à la place que le Seigneur désire,
cette place revendiquée par l'auteur du
psaume 119: Une place de serviteur !
"Accomplis envers ton serviteur ...
"
Quelle que soit la fonction que nous ayons dans
l'Église, un fait est indéniable,
nous sommes TOUS et TOUTES mis au rang de
SERVITEUR ! Aucun d'entre nous peut
prétendre avoir un rang supérieur
à celui de serviteur devant Dieu.
Ceci admis, il faut accepter
l'idée qu'il y a deux catégories de
serviteurs.
La Parole de Dieu fait clairement la distinction
entre les méchants et les bons serviteurs.
Les premiers étant
différenciés des seconds par leur
comportement qui met en avant l'inutilité de
leur service (Matthieu 25: 30) parce qu'ils sont paresseux
(Matthieu 25: 26).
Il en est tout autre du bon serviteur qui accomplit
ce qui lui a été demandé, qui
obéit à son Maître, qui est
"fidèle dans toute la maison de Dieu".
Mais le service accompli selon la volonté
divine ne saurait être l'occasion de se
glorifier car, selon le Fils de Dieu, le serviteur
obéissant doit se considérer comme un
"serviteur inutile" qui n'a fait que ce qui lui
était demandé.
Vous de
même, quand vous avez fait tout ce qui vous a
été ordonné, dites : Nous
sommes des serviteurs inutiles, nous avons fait ce
que nous devions faire. Luc 17: 10 (v. L. S)
S'il n'y a point de gloire à obéir,
il vaut quand même mieux être un
serviteur qui se
qualifie d'inutile et
que Dieu a toute liberté d'utiliser,
plutôt que
d'être qualifié d'inutile par le
Seigneur et d'être jeté dehors, dans
les ténèbres! (Matthieu 25:30)
Inutile pour la
simple raison d'avoir été paresseux
dans l'exécution de la volonté de
Dieu ou, plus malignement, d'avoir fait le tri dans
ses ordonnances afin de choisir celles auxquelles
nous allions obéir.
Serviteur inutile quoique des oeuvres puissent
être faites en faveur du Royaume de Dieu -
oeuvres utilisables par Dieu -, mais accomplies
sans SA volonté, c'est-à-dire, faites
par la chair sans soumission à Celui qui a
préparé des oeuvres pour qu'on les
accomplisse. (Ephésiens 2: 10)
Dès lors, il va de soi que si je suis
négligent dans le service de Dieu (service
consécutif à SA volonté), si
je méprise les enseignements qu'il a
donnés au travers des Saintes
Écritures, je
n'ai pas le droit de prendre à mon compte
les paroles du psalmiste : "Accomplis envers ton serviteur ta promesse".
En effet, que peut-il y avoir comme promesse pour
le méchant serviteur qui ne craint pas la
voix de son Maître au travers de la
Bible ? Seulement des promesses de
ténèbres! (Matthieu 25: 30)
Ai-je le droit de
rappeler à Dieu ses promesses lorsque, de
mon côté, je veux ignorer certains
enseignements de SA parole ?
Ce serait tomber sous le Jugement de
Dieu !
Et parce que le Jugement commence d'abord par ceux
qui appartiennent au corps de Christ, à la
maison de Dieu, l'apôtre Pierre s'interroge sur
l'avenir de ceux qui n'obéissent pas
à l'Évangile de Dieu : Quelle
sera leur fin ?
(1 Pierre 4: 17)
Nous savons fort bien que les païens
n'obéissent pas à l'Évangile
et qu'en raison de leur attitude, la porte du
Royaume des Cieux leur sera fermée. Mais
qu'en sera-t-il des
enfants de Dieu qui ont la même conduite que
les incroyants ?
Ainsi il semble bien qu'il ne soit pas suffisant...
qu'il n'est pas
suffisant
(affirmation) d'être entré dans la
maison de Dieu le jour où nous avons
accepté Christ comme Sauveur pour voir
s'accomplir infailliblement les promesses que
l'Écriture nous présente.
Le Seigneur Jésus a-t-il la liberté
d'être Seigneur, c'est-à-dire d'avoir
l'autorité de sa Parole dans nos
vies ?
Peut-il s'attendre à nous voir
fidèles dans les petites choses ?
(Luc 16: 10)
Peut-il nous qualifier de "bons
serviteurs" ?
L'auteur du psaume 119, en rappelant les promesses
que l'Éternel a faites, se place comme
serviteur, et comme serviteur qui craint son
NOM, qui craint de déplaire à
son Dieu
(v. 38).
Il ose se placer dans
le rang de ceux qui craignent
l'Éternel !
Le pouvons-nous ?
Craignons-nous suffisamment Dieu au point
d'être attentifs à nos
voies ?
L'Éternel aime ceux qui le
craignent. Psaume 147: 11 (v. L. S)
Nous n'allons pas revenir sur la crainte de
l'Éternel que nous devons avoir, ni sur la
crainte de Jésus-Christ (Éphésiens 5:
21), ceux et celles
qui ont donné leur vie à
Jésus-Christ ont reçu suffisamment
d'intelligence pour comprendre qu'on ne peut pas
agir envers Celui qui doit nous juger, sans prendre
en considération sa sainteté et sa
justice.
Il faudrait être insensé pour ne
compter que sur son amour et croire qu'à
cause de cet amour il fermera les yeux sur nos
inconduites, nos désobéissances au
risque de détruire sa justice et, par la
même occasion de perdre sa sainteté en
n'étant plus juste !
Dieu étant toujours le même, la
crainte de l'Éternel nous concerne
tous !
Et cette crainte ne
saurait être indépendante de
l'obéissance ! Une obéissance qui est
essentielle, indispensable pour que le croyant ne
soit pas stoppé dans sa marche.
La
désobéissance fut le premier
péché qui amena une séparation
entre le Seigneur et nos premiers
parents, la
même désobéissance, le
même refus de se plier à la
volonté divine, à la Parole de Dieu,
ne peut avoir que la même
conséquence : une rupture dans la
communion !
Rappelons-nous que si notre façon de nous
conduire en tant qu'enfants de Dieu,
rachetés par le précieux sang de
Christ, nous semble juste, elle ne le sera qu'en fonction de la
mesure que nous utilisons.
Celle de Dieu, celle
de SA parole qu'il nous a laissée comme
"lumière sur notre sentier" est
la seule qui soit certifiée
juste !
C'est parce que notre ami le psalmiste s'est
sondé à la lumière de la
Parole de Dieu, parce qu'il a eu à coeur
d'avouer qu'il y avait quelque chose à
changer dans sa vie et qu'il a imploré Dieu
pour que ce changement s'opère...
... qu'il
ose maintenant réclamer que la
promesse de Dieu s'accomplisse, promesse faite pour ceux qui craignent
son Nom !
Maintenant il s'agit de savoir quelle était
cette promesse !
C'était une promesse réservée
à ceux qui craignent l'Éternel !
Une promesse qui doit aussi nous être
réservée puisque nous sommes
censés avoir la même crainte que le
psalmiste.
Revenons aux versets 25 et 28 du psaume 119 et voyons comment cet homme met en
avant ce que Dieu a promis :
Mon
âme est attachée à la
poussière : Rends-moi la vie selon
TA parole !
Mon
âme pleure de chagrin: Relève-moi
selon TA parole!
À cette époque, il fit la
découverte qu'il était trop
attaché aux choses de ce monde et que cet
attachement nuisait à sa vie spirituelle au
point de ne plus avoir le sentiment de vivre !
Il n'était pas heureux !
À cette époque, il se souvînt
que Dieu avait parlé de bonheur pour ceux et
celles qui observent avec soin les ordonnances
divines : "Heureux ceux qui..." Psaume 119: 1-4
Et, comme il désirait ardemment marcher dans
les voies de l'Éternel, il ne pouvait pas
avoir oublié la merveilleuse exhortation
faite à ses pères, au peuple
d'Israël, aux descendants d'Abraham (le
psalmiste était Israélite) :
Maintenant, Israël,
que
demande de toi l'Éternel, ton
Dieu,
si ce n'est que tu craignes l'Éternel, ton
Dieu, afin de marcher dans toutes ses voies,
d'aimer et de servir l'Éternel, ton Dieu, de
tout ton coeur et de toute ton âme ; si
ce n'est que tu observes les commandements de
l'Éternel et ses lois que je te prescris
aujourd'hui, afin que tu sois
heureux ? Deutéronome 10:
12-13
(v. L. S)
Parce que nous sommes aussi les descendants du
Patriarche, le même bonheur nous attend si
nous obéissons à la Parole de
Dieu ! "Reconnaissez donc que ce sont ceux
qui ont la foi qui sont fils d'Abraham "(Galates 3: 7).
Notre psalmiste a-t-il été
exaucé ?
Pour le savoir, il faudra faire un bon en avant
afin de trouver la réponse. C'est le
verset 93
qui nous la donne :
Je
n'oublierai jamais tes ordonnances,
Car
c'est par elles que tu me rends la
vie.
(Selon les versions, le "tu me rends la vie" est
une action présente qui s'accomplit ou une
action qui est déjà arrivée et
dont il bénéficie toujours : "tu
m'as fait revivre, tu me fais vivre, tu me rends la
vie")
Ainsi le Seigneur répond à la
prière lorsque les conditions sont
réunies ! (il faut parfois bien du
temps pour qu'elles soient conformes à sa
volonté!)
Nous pouvons encore constater que la réponse
à la prière démontre bien que
le psalmiste s'est appliqué à suivre
la Parole de Dieu et qu'il s'en est suivi
un engagement solennel
à garder cette parole : "Je n'oublierai jamais tes
ordonnances".
Bien plus que de mettre en mémoire cette
Parole, il y a, évidemment, la mise en
pratique qui démontrera que l'on ne s'est
pas instruit uniquement pour augmenter ses
connaissances. Savoir et ne pas mettre en pratique
est un péché ! (Jacques 4: 17)
Mon engagement à suivre mon Sauveur et
Seigneur ne doit donc pas être
différent puisqu'Il demande, lui-même,
à ce que SA parole soit gardée,
"Si
quelqu'un m'aime, il gardera ma parole" (Jean 14: 23), et mise en pratique, "... faites ceci en
mémoire de moi"
(Luc 22: 19).
Les apôtres ont appuyé les paroles du
Maître en déclarant ouvertement ce
qu'il en était pour ceux qui ne voulaient
pas s'y plier : écoutons ce que dit
Jean, le disciple bien-aimé du
Seigneur :
Celui
qui dit : Je l'ai connu, et
qui ne garde pas ses
commandements, est un menteur, et la
vérité n'est point en
lui.
Mais
celui qui garde sa parole, l'amour de Dieu est
véritablement parfait en lui : par
là nous savons que nous sommes en lui.
1 Jean 2: 4 (v. L. S)
Nous voyons donc qu'il y a un
bénéfice incalculable à
marcher dans l'obéissance, car la Source de
la Vie abondante ne saurait tarir pour celui qui
est agréable au Seigneur.
Comme le psalmiste, ayons la crainte de son Nom, le
respect de sa Parole, et alors nous pourrons, avec
foi et comme serviteur fidèle, demander
à Dieu que SES promesses
s'accomplissent.
En dehors de cette conduite, nous ne pourrons que
végéter sans porter de fruits
à la gloire de Celui qui a tout accompli
pour que nous soyons sauvés des peines
éternelles. Ne minimisons jamais
l'efficacité de la Parole de Dieu, car cette
Parole a autant de puissance et d'autorité
en ce siècle qu'elle en avait au temps des
apôtres.
Si malheureusement il semble qu'elle n'agit plus
comme autrefois, c'est simplement parce que le
coeur de ceux qui l'utilisent (ou la manipulent) ne
ressemble pas à celui de ceux qui ont
bénéficié des promesses qui
nous ont été transmises.
L'obéissance et la foi, liées l'une
à l'autre, sont d'une efficacité
telle qu'elles font bouger le bras de Dieu en
faveur de ceux qui l'invoquent !
Jésus prit la parole, et
leur dit : Ayez foi en Dieu. Marc 11: 22 (v. L. S)
...
parce
que...
tu as gardé ma parole, et que tu n'as pas
renié mon nom, j'ai mis devant toi une porte
ouverte, que personne ne peut fermer. Apocalypse 3: 8 (v. L. S)
"Seigneur, j'ai besoin
que tu sondes mon coeur afin que tu mettes en
lumière tout ce qui pourrait faire obstacle
à ma vie de serviteur inutile mais qu'il te
plaît d'utiliser.
J'ai besoin que tu me montres les points sensibles
où j'aurais plus envie de faire ma
volonté que la tienne car je ne veux pas
t'attrister.
Je désire ardemment que tu sois bien plus
que mon Sauveur, je veux que tu sois mon Roi, mon
Seigneur, déjà ici-bas, avant de
l'être pour l'éternité.
Donne-moi toujours plus d'intelligence pour
comprendre ta Parole et saisir l'importance qu'il y
a à la mettre en pratique.
Amen !"
l'Éternel prendra de nouveau
plaisir à ton bonheur, comme il prenait
plaisir à celui de tes pères,
lorsque tu obéiras à
la voix de l'Éternel, ton Dieu, en observant
ses commandements et ses ordres écrits dans
ce livre de la loi, lorsque tu reviendras à
l'Éternel, ton Dieu, de tout ton coeur et de
toute ton âme... Deutéronome 30:
9-10
...
je (Jésus) ne mettrai pas dehors
celui qui vient à moi... Jean 6: 37 (v. L. S)
© J-M
Ravé 23 juin 2007 -
CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse
v. 8 Ne
m'abandonne pas entièrement!
v. 10 Ne
me laisse pas égarer loin de tes
commandements!
v. 12
Enseigne-moi tes statuts!
v. 17 Fais
du bien à ton serviteur
v. 18
Ouvre mes yeux, pour que je contemple Les
merveilles de ta loi
v. 19 Ne
me cache pas tes commandements!
v. 22
Décharge-moi de l'opprobre et du
mépris!
v. 25
Rends-moi la vie selon ta parole!
v. 26
Enseigne-moi tes statuts!
v. 27
Fais-moi comprendre la voie de tes ordonnances
v. 28
Relève-moi selon ta parole!
v. 29
Éloigne de moi la voie du mensonge
v. 29
Accorde-moi la grâce de suivre ta loi!
v. 31 Ne
me rends point confus!
v. 33
Enseigne-moi, Éternel, la voie de tes
statuts
v. 34
Donne-moi l'intelligence
v. 35
Conduis-moi dans le sentier de tes
commandements!
v. 36
Incline mon coeur vers tes préceptes et non
vers le gain!
v. 37
Détourne mes yeux de la vue des choses
vaines
v. 37
Fais-moi vivre dans ta voie!
(retour au
message)
v. 8 Je
veux garder tes statuts
v. 10 Je
te cherche de tout mon coeur
v. 11 Je
serre ta parole dans mon coeur
v. 13 De
mes lèvres j'énumère Toutes
les sentences de ta bouche
v. 14 Je
me réjouis en suivant tes
préceptes
v. 15 Je
médite tes ordonnances,
v. 15 J'ai
tes sentiers sous les yeux.
v. 16 Je
fais mes délices de tes statuts
v. 16 Je
n'oublie point ta parole.
v. 20 Mon
âme est brisée par le désir Qui
toujours la porte vers tes lois.
v. 22
J'observe tes préceptes.
v. 23 Ton
serviteur médite tes statuts.
v. 24 Tes
préceptes font mes délices, Ce sont
mes conseillers.
v. 28 Mon
âme pleure de chagrin
v. 30 Je
choisis la voie de la vérité
v. 30 Je
place tes lois sous mes yeux.
v. 31 Je
m'attache à tes préceptes
v. 32 Je
cours dans la voie de tes commandements
v. 35 Car
je l'aime (le sentier de tes commandements).