Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

l'Abécédaire pour une vie bénie

(3) (Gimel)

176 versets et nous n'avons peut-être pas encore compris !

Fallait-il qu'il aime la Parole de Dieu l'auteur du plus long psaume de la Bible, lui qui tout au long de ces 176 versets fait l'éloge des commandements, des ordonnances, des lois, des préceptes divins !

Pourquoi le Seigneur l'a-t-il donc poussé à redire, de différentes façons, l'importance qu'il y a à suivre les enseignements divins ?
N'avons-nous pas quelque chose à apprendre au travers de cette insistance à communiquer à l'homme la parfaite volonté de Dieu ? Ces répétitions ne sont-elles pas exagérées ? Non ! nous dit l'apôtre Paul.

Je (Paul) ne me lasse point de vous écrire les mêmes choses, et pour vous cela est salutaire. Philippiens 3: 1 (v. L. S)

...
c'est votre sûreté, que je vous écrive les mêmes choses. (v. D. M)

176 versets pour nous faire comprendre : "
que l'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu". (Deutéronome 8:3 ; Matthieu et Luc 4: 4)

176 versets et nous n'avons peut-être pas encore compris !
Et dire que, pour certains, nous pouvons passer pour des casse-pieds (je peux passer pour un casse-pieds) à force d'insister sur le seul point sensible qui est mis en avant dans l'Écriture,
le seul point qui agace l'homme épris de liberté, d'une liberté qui lui interdit de se soumettre à la volonté du Père céleste : L'OBÉISSANCE !

Avons-nous l'ardent désir de suivre ce que dit Dieu ?
L'ardent désir de mettre SA Parole au dessus de tout, y compris de nos propres aspirations, ou sommes-nous liés par des habitudes, des réflexions qui font que ce psaume 119, en raison de ses multiples répétitions, est la portion des Écritures sur laquelle nous passons sans nous arrêter de crainte d'être interpellés ?


Plaise à Dieu que mon coeur ait toujours l'ardent désir de suivre le Seigneur et de mettre en pratique ce qu'il m'enseigne afin qu'à mon tour je puisse dire :


Fais du bien à ton serviteur pour que je vive...
Psaume 119: 17 (v. L. S)

En entrant dans cette troisième section du psaume 119, deux pensées fortes ressortent de cette première partie du verset 17, une partie que plusieurs d'entre nous tiennent à s'approprier.

La première est le souhait, le désir ardent que Dieu nous fasse du bien.
Combien de prières ne lui sont-elles pas adressées dans ce sens lorsque l'adversité ou l'épreuve nous masque les bontés de Dieu ou que certaines difficultés freinent notre marche ou, plus simplement, parce que nous avons envie de connaître SA volonté?

Ô Éternel, souviens-toi de moi, ne m'oublie pas... Jérémie 15: 15 (v. L. S)

Fais-moi dès le matin entendre ta bonté ! Car je me confie en toi. Fais-moi connaître le chemin où je dois marcher ! Car j'élève à toi mon âme. Psaume 143: 8 (v. L. S)

Quand tout est sombre et noir autour de moi... Lorsque, Seigneur, je ne vois plus ta main... (chant tzigane),
Oui Seigneur, lorsqu'il en est ainsi, surtout lorsqu'il en est ainsi, souviens-toi de moi, ne m'oublie pas !

Qui sait si dans notre ardeur à réclamer la bénédiction sur notre vie, notre foyer, nous ne mettons pas en avant nos oeuvres pour incliner son coeur en notre faveur. Qui sait si nous ne lui énumérons pas tout ce que nous avons fait pour lui, laissant ainsi sous-entendre que l'on pourrait... mériter (un peu) quelques grâces supplémentaires qui nous permettraient de vivre ! (
vivre : La deuxième pensée)

Souviens-toi de moi, ô mon Dieu... et n'oublie pas mes actes de piété à l'égard de la maison de mon Dieu et des choses qui doivent être observées ! Néhémie 13: 14 (v. L. S)

Loin de vouloir me comparer à Néhémie quant à son engagement envers l'Éternel, je relève simplement que si un homme comme lui, à pu s'imaginer ne plus être dans les pensées de Dieu, dans ses préoccupations, à combien plus forte raison je peux, moi aussi, m'interroger lorsque je ne vois plus la main de Dieu, que je ne comprends plus ce qui se passe et que seul le silence réponde à mes interrogations.

Mais..., car il y a un "mais" de taille, en ce qui
me concerne en ce qui nous concerne tous :
L
es silences de Dieu occasionnels ne seraient-ils pas la conséquence de notre désobéissance plutôt qu'une mise à l'épreuve ?
La question reste posée et c'est à chacun d'entre nous de regarder si, aujourd'hui, notre vie est toujours réglée d'après la Parole de Dieu !

Fais du bien à ton serviteur pour que je vive...
Le bien que le psalmiste désire n'est certainement pas celui que le monde propose et que le Seigneur dispense largement selon les besoins de ses enfants. Nous pouvons manger à notre faim, avoir un toit sur la tête et bénéficier du superflu pour nous rendre la vie plus agréable sans pour autant avoir ce qui contribue à la Vie.

Est-ce vraiment vivre lorsque Dieu semble être à des millions de kilomètres ?

Est-ce vivre lorsqu'il nous laisse comme dans une salle d'attente afin de savoir si nous allons persévérer et rester fidèles en dépit de son silence, de ce silence destiné à forger notre patience et à maintenir à niveau notre foi ? (Il n'est pas question des silences consécutifs à nos refus d'obéir)

Est-ce vraiment vivre lorsque l'on se souvient des époques où nous étions bénis et que, depuis quelque temps, nous ne "sentons" plus sa présence au point d'avoir l'impression d'être devenu un orphelin ?

Est-ce vraiment vivre, que de vivre sans la présence de notre Père céleste, sans l'amitié du Seigneur Jésus ?

Fais du bien à ton serviteur...

Tu m'as fait connaître les sentiers de la vie
(c'était autrefois, hier...),
Tu me rempliras de joie par ta présence
(ma foi pour demain, pour tout à l'heure ?). Actes 2: 28 (v. L. S)

Tu me conduiras par ton conseil
(mon espérance qui laisse entrevoir mon obéissance),
Puis tu me recevras dans la gloire
(là où tu as préparé une place pour ceux qui craignent ton Nom) Psaume 73: 24. (v. L. S)

Fais du bien à ton serviteur pour que je vive...
Avez-vous remarqué qu'entre le désir de recevoir quelque chose de Dieu (fais du bien), et la raison pour laquelle cette demande est faite (pour que je vive), il y a deux petits mots qui ont une grande importance puisqu'ils positionnent le demandeur par rapport à Dieu.

Puis-je décemment dire "
ton serviteur" (ou ta servante) en regard de mon engagement vis-à-vis de Dieu ?
Suis-je véritablement disponible entre les mains de mon Dieu ?
Inutile de répondre par l'affirmative si nous agissons avec légèreté concernant SA Parole en l'interprétant selon nos aspirations car...

... le psalmiste poursuit sa demande dans
le seul but d'observer la Parole de Dieu !

Fais du bien à ton serviteur, pour que je vive ET QUE J'OBSERVE TA PAROLE ! Psaume 119: 17 (v. L. S)

1) La demande : fais du bien
2) En faveur de : ton serviteur
3) Le motif de la demande : pour que je vive
4) L'engagement : que j'observe ta parole.

Honnêtement ! Pour quelle raison ai-je envie que Dieu me fasse du bien ?
Pour que je puisse vivre librement en m'adonnant aux plaisirs du monde qui me semblent légitimes et en oubliant que celui qui aime quelque chose ou quelqu'un plus que Jésus n'est pas digne du Royaume de Dieu ! (
Matthieu 10: 37) ; en oubliant qu'il me demande de racheter le temps en raison des jours mauvais qui s'approchent, de ces jours où la prédication de l'Évangile ne sera peut-être plus autorisée ? (Éphésiens 5: 16)

Non Seigneur ! Fais-moi du bien pour que je vive à ta gloire !
Garantis ma santé, mes cinq sens, ma mobilité, renouvelle ma jeunesse comme celle de l'aigle (
Psaume 103: 5, v. D) afin que j'aie toujours la possibilité d'être un fidèle serviteur travaillant pour l'avancement de ton royaume jusqu'au jour où tu me feras rentrer à la maison !


Poursuivant sa requête, le psalmiste, conscient de ses limites, n'hésite pas à demander à ce que l'Éternel lui ouvre les yeux.
En effet, si par la foi il croit que Dieu répond à la prière, il craint néanmoins de passer à côté de la bénédiction, il craint de ne point voir les merveilles de sa loi, de ne point en saisir toute la valeur.

Ouvre mes yeux, pour que je contemple les merveilles de ta loi ! Psaume 119: 18 (v. L. S)

Dessille mes yeux, Afin que je voie les merveilles de ta loi. (versions Osterwald, Bible annotée et D.M.)

Au sens propre : sépare mes "paupières l'une l'autre" (deciller les yeux de quelqu'un = lui faire voir la vérité ; faire prendre conscience à quelqu'un de la réalité, de la vérité.)

Une fois de plus la Parole de Dieu me surprend. Elle m'étonne en me faisant comprendre que notre psalmiste, quoique bien éveillé, bien conscient, demande à ce que Dieu intervienne afin qu'il lui ouvre les yeux alors qu'auparavant il avait vu que les sentiers de Dieu étaient sous ses yeux : "
J'ai tes sentiers sous les yeux. " (Psaume 119: 15)

N'avait-il pas déjà les yeux ouverts pour comprendre que là où il marchait ce n'était pas le chemin du monde ?
Pourtant, dans ce cas précis, l'auteur du psaume 119 met en avant qu'il faut une intervention divine pour que ses yeux voient afin de ne pas manquer la beauté de la Loi de Dieu.

Tout comme lui, nous avons les yeux ouverts et connaissons les différences qu'il y a entre le chemin de Dieu et ceux que propose le monde.
Mais tout comme lui, nous avons aussi un sérieux besoin que le Seigneur ouvre lui-même nos yeux afin que
nous voyions et comprenions bien que Sa Parole est merveilleuse !
Qu'elle le sera d'autant plus une fois que nous la mettrons en pratique (
Jacques 1: 22) au lieu de nous tromper nous-mêmes par des réflexions dont la source sort des ténèbres.

Alors que son coeur soupire après Dieu, le psalmiste met en avant qu'il n'est qu'un étranger sur la terre et qu'en conséquence il a besoin d'un guide, d'un plan pour conduire sa vie afin d'éviter les embûches qui pourraient être dressées contre lui et lui faire perdre l'amour qu'il a pour son Dieu :

Je suis un étranger sur la terre : Ne me cache pas tes commandements ! Psaume 119: 19 (v. L. S)

Si le monde, les plaisirs du monde n'affectent pas notre vie spirituelle, alors nous sommes, nous aussi, des voyageurs et des étrangers sur la Terre.
Et si malheureusement nous constatons que nous avons encore plus de facilité à suivre le monde ou les penchants du monde que le Seigneur, nous ferions bien de prendre au sérieux l'apôtre Pierre qui nous exhorte à nous conduire comme des étrangers et des voyageurs sur la Terre, comme des gens de passage qui sont en route vers leur patrie.

Bien-aimés, je vous exhorte, comme étrangers et voyageurs sur la terre, à vous abstenir des convoitises charnelles qui font la guerre à l'âme. 1 Pierre 2: 11 (v. L. S)

... afin de vivre, non plus selon les convoitises des hommes, mais selon la volonté de Dieu, pendant le temps qui (lui) reste à vivre dans la chair.
C'est assez, en effet, d'avoir dans le temps passé accompli la volonté des païens, en marchant dans :
La dissolution, les convoitises, l'ivrognerie, les excès du manger et du boire, et les idolâtries criminelles.
1 Pierre 4: 2 (v. L. S)

Aujourd'hui encore notre situation est identique à celle du psalmiste :
Nous avons besoin que Dieu nous révèle Sa parole ! "
Ne me cache pas tes commandements !"
Nous en avons d'autant plus besoin que nos yeux et notre intelligence pourraient être troublés en raison de tous les panneaux indicateurs, plus ou moins provocateurs, qui nous invitent à suivre des chemins différents à celui proposé par le Seigneur Jésus. Des chemins où ceux qui y marchent semblent vivre dans le bonheur alors que l'enfant de Dieu est averti qu'il aura des tribulations. "Vous aurez des tribulations dans le monde ; mais prenez courage, j'ai (Jésus) vaincu le monde. " (Jean 16:33)

Large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Matthieu 7: 13 (v. L. S)

(et beaucoup qui y retournent !)

Aujourd'hui encore nous avons besoin que le Seigneur Jésus nous ouvre l'esprit.
Nous avons besoin de crier à Lui afin que nous comprenions
la valeur de SA parole et que nous arrêtions de jeter aux orties ce qui nous dérange ou ce qui dérangerait notre train-train quotidien si nous mettions en pratique certaines directives données à ceux et celles qui s'appellent de SON Nom !

Alors il (Jésus) leur ouvrit l'esprit, afin qu'ils comprissent les Écritures. Luc 24: 45 (v. L. S)
(...
pour entendre les Écritures. v. D. M)

N'oublions pas : 175 versets sur 176 (moins le v. 122) dans le psaume 119 pour nous faire comprendre : " que l'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu".
Un sérieux rappel qui devrait nous faire prendre en considération la raison pour laquelle le Seigneur s'est donné la peine d'insister à ce point.

Dans cette aventure de pèlerins-voyageurs qui traversent un monde où de nombreuses lois et règlements choquent notre conscience chrétienne, il nous est facile de comprendre la douleur de l'auteur du psaume 119 lorsqu'il met en avant que son âme est brisée !
.... brisée par le désir qui toujours la porte vers tes lois. Psaume 119: 20 (v. L. S)

Ne souffrons-nous pas de constater que l'immoralité, selon les Écritures, devient la règle de conduite à suivre si l'on veut être bien vu ? Que le mensonge a plus de valeur que la vérité ? Que le mal est appelé "bien" et le bien "mal" ?
Notre âme n'est-elle pas brisée, nos coeurs ne sont-ils pas travaillés quand on inculque, quasi de force, une autre morale à nos enfants que celle que nos ancêtres nous ont léguée ?

Oui, Seigneur ! Je désire, plus que jamais plonger mes regards dans Ta LOI parfaite car c'est le seul moyen d'être heureux et de l'être en dépit des circonstances.

Celui qui aura plongé les regards dans la loi parfaite, la loi de la liberté, et qui aura persévéré, n'étant pas un auditeur oublieux, mais se mettant à l'oeuvre, celui-là sera heureux dans son activité. Jacques 1: 25 (v. L. S)

Prions toujours et agissons toujours pour que notre vie soit davantage en conformité avec celle de notre divin modèle.

Nous désirons que chacun de vous montre le même zèle pour conserver jusqu'à la fin une pleine espérance, en sorte que vous ne vous relâchiez point, et que vous imitiez ceux qui, par la foi et la persévérance, héritent des promesses. Hébreux 6: 11-12 (v. L. S)

Sans persévérance, point d'héritage et sans obéissance point de...
Mais laissons le psalmiste montrer ce qu'il en est de ceux qui connaissent la Parole de Dieu et qui s'égarent loin d'elle, nous verrons alors qu'il ne mâche pas ses mots.
Que cette parole puisse toujours me marquer car, en parlant ainsi, elle ne fait que mettre en lumière
la pensée de Dieu.

Tu menaces les orgueilleux, ces maudits, qui s'égarent loin de tes commandements. Psaume 119: 21 (v. L. S)

Voilà bien un qualificatif que je n'aimerais pas entendre sortir de la bouche du Seigneur à mon égard ! Qualificatif qui s'adresse spécialement à des personnes qui se sont éloignées des commandements de Dieu, c'est-à-dire qu'ils les ont connus et on fait le choix de suivre un autre chemin)
Sans doute n'y a-t-il pas besoin de s'étendre longuement sur la signification de ce verset mettant en avant l'orgueil de l'homme qui veut faire sa propre volonté : "
L'Écriture dit ceci, mais moi je... "
Par ce comportement absurde, il se place lui-même sous la malédiction (ces maudits), sous la condamnation puisqu'ayant connu la volonté du Seigneur, il a délibérément changé de chemin et s'est égaré dans ses propres voies, ses propres pensées, sa propre façon de voir.

Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles. Jacques 4: 6 (v. L. S)

Que le Seigneur nous aide à obéir à Sa parole pour qu'il n'ait pas à s'opposer à nous.
Sachons être suffisamment humbles et abandonner toute prétention à faire notre propre volonté au détriment de la sienne ! (Je me mets dans le "nous" car, comme l'apôtre Paul, je peux aussi dire : "Misérable que je suis... ", lorsque je regarde avec honnêteté le chemin parcouru depuis que je connais Jésus-Christ.
Romains 7: 24)

L'observation de Sa parole, notre obéissance à ce que nous avons compris de Sa parole fera que nous serons aptes, par sa grâce, à résister à la pression d'autorités qui, par tous les moyens légaux ou non, feront tout leur possible pour que nous fassions des compromis quant à notre foi.

Des princes ont beau s'asseoir et parler contre moi, Ton serviteur médite tes statuts.
Tes préceptes font mes délices, Ce sont mes conseillers. Psaume 119: 23-24 (v. L. S)

Que me conseille le monde ?
Que me conseillent mes relations non converties à Jésus-Christ ?
Que me conseille ma vieille nature ?
Que me conseille la Parole de Dieu ?

Quel courant de pensées vais-je suivre sachant que j'ai 175 versets dans le psaume 119 qui me rappellent, en long et en large, que " l'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu" ?

Sans vouloir occulter l'amour de Dieu, l'insistance du Saint-Esprit à répéter sans cesse l'importance qu'il y a mettre en pratique la Parole de Dieu, devrait nous amener à une profonde réflexion et nous éclairer sur cet amour. Un amour qui ne cesse de pousser l'homme à choisir la bonne voie afin que son éternité ne soit pas vécue dans un lieu de tourments éternels, l'enfer !

Alors si quelques-uns hésitent encore aujourd'hui à poursuivre leur marche dans le chemin étroit, à respecter les indications qui sont données,
leur situation est alarmante car la Bible déclare que même les insensés ne peuvent s'égarer dans la voie sainte que le Seigneur a tracée pour ses rachetés !

Il y aura là un chemin frayé, une route, Qu'on appellera la voie sainte ; Nul impur n'y passera ; elle sera pour eux seuls ; Ceux qui la suivront, même les insensés, ne pourront s'égarer.
Sur cette route, point de lion ; Nulle bête féroce ne la prendra, Nulle ne s'y rencontrera ; Les délivrés y marcheront. Esaïe 35: 8-9 (v. L. S)

En conclusion de ce chapitre : si les insensés ne peuvent pas se perdre dans le chemin étroit réservé aux rachetés, faut-il croire que certains sont morts spirituellement, raison pour laquelle ils ne réagissent plus à la Sainte Écriture et ne peuvent plus lui obéir ?
Et s'ils sont morts... c'est d'une résurrection qu'ils ont besoin, d'une nouvelle naissance !

Pour ma part, je veux prier comme le psalmiste :

Fais du bien à ton serviteur pour que je vive
et
QUE J'OBSERVE TA PAROLE !

 Prier comme lui tout en pensant à ceux qui sont peut-être en train de mourir spirituellement : Fais du bien à..................... pour qu'il revive !


... si je vis, ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi ;
si je vis maintenant dans la chair,
je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi. Galates 2: 20 (v. L. S)

***

 ... nul de nous ne vit pour lui-même, et nul ne meurt pour lui-même.
Car
si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur ; et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes au Seigneur. Romains 14: 7-8 (v. L. S)

© J-M Ravé 5 mai 2007 -
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