Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

40 jours, 40 ans

une marche éprouvante.


7) Entre Mara et Elim...

... l'établissement d'un principe de vie incontournable qui nous concerne tous.


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Ce fut là (à Mara) qu'il lui (que l'Éternel) donna UNE prescription et UNE ordonnance, et ce fut là qu'il l'éprouva... Exode 15: 25 (v. Bible annotée)

Là, il lui donna un statut et une ordonnance, et là il l'éprouva... (v. Darby)

Il lui proposa là une ordonnance et une loi, et il l'éprouva là... (v. David Martin)

C'est alors qu'il lui imposa un principe et une loi, c'est alors qu'il le mit à l'épreuve... (v. Sefarim, Bible du Rabbinat français)



Donc, là, à Mara, l'Éternel va donner une loi, une prescription, une ordonnance, c'est-à-dire UN PRINCIPE DE VIE (une règle de vie) dont l'application nous concerne tous et va bien plus loin que notre santé physique:


NOTRE ÉTERNITÉ DÉPEND GRANDEMENT

DU RESPECT OU NON DE CE PREMIER COMMANDEMENT!


Si tu écoutes attentivement la voix de l'Éternel, ton Dieu,

si tu fais ce qui est droit à ses yeux,

si tu prêtes l'oreille à ses commandements,

et si tu observes toutes ses lois,

je ne te frapperai d'aucune des maladies dont j'ai frappé les Égyptiens; car je suis l'Éternel, qui te guérit. Exode 15: 26

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Après cette remise en mémoire qui résume, en deux versets, l'essentiel de notre dernière méditation, j'ai le sentiment que l'on va me prendre pour un vieux radoteur qui répète toujours la même chose en parlant de l'obéissance!

Toutefois, avant que vous imprimiez profondément cette pensée en vous (que je suis un radoteur), je vous encourage vivement à chercher dans votre Bible combien de fois le Seigneur a dû rappeler à son peuple — à ceux que LUI considère comme ses enfants — qu'ils doivent marcher dans l'obéissance s'ils veulent être agréables à leur Père céleste et S'ILS VEULENT ENTRER DANS LE PAYS PROMIS.

En regardant notre façon de vivre, l'auteur de l'épître aux Romains pourrait-il aussi nous dire:

Grâces soient rendues à Dieu de ce que, après avoir été esclaves du péché, vous avez obéi de coeur à la règle de doctrine dans laquelle vous avez été instruits. Romains 6 : 17


Sommes-nous toujours dans l'obéissance?

Avons-nous respecté nos engagements?
Si tel n'est pas le cas.... ATTENTION! VOUS ÊTES RESPONSABLE DE CE QUI EST SORTI DE VOTRE BOUCHE et personne ne pourra intercéder en votre faveur si vous ne voulez pas revenir à de meilleurs sentiments, si VOUS..., vous ne voulez pas tenir votre parole!

Ce n’est pas moi, c’est ta bouche qui te condamne. Ce sont tes lèvres qui déposent contre toi. Job 15: 6

Si tu fais un voeu à l’Éternel, ton Dieu (si tu prends un engagement), tu ne tarderas point à l’accomplir: car L’Éternel, ton Dieu, t’en demanderait compte, et tu te chargerais d’un péché...

... tu observeras et tu accompliras ce qui sortira de tes lèvres, par conséquent (les engagements que tu auras pris) les voeux que tu feras volontairement à l’Éternel, ton Dieu, et que ta bouche aura prononcés. Deutéronome 23: 21-23


Cette condamnation, il va de soi, devient inopérante dès l'instant où l'on se repent et que l’on se réengage dans le chemin que nous avions abandonné.

Il suffit de suivre le peuple de Dieu depuis sa sortie d'Égypte pour comprendre que si Dieu a condamné..., il a TOUJOURS pardonné chaque fois que le peuple ou l'individu est revenu à lui d'un coeur sincère.

TOUJOURS pardonné jusqu'au moment où la patience du Seigneur est arrivée à ses limites... !
Des limites que son amour pour nous a rendues si lointaines qu'il faut vraiment une persévérance dans le mal, il faut vraiment un coeur endurci au possible pour s'interdire de revenir à LUI et refuser de prendre en considération ses différents appels.

Avoir quitté l'Égypte..., avoir accepté Jésus comme Sauveur (être passé des ténèbres à la lumière) sont deux actes d'obéissance qui ne nous ont pas coûté grand-chose.

D'un côté comme de l'autre, c'est Dieu qui a tout accompli.

La part des sauvés, des rachetés, n'a consisté, en quelque sorte, à ne faire qu'un pas pour changer de monde! Un pas d'engagement lourd de conséquences s'il n'est pas suivi d'autres pas qui doivent nous conduire là où le Seigneur a préparé une place.

Ce premier pas fut un acte de soumission sans lequel les Hébreux seraient restés en Égypte, un acte qui, loin d'être seulement un engagement verbal, a été concrétisé par l'observation de l'institution de la Pâque.

De même, notre engagement à l'égard du Seigneur fut reconnu au travers du baptême par lequel nous sommes passés. «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés...» (Actes 2: 38).

Un premier pas qui nous a aussi libérés de l'esclavage du péché.
Un premier pas dont nous allons tirer
un grand profit pour autant qu'il soit suivi d'autre pas, c'est-à-dire qu'il y ait une marche AVEC le Seigneur selon SA volonté: «Prenez mon joug sur vous et RECEVEZ MES INSTRUCTIONS», nous dit le Seigneur Jésus (Matthieu 11: 29).

Un acte qui, pour les véritables croyants, est devenu: «l’engagement d’une bonne conscience envers Dieu» (1 Pierre 3: 21)

Qu'en est-il aujourd'hui, non seulement de cet engagement, mais de notre conscience envers Dieu?

Cette conscience est-elle encore sensible à l'Esprit de Dieu?
Avons-nous confirmé, au travers de nos actes, de notre témoignage, l'engagement que nous avions pris à l'époque où nous avions choisi d'entrer par la porte étroite?

Ne nous trompons pas en pensant que le fait d'avoir quitté l'Égypte ou d'être passé par les eaux du baptême soit suffisant pour entrer dans le Pays promis!

Il y a un chemin à faire, UN CHEMIN D'OBÉISSANCE tracé par celui qui a délivré les uns et les autres de leur ancienne vie!

C'est donc à Mara, après la traversée de la mer Rouge, après que l'eau amère fut changée en eau douce, c'est à Mara que le Seigneur institua un fondement sur lequel tout enfant de Dieu, tout croyant honnête, doit construire sa nouvelle vie.

C'est là qu'il lui proposa, qu'il lui donna, qu'il lui imposa ce principe de vie dont nous devons encore tenir compte; LA GRÂCE DE DIEU DONT NOUS AVONS BÉNÉFICIÉ NE NOUS DISPENSANT PAS D'OBÉIR À SA PAROLE..., bien au contraire!

La traversée de la mer Rouge n'a pas été suffisante pour que le peuple de Dieu prenne possession de la Canaan promise. Il y avait un chemin à parcourir et des lois à respecter pour arriver à bon port. De même, le baptême n'est pas suffisant pour bénéficier de cette place que le Seigneur Jésus a préparée dans son Royaume.

Dans un cas comme dans l'autre, le premier pas était indispensable pour passer d'un monde à l'autre, mais insuffisant pour que s'accomplisse l'ensemble des promesses que le Seigneur avait fait pour ses rachetés.

Si le baptême avait été suffisant, Jésus n'aurait pas fait cette dernière recommandation avant de monter au Ciel (Matthieu 28: 19-20):

... faites de toutes les nations des disciples, LES BAPTISANT au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et... enseignez-leur à OBSERVER TOUT ce que je vous ai prescrit.


Cet engagement d'une bonne conscience envers Dieu (par le biais du baptême) doit ensuite être concrétisé par une marche dans l'obéissance à TOUT ce que le Seigneur nous a prescrit!

Sans obéissance..., il n'y a pas de signe démontrant notre engagement.

Sans baptême..., il n'y a jamais eu le véritable engagement d'une bonne conscience envers Dieu!

Vous ferez AVEC SOIN ce que l’Éternel, votre Dieu, vous a ordonné; vous ne vous en détournerez ni à droite, ni à gauche. Deutéronome 5: 32

Tu observeras les commandements de l’Éternel, ton Dieu, pour marcher dans ses voies et pour le craindre. Deutéronome 8: 6


Jésus lui répondit: si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole...

Celui qui ne m’aime pas ne garde point mes paroles. Et la parole que vous entendez n’est pas de moi, mais du Père qui m’a envoyé. Jean 14: 23-24


Toute la vie de l'enfant de Dieu, c'est-à-dire de celui qui a accepté Jésus comme Sauveur, tourne donc autour de l'obéissance; une obéissance qui démontrera que Jésus est bien plus qu'un Sauveur pour notre vie, mais qu'il est aussi le SEIGNEUR!

CE PREMIER COMMANDEMENT qui fut donné aux Hébreux (Exode 15: 26) FUT LA FONDATION SUR LAQUELLE ALLAIT SE CONSTRUIRE LA LOI qui fut donnée à Moïse pour le peuple.

Sans cette fondation assurant la base et la stabilité de la construction de notre salut à venir au travers de la fiabilité de la Parole de Dieu (Dieu n'étant pas un homme pour mentir – Nombres 23: 19), la Loi n'aurait été que des recommandations, des conseils dont la mise en pratique aurait été aléatoire et sans conséquence en cas d'inobservation.

Sans conséquence malgré les menaces qu'elle contient, car, comment mettre à exécution les sentences exprimées dans cette loi si l'obéissance n'est pas requise en TOUTES choses...!
Si l'obéissance n'est pas obligatoire, comment punir quelqu'un qui n'est pas tenu de se soumettre à ce qu'on lui demande de faire?

En lisant l'histoire du peuple d'Israël, nous devons comprendre que Dieu n'a pas donné des commandements pour le plaisir d'ennuyer l'homme. Chaque instruction, chaque ordre, chaque prescription..., chaque commandement doit être mis en pratique, car il y a au moins trois raisons qui devraient nous encourager à nous plier à la volonté du Seigneur.

La première, c'est que nous sommes créatures et non Créateur!

Dans l'ordre logique des choses (même dans certaines catégories du monde animal), celui qui vient de naître doit recevoir une éducation de ses parents vu qu'il est venu dans un monde qu'il ne connaît pas et qu'il y a de nombreux prédateurs qui en veulent déjà à sa vie. Vous êtes nés de nouveau (Jean 3: 7)? Alors vous avez tout à apprendre en entrant dans cette nouvelle vie!

La seconde c'est que l'homme livré à lui-même est sous la domination du prince des ténèbres (Satan).

Depuis la rébellion de Lucifer contre Dieu, le diable a toujours cherché à détourner du Seigneur ceux qui lui étaient proches. Si un tiers des anges l'oa suivi dans sa révolte alors qu'ils connaissaient la gloire et la sainteté de Dieu...,

... à combien plus forte raison ne cherchera-t-il pas à éloigner du Seigneur ceux qui font partie du «corps de Christ», de l'Église! «Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera» (1 Pierre 5: 8).

Depuis le jardin d'Éden, la «vocation» du prince des ténèbres est de conduire celui qui est sous sa domination, dans le lieu de perdition qui lui est réservé: «le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges» (Matthieu 25: 41).

La connaissance et la mise en pratique des commandements qui nous sont donnés tout au long des Saintes Écritures sont donc les gardes-fous qui assurent notre sécurité éternelle!

Passer outre ces commandements, passez par-dessus ces barrières de sécurité, c'est prendre un grand risque dont les conséquences pourraient être éternelles!

La troisième raison, résultant des deux premières, c'est qu'un jour nous devrons rendre compte de notre vie: UN JOUR NOUS PASSERONS EN JUGEMENT!

De deux choses l'une:
  1. Ou Jésus sera notre avocat (1 Jean 2: 1);

  2. Ou il sera notre juge (Actes 10: 42).

Alors que les Hébreux étaient à l'abri de leurs anciens tortionnaires, leur éducation allait pouvoir débuter. Pour ce faire, il était normal qu'ils commençassent par recevoir le B.a.-ba de leur instruction.

Par la suite, leur connaissance et leur bien-être allaient s'accroître au fur et à mesure de leur apprentissage et de la mise en pratique d'instructions dont les peuples avoisinants devaient être émerveillés.

Vous les observerez (les lois et des ordonnances de l'Éternel) et vous les mettrez en pratique; car ce sera là votre sagesse et votre intelligence aux yeux des peuples, qui entendront parler de toutes ces lois et qui diront: cette grande nation est un peuple absolument sage et intelligent!

Quelle est, en effet, la grande nation qui ait des dieux aussi proches que l’Éternel, notre Dieu, l’est de nous toutes les fois que nous l’invoquons?

Et quelle est la grande nation qui ait des lois et des ordonnances justes, comme toute cette loi que je vous présente aujourd’hui? Deutéronome 4: 6-8

La dernière question qui vient d'être posée devrait encore trouver une réponse aujourd'hui puisque nous sommes devenus, par Jésus-Christ, le peuple de Dieu.

Un peuple de Dieu dont les principes de vie, édictés par le même Dieu, ont marqué, durant plusieurs siècles, le monde dont plusieurs nations ont établi leur législation sur des principes tirés des enseignements bibliques.
Ce n'est que l'usure du temps, l'abandon progressif de la crainte de Dieu et la dégénérescence de l'Église «officielle» (devenue mondaine et païenne) qui a conduit les hommes à renverser le pouvoir moral de la foi chrétienne pour le remplacer par le pouvoir de la chair, le pouvoir des sens, le pouvoir de faire ce que l'on a envie de faire, quand on a envie de le faire!

C'est pourquoi, un peu partout sur la Terre, l'Esprit de Dieu, pousse ses serviteurs à exhorter les croyants à se réveiller, à retrouver leur premier amour avec Dieu, à marcher loin des convoitises que le monde propose, car: «il viendra un temps où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine...» (2 Timothée 4: 3).

Malheureusement, de nombreux croyants rétrogrades ne veulent pas changer de façon de vivre ou de façon de penser, rejetant ainsi l'engagement qu'ils avaient pris lorsqu'ils firent leur premier pas pour passer des ténèbres à la lumière.

La crainte de Dieu n'étant plus suffisante, l'obéissance aux commandements de Dieu n'étant plus de mise, il arrive un moment où Jésus se retrouve:

- en dehors de son Église;

- en dehors de son temple;
- en dehors du coeur de celui qui avait pourtant pris la décision de le suivre.

Ce passage à Mara où l’eau amère devint douce fut l'instant propice que Dieu utilisa pour mettre son peuple à l'épreuve; ce peuple qui avait gémi sous l'esclavage, ce peuple qui vit la main de Dieu se dresser contre ses tortionnaires, ce peuple qui fût dans la joie quand il comprit que les Égyptiens ne pouvaient plus rien contre lui étant à l'abri sur l'autre bord de la mer Rouge, ce peuple qui n'avait pas encore eu l'occasion de se soumettre à la volonté de son Libérateur!

Un premier commandement devenait nécessaire pour tester leur obéissance, leur reconnaissance et leur amour envers CELUI qui les avait délivrés en déployant des prodiges merveilleux.

Adam et Ève n'avaient qu'un commandement à suivre: «Tu pourras manger de tous les arbres du jardin; MAIS tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras» (Genèse 2: 17).

C'était la base, le fondement solide sur lequel nos premiers parents devaient construire leur avenir, non seulement pour garder une bonne relation avec leur Père céleste, mais pour ne jamais connaître la mort.

À Mara, les Hébreux reçurent eux aussi un seul commandement de base dans le but de les mettre à l'épreuve afin que les pensées de leurs coeurs se révèlent au grand jour et qu'ils découvrent quelle était leur disposition à obéir.

Là, il lui donna un statut et une ordonnance, et là il l'éprouva. Exode 15: 25 (V. Darby)

Ce passage de l'Écriture, contrairement à d'autres, ne dit pas quelle fut la réaction du peuple à l'écoute de ce premier commandement dont la mise en pratique leur assurait la santé.

De toute évidence, quand il est question de santé, le coeur humain est bien disposé pour la garder ou la retrouver.
Toutefois, ces bonnes dispositions peuvent être réduites à néant lorsque le coeur résiste à Dieu et qu'il ne veut pas se plier à SA volonté alors que des engagements avaient été pris dans le passé. C'est pourtant en toute liberté que les rétrogrades avaient choisi de s'engager dans le chemin étroit de l'obéissance comme l'avait fait le peuple au temps de Josué (Josué 24: 22):


VOUS ÊTES TÉMOINS CONTRE VOUS-MÊMES

QUE C’EST VOUS QUI AVEZ CHOISI L’ÉTERNEL POUR LE SERVIR... !


Et le peuple dit à Josué: Nous servirons l’Éternel, notre Dieu, et nous obéirons à sa voix. (Josué 24: 24)


Ce réengagement à servir Dieu dura autant que les jours de Josué et «pendant toute la vie des anciens qui survécurent à Josué et qui connaissaient tout ce que l’Éternel avait fait en faveur d’Israël» (Josué 24: 31); ensuite la période des Juges nous apprend que «Chacun faisait ce qui lui semblait bon» (Juges 17: 6; 21: 25) avec toutes les conséquences qui allaient en découler:

Telle voie paraît droite à un homme, mais son issue, c’est la voie de la mort. Proverbes 14: 12; 16: 25


Sans vouloir sauter des étapes, ce petit survol dans le temps nous montre qu'il faut un attachement sans faille à Dieu (comme Josué et Caleb) pour ne pas retourner à ce que nous avons abandonné comme l'ont fait, et à plusieurs reprises, les Hébreux après leur sortie d'Égypte.

Ce n'est pas tant ce que nous croyons qui a de l'importance...,  ou ce que nous faisons, c'est l'attachement réel et sincère que nous avons à notre Sauveur et Seigneur qui révélera, AU TRAVERS DE L'OBÉISSANCE À SA PAROLE, si nous sommes ses amis ou ses ennemis (Jean 15: 14):


Vous êtes mes amis,

SI VOUS FAITES CE QUE JE VOUS COMMANDE.


Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l’écouter, en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements. Jacques 1: 22

Ne sois point sage à tes propres yeux, Crains l’Éternel, et détourne-toi du mal... Proverbes 3: 7


Cette ligne de conduite, ce fil rouge de l'obéissance à la Parole de Dieu traverse toute la Bible d'un bout l'autre afin de nous montrer qu'il est primordial de faire la volonté de Dieu!

C'est une question de vie ou de mort qui ne devrait laisser personne indifférent dans l'Église de la fin des temps.

Personne...

- excepté ceux qui sont morts spirituellement et qu'il faut abandonner pour «soigner» ceux qui sont en passe de mourir (Apocalypse 3: 1-2);
- excepté ceux qui se sont assoupis;

- excepté encore ceux qui ont endurci leur coeur et qui ont fini par mépriser leur âme au point qu'il leur importe peu d'aller dans le feu éternel..., une pensée qui d'ailleurs ne les effleure plus à force d'avoir sous-estimé les avertissements du Seigneur et de ceux et celles qu'il a utilisés pour les mettre en garde.

Celui qui rejette la correction méprise son âme, mais celui qui écoute la réprimande acquiert l’intelligence. Proverbes 15: 32


De Mara à Canaan: un seul chemin...

Des ténèbres à la lumière: un seul chemin...

De la mort à la vie: un seul chemin...

CELUI DE L'OBÉISSANCE À LA PAROLE DE DIEU...JÉSUS !
(Jean chap. 1)

De Mara à Canaan il y a aussi Elim, cette oasis où le peuple bénéficiera d'un temps de repos où il pourra réfléchir sur la façon dont il va construire son avenir:

Sera-ce sur le Rocher de la Parole de Dieu?

Ou sur le sable de ses réflexions qui n'ont pas été mises au diapason de l'enseignement reçu?

Nous profiterons aussi de cette halte à Elim pour vérifier sur quel support est bâti notre vie tout en croyant que, quelque fûssent nos désobéissances, nos égarements. DIEU NE SE LASSE PAS DE PARDONNER!

Que le méchant ABANDONNE sa voie, Et l’homme d’iniquité ses pensées; Qu’il RETOURNE à l’Éternel, qui aura pitié de lui, À notre Dieu, qui ne se lasse pas de pardonner. Ésaïe 55: 7


J’avais mis en l’Éternel mon espérance;

Et il s’est incliné vers moi, il a écouté mes cris.

Il m’a retiré de la fosse de destruction, Du fond de la boue;

Et il a dressé mes pieds sur le roc (pas sur le sable!), Il a affermi mes pas.

Psaume 40: 1


Sur le ROC! Sur SA Parole que rien ni personne ne peut ébranler! N'oublions pas que Dieu aura toujours le dernier mot; si ce n'est pas aujourd'hui..., ce sera au jour du jugement!


TU ES MON ROCHER, MA FORTERESSE;

ET À CAUSE DE TON NOM TU ME CONDUIRAS,

TU ME DIRIGERAS.

Psaume 31: 3

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Reviens à ton Père,

Enfant égaré!

Dis-Lui ta misère,

Dis-Lui: «j'ai péché».

Toujours Il pardonne

À qui se repent.

Pour toi l'heure sonne,

C'est toi qu'il attend.

...

Reviens à ton Père;

Reviens, c'est le port;

Reviens, et préfère

La vie à la mort...

(Les ailes de la foi N° 585)


J-M Ravé le 8 mars 2014 — CP 474 2300 Chaux-de-Fonds – Suisse