Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Une brebis (perdue et retrouvée) médite le Psaume 23

14) Mon berger..., un berger qui a choisi de bénir

- au-delà de toute espérance -

les brebis qui ont continué à le suivre en dépit de l'adversité.

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La foi est UNE FERME ASSURANCE des choses qu’on espère, UNE DÉMONSTRATION de celles qu’on ne voit pas. Hébreux 11: 1


Oh! combien est grande ta bonté, que tu tiens en réserve pour ceux qui te craignent;

QUE TU TÉMOIGNES à ceux qui cherchent en toi leur refuge, à la vue des fils de l’homme!

TU LES PROTÈGES sous l’abri de ta face contre ceux qui les persécutent,

TU LES PROTÈGES dans ta tente contre les langues qui les attaquent. Psaume 31: 19-20


Cette longue traversée du petit psaume 23 (6 versets) fut longue et restera longue pour les brebis qui ont de la difficulté à suivre les enseignements de ce bon Berger qui ne cherche pourtant qu'à nous bénir et à glorifier son nom au travers de nos vies.

Certes, il y a des passages obligés, des portions de chemin plus difficiles que d'autres!

Comme il est impératif d'y passer si nous voulons achever notre course comme des combattants victorieux, nous devons en parler afin que l'on comprenne que:

NOUS AVONS UNE PART DE RESPONSABILITÉ quant à la durée de cette traversée qui sera d'autant plus longue que nous n'y mettrons pas de la bonne volonté.

N'accusons pas le diable de la pénibilité de notre marche..., Dieu a promis d'aplanir notre sentier! S'il ne l'a pas encore été, c'est très certainement parce que nous n'avons pas rempli les conditions pour que le Seigneur commence son oeuvre!

Pensons au peuple d'Israël qui, à cause de son manque de foi, mit quarante ans pour entrer dans la Terre promise alors que ce n'était l'affaire que de quelques semaines!

Camper sur ses positions (les nôtres), c'est un peu comme si nous prenions racine sur un terrain de désobéissance tout en construisant UNE MURAILLE DE PROTECTION CONTRE DIEU afin qu'il ne s'ingère pas dans notre vie personnelle!

Comment voulez-vous avancer dans ces conditions et finir votre course en vainqueur? «À celui qui vaincra...» (Lettres aux sept Églises; Apocalypse, chapitre 2 et 3).

Celui qui vaincra HÉRITERA ces choses; je (Jésus) serai son Dieu, et il sera mon fils» Apocalypse 21: 7 (lire le contexte pour découvrir l'héritage qui attend les vainqueurs.)


Ce n'est qu'après avoir pris la décision de soumettre notre volonté à la volonté du Seigneur et après avoir rendu les armes que nous pourrons reprendre la marche selon le plan de notre bon Berger, le Seigneur Jésus.

J’ai fait plier ma volonté aux paroles de sa bouche Job 23: 12


Après avoir perdu je ne sais combien de temps, j'ai fini par reconnaître qu'il n'y avait pas d'autre moyen pour avancer dans le chemin étroit que celui de marcher dans l'obéissance! L'avez-vous aussi reconnu?

En regardant les années passées, quelques-uns verront sans doute qu'ils n'ont pas progressé dans leur marche avec le Seigneur et qu'ils sont loin derrière ceux qui, pendant un temps, ont été leurs compagnons de marche.

L'obéissance où la désobéissance a fait la différence!


Si la situation est grave pour un enfant de Dieu, imaginez ce qu'elle peut être dans un couple quand l'un des conjoints s'est laissé distancer par l'autre parce qu'il a perdu son zèle pour servir le Seigneur.

Sans aucun doute, la communion fraternelle en souffre et, plus grave encore, N'ÉTANT PLUS UN DANS LE SEIGNEUR, chacun des éléments de ce couple marche à un rythme différent selon qu'il sert ou ne sert pas le Seigneur!
En gardant ce scénario en tête, imaginons que le Fils de Dieu revienne chercher son Église fidèle..., ne sommes-nous pas devant ce drame familial où l'un sera pris et l'autre laissé?

Je (Jésus) vous le dis, en cette nuit-là, DE DEUX PERSONNES QUI SERONT DANS UN MÊME LIT, l’une sera prise et l’autre laissée... Luc 17: 34


Nous qui sommes mariés, posons-nous cette question:

Dans notre couple, sommes-nous UN (Éphésiens 5: 31)?
Si oui..., nous avons le droit de croire que notre couple uni en Christ, VIVANT ENSEMBLE POUR LUI, sera enlevé!

En effet, si l'homme n'a pas à séparer ce que Dieu a uni, nous avons la certitude que le Seigneur respectera aussi ses propres lois.

Ainsi ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint. Matthieu 19: 6


Mais... si la foi et la mise en pratique aléatoire de la Parole de Dieu DIVISENT CE COUPLE, alors il n'est pas impossible que l'un soit pris et l'autre laissé!

Tant que la cellule «mari et femme» forme une unité spirituelle ayant les mêmes désirs, le même engagement, tant qu'ils sont UN pour accomplir l'oeuvre pour laquelle le Seigneur les a unis, il n'y a pas à redouter de séparation au moment de l'enlèvement; le Seigneur enlevant un couple, mari et femme qui sont RESTÉ UN DANS LE SEIGNEUR!

Par contre si la cellule se divise en deux..., s'il n'y a plus d'unité dans le Seigneur, chacun vivra sa foi indépendamment de l'autre et c'est ainsi qu'une distance toujours plus grande les séparera.

Cette image ne nous aide-t-elle pas comprendre ce que le Seigneur Jésus disait: «de deux personnes qui seront dans un même lit, l’une sera prise et l’autre laissée» (Luc 17: 34)?

UN dans le Seigneur n'est pas divisible, mais le couple, désuni quant à la foi, se trouve à être DEUX.

LA SÉPARATION ÉTANT DÉJÀ FAITE..., il faudrait que les deux cellules fusionnent pour n'en redevenir qu'une seule et que la personne qui s'est éloignée de l'autre retrouve son premier amour afin ne pas être oubliée et séparée de son conjoint lors de l'enlèvement.

Ce que j’ai contre toi (dit le Seigneur Jésus glorifié), c’est que tu as abandonné ton premier amour.

Souviens-toi donc d’où tu es tombé, REPENS-TOI, ET PRATIQUE TES PREMIÈRES OEUVRES; sinon, je... Apocalypse 2: 4-5


Sans doute est-il opportun de faire le point et de regarder si notre couple est bien uni et ensemble DANS le Seigneur, marchant dans la même direction en ayant un but commun..., celui de faire les oeuvres que le Seigneur a préparé d'avance pour qu'elles soient accomplies (Éphésiens 2: 10)

Prions donc que les passages obligés, ces portions de chemin plus difficiles que d'autres, soudent encore davantage les conjoints afin qu'ils se soutiennent mutuellement dans la marche..., dans la traversée de la vallée de l'ombre de la mort (Psaume 23: 4).

Nous l'avons dit, il y a un instant, cette traversée sera d'autant plus longue et plus pénible que nous traînerons les pieds! Une attitude propice pour oublier que l'Éternel est TOUJOURS avec nous pour nous défendre, pour aplanir notre sentier, c'est ce qu'il veut encore faire aujourd'hui SI nous lui laissons la direction de notre vie.

Au bout de cette sombre vallée de l'ombre de la mort (il faut quand même en sortir pour continuer notre méditation), au bout de cette vallée alors que les ennemis sont toujours aussi menaçants, nous lisons que le Seigneur dresse une table entre eux et nous (v. 5).

1) Tu dresses devant moi une table, en face de mes adversaires

2) Tu oins d’huile ma tête, et ma coupe déborde.


Autant nous pouvons nous reconnaître au travers du chemin que le Seigneur nous a fait faire depuis l'instant où il nous a invités à entrer dans son repos (Il me fait reposer dans de verts pâturages v. 2)...

... autant la perception de la bénédiction sera vue différemment selon les personnes qui sont arrivées au bout du tunnel de l'épreuve de la foi.

Il n'est pas impossible qu'en vivant une expérience douloureuse nous ayons OUBLIÉ LA FAÇON DONT LE SEIGNEUR NOUS A DÉLIVRÉ DES PRÉCÉDENTES ÉPREUVES et qu'en dépit de ce que le bon Berger a déjà préparé (la table en face de nos adversaires, la coupe de bénédiction) nous ayons de la difficulté à imaginer la nouvelle délivrance (je parle en connaissance de cause).

... AVEC la tentation (l'épreuve), il préparera aussi le moyen d’en sortir... 1 Corinthiens 10: 13


La préparation de la délivrance est une chose!

L'accomplissement en est une autre!
Entre les deux..., la foi ne doit pas fléchir et la tristesse ne doit pas remplir notre coeur lorsque les premiers signes de bénédiction se manifestent avec parcimonie et s'arrêtent un instant...,

... s'arrêtent juste le temps nécessaire pour que nous considérions ce qui vient de nous arriver, juste le temps qu'il faut pour que nous prenions conscience que le vent a tourné.

L'occasion est ainsi donnée à chacun pour louer le Seigneur à cause de la délivrance et de comprendre en même temps:


qu'avant que la coupe ne déborde il faut d'abord qu'elle se remplisse!

Tant qu'elle ne sera pas remplie, elle ne débordera pas!


C'est une vérité évidente qu'il semble ridicule de souligner, cependant notre façon d'agir – MA façon d'agir – pourrait contredire cette «lapalissade».

Il y a bien des années en arrière, alors que je traversais une des vallées de l'ombre de la mort que ceux et celles qui vivent par la foi connaissent bien, alors que notre foyer attendait une délivrance financière pour honorer une facture, le Seigneur nous fit parvenir un petit billet de vingt francs!

Au lieu de lui rendre grâce pour ces premières gouttes de bénédiction qui n'étaient que l'avant-garde d'une pluie plus abondante qui devait remplir ma coupe pour qu'elle déborde, mon coeur fut attristé en voyant cette somme «ridicule» qui ne couvrait même pas le vingtième de la facture à payer dans l'urgence (si mes souvenirs sont exacts, ce devait être un loyer).
Il s'ensuivit quelques murmures qui empêchèrent la main de Dieu de s'ouvrir, suspendant ainsi – pour un temps — la bénédiction promise.

J'avais oublié de reconnaître la main de Dieu dans cette approche de la bénédiction (Proverbes 3: 6)!

L'ayant oublié, j'ai vécu quelques temps difficiles au point d'être contraint à reprendre du repos dans les verts pâturages afin que la paix revienne dans mon coeur. Ensuite, il a fallu que je sois dirigé vers des eaux paisibles pour recevoir un enseignement afin de reconnaître la main de Dieu dans les petites bénédictions et à être reconnaissant pour chacune d'entre elles.

C'est ce que je comprends aujourd'hui en regardant le chemin déjà parcouru!


Reconnais-le dans TOUTES tes voies,

ET (alors) IL APLANIRA TES SENTIERS.


Toute épreuve est enrichissante si l'on veut bien retenir la leçon des erreurs du passé! L'ai-je bien retenue?

Là est la question!
Et pour le savoir, une autre vallée de l'ombre de la mort (une autre épreuve), a dû être préparée afin que je connaisse la réponse à cette question.

Nous avons foi en Dieu, nous avons confiance dans SA parole, nous croyons dans ses promesses..., surtout quand tout va bien, mais qu'advient-il lorsque «sachant que Dieu est un secours qui ne manque jamais dans la détresse (Psaume 46: 1)», nous ne voyons pas la délivrance attendue se manifester dans toute sa puissance, mais qu'elle est délivrée parcimonieusement, au compte-gouttes?

Et, avant de bénéficier de cette délivrance, comment allons-nous nous conduire lorsque nous commençons seulement à pressentir que Dieu va agir? Allons-nous être vigilants, attentifs aux petits signes annonciateurs de la pluie bienfaisante?

La foi d'Élie est-elle la nôtre?

Cette foi qui le conduisit à envoyer son serviteur jusqu'à sept fois au sommet du Carmel afin d'entrevoir les prémices de la bénédiction de l'Éternel qui finirent par se présenter sous la forme d'un petit nuage de la grandeur d'une paume de la main!
Un nuage insignifiant qui allait prendre des proportions immenses au point d'obscurcir le ciel et de faire tomber une forte pluie après plusieurs années de sécheresse (1 Rois chapitre 18)!

Cet événement inattendu qui nous a surpris n'était-il pas lui aussi semblable à un petit nuage annonciateur dont la mission était de nous faire comprendre que nous allions être richement bénis?

L'avons-nous seulement vu?
Si oui..., l'avons-nous estimé à sa juste valeur tout en étant patients et en prenant les dispositions nécessaires qui allaient confirmer que nous avons bien reçu et compris le message de notre Seigneur?

Et si nous n'avons encore rien vu..., ne faudrait-il pas revenir en arrière et regarder de nouveau si rien ne pointe à l’horizon?

Ce petit retournement de situation qui apporte un soulagement, ne serait-il pas semblable au nuage d'Élie?

Cette victoire inattendue contre un géant..., cet adoucissement, cette compréhension soudaine lorsque vous défendez votre cause, tout cela, mis bout à bout, ne ressemble-t-il pas à ce ciel prêt à envoyer la pluie de la bénédiction?
Une pluie qui, par la suite, fera germer diverses semences en dormance, qui, une fois arrivées à maturité, produiront des fruits pour la gloire de Dieu!

Suis-je conscient (je parle pour moi), que ces «petites choses» qui me réjouissent sans pour autant apporter la délivrance totale de l'épreuve, que ces petites choses sont les signes avant-coureurs de plus grandes choses que je ne suis pas en mesure d'imaginer?

Reconnais-le dans TOUTES tes voies,

ET (alors) IL APLANIRA TES SENTIERS.


Ces faibles commencements seront certainement méprisés par ceux qui sont au service de l'adversaire de nos âmes, nous ne pouvons pas attendre des encouragements de leur part, n'y prêtons donc pas attention sous peine d'entrouvrir la porte au doute!

Par contre, ceux et celles qui ont placé leur confiance dans l'Éternel se réjouiront de l'ouverture des écluses des cieux et s'attendront à voir se déverser sur nous «la bénédiction de l'Éternel qui enrichit sans la faire suivre du chagrin» (Proverbes 10: 22).

En ayant un coeur bien disposé (mieux disposé que je ne l'avais autrefois lorsque je ne reçus qu'un billet de vingt francs alors que j'avais prié pour pouvoir payer mon loyer), en ayant un coeur mieux disposé, maintenant je suis en mesure d'anticiper l'avenir et dire, par la foi:

OUI, LE BONHEUR ET LA GRÂCE M’ACCOMPAGNERONT TOUS LES JOURS DE MA VIE... Psaume 23: 6


Chaque délivrance d'une situation qui semble toujours plus difficile que la précédente (nous ne sommes plus dans les petites classes) ne peut que nous émerveiller quand on considère le privilège que nous avons d'avoir l'assurance que rien ne peut nous séparer de l'amour de Dieu (Romains 8: 38-39) et que toutes choses finiront pour notre bien (Romains 8: 28), même si ce bien se manifeste sous une forme différente de celle que nous avions imaginée.

Nous ne comprenons pas tout ce qui nous arrive, nous ne savons pas pourquoi «il nous a placés comme un but pour sa flèche» (Lamentations de Jérémie 3: 12), mais nous savons quand même que:

Dans toutes nos détresses nous n'avons pas été sans secours..., Il nous a lui-même rachetés, dans son amour et sa miséricorde, ET CONSTAMMENT IL NOUS A SOUTENUS ET PORTÉS...» (D'après Ésaïe 63: 9.)


Oui, je le crois du fond de mon coeur... :

AUSSI LONGTEMPS QUE JE MARCHERAI DANS L'OBÉISSANCE À LA PAROLE DE MON DIEU, le bonheur et la grâce m’accompagneront tous les jours de ma vie.

Nos destinées sont dans la main de Dieu, il a des projets de bonheur pour chacun de nous..., des projets qu'il désire concrétiser, mais des projets qui peuvent être différés, voire annulés si nous reprenons, à notre compte, la destinée de nos vies en refusant de marcher sous le joug de Christ.

Des verts pâturages à la table dressée en face de nos adversaires...,

de ces premières «gouttes» de bénédiction à la coupe qui déborde...,

il y a un chemin très particulier et personnalisé pour chacun d'entre nous.

Un chemin où comme l'apôtre Paul, nous avons peut-être «été excessivement accablés» (2 Corinthiens 1: 8), mais réalisant que LE BON BERGER SERA TOUJOURS AVEC NOUS TANT QUE NOUS SERONS AVEC LUI, nous continuerons notre route afin d'être à même de dire à la fin de notre voyage: «j’ai combattu le BON combat, j’ai achevé la course, j’ai GARDÉ la foi.

Désormais, la couronne de justice m’est réservée; le Seigneur, le juste juge, me la donnera dans ce jour-là...» (2 Timothée 4: 7-8)

Avant d'être arrivés aux portes de l'éternité (et pour autant que nous obéissions à la Parole de Dieu), sommes-nous déjà en mesure de proclamer avec certitude:

Et j'habiterai dans la maison de l'Éternel, jusqu'à la fin de mes jours. Psaume 23: 6

... j'habiterai dans la maison de l'Éternel pour l'éternité. (version Osterwald)


Plusieurs diront oui..., toutefois il est à craindre qu'il n'y ait de grosses déceptions à l'arrivée, car si le salut est offert par grâce lorsque Jésus est accepté comme Sauveur...

... LA MARCHE DANS LA VIE CHRÉTIENNE NE PEUT ÊTRE RÉELLE ET AGRÉABLE À DIEU QUE S'IL EST SEIGNEUR DE NOTRE VIE!

La preuve authentique que nous avons accepté, reçu et compris la grâce qui nous a été faite!

Alors... Jésus est-il SEIGNEUR dans notre vie?

SEIGNEUR pour nous conduire jusque dans l'éternité par un chemin que nous ne connaissons pas, mais que lui même a tracé pour nous?

Ainsi parle l’Éternel, ton rédempteur, le Saint d’Israël: Moi, l’Éternel, ton Dieu, je t’instruis pour ton bien, JE TE CONDUIS dans la voie que tu DOIS suivre.

Oh! si tu étais attentif à mes commandements!

Ton bien-être serait comme un fleuve, et ton bonheur comme les flots de la mer;

Ta postérité serait comme le sable, et les fruits de tes entrailles comme les grains de sable; TON NOM NE SERAIT POINT EFFACÉ, ANÉANTI DEVANT MOI. Ésaïe 48: 17-19


Cela voudrait-il dire que si nous ne sommes pas attentifs aux commandements de l'Éternel, notre nom sera effacé?

Je laisse à chacun le soin de méditer sur ce passage très clair d'Ésaïe et réfléchir par la même occasion sur le sort qui attend ceux qui n'ont pas été vainqueurs (Apocalypse 3: 5).

CELUI QUI VAINCRA sera revêtu ainsi de vêtements blancs; je (Jésus) n’effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges.



***


Tu as changé mes lamentations en allégresse,

Tu as délié mon sac, et tu m’as ceint de joie,

afin que mon coeur te chante et ne soit pas muet.

Éternel, mon Dieu! je te louerai toujours.

Psaume 30: 11-12


J-M Ravé le 2 novembre 2013 — CP 474 2300 Chaux-de-Fonds – Suisse