Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Le temps..., ce n'est pas que de l'argent!


9b) car l'argent ne peut pas guérir les corps et les coeurs malades...

              Je n'ai ni or, ni argent, mais ce que j'ai, je te le donne...

              Je n'ai plus d'or ni d'argent, mais si seulement je puis...

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Il y avait une femme atteinte d’une perte de sang depuis douze ans, et qui avait dépensé tout son bien pour les médecins, sans qu’aucun ait pu la guérir.

AYANT ENTENDU PARLER DE JÉSUS, elle vint dans la foule par derrière, et toucha son vêtement.

Car elle disait: si je puis seulement toucher ses vêtements, JE SERAI GUÉRIE.

Au même instant la perte de sang s’arrêta, et elle sentit dans son corps qu’elle était guérie de son mal. (Luc 8: 43 & Marc 5: 27-28)


Avez-vous déjà entendu parler de Jésus?

Beaucoup peuvent répondre «oui» même s'ils ne savent pas très exactement qui il est, c'est pour cette raison que je dois préciser ma question:

Avez-vous déjà entendu parler de Jésus qui guérit les malades?

Là encore, tous ceux et toutes celles qui sont allés au catéchisme n'ignorent pas que durant son passage sur la Terre, il a guéri TOUS les malades qui venaient vers lui, qu'il a chassé des démons et même ressuscité des morts. Il faut donc que je tourne ma question autrement pour que vous soyez interpellés:

Avez-vous connu, pour vous-même, la guérison de Jésus; ce Jésus dont l'Écriture nous dit «qu'il est le même, hier, AUJOURD'HUI et éternellement»? (Hébreux 13: 8)

Sachant que plusieurs peuvent répondre par l'affirmative et que quelques-uns se débattent toujours entre foi et doute, entre soulagements et maux qui reviennent cycliquement, ne faut-il pas s'interroger sur la qualité de cette foi mal en point?

L'amélioration passagère de la santé, aussi encourageant que cela puisse être, risque de devenir un obstacle de taille que l'ennemi de nos âmes saura utilisé à bon escient.

N'a-t-il pas déjà soufflé à l'oreille de quelques-uns que la guérison divine n'est plus de notre temps et qu'il faut savoir se contenter d'une amélioration passagère, quand il y en a une, ce qui à ses yeux (ceux de l'ennemi) serait déjà un grand miracle?

Sincèrement..., Dieu est-il glorifié quand la guérison demandée n'est pas pleinement réalisée?

Sans vouloir parler de l'écharde qui a été placée dans la chair de l'apôtre Paul par un ange de Satan (avec la permission du Seigneur) afin qu'il ne s’enorgueillisse pas des révélations que Dieu lui donnait (2 Corinthiens 12: 7); à ma connaissance, il y a au moins une personne dans la Bible qui a vécu l'expérience momentanée d'une délivrance partielle.

Ce n'est pas que le Seigneur Jésus était moins en forme qu'à l'accoutumée c'est que l'homme en question, en dépit de sa «foi», avait encore des attaches avec l'incrédulité en raison de son milieu.

C'est à Bethsaïda que nous rencontrons cet homme. Bethsaïda... un haut lieu de l'incrédulité qui, en dépit des miracles qui se sont produits au milieu d'elle, s'est refusée à suivre le Fils de Dieu.

Ce n'est pas pour rien que le malheur fut prophétisé sur une telle ville: «Malheur à toi, Chorazin! malheur à toi, Bethsaïda! car, si les miracles qui ont été faits au milieu de vous avaient été faits dans Tyr et dans Sidon, il y a longtemps qu’elles se seraient repenties, en prenant le sac et la cendre» (Luc 10: 13

On amena donc vers Jésus un aveugle afin qu'il le guérisse. C'est alors que le Fils de Dieu prit — personnellement — cet homme par la main pour le conduire à l'écart de ce village de l'incrédulité et des personnes qui l'avaient conduit vers lui.

À l'instar de cet homme, sommes-nous prêts à nous laisser conduire en dehors des chemins de l'incrédulité, loin de toutes les personnes susceptibles de dénigrer notre foi ou d'affaiblir la portée des miracles?

Des personnes qui, à l'écoute des témoignages les mettent en parallèle avec LEURS EXPÉRIENCES CHARNELLES en disant: «C'est comme moi quand...»?
Oui..., c'est certainement «COMME», mais ce n'est pas PAREIL, car d'un côté c'est Dieu qui est glorifié et de l'autre..., c'est l'homme ou celui qui le manipule!

Il (Jésus) prit l’aveugle par la main, et le conduisit hors du village; puis il lui mit de la salive sur les yeux, lui imposa les mains, et lui demanda s’il voyait quelque chose. Marc 8: 23


Sauf erreur, c'est un cas particulier où l'on voit le Seigneur interroger l'homme pour connaître son nouvel état.

Je ne me souviens pas que le Seigneur se soit «inquiété» à ce point du résultat de son oeuvre.Il est vrai que la foi VICTORIEUSE en avait conduit plusieurs vers Jésus.
Comme «
il en était fait selon leur foi» — VICTORIEUSE — le Seigneur n'avait pas besoin de s'informer de la santé de ceux qui avaient été guéris auparavant.

Lorsqu'il rencontrait un malade qui avait bénéficié de la guérison divine, il ne lui demandait pas comment il allait, mais il le mettait en garde afin qu'il ne pèche plus par crainte qu'il ne lui arrive quelque chose de pire que le mal dont il avait été délivré (Jean 5: 14).

Quant à notre aveugle qui n'avait rien demandé, «ON amena vers Jésus un aveugle, qu’ON le pria de toucher» (Marc 8: 22)...

... LE RÉSULTAT NE FUT PAS PARFAIT EN RAISON DE L'INCRÉDULITÉ DE CET HOMME qui, en quelque sorte, avait subi une guérison que d'autres avaient demandée pour lui alors qu'il avait la possibilité de s'exprimer. (Marc 10: 51 nous dit par exemple: «Que veux-tu que je te fasse? Il répondit: Seigneur, que je recouvre la vue»!)

Il (l'aveugle) regarda, et dit: J’aperçois les hommes, mais j’en vois comme des arbres, et qui marchent. Jésus lui mit de nouveau les mains sur les yeux; et, quand l’aveugle regarda fixement, il fut guéri, et vit tout distinctement.

Alors Jésus le renvoya dans sa maison, en disant: n’entre pas au village. Marc 8: 24-36


Le Seigneur Jésus n'a jamais connu un seul échec; c'est l'attitude de l'homme qui a entravé l'action du Seigneur comme c'est le cas dans de nombreuses vies où il en est fait SELON LA FOI DE CEUX ET CELLES QUI S'APPROCHENT DU SEIGNEUR!

Noter au passage que cet homme fut invité à retourner chez lui sans passer par Bethsaïda, le village de l'incrédulité.

Sans doute devrions-nous faire la même chose en évitant de passer trop de temps avec les douteurs et les moqueurs pour que notre foi du premier moment n'en soit pas perturbée.
Sans doute devrions-nous suivre avec plus d'empressement les judicieux conseils de l'apôtre Paul nous encourageant à nous exhorter les uns les autres afin que notre foi ne faiblisse pas.

Quant à notre petite dame..., vous savez..., celle qui avait «dépensé tout son bien pour les médecins» sans obtenir de guérison, elle fut, elle aussi, confrontée à l'incrédulité!

Non pas la sienne! Mais celle de toutes ces personnes qui suivaient Jésus sans aucun bénéfice pour le corps ou pour l'âme de qui que ce soit.

ELLE DUT TRAVERSER CETTE FORÊT D'INCRÉDULITÉ tout en préservant sa foi; une foi discrète, une foi secrète, mais une foi solide qui allait PRENDRE la guérison sans permission, sans même en faire la demande!


MADAME S'EST SERVIE!


Et parce qu'elle s'est servie par la foi..., il lui fut accordé ce qu'elle avait demandé!

Jésus se retourna, et dit, en la voyant: Prends courage, ma fille, TA FOI T’A GUÉRIE.

ET CETTE FEMME FUT GUÉRIE À L’HEURE MÊME. Matthieu 9: 22 (+ Matthieu 8: 13; 15: 28; Luc 18: 4, etc.)


TA foi t’a guérie.

Va, qu’il te soit fait selon TA foi.

TA foi est grande; qu’il te soit fait comme tu veux.

TA foi t’a sauvé. Aussitôt il recouvra la vue.

Recouvre la vue; TA foi t’a sauvé.


La femme dont nous venons de parler n'avait plus rien; sans regarder à la dépense, elle avait tout essayé, frappé à toutes les portes sans que son mal ait pu être soigné.

Maintenant..., c'en était fini!
Elle n'avait plus d'or et plus d'argent pour aller consulter les meilleurs spécialistes!

Elle n'avait plus rien si ce n'est cette foi naissante qui augmentait chaque fois qu'elle entendait parler de Jésus et des oeuvres qu'il accomplissait:


SI je puis seulement toucher son vêtement, JE SERAI GUÉRIE!


Elle n'avait plus rien que la foi, et c'est peut-être là qu'est le problème de la chrétienté d'aujourd'hui qui se croit riche et qui prétend n'avoir besoin de rien (Apocalypse 3: 17)!

Elle est riche à sa façon dans certaines régions du globe où spécialistes et assurances maladie sont à disposition pour soulager les malades sans qu'ils ressentent la nécessité de passer par Jésus! Une bonne chose pour ceux et celles qui ne connaissent pas le divin Médecin!

Vous ajoutez à ces personnes qui bénéficient des avantages de la médecine, celles qui ne veulent pas être guérie et qui pensent qu'au travers de leurs souffrances elles «gagneront le Ciel» ou qui prétendent, à tort, porter ainsi leur croix.

Jésus ayant tout accompli pour le salut de nos âmes (Jean 19: 30), NOS SOUFFRANCES NE SERVIRONT À RIEN PUISQU'IL A VOULU S'EN CHARGER POUR NOUS EN DÉLIVRER:

Ce sont nos SOUFFRANCES qu’il a portées, C’est de nos DOULEURS qu’il s’est chargé...

il était blessé pour nos PÉCHÉS, brisé pour nos INIQUITÉS;

Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui..., ET C’EST PAR SES MEURTRISSURES QUE NOUS SOMMES GUÉRIS. Ésaïe 53: 4-5


En dehors des personnes qui viennent d'être citées, il y a aussi celles qui ne désirent pas une pleine et entière guérison afin de profiter des avantages que la société leur accorde pour les aider à vivre. J'ai connu de près cette expérience... :

C'était il y a une bonne trentaine d'années..., j’étais alors assistant-gérant dans un magasin d'alimentation à Genève... ; régulièrement, une personne en fauteuil roulant venait faire ses commissions.
Un jour, le Seigneur parla à mon coeur me demandant d'accompagner cette handicapée au-dehors et de lui proposer la prière afin qu'elle soit guérie.

Après avoir demandé la permission à mon supérieur j'offris mes services à la cliente et, le long du chemin je lui demandais effectivement l'autorisation de prier pour elle. C'est alors qu'elle refusa tout net en disant qu'elle était bien comme elle était, qu'elle était contente de son sort et des aides qu'on lui apportait!

Au premier abord, nous pourrions être surpris d'une telle réaction, mais en réfléchissant un peu, nous comprenons que certains préfèrent rester comme ils sont en raison des avantages qu'ils en tirent quand leur «gêne» reste supportable et que les institutions sont à leur service.

Mais tel n'est pas toujours le cas! Il y en a qui font tout pour être guéri!

Il suffit de nous rendre à la piscine de Béthesda pour nous en rendre compte.

Là se trouvait un homme malade depuis 38 ans qui n'avait personne pour l'aider afin qu'il puisse arriver le premier dans l'eau pour être guéri.

Il n'avait pas d'ami, pas de frère dans la chair, pas de frère dans la foi..., personne qui soit en peine de lui, mais il venait quand même pour être guéri!

«Je n’ai personne pour me jeter dans la piscine quand l’eau est agitée, et, pendant que j’y vais, un autre descend avant moi», dira-t-il à son interlocuteur (Jean 5: 7). Il voulait être guéri; il était venu pour ça, mais son handicap l'empêchait de profiter de l'occasion chaque fois qu'elle se présentait.

Ce qui est frappant à la piscine de Béthesda (Jean 5: 2 et suivants), c'est que tous étaient venus dans ce lieu pour être guéris; il y avait des malades en grand nombre, des aveugles, des boiteux, des paralytiques.

Tous étaient venus avec le secret espoir de bénéficier de l'unique guérison qui se produisait occasionnellement quand un ange venait agiter l'eau!
En définitive, chacun était venu pour lui-même et ne se souciait guère de l'autre.

La seule personne qui était présente et qui n'avait pas besoin de soins fut le Seigneur Jésus qui, s’intéressant à l'homme malade depuis 38 ans, le guérit de son mal après lui avoir posé cette question: «Veux-tu être guéri?»

L'homme parlant alors de ses impossibilités personnelles, le Seigneur ne voulu pas entrer dans ses considérations et poursuivit son entretien:

Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton lit, et marche.

Aussitôt cet homme fut guéri; il prit son lit, et marcha. Jean 5: 8-9


Alors que tout le monde était venu pour être guéri, que tout le monde devait se presser autour de la piscine afin d'être le premier à se mettre dans l'eau, alors que tout le monde ne pouvait faire autrement que de voir le malade se lever et repartir avec son petit lit...

PERSONNE ne profita de l'occasion pour s'approcher de Jésus!

Comment se fait-il que des témoins d'une guérison extraordinaire, différente de l'habitude puisque cet homme ne s'était pas plongé dans l'eau, comment se fait-il que personne ne se soit approché de Jésus, au moins pour l'interroger et par la suite l'implorer d'agir en leur faveur?

Bien sûr, nous ne pouvons pas répondre à la place de ces personnes dont l'Écriture ne nous dit rien, cependant nous pourrions demander à ceux qui nous entourent, ceux qui sont les témoins oculaires des guérisons que le Seigneur a accomplies selon SA promesse et selon SA Parole. C'est d'ailleurs vers eux que je me tourne:

Oui..., vous savez que Dieu guérit encore aujourd'hui, vous qui avez entendu de multiples témoignages, vous avez même constaté de visu la réalité de plusieurs guérisons alors..., pourquoi ne venez-vous pas au Seigneur?

Est-il préférable de rester entre les mains des hommes dont les résultats, malgré leur bonne volonté, sont la source de nombreuses déceptions?

Vous savez que Dieu guérit encore aujourd'hui dans le nom de Jésus-Christ et vous ne voulez pas être guéri par lui!

Est-ce à dire que vous préférez mieux souffrir entre les mains des hommes plutôt que de plier les genoux devant celui à qui vous devrez quand même rendre compte de votre vie?

Il est vrai que, par la grâce de Dieu, vous avez le privilège de vivre dans une société où l'on fait tout son possible pour adoucir les maux que la science ne peut pas guérir.

Vous avez le privilège de recevoir les meilleurs soins possible (merci Seigneur)!Mais..., en même temps, vous avez le triste privilège d'être déçus quand rien ne va comme vous l'espériez, ou quand la science des hommes vous a... «abîmés» plus que vous ne l'étiez lorsque vous vous êtes confiés à elle!

Notre bien-être, nos assurances sociales ne seraient-ils pas autant d'obstacles à la foi victorieuse?

Dans les pays où le niveau de vie n'arrive pas à la cheville de celui des pays industrialisés, les guérisons divines sont bien plus nombreuses. L'argent, par son absence, ne pouvant rien, il est plus facile à la foi de se mettre en action surtout quand on a compris que:


TOUT EST POSSIBLE À CELUI QUI CROIT.


Je pense encore à cet homme qui est décédé il y a un peu plus d'un an et qui était à la tête d'une grande entreprise informatique. Ce milliardaire dont la fortune était estimée à 7 milliards de dollars est quand même mort à l'âge de 56 ans à cause d'une grave maladie!

Il avait les finances pour avoir les meilleurs soins et pouvait bénéficier de la plus haute technologie, mais il n'avait pas l'essentiel qui lui aurait permis de prolonger ses jours!
Il ne connaissait pas celui qui s'était chargé de nos souffrances, de nos douleurs et de nos péchés
pour nous en délivrer et nous apporter la guérison pour nos âmes et pour nos corps au travers de son unique sacrifice à la Croix!

À l'opposé de ce milliardaire, je pense à cet autre homme qui n'avait ni or, ni argent, mais qui avait une fortune à offrir aux malheureux qui faisaient l'aumône à la porte du Temple:

Il y avait un homme boiteux de naissance, qu’on portait et qu’on plaçait tous les jours à la porte du temple appelée la Belle, pour qu’il demandât l’aumône à ceux qui entraient dans le temple...

Et il les regardait attentivement (Pierre et Jean), s’attendant à recevoir d’eux quelque chose.

Alors Pierre lui dit: je n’ai ni argent, ni or; mais CE QUE J’AI, JE TE LE DONNE: au nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche.

Et le prenant par la main droite, il le fit lever. AU MÊME INSTANT, SES PIEDS ET SES CHEVILLES DEVINRENT FERMES; D’UN SAUT, IL FUT DEBOUT, ET IL SE MIT À MARCHER. Il entra avec eux dans le temple, marchant, sautant, et louant Dieu. Tout le monde le vit marchant et louant Dieu. Actes 3: 4-9


Il y a des riches qui sont pauvres dans la foi!

Il y a des gens aisés qui sont aussi pauvres dans la foi que les précédents!
Il y a des gens qui n'ont besoin de rien parce qu'ils croient tout avoir et cependant ils restent pauvres, très pauvres dans la foi.

Non seulement ils sont pauvres, mais en plus SUFFISAMMENT ORGUEILLEUX POUR NE PAS AVOIR BESOIN DE DIEU, pour ne pas «mendier», implorer son secours!

À l'inverse, il y a des pauvres qui sont riches dans la foi et qui n'ont pas peur de demander au Seigneur les délivrances dont ils ont besoin.

Bien sûr, ils n'obtiennent pas toujours TOUT ce qu'ils ont demandé, néanmoins ils sont patients et restent dans l'attente pour recevoir ce qu'ils ont demandé avec foi.
Ils RESTENT dans la foi
en s'appuyant sur les promesses de Dieu sachant qu'au bout du compte ils seront reçus dans la gloire.

Sans le savoir (peut-être), ils ont eu et ont encore la foi de ces héros qui nous ont précédés et dont le chapitre 11 de l'épître aux Hébreux fait l'éloge:

C’est dans la foi qu’ils sont tous morts, sans avoir obtenu les choses promises; mais ils les ont vues et saluées de loin, RECONNAISSANT QU’ILS ÉTAIENT ÉTRANGERS ET VOYAGEURS SUR LA TERRE. Hébreux 11: 13

Tous ceux-là, à la foi desquels il a été rendu témoignage, n’ont pas obtenu ce qui leur était promis, Dieu ayant en vue quelque chose de meilleur pour NOUS, afin qu’ils ne parvinssent pas sans nous à la perfection. Hébreux 11: 39-40


La foi exemplaire de ces héros bibliques doit nous encourager pour qu'à notre tour nous soyons capables de vivre par la foi.

Ces hommes et ses femmes de foi n'ont pas tous obtenu ce qui leur avait été promis, mais leur foi leur a permis d'arriver à la perfection comme nous venons de le lire.
Ils y sont arrivés tandis que nous qui avons déjà obtenu bien plus qu'eux, nous devons travailler à notre salut et marcher dans la sanctification pour les rejoindre dans la gloire.

Comme eux, gardons la foi et sachons voir les choses promises par Dieu avant qu'elles ne se manifestent.

Nous sommes les seuls à savoir qu'ils n'ont pas obtenu ce qui leur était promis!

Quant à eux, ils l'ont toujours espéré sans faillir dans leur espérance.
Sommes-nous de leur race? De la race des vainqueurs ou sommes des fatalistes qui cachent leur manque de foi en disant «si Dieu le veut!»

Il est vrai que Dieu reste souverain, toutefois il est «lié» par SES promesses, par SA Parole qui nous montrent CE QU'IL VEUT!

Vouloir se cacher derrière le «si Dieu le veut» n'est pas une preuve de foi puisque, quoi qu'il arrive, la foi ne sera pas engagée et qu'en définitive nous n'aurons aucune assurance des choses qu'on espère.

Le «si Dieu le veut» est valable pour la destinée de notre vie, pour les projets que nous avons à coeur, mais pour le reste... :

Salut et guérison sont inséparables l'un de l'autre à moins de «mutiler» l'oeuvre de Christ donnant sa vie pour nous.Salut et guérison ne fonctionnent pas avec le «si Dieu le veut», mais uniquement avec le «DIEU LE VEUT»!

Guéris-moi, Éternel, et je serai guéri; SAUVE-MOI, ET JE SERAI SAUVÉ; car tu es ma gloire. Jérémie 17: 14

La multitude accourait aussi des villes voisines à Jérusalem, amenant des malades et des gens tourmentés par des esprits impurs; et TOUS étaient guéris. Actes 5: 16

CONFESSEZ donc vos péchés les uns aux autres, et PRIEZ les uns pour les autres, AFIN QUE VOUS SOYEZ GUÉRIS.

La prière fervente du juste a une grande efficace. Jacques 5: 16

Voici les miracles qui accompagneront CEUX qui auront cru (pas uniquement les apôtres au temps de Jésus, mais tous CEUX qui auront cru): en MON NOM, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal;

ils imposeront les mains aux malades, ET LES MALADES, SERONT GUÉRIS.

Le Seigneur, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel, et il s’assit à la droite de Dieu.

Et ils s’en allèrent prêcher partout.

Le Seigneur travaillait avec eux, ET CONFIRMAIT LA PAROLE (prêchée) PAR LES MIRACLES QUI L’ACCOMPAGNAIENT. Marc 16: 17-20


TA PAROLE EST LA VÉRITÉ.



Le pardon des péchés et la guérison sont enchevêtrés l'un dans l'autre.

Voulez-vous le croire ou amoindrir l'oeuvre du Seigneur Jésus en supprimant de la Parole de Dieu un texte qui vous dérange en raison de ce que vous n'avez pas ou peu la foi?

Il y a un temps pour toute chose! Même UN TEMPS pour guérir (Ecclésiaste 3:3)!




J-M Ravé le 9 mars 2013 — CP 474 — 2300 Chaux-de-Fonds – Suisse

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