Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Le temps..., ce n'est pas que de l'argent!

9a) car l'argent ne peut pas guérir les corps et les coeurs malades au temps de la guérison de Dieu

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SI TU ÉCOUTES ATTENTIVEMENT LA VOIX DE L’ÉTERNEL, TON DIEU,

SI tu fais ce qui est droit à ses yeux,

SI tu prêtes l’oreille à ses commandements,

et SI tu observes toutes ses lois,

Je ne te frapperai d’aucune des maladies dont j’ai frappé les Égyptiens; CAR JE SUIS L’ÉTERNEL, QUI TE GUÉRIT. Exode 15: 26


Nous espérions la paix, et il n’arrive rien d’heureux; un temps de guérison, et voici la terreur! Jérémie 8: 15


Nous retenons assez facilement les promesses de bénédictions, nous les attendons parfois avec impatience, mais nous nous lassons vite quand elles ne sont pas au rendez-vous et nous prenons rarement le temps et la peine de chercher à savoir si nous remplissons bien les conditions pour obtenir la bénédiction promise.

La croyance — ERSATZ DE LA FOI, SANS SAVEUR NI CONSISTANCE — s'installe souvent dans les coeurs qui ne s'appuient pas sérieusement sur la Parole de Dieu.

Elle est souvent au rendez-vous..., mais la foi qui plaît à Dieu est absente, cette foi qui n'est pas la foi d'un jour, mais LA FOI DE TOUJOURS, celle qui demeure même quand rien ne semble bouger en notre faveur (Hébreux 11: 1).

Relisez ce chapitre des Hébreux et relevez que plusieurs ont marché DANS LA FOI sans avoir obtenu ce qui leur avait été... PROMIS (Hébreux 11: 38 et contexte)! Parce qu'ils ont gardé la foi en dépit des circonstances, parce qu'ils ont gardé la foi sans recevoir ce qu'ils avaient demandé, Dieu leur a réservé quelque chose de bien meilleur qu'une réponse favorable à leurs prières (v. 40).

Suis-je capable de garder la foi sans douter de Dieu... même si l'accomplissement de SES promesses tarde à se manifester dans ma vie?

Baisser les bras parce que Dieu ne répond pas au temps que nous lui avons fixé inconsciemment, n'est-ce pas les prémices de l'abandon de la foi qui, dans certaines circonstances, va conduire l'enfant de Dieu à chercher le secours vers les hommes plutôt que vers Dieu?


La foi est UNE FERME ASSURANCE des choses qu’on espère!

(Elle est) UNE DÉMONSTRATION de celles qu’on ne voit pas.


L'espérance, à elle seule, prouve que l'on n'a pas encore reçu ce qui a été demandé, dès lors il convint de rester DANS la foi et de continuer à espérer SANS FAIBLIR, sans douter aussi longtemps qu'il le faudra!

Garder la foi en Dieu même si nous ne devions jamais recevoir ce que nous avons demandé (Hébreux 11: 38)!

La foi qui doute ne devrait pas s'installer dans notre coeur APRÈS QUE L'ON SE SOIT ADRESSÉ AU SEIGNEUR... !

Ce genre de foi (douteuse), DANS LES MOMENTS QUI SUIVENT LA PRIÈRE, ne peut rien apporter de constructif:

Celui qui doute est semblable au flot de la mer, agité par le vent et poussé de côté et d’autre. Qu’un tel homme ne s’imagine pas qu’il recevra quelque chose du Seigneur... Jacques 1: 6-7


La Parole de Dieu est claire: nous ne recevrons jamais une réponse positive à nos demandes si nous laissons le doute s'installer. Que les doutes fassent leur apparition, c'est compréhensible, car l'ennemi de nos âmes n'aime pas les gens de foi. À nous de lui résister afin qu'il fuie loin de nous et qu'il emporte avec lui ses semences d'incrédulité.

À l'opposé de cette foi qui doute, il y a celui qui est ferme dans ses sentiments et qui ne se laisse pas ballotter par les circonstances, par le ressenti ou par les paroles de ceux et celles qui ne possèdent pas la même foi que lui: «si nous espérons ce que nous ne voyons pas, NOUS L’ATTENDONS AVEC PERSÉVÉRANCE» (Romains 8: 25)

La foi qui doute, aussi étrange que cela puisse paraître, peut quand même devenir un tremplin qui va propulser celui qui est dans cette position désagréable vers la foi véritable EN OSANT METTRE DIEU À L'ÉPREUVE!

Mais attention! Il y a deux sortes de foi qui doutent, l'une qui n'obtiendra JAMAIS rien et l'autre qui abandonnera ses raisonnements et qui se jettera dans les bras du Seigneur!

Je vous invite à examiner ce dialogue entre Jésus et un homme qui avait un fils possédé; un homme qui fut ébranlé dans sa foi parce que les disciples n'avaient rien pu faire alors qu'à d'autres reprises ils avaient été des instruments de guérisons et de délivrances au milieu du peuple (Marc 6: 7 et suivants).

Après avoir expliqué la situation, notre homme, s'adressant à Jésus, lui dit: «SI TU PEUX QUELQUE CHOSE, viens à notre secours, aie compassion de nous» (Marc 9: 22).

Jésus ne va pas s'arrêter sur le «SI TU PEUX», qui, présenté ainsi, rendrait le Seigneur responsable de la non-délivrance ou de nos non-guérisons!

Le «SI TU PEUX», vous le comprenez certainement n'est pas la foi; ce serait plutôt un genre de défi dans lequel le Seigneur ne veut pas entrer.

Le «SI TU PEUX», n'est pas une démonstration de foi: chaque croyant se tournant vers le Seigneur doit se rappeler que: «RIEN N'EST IMPOSSIBLE À DIEU» (Luc 1: 37); «Voici, je suis l’Éternel, le Dieu de toute chair. Y a-t-il rien qui soit étonnant de ma part?» (Jérémie 32: 27).

Sans la foi, il est impossible de lui être agréable; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le RÉMUNÉRATEUR de ceux qui le cherchent. Hébreux 11: 6


La foi n'est donc pas le «SI TU PEUX» et encore moins le «SI DIEU LE VEUT»!

La foi prend Jésus au mot, la foi prend la Parole de Dieu au mot et ferme ses yeux et ses oreilles sur tout ce qui pourrait la faire vaciller:


Il est écrit: «TA PAROLE EST LA VÉRITÉ», alors cela me suffit (Jean 17: 17)!


Est-ce que cela vous suffit pour aller jusqu'à la fin de votre pèlerinage en vous appuyant de toutes vos forces sur le «bâton» de la Parole de Dieu; cette Parole capable de vous soutenir dans toutes les circonstances?

Le Seigneur Jésus va donc responsabiliser ce père de famille qui, en quelque sorte, lance un défi au Seigneur en lui disant «SI TU PEUX» (Marc 9: 23). Jésus répondra simplement:


Tout est possible à CELUI qui croit.


Ainsi donc, LA RESPONSABILITÉ DE NOS DÉLIVRANCES, DE NOS GUÉRISONS, N'INCOMBE PAS AU SEIGNEUR LUI-MÊME qui donne à celui qui demande: «demandez et vous recevrez» (Jean 16: 24);», mais...

... la responsabilité de nos délivrances et de nos guérisons incombe à CELUI qui demande et qui doit s'emparer de la promesse de Dieu, la faire sienne et CONTINUER À ESPÉRER CONTRE TOUTE ESPÉRANCE (Romains 4: 18)!

La foi qui doute..., dans cette circonstance présente, peut donc devenir un tremplin vers la véritable foi; c'est d'ailleurs ce qui va se produire puisque notre homme va répondre au Fils de Dieu:

1) «JE CROIS» — Premier acte de foi!

2) «VIENS AU SECOURS» — Deuxième acte de foi qui est un appel pressant!

3) «DE MON INCRÉDULITÉ» — Troisième acte de foi qui démontre que l'homme est conscient de son état et qu'il croit que le Seigneur va y remédier.

Cette foi qui doutait a fini par porter du fruit, contrairement à L'AUTRE FOI QUI DOUTE APRÈS QUE LA PRIÈRE AIT ÉTÉ FORMULÉE.

Nous sommes donc devant deux sortes de foi qui doutent et dont l'issue est différente:

Ce va-et-vient, «semblable au flot de la mer agitée par le vent et poussée de côté et d’autre» (Jacques 1: 6) devient une démonstration de l'incrédulité à laquelle nous pouvons répondre à ceux qui ont l'habitude de se comporter ainsi, comme le Seigneur le faisait en responsabilisant ceux qui lui demandaient la délivrance (Matthieu 8: 13):


Qu’il te soit fait selon ta foi!


Avec une telle réponse, au lieu d'accuser Dieu de nos échecs (pour autant qu'il y en ait), nous ferions mieux de nous examiner et de reconsidérer notre foi personnelle.

Cette foi qui est continuellement mise à l'épreuve c'est vrai! Mais mise à l'épreuve... pour être purifiée!

Afin que l’épreuve de votre foi, plus précieuse que l’or périssable qui cependant est éprouvé par le feu, ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra... 1 Pierre 1: 7


Cette foi dont il est question a une valeur considérable aux yeux de notre Dieu qui ne manque pas de la relever, de la souligner lorsque les occasions se présentent tout en s'interrogeant sur son déclin futur; un futur qui nous concerne particulièrement..., nous qui sommes dans l'attente du retour du Seigneur Jésus: «quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre?» (Luc 18: 8)

Cette perte de la foi est souvent consécutive au fait que l'on s'attend à bénéficier des bontés de Dieu sans vouloir payer le prix... de la consécration et sans vouloir conformer notre vie aux enseignements de l'Écriture.

Trop de «croyants» s'imaginent que Dieu devrait être à leur service, comme sur un plateau, toujours prêt à répondre à leurs caprices sans qu'il ait à se préoccuper de la façon dont ils vivent.C'est ainsi que des hommes, déjà dans l'Ancien Testament, attendaient la délivrance et la guérison et n'obtenaient, en réponse à leur attente, que la terreur!

Nous espérions la paix, et il n’arrive rien d’heureux; un temps de guérison, ET VOICI LA TERREUR! Jérémie 8: 15


Parce que les non-réponses à nos prières engendrent certaines angoisses, j'ai voulu savoir pourquoi, au temps de Jérémie, l'espérance de ces hommes a été trompée. Non pas que Dieu trompe l'homme... !

C'est toujours l'homme qui se trompe à l'égard de Dieu!

C'est toujours l'homme qui trompe Dieu.
C'est toujours l'homme qui trompe son propre coeur en pensant que Dieu doit comprendre que l'on ne peut pas toujours faire SA volonté, mais qu'il doit quand même nous bénir!

Nous désirons être bénis.... et, parce que nous le désirons, nous nous appuyons sur certains textes de l'Écriture pour rappeler à Dieu SES promesses à LUI qui n'est pas un homme pour mentir! «Ce qu’il a dit, ne le fera-t-il pas? Ce qu’il a déclaré, ne l’exécutera-t-il pas?» (Nombres 23: 19).

Nous nous y appuyons..., c'est une très bonne chose..., sauf quand on ne s'appuie que sur l'aspect positif du texte destiné à affermir notre foi tout en oubliant (parfois?) les conditions ou les avertissements qu'il laisse sous-entendre!

Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Hébreux 13: 8


En prenant comme exemple ce texte tiré de l'épître aux Hébreux avez-vous déjà pensé que si le Seigneur Jésus est toujours le même – CE QUE JE CROIS DE TOUT MON COEUR – avez-vous déjà pensé qu'il est le même dans toutes ses actions qui diffèrent selon le comportement des hommes?

Il est le même quand on fait de sa maison une caverne de voleurs (Matthieu 21: 13) et qu'il chasse de sa maison (de prières) ceux qui se conduisent différemment de ce qu'il attend. S'il ne le fait plus physiquement, il n'est pas interdit de croire qu'il sait faire la différence entre ceux qui viennent pour servir le Seigneur et ceux qui viennent pour se servir de Dieu!

Il est le même lorsqu'il reconnaît l'incrédulité et qu'il ne peut faire aucun miracle (Marc 6: 5-6); hier..., comme aujourd'hui!

Il est le même lorsqu'il dénonce le fait qu'on le suive simplement par intérêt (Jean 6: 26); hier..., comme aujourd'hui!

Il est le même dans toutes ses paroles et ses paraboles où il avertit ses auditeurs que certaines personnes seront jetées en enfer.

Jamais il n'a menti aux hommes en leur faisant peur au sujet de la perdition éternelle!

IL N'A DIT QUE LA VÉRITÉ: celle d'hier est valable pour aujourd'hui et sera confirmée à tout jamais dans l'éternité.

Ne vous y trompez pas, mes frères bien-aimés: toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation. Jacques 1: 16-17


Là encore, je vous invite à retenir qu'il n'y a «ni changement ni ombre de variation» dans la façon de se comporter de notre Père céleste!

Et c'est une «chance» pour nous parce qu'en lui nous avons ainsi un appui solide, inébranlable que les siècles et «l'évolution» des moeurs ne peuvent ébranler!
Ce qu'il a dit..., il l'accomplira
, aussi bien quand il s'agit des bénédictions pour ceux et celles qui craignent son nom et qui obéissent à SA parole, que des malédictions pour les rebelles et ceux qui ont abandonné la foi!

Empressons-nous de dire que nous sommes toujours dans un temps de grâce! Un temps de patience où nous sommes invités à nous repentir et ensuite à travailler à notre salut comme les saintes Écritures nous le demandent (2 Pierre 3: 9; Philippiens 2: 12).

Maintenant, pour en revenir à ces hommes qui attendaient la paix et la guérison et qui n'ont vu venir que la terreur (Jérémie 8: 15), ILS ONT SIMPLEMENT RÉCOLTÉ CE QU'ILS AVAIENT SEMÉ!

Prenons garde à ce que nous semons! Il ne suffit pas de se revêtir d'un manteau de religiosité pour entrer dans le Royaume de Dieu, il faut avoir la nature de Christ en nous et apprendre à vivre comme il le demande au travers de SA parole!

Les contemporains de Jérémie s'attendaient à être bénis; au lieu de cela, ils se trouvèrent devant un Dieu qui était irrité contre eux en raison de leur conduite:

JE VEUX EN FINIR AVEC EUX, dit l’Éternel; il n’y aura plus de raisins à la vigne, plus de figues au figuier, Et les feuilles se flétriront; CE QUE JE LEUR AVAIS DONNÉ LEUR ÉCHAPPERA. Jérémie 8: 13


N'oublions pas que ces choses ont été écrites pour que nous en retirions des instructions! «Ces choses sont arrivées pour nous servir d’exemples, afin que nous n’ayons pas de mauvais désirs, comme ils en ont eu» (1 Corinthiens 10: 6); «ces choses leur sont arrivées pour servir d’exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous qui sommes parvenus à la fin des siècles» (1 Corinthiens 10: 11).

Il y a donc des exemples dans la Bible à ne pas suivre!

Des exemples qui nous ont été transmis afin que nous ne tombions dans les mêmes péchés que ceux qui nous ont précédés, car, n'ayons pas peur de le répéter: l'amour de Dieu n'a jamais escamoté sa justice et sa sainteté!

Ainsi l'Éternel s'est fâché contre SON peuple!

Souvenons-nous que nous sommes devenus des enfants de Dieu (par grâce) et qu'en raison de ce statut le Seigneur se réserve le droit de nous châtier si nous ne nous conduisons pas comme il le souhaite.

Le plus inquiétant serait que nous n'ayons plus aucune remontrance de sa part, plus de conseil, plus de correction! «c’est comme des fils que Dieu vous traite; car quel est le fils qu’un père ne châtie pas? Mais si vous êtes exempts du châtiment auquel tous ont part, vous êtes donc des enfants illégitimes, et non des fils (Hébreux 12: 7-8).

Israël a toujours été le peuple chéri de Dieu et c'est pour cette raison qu'il a veillé à son éducation en le tançant sévèrement au point de l'éloigner de lui pour lui faire goûter ce que c'est que d'être séparé de son Dieu.

Qu'avaient donc fait ces hommes qui attendaient le bonheur et qui ont vu la terreur les envahir?

Tous usent de tromperie. Ils pansent à la légère la plaie de la fille de mon peuple. Jérémie 8: 10


Est-ce que par hasard nous ne serions pas légers avec nos semblables, en les laissant aller vers l'enfer sans les retenir alors que nous voulons bénéficier des bénédictions de Dieu?

Est-ce que par hasard nous n'userions pas de tromperie à leur égard alors que nous connaissons la Vérité et que, par notre silence, nous les encourageons à rester ce qu'ils sont alors que nous savons pertinemment qu'ils vont droit en enfer?

Comment espérer la guérison ou le moindre secours du Seigneur si notre coeur reste continuellement insensible quand il est question de nos proches qui sont voués à la perdition éternelle s'ils ne font pas la paix avec Dieu?

Remémorons-nous toutes les occasions que nous avons manquées pour annoncer le salut et la repentance, toutes les fois où nous avons refusés d'être un ambassadeur ou une ambassadrice de Christ! ET NOUS VOUDRIONS ÊTRE GUÉRIS, ET NOUS VOUDRIONS ÊTRE BÉNIS!

Nous voudrions exercer notre foi quand il est question de notre petite personne en nous appuyant sur les promesses de l'Écriture pour être secouru TOUT EN REFUSANT DE METTRE EN PRATIQUE D'AUTRES INSTRUCTIONS TIRÉES DE LA MÊME ÉCRITURE!

Quelle est donc cette foi qui soupèse les textes de la Parole de Dieu et qui trie plus ou moins volontairement les passages qu'il convient de mettre en pratique?

Celui qui se conduit ainsi ne marche-t-il pas dans le chemin de la foi qui doute et qui, pour cette raison, ne reçoit rien à cause de SA MAUVAISE FOI?

La foi qui doute — quand on a connu les bontés de l'Éternel — va finir par endormir ceux et celles qui sont devenus de simples spectateurs qui regardent et écoutent ceux qui pratiquent la foi qui plaît à Dieu.

Des spectateurs qui n'expérimenteront plus eux-mêmes le bonheur qu'il y a à mettre en pratique ce que le Seigneur demande à SES enfants, et pour cause!

Arrivés à ce stade, ils ne sont plus interpellés par les miracles et les délivrances de Dieu! Ils regardent... sans même avoir envie d'être bénis comme les autres, et finissent par choisir le secours des hommes plutôt que celui de Dieu; un secours qui les «obligerait» à se conformer à SA parole.

Qu'en est-il de notre foi? Sommes-nous prêts à croire encore et toujours même si la réponse tarde à venir? Nous en reparlerons bientôt, en attendant prenons très au sérieux cette exhortation:

Examinez-vous vous-mêmes, pour SAVOIR SI VOUS ÊTES DANS LA FOI; éprouvez-vous vous-mêmes. 2 Corinthiens 13: 5


Pour la semaine prochaine, je vous inviterai à faire un saut à la piscine de Béthesda, cet endroit où tous étaient venus pour être guéris!

Je vous inviterai aussi à suivre cette femme qui avait dépensé tout son bien pour être soignée par les médecins... un exemple particulier de foi qui démontre que l'argent ne donne pas la santé!

En attendant, il importe peu que nous ayons raté notre départ dans la vie chrétienne..., c'est sans doute regrettable, mais la fin d'une chose est préférable à son début!

C'est la fin de notre course qui sera jugée; voilà sans doute une raison de plus pour laquelle Dieu use de patience à notre égard (2 Pierre 3: 9)!

Vous êtes mes amis, dit Jésus, SI VOUS FAITES CE QUE JE VOUS COMMANDE. Jean 15: 14


Sans la foi et sans «l'obéissance de la foi» (Romains 1: 5) pour notre vie personnelle..., nous courrons à la catastrophe et vraisemblablement à la perdition éternelle!

Nous espérions la paix, et il n’arrive rien d’heureux; un temps de guérison,

et voici la terreur! Jérémie 8: 15


J-M Ravé le 2 mars 2013 — CP 474 — 2300 Chaux-de-Fonds – Suisse