Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Vie sociale

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Voxdei

27-11-2002
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Le monde compte 42 millions de séropositifs...

En 2002, le virus du sida a fait 3,1 millions de morts et contaminé 5 millions de nouvelles personnes, portant à 42 millions le nombre d'individus vivant avec le VIH dans le monde. Des chiffres effrayants, rendus publics hier par Onusida (le programme commun des Nations unies sur le sida) et l'OMS (Organisation mondiale de la santé). L'épidémie frappe toujours particulièrement l'Afrique, mais lance une offensive de plus en plus intense en Asie et en Europe orientale. Elle fait son lit dans la pauvreté, semant à son tour un peu plus la misère.

L'Afrique sub-saharienne, de loin la région du monde la plus gravement malade, abrite aujourd'hui 29,4 millions de personnes contaminées par le virus. Quelque 3,5 millions de nouvelles infections s'y sont produites en 2002, année au cours de laquelle 2,4 millions d'Africains en sont morts. Une minuscule fraction bénéficie d'anti-rétroviraux et de traitements. «Mais le pire de l'épidémie n'est manifestement pas derrière nous, souligne le rapport. Dans quatre pays d'Afrique australe, la prévalence du VIH a grimpé à des niveaux inimaginables. Au Bostwana, 38,8 % de la population est contaminé, au Swaziland 33,4 %, au Lesotho 31 % et au Zimbabwe 33,7 %.» Les jeunes adultes productifs des régions agricoles paient un lourd tribut à la maladie, contribuant à lier inexorablement sida et famine.

En Asie et dans le Pacifique, 7,2 millions de personnes vivent aujourd'hui avec le virus, dont un million en Chine désormais. L'Inde présente également un «potentiel» considérable avec près 4 millions d'individus atteints. L'Europe orientale et l'Asie centrale conservent le triste privilège de connaître actuellement l'épidémie de sida dont la croissance est la plus rapide du monde. En 2002, on estime à environ 1,2 million le nombre de personnes concernées et à 250 000 celui des nouvelles contaminations. Pour la seule Fédération de Russie, le nombre total des cas notifiés est passé de 10 993 à la fin de l'année 1998 à 200 000 au milieu de l'année 2002.

En Amérique latine, la situation est contrastée : 1,9 million de personnes contaminées, mais les efforts réalisés par certains gouvernements ont contribué à stabiliser l'épidémie notamment en République dominicaine et au Brésil. Enfin, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, les données sont difficiles à obtenir, mais la dénégation des responsables politiques de certains pays offre à l'épidémie, selon Onusida, «un terrain idéal pour poursuivre sa propagation.»

Ce déferlement du sida est aujourd'hui un des plus grands scandales mondiaux. Voilà une épidémie qui se développe depuis plus de vingt ans, surtout dans les pays en voie de développement. Une épidémie dont on annonce tous les ans qu'elle va s'aggraver. Et effectivement, tous les ans, le nombre de cas supplémentaires croît de plusieurs millions. Sans que les organismes internationaux, avec les pays concernés, parviennent à mettre un frein à la catastrophe qu'ils prévoient eux-mêmes. Pour combattre sérieusement le fléau, il faudrait y consacrer 10 milliards de dollars par an, indiquait récemment Peter Piot, directeur d'Onusida. Un défi qui n'a pas encore été relevé.

(Le Figaro) ajouté le 27/11/2002

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17-11-2002
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Un archevêque catholique ose dire que le SIDA est un "fléau envoyé par Dieu"

Georg Eder, ancien archevêque de Salzbourg, a osé parler. Ce que les évêques français ont toujours farouchement nié, il vient de le déclarer publiquement: que le SIDA peut être considéré justement comme un fléau envoyé par Dieu.

"La nature, quand elle se trouve abusée ou violée, se venge. Il est un fait, dit-il, qu'une vie de débauche sans bornes coûte quelque chose, notamment la santé. On ne peut nier que les causes principales de cette maladie meurtrière se situent dans une vie sexuelle permissive et souvent perverse. Mais si l'on admet que la nature et les hommes ont été créés par Dieu, la vengeance de la nature peut très bien être considérée par les croyants comme une peine imposée par Dieu. La maladie a démoli tous les barrages et amène aujourd'hui une marée de victimes, coupables et innocentes."

Dans une de nos dépêches antérieures, nous avions déjà comparé le SIDA, au grand dam de certains, au feu qui est tombé de la main de Dieu sur Sodome et Gomorrhe. Si l'archevêque Eder a raison, et si le SIDA est un acte de Dieu sur une humanité devenue trop pécheresse, que personne ne se plaigne plus contre Dieu: "Pourquoi Dieu n'intervient-il pas ? Pourquoi reste-t-il silencieux devant le mal ?"

L'archevêque, dans son interview, est d'ailleurs allé plus loin, en disant que même l'immigration massive vers l'Europe n'est que la vengeance naturelle du refus des bébés pratiqué par tous les pays européens. Bref, un autre fléau de Dieu.

Jadis, dans des époques de catastrophes similaires, des prophètes, voyant les signes du temps venant du Ciel, se sont levés pour crier: "Ninive, Ninive, convertis-toi !" Aujourd'hui les fléaux sont là, mais où sont les prophètes pour expliquer et crier? Ils préfèrent se résigner devant la crise !

(UNEC) ajouté le 17/12/2002

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25-01-2003
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La consommation de marijuana à un jeune âge, signe de futurs abus

WASHINGTON (AFP) - Les personnes ayant consommé de la marijuana avant l'âge de 17 ans sont deux à cinq fois plus à risque de consommer d'autres drogues et de développer une dépendance à la drogue ou à l'alcool, selon une étude américano-australienne publiée aux Etats-Unis.

Les auteurs des travaux concluent que l'âge du début de consommation de la marijuana influence l'évolution ultérieure de la personne vers l'abus d'autres drogues ou d'alcool, et que cette évolution n'a pas de lien avec les antécédents familiaux ou génétiques de la personne.

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont mené une étude sur 311 paires de jumeaux australiens du même sexe, dont l'un avait commencé à consommer de la marijuana avant l'âge de 17 ans et l'autre non.

"En étudiant des jumeaux, nous avons pu comparer des paires d'individus du même âge, avec les mêmes antécédents familiaux, et dans le cas des vrais jumeaux, des individus dotés exactement des mêmes gènes", a expliqué Michael Lynskey, auteur principal de l'étude.

"Mais ces jumeaux différaient d'une façon importante: l'un avait choisi de consommer du cannabis avant l'âge de 17 ans et l'autre non", selon le psychiatre, qui enseigne à la faculté de médecine de Saint-Louis (Missouri, centre) et fait partie de l'équipe de recherche de l'Institut d'études médicales de Queensland à Brisbane (Australie).

Interrogés alors qu'ils étaient âgés d'une vingtaine ou d'une trentaine d'années, les jumeaux ayant débuté la consommation de marijuana avant l'âge de 17 ans enregistraient des problèmes accrus avec d'autres drogue ou l'alcool. 46% d'entre eux ont fait état d'une dépendance au cannabis et 43% à l'alcool.

Ils ont aussi rapporté une plus fréquente utilisation d'autres drogues dont la cocaïne (48%), l'héroïne (14%) et les hallucinogènes (35%), selon les résultats des travaux publiés dans la revue américaine The Journal of the American Medical Association (JAMA).

(Le Figaro) ajouté le 25/1/2003

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27-01-2003
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Les médias français préparent-ils l'opinion publique à l'acceptation de l'euthanasie?

Il y a fallu un peu de temps, mais comme pour la légalisation de l'avortement ou l'institutionnalisation de l'homosexualité, c'est fait ! Le politiquement correct peut respirer ; le reste ne sera que procédure administrative, et il est déjà possible d'envisager l'étape suivante.

En effet, des situations personnelles montées en épingle par des médias aux ordres, l'ouverture du procès de l'infirmière Christine Malèvre, ont braqué l'opinion dans le sens voulu, et, comme il se doit, selon une enquête réalisée au mois de décembre 2002, une écrasante majorité de Français (88 %) est désormais favorable à l'euthanasie, c'est-à-dire à une loi qui permettrait à un médecin de mettre fin, sur demande, à la vie de personnes atteintes de maladies incurables et insupportables.

Les personnes qui sont opposées à l'euthanasie ne sont que 9 %.

N'en doutons pas : forte d'un tel soutien, c'est sans doute l'actuelle majorité " de droite ", sous une présidence Chirac, qui va faire accomplir ce pas essentiel à la culture de mort, comme c'était une majorité " de droite ", sous un ministère Chirac, qui avait fait accomplir, avec l'avortement ( politico-correctement dénommé pour la circonstance I.V.G.), le premier pas dans ce sens.

N'en doutons pas non plus : avec un ministre de la santé, officiellement opposé à l'euthanasie, et certainement sincèrement opposé à une euthanasie radicale, on retrouvera dans la loi, les mêmes précautions verbales, les mêmes limitations théoriques, les mêmes apparentes garanties de prudence, de réserve, que dans la loi Veil. Tout cela, comme pour la loi Veil, sera l'alibi permettant à certains de réfugier leur " opposition " proclamée derrière une application " exacte " de la loi, et de dire, avec des trémolos d'émotion démocratique, que telle qu'elle est, la loi évite bien des drames personnels, et qu'il faut se réjouir que ce ne soit pas pire.

Mais, dès lors, au nom du principe non écrit, mais absolu, selon lequel on ne remet pas en cause les lois réalisant le pourrissement social (cf. Christian Jacob et le P.A.C.S.), le pire arrivera, inévitablement. Et qui, alors, osera s'opposer à ce qui sera devenu la norme ?

(LLV-SOSFM/ CPDH) ajouté le 27/1/2003

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27-01-2003
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IVG et contraception, inquiétudes croissantes en France et dans le monde

ONG, élues et féministes s'inquiètent des menaces qui pèsent sur le droit à l'avortement et à la contraception, pour des raisons budgétaires en France, et sous la pression des lobbies religieux dans le monde.

En France, le changement de gouvernement en 2002 ne devrait pas remettre en cause les principes de la loi du 4 juillet 2001 réformant les textes sur l'IVG et la contraception, selon les associations féministes.

Mais son application connaît des difficultés croissantes du fait de la non-revalorisation du tarif de l'acte depuis 1991 qui a entraîné un net désengagement des centres privés dont le nombre s'est réduit de 36% en 5 ans. D'où une surcharge des services publics qui place hors délai nombre de femmes, obligées de se rendre aux Pays-Bas ou en Grande-Bretagne, comme avant 1975.

Les gynécologues avaient appelé dès novembre 2000 à une grève des interruptions volontaires de grossesse (IVG), faute de moyens, dans la perspective annoncée d'un allongement du délai légal pour obtenir une IVG.

Face à la montée de fortes pressions internationales sur l'avortement et la contraception dans le monde, orchestrées par des lobbies religieux, la France n'a toutefois pas modifié sa position en changeant de gouvernement, affirme le Mouvement français pour le planning familial (MFPF).

Elle reste un des moteurs au sein de l'Europe de la défense des droits des femmes dans le monde, en matière de santé, de sexualité et de procréation.

Changement de cap américain

La délégation officielle française a maintenu cette position à Bangkok, en décembre 2002, lors de la première conférence régionale de l'ONU pour un bilan de la conférence du Caire de 1994 sur le développement et la population. Deux députées de la Délégation aux droits des femmes, Danielle Bousquet (PS) et Béatrice Vernaudon (UMP), et le MFPF en tant qu'expert, en faisaient partie.

Depuis plusieurs années une "coalition" unit, dans les rencontres internationales sur le développement, sous la houlette discrète du Vatican, des délégations catholiques comme la Pologne et des pays d'Amérique latine et islamiques comme la Somalie, le Soudan ou le Pakistan.

Elle a reçu en 2001 le renfort des Etats-Unis dont la position a radicalement changé avec l'élection du président George Bush. L'administration conservatrice a rapidement supprimé les subventions américaines à plusieurs organisations militant pour la santé des femmes dans les pays pauvres, notamment celle du FNUAP (Fonds des Nations Unies pour la population).

Aux Etats-Unis même, la remise en cause possible de la légalisation de l'avortement de 1973 a suscité, mercredi, une forte mobilisation à Washington des anti-IVG et des "pro-choix" pour son 30e anniversaire.

L'ONG française Equilibres et populations affirme dans sa dernière publication que "la résistance s'organise, notamment en Europe, pour s'opposer aux manoeuvres" américaines visant à revenir sur les acquis de la conférence du Caire en matière d'information et de santé des femmes.

Selon le Planning familial, la conférence de Bangkok a vu un "inhabituel isolement" des Etats-Unis sur le sujet, "délaissés" par les Etats musulmans, peut-être à cause des risques de conflit en Irak.

Mais qu'en sera-t-il des conférences régionales suivantes, notamment pour les zones Afrique et Amériques, et même Europe, alors que la Pologne exige d'entrer dans l'UE avec "sa" loi anti-IVG, se demandent élues et féministes.

(AFP/ CPDH) ajouté le 27/1/2003

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06-02-2003
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La consommation de marijuana à un jeune âge, signe de futurs abus

Les personnes ayant consommé de la marijuana avant l'âge de 17 ans sont deux à cinq fois plus à risque de consommer d'autres drogues et de développer une dépendance à la drogue ou à l'alcool, selon une étude américano-australienne publiée aux Etats-Unis.

Les auteurs des travaux concluent que l'âge du début de consommation de la marijuana influence l'évolution ultérieure de la personne vers l'abus d'autres drogues ou d'alcool, et que cette évolution n'a pas de lien avec les antécédents familiaux ou génétiques de la personne.

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont mené une étude sur 311 paires de jumeaux australiens du même sexe, dont l'un avait commencé à consommer de la marijuana avant l'âge de 17 ans et l'autre non.

"En étudiant des jumeaux, nous avons pu comparer des paires d'individus du même âge, avec les mêmes antécédents familiaux, et dans le cas des vrais jumeaux, des individus dotés exactement des mêmes gènes", a expliqué Michael Lynskey, auteur principal de l'étude.

"Mais ces jumeaux différaient d'une façon importante: l'un avait choisi de consommer du cannabis avant l'âge de 17 ans et l'autre non", selon le psychiatre, qui enseigne à la faculté de médecine de Saint-Louis (Missouri, centre) et fait partie de l'équipe de recherche de l'Institut d'études médicales de Queensland à Brisbane (Australie).

Interrogés alors qu'ils étaient âgés d'une vingtaine ou d'une trentaine d'années, les jumeaux ayant débuté la consommation de marijuana avant l'âge de 17 ans enregistraient des problèmes accrus avec d'autres drogue ou l'alcool. 46% d'entre eux ont fait état d'une dépendance au cannabis et 43% à l'alcool.

Ils ont aussi rapporté une plus fréquente utilisation d'autres drogues dont la cocaïne (48%), l'héroïne (14%) et les hallucinogènes (35%), selon les résultats des travaux publiés dans la revue américaine The Journal of the American Medical Association (JAMA).

(AFP) ajouté le 6/2/2003

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Voxdei

06-02-2003
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Etats-Unis: Le "droit à l'avortement" menacé après 30 ans d'existence

Trente ans après avoir été légalisé, l'avortement risque d'être interdit aux Etats-Unis. Un tel retour en arrière pour les droits des femmes n'est en effet plus la chimère agitée comme un drapeau rouge par les militantes féministes.

Hier à Washington, partisans et adversaires du droit à l'avortement se sont mobilisés par milliers à l'occasion du 30e anniversaire de la légalisation de l'interruption volontaire de grossesse par la Cour suprême des Etats-Unis. Trois décennies plus tard, pro et anti-IVG sont au moins d'accord sur un point: le débat sur l'avortement, mis en veilleuse depuis longtemps par les politiques, devrait rebondir après le retour, début janvier, d'une majorité républicaine dans les deux chambres du Congrès. C'est en effet la première fois que les républicains, les plus hostiles à l'avortement, se retrouvent à la tête du pouvoir législatif et du pouvoir exécutif depuis le fameux arrêt Roe contre Wade, ayant autorisé l'IVG, en 1973.

Si les organisations conservatrices se déclarent «prudemment optimistes» sur la mise en place d'une législation limitant le droit à l'avortement, les partisans de l'IVG ne cachent pas leurs préoccupations. Ils craignent qu'en cas de vacances de postes à la Cour suprême, dont les juges sont nommés à vie, le président américain ne nomme des magistrats conservateurs, capables de modifier le célèbre arrêt. Une crainte plutôt justifiée, George Bush étant très sensible aux sirènes religieuses et conservatrices. Actuellement, seuls 5 juges sur 9 de la Cour suprême soutiennent encore le droit des femmes.

(20 minutes) ajouté le 6/2/2003

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Voxdei

07-03-2003
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Davantage de couples franchissent le Pacs

Les Pacs qui augmentent, les mariages qui baissent: un signe des temps. Après trois ans d'existence, le Pacs, pacte civil de solidarité, n'avait pas encore trouvé sa place dans la société. Les choses sont en train de changer. En 2002, le nombre de Pacs a augmenté de près de 30 %, passant de 19632 à 25310. Dans le même temps, le nombre de mariages a connu une diminution après des années d'embellie: en 2002, 288000 couples ont franchi le pas, soit 8000 de moins que l'année précédente, selon les premiers chiffres de l'Insee.

Peut-on mettre ces chiffres en perspective? «Il est sûrement un peu tôt pour avoir des explications scientifiques claires, il faudra que les démographes se penchent sur cette question pour avoir des données plus complètes, mais nous avons déjà un début de réponse, explique Denis Quinqueton, président du Collectif Pacs, et caetera. Nous faisons beaucoup d'informations juridiques sur le Pacs et de plus en plus de jeunes envisagent de se pacser avant de se marier. Ils posent beaucoup de questions pratiques à ce sujet. C'est une utilisation du Pacs que personne n'avait envisagé: il est en train de remplacer le concubinage et de servir de tremplin vers le mariage. Aujourd'hui, les couples homos et hétéros trouvent dans ce pacte une utilisation qui leur convient.»

Toutes les régions sont concernées par cette augmentation du nombre de Pacs. Notamment la Haute-Normandie (+ 45 %), la Lorraine (+39 %) ou la Bretagne (+35 %). Même le Limousin ou la Corse (+32 %), où le Pacs n'était guère en usage. «Aujourd'hui, le Pacs est assimilé, il est passé dans les moeurs», constate Denis Quinqueton.

David Carzon

(20 minutes) ajouté le 7/3/2003

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Voxdei

11-03-2003
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Un tatouage pour ne pas être maintenu en vie artificiellement -

Une veuve de 85 ans, déterminée à ne pas être maintenue en vie artificiellement, s'est fait tatouer l'inscription "Ne pas ressusciter" sur la poitrine.

Frances Polack, une ancienne infirmière britannique, a expliqué avoir demandé que la formule soit accompagnée d'un cÏur barré d'un signe d'interdiction en rouge et bleu afin que les équipes médicales soient informées de sa volonté de ne pas être ranimée.

"Il y a des années, quand j'étais infirmière, j'ai pu constater qu'ils ranimaient de nombreux patients qu'ils n'auraient jamais du ranimer", a-t-elle déclaré au magazine Nursing Standard.

"Je ne veux pas mourir deux fois. En me réanimant, ils me ramèneraient parmi les vivants mais je devrais mourir une nouvelle fois."

La retraitée, qui vit dans le sud de l'Angleterre, a dit qu'elle s'était rendue chez un tatoueur local qu'elle a payé 25 livres (environ 37 euros).

"Je ne sais pas si je veux lancer une nouvelle mode, mais j'espère initier un débat", a-t-elle dit.

(Associated Press) ajouté le 11/3/2003

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