EXAMINEZ toutes choses... RETENEZ CE QUI EST BON - 1Thess. 5: 21
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Rome, future capitale de l'Islam européen? C'est ce que laisse entendre Alexandre Del Valle, dans son livre* récemment paru: "C'est la capitale de la catholicité et de l'Italie qui a été choisie par l'Arabie Saoudite et par le Centre Islamique Culturel d'Italie pour inaugurer la plus grande mosquée d'Europe, événement autant fondateur qu'hautement symbolique. [É] Dans un hadith, Mahomet aurait déclaré que 'la cité d'Héraclès, c'est à dire Constantinople, sera conquise la première'. Pour nombre de musulmans, ces mots signifient que non seulement Rome sera tôt ou tard islamisée après Constantinople, mais que l'installation de nombreuses communautés musulmanes en Italie et la construction d'une grande mosquée à Rome constitue les signes et le point de départ de la 'troisième grande phase d'expansion de l'Islam'." * Le totalitarisme à l'assaut des démocraties (Certitudes) ajouté le 6/5/2003 |
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Deuxième déclaration des églises adventistes sur la guerre en Irak Avec le début des hostilités en Irak, le Département des communications de l'Église adventiste mondiale, au nom du bureau du Président, a publié la déclaration suivante : " Le déclenchement de la guerre en Irak est maintenant une autre opportunité pour les croyants de promouvoir l'espérance face au désespoir. Les chrétiens adventistes du septième jour sont des gens de paix qui se joignent aux concitoyens du monde pour prier en faveur d'une fin rapide des hostilités. " En tant que communauté de paix, active dans chaque nation sur la terre, nous ne pouvons pas penser qu'un pays puisse être considéré comme honni mais nous devrions plutôt le voir comme un peuple pour lequel le fils de Dieu, Jésus-Christ, est mort. Nous n'oublions pas les centaines de membres de l'Église adventiste en Irak qui célèbrent leur culte dans trois congrégations, y compris à Bagdad et dans l'ancienne ville de Ninive. Nos ferventes prières les accompagnent ainsi que tous ceux qui sont touchés par ce conflit. " Nous nous engageons à transmettre l'espérance au milieu du désespoir. Nous désirons offrir la guérison en étant réceptifs envers ceux dont les vies ont été brisées, là où ils sont. Cela fait partie intégrante de notre appel. " Les Églises ne devraient pas seulement être connues pour leurs contributions spirituelles - bien que celles-ci soient fondamentales - mais aussi pour le soutien qu'elles apportent à la qualité de vie, et, dans ce contexte, la réconciliation est essentielle. Nous appelons tous les chrétiens et les personnes de bonne volonté, partout dans le monde, à jouer un rôle actif en faisant et en maintenant la paix comme faisant partie de la solution plutôt qu'en la considérant comme un problème. " Alors que nous prions et travaillons pour que la paix l'emporte, nous reconnaissons aussi que la seule véritable paix viendra lorsque l'espérance bienheureuse du retour du Christ sur terre sera une réalité. Que ce jour vienne bientôt et que cette espérance brille avec intensité même dans ces heures sombres ! " [Ray Dabrowski] Note de la rédaction L'Église adventiste compte plus de 13 millions de membres répartis dans les églises établies dans 204 pays. Elle favorise, un peu partout, un service d'aumônerie, tant dans les hôpitaux que dans les prisons, mais aussi dans le service des Armées. La première déclaration intitulée " Un appel à la paix " date du 15 avril 2002. Elle émanait de la Conférence générale des Églises adventistes et était destinée aux membres de l'Église, pour une éducation à la non-violence. (ANN) ajouté le 10/4/2003 |
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L'évêque anglican homosexuel démis de ses fonctions le 6 juillet "Le premier évêque homosexuel de l'Eglise d'Angleterre a cédé, dimanche 6 juillet, aux pressions de l'archevêque de Canterbury et a été contraint de se démettre de sa charge d'évêque de Reading", annonce, irrité, "The Guardian". Pour "The Times", c'est plutôt l'archevêque de Canterbury, le plus haut prélat de l'Eglise anglicane, qui "a cédé aux intolérables pressions des éléments conservateurs de son Eglise et a dû remettre en cause la nomination de Jeffrey John au rang d'évêque". Quoi qu'il en soit, les médias britanniques fourmillaient de débats depuis l'annonce surprise, il y a moins de quinze jours, de la nomination d'un homosexuel à cette charge. "Un homosexuel qui observe strictement le célibat", précise "The Times". Cependant, toujours selon le quotidien conservateur, "beaucoup de paroisses du diocèse de Reading ont mal réagi à cette nomination et menacé de ne plus verser leur obole à l'administration du diocèse. Un risque que l'Eglise ne pouvait prendre vu l'état de ses finances." Un acte brave et nécessaire "The Times" souligne que "la menace est surtout venue de l'étranger. Les anglicans du Nigeria - quelque 17 millions de fidèles - se sont montrés intransigeants sur la question de l'homosexualité et prêts à briser leurs liens avec Canterbury". "The Guardian", vachard, se demande bien pourquoi "on a cette fois écouté le monde en développementÉ" "The Independent" est de même très critique vis-à-vis de l'attitude de l'archevêque de Canterbury : "La situation est désormais claire dans cette Eglise. Vous pouvez être évêque et homosexuel aussi longtemps que vous gardez secrets vos penchants." En rupture avec le reste de la presse, "The Daily Telegraph" prend la défense de la hiérarchie anglicane : "La démission de Jeffrey John est un acte brave et nécessaire de sacrifice au nom de l'Eglise. C'est triste, car la sexualité de ce désormais prêtre célibataire ne devrait pas entrer en ligne de compte pour qu'il puisse devenir évêqueÉ Mais un évêque ne peut être un véritable évêque &emdash; un symbole d'unité &emdash; s'il n'est pas accepté par la majorité de ses fidèles. Jeffrey John ne l'était pas". Ph J © Courrierinternational.com (d'après The Daily Telegraph , The Guardian, The Independent, The Times) (Courrier International) ajouté le 8/7/2003 |
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Le prêtre britannique homosexuel va refuser sa nomination comme évêque LONDRES (AP) - Un prêtre ouvertement homosexuel, dont la nomination comme évêque a divisé l'Eglise anglicane, a décidé de ne pas accepter le poste, a rapporté dimanche un porte-parole de l'évêque d'Oxford qui l'avait nommé. Selon lui, le révérend Jeffrey John doit demander à la reine Elizabeth II la permission de décliner le poste d'évêque de Reading, dans le diocèse d'Oxford. Ce choix par l'évêque Richard Harries avait profondément divisé l'Eglise anglicane: plusieurs évêques anglicans du monde entier avaient estimé que sa nomination violait l'enseignement religieux selon lequel les relations homosexuelles sont "incompatibles avec les Ecritures". Jeffrey John n'avait pas caché qu'il vivait depuis de nombreuses années avec un autre homme, mais affirmait que cette relation était platonique depuis les années 1990. L'archevêque de Canterbury Rowan Williams avait estimé le mois dernier que cette nomination ne violait pas les préceptes de l'Eglise d'Angleterre. Le révérend vit avec son compagnon depuis 27 ans et décrit cette relation comme "un cadeau de Dieu". Il avait auparavant assuré qu'il ne refuserait pas le poste, estimant être devenu "un symbole d'espoir pour un grand nombre de personnes". Il milite afin que l'Eglise accepte les relations fidèles entre des adultes de même sexe. Dans une lettre à l'évêque d'Oxford, il explique: "Il est devenu évident que, en raison des dommages que ma consécration pourrait causer à l'unité de l'Eglise, (...) je dois requérir le consentement de la reine afin de retirer mon accord pour ma nomination comme (évêque) de Reading". "Je vous suis profondément reconnaissant d'avoir placé une telle confiance en moi", ajoute-t-il. Né au Pays de Galles en 1953, il devait être élevé au rang d'évêque le 9 octobre dans l'Abbaye de Westminster. Il est actuellement en poste dans le diocèse de Southwark. (AP) ajouté le 6/7/2003 |
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Origine de la fête de l'Aïd el Kebir, basée sur un des mensonges fondamentaux du Coran NDLR: Mensonge fondamental que celui du livre saint de l'Islam : Ce n'est pas Ismaël, mais Isaac qu'Abraham s'apprêtait à sacrifier sur le mont Horija. Ismaël, père de la nation arabe, "âne sauvage que nul ne peut dresser" (nous le voyons encore de nos jours) et Isaac, père de la nation hébreue : c'est plus qu'un symbole anodin, c'est la racine d'un conflit spirituel qui veut anéantir la nation d'Israël en falsifiant l'Histoire... La "Grande fête" est célébrée le lendemain du Sacrifice de l'Aïd el Kebir et le surlendemain de l'Arafat, le point culminant du pèlerinage à La Mecque. La fête du sacrifice (ou Aïd el-Kébir) est la plus importante de l'islam. Elle a lieu chaque année pendant la période du pèlerinage à La Mecque et en constitue un moment fort. Cette fête commémore le «sacrifice d'Abraham». En effet, la tradition musulmane raconte que Dieu, pour éprouver la foi d'Abraham, lui demanda de sacrifier son fils préféré, Ismaël. Au dernier moment, alors que le prophète s'y était résolu, Dieu lui ordonna d'épargner son fils et de lui substituer un bélier. Depuis, la communauté musulmane commémore cet acte de soumission par le sacrifice d'un ovin (mouton, bélier, ...). Cette fête, improprement appelée «fête du mouton», s'exprime à travers des prières et de grandes réjouissances familiales. (Quid/Divers) ajouté le 11/2/2003 |
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Des luthériens suédois contre l'ordination des femmes La question de l'ordination des femmes ne continue pas à provoquer des résistances dans l'anglicanisme seulement: quarante ans après son introduction dans l'Eglise luthérienne de Suède, la question y reste controversée. La Suède a non seulement des femmes pasteurs, mais également - depuis les années 1990 - des femmes évêques. Cependant, un courant de résistance à l'ordination des femmes se perpétue au sein même de l'Eglise luthérienne, relate Eva Matter dans la Neue Zürcher Zeitung am Sonntag (12 janvier 2003). Les protestataires ne critiquent pas seulement l'ordination des femmes, mais, de façon plus générale, les tendances jugées trop libérales au sein de l'Eglise suédoise. Cela n'est en rien différent de mouvements d'opposition semblables observés dans d'autres contextes. Ce groupe a présenté une proposition en vue de la création d'une province missionnaire qui lui soit propre, au sein de laquelle seules des personne de sexe masculin exerceraient l'épiscopat et le sacerdoce. Depuis 1993, souligne Eva Matter, plus personne n'est ordonné pasteur dans l'Eglise suédoise s'il refuse de collaborer avec des femmes pasteurs. Cependant, à en croire les chiffres avancés par les opposants, un quart des pasteurs suédois resteraient opposés à l'ordination des femmes. Quant aux jeunes candidats à la fonction pastorale opposés à l'ordination des femmes pasteurs, ils tentent parfois d'obtenir une ordination de la part d'évêques luthériens dans des pays étrangers. Selon Eva Matter, les autorités luthériennes suédoises seraient disposées à discuter de la proposition de création d'une province missionnaire, qui permettrait aux opposants de se regrouper au sein d'une structure non territoriale tout en demeurant au sein de l'Eglise luthérienne de Suède. Manifestement, le système des "évêques volants" de l'Eglise anglicane - déjà évoqué dans les colonnes de Religioscope - pourrait faire école: comme nos lecteurs s'en souviennent, des épiscopaliens conservateurs en Amérique du Nord le revendiquent également. Cependant, l'on peut se demander si de telles structures seront une solution à long terme: étant donné que les opposants ne contestent pas uniquement l'ordination des femmes, il n'est pas impossible que la poursuite des développements qui les irritent au sein de leurs Eglises finissent par les conduire à la rupture pure et simple, comme l'éventualité en est de plus en plus évoquée dans certaines communautés anglicanes. (JFM) © 2003 Religioscope (Religioscope) ajouté le 10/2/2003 |
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Des changements en vue au Centre Méthodiste de Formation Théologique Le fonctionnement actuel, tout comme les questions relatives à l'évolution future du CMFT sont caractérisés par des changements et des réorientations. - Coopération officielle entre l'EEM (13 églises avec environ 900 membres en France et 5 églises avec 250 membres en Suisse romande) et l'Union des Eglises Méthodistes de France (10 églises avec environ 300 membres) dans le cadre de la Conférence Annuelle Suisse-France. Une décision concernant une intégration définitive sera prise en 2005. Le CMFT de Lausanne passe par des changements. L'union provisoire de l'UEEM et de l'EMF ainsi que la situation en Algérie n'y sont pas étrangers. Le concept du Centre est repensé en fonction de la donne et des besoins actuels. On assiste à un changement de structures en Algérie en ce qui concerne la coopération entre l'EEM et l'Eglise Protestante d'Algérie. Des étudiants originaires d'Algérie suivent actuellement leurs études en Suisse romande ou en France, mais la collaboration avec le CMFT est, pour le moment, plus un fruit du hasard qu'une organisation structurée. En Afrique francophone il existe d'autre part au sein de l'EEM (UMC) un besoin énorme en littérature méthodiste et un soutien à la formation théologique. On pourrait y ajouter encore quelques pays francophones qui sont toujours en relation avec l'Eglise Méthodiste de Grande Bretagne. Les facultés de théologie de Suisse romande sont en train de renforcer leur coopération notamment en ce qui concerne une nouvelle répartition des axes principaux de l'enseignement et de la recherche ainsi qu'une adaptation aux indications décidées à Bologne au sujet d'une unification de l'enseignement universitaire européen. A cela s'ajoutent des questions et changements qui sont plutôt d'ordre "interne" : - La direction du CMFT assurée par Patrick STREIFF a été complétée par le concours de Rose-May PRIVET qui s'occupe particulièrement de la formation des laïcs dans le district francophone. Le CMFT assure l'accompagnement de quatre étudiants francophones. Le Conseil d'Administration du CMFT réfléchit actuellement en concertation avec le Comité Directeur de l'UEEM aux changements qui seraient opportuns dans le programme des études et dans l'orientation du CMFT pour pouvoir répondre aux besoins de la formation des laïques et des pasteur(e)s des églises méthodistes de langue française. (EEMNI) ajouté le 20/6/2003 |
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Un évêque anglican homosexuel NDLR: Un évêque homosexuel dit se sentir comme un «symbole d'espoir» pour sa communauté [19/06/2003 17:00] LONDRES (AP) -- Récemment nommé à la tête de l'archevêché de Reading, un religieux gay affirme se sentir comme «un symbole d'espoir» pour les homosexuels, mais redoute que sa nomination ne crée des divisions au sein de l'Eglise. Jeffrey John souligne également qu'il continuera à vivre avec son compagnon de 27 ans, bien que cette relation soit désormais platonique, insiste-t-il dans un entretien accordé jeudi au quotidien londonien «The Times». «Nous sommes ensemble depuis 27 ans et nous resterons ensemble. Mais nous n'avons pas eu de relations sexuelles depuis des années». La nomination de Jeffrey John par l'évêque d'Oxford, Richard Harries, a entraîné les critiques de certains hauts responsables de l'Eglise en Grande-Bretagne, mais également de la part des Anglicans de l'étranger. Neuf évêques ont écrit une lettre ouverte pour exprimer leur inquiétude, affirmant qu'elle pourrait diviser le mouvement anglican. L'évêque a confié au «Times» avoir considéré une éventuelle démission mais sous-entendu qu'il ne quitterait pas son poste. «J'y pense tout le temps. Je n'étais pas candidat au poste (...) C'est terrible de penser que je suis la cause de la division et de la séparation». «Mais j'ai dans le même temps reçu un nombre important de messages de soutien (...) Je suis devenu un symbole d'espoir pour un grand nombre de personnes», a-t-il poursuivi. AP (Free-news (AP)) ajouté le 19/6/2003 |
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Un magazine chrétien norvégien publie une liste de 17.000 francs-maçons La version électronique d'un hebdomadaire chrétien norvégien a publié mercredi, au nom de la transparence, la liste des 17.000 francs-maçons du royaume scandinave. "L'Ordre norvégien des francs-maçons est une organisation qui compte 17.000 membres émanant de l'élite sociale. Parmi ses membres se trouvent des députés, des chefs d'entreprise, des juges, des avocats et des policiers ainsi que de nombreux pasteurs", a expliqué le, rédacteur-en-chef de Magazinet. "Lorsque ceux-ci se réunissent derrière des portes fermées, suivant des rituels secrets, c'est un droit démocratique que de savoir qui sont ces personnes", a-t-il ajouté. L'hebdomadaire, qui affirme répondre à une demande récurrente de ses lecteurs, souligne qu'"il existe plusieurs exemples de procès au cours desquels des acteurs centraux, des juges et des policiers par exemple, étaient francs-maçons". Le site www.magazinet.no permet d'effectuer une recherche par nom, profession ou localisation géographique. (L'Investigateur) ajouté le 22/5/2003 |
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