Il y a quelque temps, j'étais interrogé longuement par des Musulmans dans un pays musulman au sujet de l'Islam. Entre autres choses, on voulait savoir pourquoi je ne croyais ni au Coran ni en Mohammed, le prophète de la religion de l'Islam.
Ce qui suit est une réponse très courte à ces questions ; il n'est pas écrit dans un esprit d'animosité, le but de cette petite étude étant de mettre en évidence des faits vérifiés et admis par les Musulmans eux-mêmes. Dans toutes les religions, on trouve des âmes sincères mais la sincérité n'est pas une garantie contre l'erreur. Comme les adeptes fervents que l'on trouve dans le monde entier, il y a des Musulmans qui croient que les divers éléments de leur religion constituent le sommet de la vérité révélée. Nous avons de nombreuses raisons pour affirmer qu'ils se trompent et ce qui suit révélera pourquoi le chrétien ne peut pas admettre que l'Islam est de Dieu.
Le Coran a vu le jour en Arabie et est écrit en arabe mais dans le monde seulement 20% des Musulmans sont Arabes. La majorité se trouvent au Moyen et à l'Extrême Orient, notamment au Pakistan, au Bangladesh, en Indonésie et aux Philippines. Il s'agit de populations qui ne savent ni parler ni lire l'arabe, mais cela ne diminue aucunement leur ferveur et leur zèle religieux à l'égard d'un livre qui, selon toutes les sommités musulmanes, ne peut être lu et bien compris qu'en arabe.
En lisant des livres, des articles et des études écrits par des chrétiens au sujet de l'Islam, on peut dégager deux tendances. D'abord celle qui cherche à trouver des similarités entre l'Islam et le christianisme et celle qui examine le Coran pour trouver des erreurs par rapport à l'histoire biblique.
La première tendance est vouée à l'échec car les Musulmans ne céderont pas d'un pouce. Le syncrétisme est une notion qui leur est étrangère. A leurs yeux, la seule réponse à tous ces efforts pour trouver un terrain d'entente est celle de la soumission des chrétiens à toutes les exigences de l'Islam et rien de moins. Le Témoin de Jéhovah qui propose au Musulman des traités contenant des citations du Coran est aussi égaré que l'émissaire du Vatican qui voudrait dialoguer avec des imams des grandes écoles coraniques du Caire. Il demeure que la religion islamique est un bloc solidaire et uni. Qu'on trouve Adam, Abraham, Moïse et le Seigneur Jésus-Christ mentionnés dans le Coran n'est nullement une preuve qu'il y ait des points de convergence entre le Judaïsme, l'Islam et le Christianisme.
La deuxième approche, celle qui voudrait découvrir des erreurs dans le Coran n'aura pas plus de succès car, effectivement, il y a de grandes différences entre ce que dit la Bible et ce que dit le Coran au sujet d'Abraham et surtout au sujet du Seigneur Jésus-Christ. Pour le Musulman cela ne pose pas de problème, car à ses yeux la Bible a été falsifiée (par qui et quand, il ne sait pas) et il ne resterait plus de textes bibliques dignes de confiance. Le chrétien, fidèle aux Saintes Ecritures, rejette le Coran et considère que ce livre, quels que soient les récits traditionnels autour de ses origines, n'est pas la Parole de Dieu. Le chrétien estime donc que le Coran ne représente que la pensée de Mohammed et les textes du Coran ne peuvent nullement constituer une base de discussion.
Le dieu de l'Islam, est-il le Dieu de la Bible ? Si nous écoutons la voix des autorités religieuses, il y a trois croyances «monothéistes », le judaïsme, le christianisme et l'Islam. Ils ont le même Dieu et les mêmes racines abrahamiques. Or, rien n'est plus loin de la vérité et dans cet article nous allons mettre en garde les enfants de Dieu contre le danger de vouloir penser qu'il y a un lien entre l'Islam et l'Evangile.
En premier lieu, qui est Allah ? On dit, très naïvement qu'Allah est le nom de Dieu, l'Eternel. Pourtant le mot « Allah » est un mot purement arabe et ne se trouve sous aucune forme dans la Bible, ni en hébreu ni en grec, Allah fut tout simplement le dieu de la tribu des Koraïchites, la tribu de Mohammed.
Tout au début, il faut souligner un fait. Aucun Musulman n'accepte qu'un chrétien fasse un examen objectif ni du Coran ni du personnage de Mohammed. A leurs yeux, c'est quelque chose d'intolérable. Mais nous allons passer outre cette intolérance pour regarder les faits.
Mohammed est né en l'an 570 et il est mort en 632. Selon la croyance musulmane, Mohammed aurait reçu le Coran par une série de révélations par l'intermédiaire de l'ange Gabriel qui lui dictait les paroles que Mohammed devait réciter. La première révélation aurait eu lieu en l'an 611 et elles s'étaleraient sur plusieurs années. Mohammed répétait ce qu'il avait entendu à ses disciples qui mettaient les paroles par écrit sur plusieurs types de supports comme des peaux, des écorces et même sur des omoplates de chameau. L'ensemble de ces écrits, le Coran, est constitué de 114 sourates ou chapitres divisés en versets. Les 114 sourates ne suivent aucun ordre historique et sont placées plus ou moins selon leur longueur, les plus longues vers le début et les plus courtes à la fin. Elles portent chacune un titre qui a rarement un rapport avec le contenu.
Etant donné les circonstances bien particulières dans lesquelles le Coran serait parvenu à Mohammed, il est surprenant d'apprendre qu'Allah, al-Khabîr, Le Bien Informé (son 32e nom sur 99) pouvait se tromper. Certains versets du Coran étaient défectueux et ont dû être changés. Ces changements s'appellent des « abrogations » et ainsi nous lisons dans la deuxième sourate au verset 106 : Dès que nous abrogeons un verset ou dès que nous le faisons oublier, nous le remplaçons par un autre, meilleur ou semblable. » Là, nous ne parlons pas des versets sataniques abrogés dont il est question dans le Coran (XVI, 101), rendus célèbres par l'écrivain honni Salman Rushdie, mais des versets dictés par l'ange Gabriel à Mohammed.
Malgré le fait que Mohammed était un homme dur et parfois fort cruel, (voilà ce que nous lisons dans la cinquième sourate du Coran, verset 38 : Tranchez la main du voleur et de la voleuse : ce sera une rétribution pour ce qu'ils ont commis et un châtiment de Dieu. - Dieu est puissant et juste. ») aimant les femmes, l'argent et la guerre; aux yeux des Musulmans qui rapportent ces traits de son caractère, sa personne est sacrée et nul n'a le droit de lui contester son titre de prophète. En l'an 630, suite à de nombreuses batailles, Mohammed prit la ville de la Mecque et imposa sa religion à toute la population. Plusieurs versets dans le Coran incitent l'imposition de l'Islam par l'épée, et celui qui meurt dans la défense et le progrès de la religion est assuré d'une place au Ciel.
A cet égard, il est erroné de parler des martyrs musulmans comme des personnes qui se suicident. Leur but est d'honorer Allah et de faire avancer l'Islam en combattant ses ennemis, même s'ils doivent mourir en le faisant.
Certains aspects de la religion musulmane ne se trouvent pas dans le Coran. Après la mort de Mohammed, on commença à réunir des récits de ses faits et de ses paroles. Ces récits, appelés le Hadith, sont très nombreux et sont presque aussi vénérés que le Coran lui-même. En plus, il y a l'ensemble des traditions qui est appelé la Sunnah. Cette dernière règle la vie de tout Musulman, qui considère que la Sunnah relate la vie de Mohammed et constitue le modèle à suivre. Le Hadith complètent le Coran tandis que la Sunnah concerne les règles et les rites de la vie courante. A cela il faut ajouter la Charia, la loi islamique appliquée dans plusieurs pays du monde musulman.
L'Islam n'a pas de clergé ; chaque mosquée est présidée par un imam et la doctrine islamique est établie par les ulémas, des docteurs de théologie, qui, pour la plupart dirigent les écoles coraniques dans le monde.
Malgré les fréquentes allusions aux personnalités bibliques, parfois dans des contextes totalement erronés, le Coran n'a aucun lien avec la Bible. C'est un corps étranger car il est impossible de greffer l'Islam sur le tronc de la révélation biblique et sur l'histoire du Salut. Mohammed affirma que le Coran vint de Dieu mais il ne put apporter aucune preuve pour étayer ses affirmations. C'est un livre incohérent et confus permettant des actions belliqueuses à l'égard des non musulmans. Sa haine pour le peuple juif s'explique par le fait que les Juifs de la Mecque n'acceptèrent pas ses prétentions. Cette haine s'est inscrite dans certaines Sourates du Coran comme les versets 51 et 60 de la Sourate « La table servie » .
Le Djihad (la guerre sainte)
Ceux qui voudraient nous faire croire que ce mot signifie une lutte contre le mal moral et non pas une guerre, semblent ignorer que quand le Coran parle des combats, il ne s'agit pas de batailles métaphoriques ou de croisades morales mais de vrais champs de bataille. Selon l'Islam, « l'humanité est divisée en deux groupes, les Musulmans et les autres. Les musulmans sont membres de la communauté islamique, l'Umma, qui possède des territoires dans le Dar al Islam, la terre de l'Islam, où les édits de l'Islam sont promulgués dans leur totalité. Les non-musulmans sont les Harbi, les gens du Dar al Harb, le pays de guerres, en fait n'importe quel pays qui appartient aux infidèles et qui n'a pas été soumis à l'Islam mais qui, malgré tout, est destiné à passer sous son contrôle, soit par conversion, soit par la guerre. Tous les actes de guerre sont autorisés dans le Dar al Harb. »
Les exégètes musulmans « modérés » cherchent à atténuer le sens des textes coraniques les plus choquants. Dans leurs démarches, ils sont handicapés aussi bien par la vie de Mohammed que par le sens évident de certains passages et malheureusement la philosophie violente du Musulman fondamentaliste est en accord avec l'Islam historique. Si la majorité de Musulmans ne sont pas violents, c'est qu'ils ne prennent pas le Coran à la lettre.
On prétend que le Coran est un livre qui annonce la paix. Ce que l'on ne dit pas est que la paix prônée par le Coran est celle qui doit exister quand toute la population d'un pays est soumise à l'Islam et cela sans aucune liberté de conscience.
Le mouvement des Frères Musulmans, sans doute à l'origine du terrorisme islamiste actuel, puise ses sources dans le Coran. Un des théoriciens principaux de ce mouvement, Sayyid Qotb, pendu par Nasser en 1966, citait abondamment des passages du Coran en faveur de la « guerre sainte », par exemple II : 190, 193 « Combattez dans le chemin de Dieu ceux qui luttent contre vous. - Ne soyez pas transgresseurs; Dieu n'aime pas les transgresseurs - Tuez-les partout où vous rencontrerez; chassez-les des lieux d'où ils vous auront chassés ( &) Combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de sédition et que le culte de Dieu soit rétabli. » Il écrit : « Or, la diffusion de l'Islam n'eut pas besoin de justifications autres que celles que contenaient les versets coraniques : « Que ceux qui troquent la vie présente contre la vie future combattent pour la cause de Dieu ! qu'ils soient, (en combattant), tués ou vainqueurs, nous leur accorderons une énorme rétribution. »
En parlant avec des Musulmans, il est assez fréquent d'entendre des reproches au sujet des Croisades. Cependant les papes qui ont déclenché les Croisades, la première par Urbain II en 1095, n'ont jamais cherché dans les paroles du Seigneur Jésus une justification pour ces guerres car ils savaient qu'ils n'en trouveraient pas.
La personne de Christ
L'Islam est totalement opposé à l'enseignement biblique au sujet du Seigneur Jésus-Christ. Pour les Musulmans, il n'est ni Dieu ni le Fils de Dieu. A leurs yeux, cette doctrine chrétienne est un blasphème qu'ils appellent le péché d'association, en voulant associer une autre personne à la personne de Dieu. Selon le Coran, ceux qui croient que le Seigneur Jésus est Dieu doivent être châtiés.
Il en est de même pour ce qui concerne la mort de Christ. Le Coran dit que le Seigneur Jésus-Christ n'a pas été crucifié (IV, 157). Deux idées sont proposées, la première est que le Seigneur s'est évanoui sur la croix et l'autre est qu'une personne est morte à sa place. Ainsi, au cSur de l'Evangile nous avons ce fait que « le Fils de Dieu ( &) m'a aimé et s'est livré lui-même pour moi » (Galates 2 : 20). Pour le Musulman, c'est un langage qu'il ne saurait comprendre.
Le chrétien n'a aucune raison de chercher un compromis sur ce sujet, la position du Coran est un affront à la Déité, car en quelques phrases, Mohammed prétend balayer une doctrine biblique étayée par de nombreuses prophéties et par de multiples affirmations dans les Saintes Ecritures. Les déclarations sentencieuses du Coran trahissent le caractère sectaire et l'ignorance de ceux qui veulent faire passer ce livre comme étant inspiré de Dieu.
Les dirigeants de la chrétienté qui cherchent à «dialoguer» avec l'Islam le font à leur perte. Ils se réclament du Christ mais ne semblent pas peinés devant des interlocuteurs qui ne cachent pas leur mépris pour la personne bénie du Seigneur Jésus-Christ, en proférant des propos que l'on ne peut qualifier que blessants à l'égard du Sauveur. Les cardinaux du Vatican sont, peut-être, des génies de la diplomatie, mais sur cette question il n'y a ni diplomatie ni arrangement. La déité de Christ et les faits relatifs à sa mort ne sont pas à discuter.
L'apostasie
Un Musulman qui renonce à la foi de l'Islam est considéré comme un apostat, et dans beaucoup de pays musulmans il est condamné à mort. Nous sommes ici au fond du problème de l'Islam. C'est une religion fondée sur la peur. Toute déviation est sévèrement réprimandée et la législation veille à ce que la population se conforme aux exigences religieuses de l'Islam ; celui qui voudrait penser autrement aura affaire à la Justice. Ainsi, dans un pays laïque comme la France, il y a deux ans quand le Ministre de l'Intérieur cherchait à intégrer le culte musulman dans la législation laïque de la loi de 1905 sur les associations cultuelles, il a dû renoncer à accorder à tout Musulman de nationalité française sur le sol français, le droit de changer de religion en raison de l'hostilité des chefs religieux musulmans.
Ajoutons que la Bible est interdite dans les pays du Croissant. Qu'est-ce qui justifie une telle interdiction ? Ne serait-ce pas en raison du message de grâce et du Salut qu'elle contient ? L'Evangile vibre de l'amour de Dieu envers les pécheurs en contraste avec le Coran qui présente un message émaillé de menaces et de malédictions. Car l'Islam est une religion de crainte, l'Evangile est une source d'amour et de paix en Christ. Comme le dit l'apôtre Jean : « l'amour parfait chasse la crainte » (1 Jean 4 : 18).
L'intensité de vénération accordée par des centaines de millions de Musulmans à Mohammed, à la Mecque et au Coran est peu comprise par les non Musulmans. Il s'agit d'une idolâtrie débordante et intolérante. Cette intolérance est nourrie par une ignorance totale du vrai christianisme. Le monde occidental est perçu comme étant « chrétien », et tous ceux qui ont à faire avec des Musulmans se rendent compte de cet obstacle dans la transmission du message de l'Evangile.
Les dirigeants des pays musulmans modérés ont la tâche quasi impossible de maintenir un équilibre entre la culture traditionnelle fondée sur la religion et la pression des influences extérieures qui mettent en doute la pertinence de ce que certains appellent le « Mahométisme. » Il est pratiquement impossible que ces pays lâchent les rênes en permettant à la population le choix libre dans le domaine de la croyance. Après la mort de Mohammed, beaucoup de tribus de l'Arabie abandonnèrent l'Islam, pensant être libérées du joug de l'Islam. En quoi elles se trompaient, car cela provoqua les Guerres de l'Apostasie menées principalement par Abou Bakr, le premier calife, et c'est par l'épée et au prix de milliers de morts que les « apostats » furent ramenés à la religion musulmane.
Ce que tout Musulman devrait savoir sur le Christianisme et sur la Bible
Le message du Christ s'appelle l'Evangile. Ce mot signifie « bonne nouvelle » et résume le message authentique du Seigneur Jésus-Christ. On parle de quatre Evangiles comme s'il y avait quatre « bonnes nouvelles » différentes. Mais en réalité il n'y en a qu'un car c'est une manière de décrire le fait que dans la Bible, il y a quatre récits concordants qui décrivent la vie du Christ. Ces quatre récits, qui portent les noms de leurs auteurs, Matthieu, Marc, Luc et Jean, sont appelés les Evangiles, mais il ne faut pas confondre cet usage du mot avec l'Evangile, le message unique du Christ.
Ce qu'on appelle le Livre, la Bible, contient entre autres choses, les récits que nous venons de mentionner ainsi que d'autres écrits. L'ensemble de ces écrits constitue la Parole inspirée de Dieu, chaque lettre et chaque mot étant choisis par Dieu, et elle représente la révélation de la Pensée de Dieu aux hommes ; elle fut achevée il y a plus de 1900 ans. Grâce au travail méticuleux des érudits, il nous est parvenu plusieurs milliers de manuscrits fort anciens pour que nous n'ayons pas de difficulté dans la compréhension des textes sacrés.
Certains Musulmans rejettent la Bible en prétendant qu'elle a été falsifiée. Cette accusation ne résiste pas à un examen sérieux vu la quantité de manuscrits couvrant plusieurs siècles avant et après Jésus-Christ. Il est remarquable que de nombreux écrivains musulmans, y compris feu le roi Hassan II du Maroc qui portait le titre de Commandeur des Fidèles et aurait été un descendant de Mahommed, citent librement des passages de la Bible à l'appui de certains de leurs arguments. Ce qui est pour le moins étrange s'ils s'estiment que c'est un livre falsifié.
On entend parfois dire que le christianisme est la religion des Européens mais c'est une erreur. La plupart des Européens ne sont chrétiens que de nom et en réalité ignorent l'Evangile. Personne n'est né chrétien, on le devient par un acte spécifique de la foi en Jésus-Christ. La Bible déclare que nous sommes tous pécheurs, ayant besoin d'obtenir le pardon et la paix avec Dieu. En raison du péché, la présence du mal dans le cSur, nous sommes séparés de Dieu. Tous les efforts religieux des hommes sont vains, pratiquer une religion quelconque ne peut qu'endurcir le cSur. La justice de Dieu exige que nos péchés soient expiés, mais parce que personne n'est en mesure d'expier ses propres péchés, Dieu a envoyé le Seigneur Jésus-Christ, né d'une vierge, afin que, en mourant sur la croix du Calvaire, il puisse faire expiation des péchés de ceux qui se confient à Lui.
Pour bénéficier de ce don merveilleux de salut, Dieu nous appelle à nous repentir, à nous détourner de nos péchés et à accepter le Seigneur Jésus-Christ, mort sur la croix, ressuscité et monté au Ciel, comme notre Sauveur et Seigneur. Il va revenir, comme l'attestent tous les prophètes de la Bible pour juger les vivants et les morts. Ceux qui l'ont reçu comme leur sauveur ne viendront pas en jugement, mais sont déjà passés de la mort à la vie.
C'est un sujet vaste et la littérature consacrée à l'Islam ne saurait être résumée en quelques pages. Pour ceux qui voudraient approfondir le sujet, nous suggérons La Bible et le Coran de Lejb Feldman, Le peuple du Coran (éditions Sator), Le Coran et la Bible à la lumière de l'histoire et de la science du Dr William Campbell et la collection « Sénevé Dossiers » sur l'Islam éditée par les Editions Sénevé en Suisse.
Denis 0'HARE
LA SENTINELLE
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(La Sentinelle) ajouté le 13/10/2001