Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Environnement

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Nouvelles d'Israël

08 / 1993

 

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Faire le plein en trois minutes avec «l'essence électrique»

Des scientifiques israéliens ont développé un nouveau type de réservoir d'énergie - la Poste allemande envisage son utilisation dans des véhicules électriques.

Sur le terrain d'essai du TÜV de Bavière situé à Munich, on teste pour le moment un véhicule électrique dont le système de batterie devrait révolutionner la technologie des transports. Le réservoir d'énergie de ce véhicule pilote porte la référence officielle M-LJ9199 et dépasse largement sur le plan technique tous les systèmes de batterie disponibles actuellement pour les automobiles électriques: il est plus léger, moins coûteux, ne se décharge pas de lui-même et présente une durée de vie pratiquement illimitée. En outre, ce système ne nécessite plus du tout un chargement de plusieurs heures à une prise électrique: le plein «d'essence électrique» est fait en quelques minutes seulement.

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AVENEMENT

Juillet 1991 No 28

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Grenouilles: questions de temps ! 1991

- Bêtes à malices ou à maléfices, les grenouilles, et d'une manière générale, les batraciens sont passionnants à étudier d'un point de vue historique et biologique. Mais leur nombre décroît mystérieusement sur toute la surface du globe. Au point que les scientifiques s'inquiètent: ils craignent que leur disparition progressive n'annonce un fléau inconnu...

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AVENEMENT

Novembre 1994

No 77

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Planète bleue (la) 1994

- Survivrons-nous à la pollution des eaux terrestres?

- depuis le Torrey Canyon on ne compte plus les pétroliers qui ont largué leur précieuse cargaison dans les océans. A cela s'ajoutent les pollutions diverses engendrées par l'industrie et l'activité humaine.

La lecture du livre de l'Apocalypse révèle des fléaux ayant pour objet les eaux terrestres. La pollution continuelle des eaux est-elle donc un signe prophétique ?

- "L'orgueil humaniste pousse l'ONU à croire que l'Homme peut régler tous les problèmes de la planète"

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Nouvelles d'Israël

08 / 1993
Texte intégral

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Projet du Technion: produire de l'énergie à partir du vent du désert.

«Les cheminées du vent du désert» - Tel est le nom du projet d'un genre nouveau, développé au Technion d'Haïfa. Il s'agit de produire de l'énergie bon marché et de l'eau dessalée principalement dans les régions désertiques.

Ce projet auquel travaillent depuis dix ans déjà quelque vingt scientifiques a été gardé secret pendant très longtemps. Aujourd'hui, l'attention de l'opinion publique mondiale a été attirée par les déclarations d'un porte-parole du ministre des Affaires étrangères, Shimon Pérès.

Les éléments de base du projet sont incroyablement simples: de l'eau de mer et de l'air chaud du désert. La technique en revanche est un peu plus compliquée. Elle comporte une gigantesque cheminée d'un diamètre de 400 mètres et d'une hauteur comprise entre 800 et 900 mètres (à titre de comparaison, la Tour Eiffel mesure 296 mètres de haut et l'Empire State Building de New York 378 mètres). Au cours du processus de production d'énergie, l'eau salée est pompée jusqu'à l'extrémité supérieure de la cheminée et projetée ensuite comme de l'eau de pluie à l'intérieur de celle-ci. Ces «gouttes de pluie» rencontrent de l'air chaud aspiré dans l'environnement désertique et canalisé de la base vers le sommet de la cheminée. Ce contact entre la pluie salée artificielle et le vent chaud refroidit rapidement l'air dans la cheminée si bien que celui-ci descend . Ce mouvement inverse actionne des turbines qui génèrent du courant électrique.

Le directeur du projet, le professeur Dan Seslevsky, ancien commissaire à l'Eau d'Israël, estime qu'une cheminée de la taille prévue peut produire 2,15 milliards de kilowatts par heure, soit plus de 10% de la consommation annuelle de courant d'Israël. Selon lui, l'investissement nécessaire à la construction de cette installation ne sera pas supérieur à celui requis pour la création d'une centrale normale. En outre, cette méthode ne recourt ni au pétrole, ni au charbon et n'occasionne aucune pollution atmosphérique. L'électricité produite de cette manière coûtera 2 à 3 centimes (0, 19 FF ou 1, 17 FB) par kilowatt, c'est-à-dire nettement moins que du courant produit par une centrale au charbon.

Parallèlement, tout ce processus permet de dessaler l'eau. En effet, l'eau salée qui est vaporisée lors de la rencontre avec l'air chaud subit un processus de nettoyage et est ainsi dessalée. Les experts du Technion ne veulent pas pour l'instant dévoiler le déroulement précis de ce processus.

Selon le programme du professeur Seslevsky, une série de cheminées de production d'énergie seront construites dans la région d'Arava, l'une des plus chaudes au monde. L'eau salée requise sera prélevée par un canal reliant la mer Rouge à la mer Morte.

Certes, le lancement du projet requiert des investissements énormes. En effet, le creusement du canal de la mer Rouge à la mer Morte est à lui seul estimé à plus de 3,12 milliards de dollars. Mais selon le professeur Seslevsky, les cheminées qui devraient être installées pourraient couvrir tous les besoins en électricité d'Israël et même de Jordanie.

Les scientifiques qui ont vérifié ce projet l'ont qualifié «d'audacieux et de simple à la fois». On estime qu'à l'avenir, il sera possible de construire ce type de cheminées de production d'énergie dans les régions désertiques de l'hémisphère nord et de l'hémisphère sud. Elles seraient en mesure de produire des quantités d'électricité cinquante fois plus importantes que les besoins de l'humanité tout entière.

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AVENEMENT

Juin 1992 No 46

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Rio: le sommet de la terreur 1992

- A partir du 3 juin, à Rio de Janeiro, des représentants du monde entier vont tenter, pendant 10 jours, de remédier aux maux dont souffre la planète en un spectaculaire "sommet de la terre" organisé par l'ONU; l'enjeu n'est autre que de sauver la vie en sauvegardant l'environnement

- 125 milliards de dollars: c'est le coût des projets de protection forestière et de dépollution que personne n'est prêt à financer.

- Croix verte: les conseillers fédéraux suisses René Felber et Flavio Cotti pourraient annoncer la prochaine naissance d'une "Croix Verte"...

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Appel de Minuit

MAI 1998
Texte intégral

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A l'origine, les serpents avaient des pattes

Un détail du récit biblique de la chute a été confirmé par la science.

Des chercheurs de l'université hébraïque de Jérusalem ont trouvé la preuve que les serpents préhistoriques étaient des animaux rampants dotés de minuscules pattes. A proximité de Ramallah, ces chercheurs ont découvert trois fossiles de serpents avec de petites pattes.

 

La Bible raconte comment le serpent a séduit Eve pour qu'elle mange du fruit défendu. Pour ce méfait, Dieu l'a puni en lui disant (Gen. 3, 14): «Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie.» (Ethos n° 2/ 1998)

 

Voilà une autre preuve que la Bible n'est pas un livre d'invention d'humaine, mais l'oeuvre et la révélation de Dieu, Quelle idée, n'est-ce pas, de prétendre que les serpents avaient à l'origine des pattes! L'auteur du texte aurait quand même pu inventer autre chose!

Cela n'aurait en effet pas de sens, s'il ne s'y cachait pas une vérité profonde, Si les Saintes Ecritures ont affirmé, voici plusieurs milliers d'années, des choses qui sont actuellement prouvées par la science, Dieu veut nous montrer ainsi que la création n'est pas le résultat d'une évolution, mais de Sa parole. A propos de la révélation divine que nous trouvons dans la Bible, quelqu'un a dit: «La Bible est une source intarissable de révélations de la vérité. Comme un télescope, elle sonde l'univers depuis la hauteur du ciel jusqu'à la profondeur de l'enfer et elle observe les oeuvres de Dieu du début jusqu'à la fin. Tel un microscope, elle dévoile les détails les plus anodins du plan et des intentions de Dieu, ainsi que la perfection de Sa création. Comme un stéréoscope, elle établit les rapports exacts entre tous les êtres vivants et toutes les choses du ciel et de la terre. Bien que beaucoup de livres de la Bible aient été écrits à l'aube de la science humaine et sans que les auteurs n'aient connaissance des découvertes de notre époque, rien de ce qu'ils ont écrit n'est en contradiction avec les découvertes postérieures. On est surpris par la concordance des vieux livres de la Bible avec les situations modernes. Il n'existe dans le monde entier nul autre livre qui essaie seulement de présenter la vérité universelle de la façon dont la Bible le fait. »

 

Nous sommes tout à fait d'accord avec la parole du Psaume 119, 160:

«Le principe de ta parole est la vérité, et toute ordonnance de ta justice est éternelle.»

N.L. 


Nouvelles d'Israël

02 / 1994
Texte intégral

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L'Ancien Testament, manuel d'écologie

La Bible comme une source de conseils spécialisés dans les questions d'environnement

Aloys Hüttermann (55 ans) est professeur de botanique à l'Université de Göttingen et catholique pratiquant. Pendant ses loisirs, il se penche sur le judaïsme et étudie intensivement la Bible. Il a fait une découverte étonnante: il a découvert dans l'Ancien Testament des connaissances écologiques parfaitement fondées. Après avoir quitté l'Egypte, les Juifs se rendirent en Palestine. Ils durent séjourner dans des contrées inhospitalières. Les terres fertiles étaient occupées par les Philistins.

La plupart des lieux mentionnés dans l'Ancien Testament se trouvent dans des massifs montagneux pauvres où seul un type d'épineux, la macchia, croissait à l'origine. «Les hommes qui y vivaient étaient en permanence au bord de la catastrophe écologique», explique Hüttermann. «Pour survivre, ils étaient contraints d'observer minutieusement la nature.» En conséquence, des règles écologiques strictes virent le jour. La consommation de viande de porc est strictement interdite aux Juifs. «L'élevage des porcins est un pur luxe», explique Hüttermann. «Pour obtenir un kilo de viande de porc, il faut trois fois plus de nourriture que pour le boeuf.» Par contre, les boeufs étaient les animaux les mieux à même d'exploiter les ressources disponibles, et étaient connus comme gros producteurs de protéines.

La liste des animaux interdits jouait pour ainsi dire un rôle de «liste rouge» motivée par l'écologie. Tritons, crapauds et grenouilles étaient considérés comme impurs. Ces mesures ont permis de lutter contre la malaria dans l'Israël antique. Les grenouilles sont les principaux prédateurs de l'anophèle, moustique agent de transmission du paludisme. Les vautours, corbeaux et corneilles étaient sous protection: c'était la police sanitaire. L'ensemble des oiseaux de proie ne pouvaient être chassés, car ils limitaient le nombre de souris. Les hérons et les ibis étaient les prédateurs privilégiés des sauterelles, forme antique de lutte biologique contre les nuisibles. «Non seulement les Juifs de l'Antiquité connaissaient le concept de la conservation des espèces, mais en outre, ils préservaient déjà le biotope», constate Hüttermann.

Dans le livre d'Esaïe, chapitre 5,8-10, il est écrit: «Malheur à ceux qui ajoutent maison à maison, et qui joignent champ à champ, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'espace, et qu'ils habitent seuls au milieu du pays! Voici ce que m'a révélé l'Eternel des armées Certainement, ces maisons nombreuses seront dévastées, ces grandes et belles maisons n'auront plus d'habitants. Même dix arpents de vigne ne produiront qu'un bath, et un homer de semence ne produira qu'un épha» «C'est un avertissement», prévient Hüttermann: «Une exploitation intensive des surfaces arables prive d'espace vital les prédateurs naturels des nuisibles.» La succession des plaies d'Egypte traduit également, selon Hüttermann, une connaissance approfondie de l'écologie: le Nil commence par se transformer en sang (1ère plaie) ... du sang qui, en réalité, est une invasion d'algues. Le manque d'oxygène qui en résulte fait sortir les grenouilles de l'eau (2ème plaie).

En l'absence de leurs ennemis naturels, les moustiques et taons (3ème et 4ème plaie) peuvent proliférer et transmettre les épidémies aux humains et aux animaux (5ème et 6ème plaie); enfin, les sauterelles s'abattent sur le pays (8ème plaie). Selon Hüttermann «les auteurs de la Bible avaient certainement connaissance des rapports de cause à effet». Les lois écologiques étaient strictement respectées, même si cela présupposait de nombreux inconvénients économiques. Ainsi, après la fin de la Révolte contre Rome (70 après J.C.), il fut interdit aux Juifs de posséder des moutons et des chèvres afin de ne pas dévaster davantage encore le pays détruit. Dans le Nouveau Testament, l'écologie ne joue plus aucun rôle. «Le judaïsme ainsi que le christianisme étaient des religions purement urbaines». Ce n'est qu'aux Xllème et XIIIème siècles que les théologiens chrétiens redécouvriront la nature. «Mais ils y ont eu accès par le philosophe grec Aristote», commente Hüttermann, «et non par la Bible». Hüttermann est le seul citoyen allemand à avoir été cité à l'International Council for Thora and Science pour ses recherches sur la Bible. (DW)

© Nouvelles d'Israël