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Archéologie
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Nouvelle d'israël Texte intégral
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NOUVELLE DÉCOUVERTE AU MUR OCCIDENTAL Caverne du temps d'Hérode dégagée Un couloir de 200 mètres datant de l'époque du roi Hérode et qui se situe en dessous et tout le long du Mur occidental (le Mur des Lamentations], a été découvert le mois dernier par des représentants du ministère de la Religion. Sa partie sud déjà dégagée auparavant et le nouveau tronçon relient l'aire située sous le Mur occidental avec le secteur des fouilles du sud-ouest du Mont du Temple. Il y a quelque 1900 ans, ce couloir servait probablement à capter les eaux de pluie. Il se situe sous une rue datant de la même époque, dont un tronçon de 75 mètres a été mis au jour par des fouilles effectuées au sud du Mur des Lamentations. Selon Gideon Avni, de l'Autorité israélienne pour les antiquités, l'existence de ce canal antique était connue depuis longtemps. Une description détaillée et captivante des événements s'y rattachant se trouve dans les oeuvres de l'historien judéo-romain Flavius Josephus. Après la conquête de la ville haute par les troupes romaines, bon nombre de juifs se réfugièrent dans cette caverne. Les Romains y mirent alors le feu aux deux extrémités, tuant ainsi tous ceux qui s'y trouvaient. Avni a signalé que des conduites ont été prévues au travers de cette caverne. Certes, son Autorité et le ministère de la Religion sont tout à fait conscients des dangers potentiels de l'entreprise. L'ouverture d'un couloir à proximité du Mur occidental en septembre 1996 a provoqué des actes de violence qui ont fait de nombreuses victimes. Pour éviter une répétition de ces événements, une inspection a été organisée à un stade précoce des travaux de dégagement elle réunit des représentants du Wakf, de l'Autorité religieuse islamique, ainsi que ceux d'autres organisations internationales. Cette mesure devrait fournir la preuve que les biens sacrés musulmans se trouvant sur le Mont du Temple ne sont nullement mis en péril parles fouilles archéologiques. Nouvelles d'Israël Octobre 2000 |
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Voxdei Texte intégral
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La CIA à la recherche de l'arche de Noé La CIA rend public de nouveaux documents concernant l'arche de Noé Par Timothy W.Maier (Insight Magazine) Deux ans après qu'Insight ait déposé une requête au motif que la CIA détenait des documents et des images concernant une anomalie sur le Mont Ararat en Turquie, la CIA vient de rendre public en les communiquant à Insight deux nouveaux documents qui indiquent que la recherche de l'arche de Noé avait été évoquée au niveau de la Maison Blanche sous la présidence de Georges Bush père. Ces deux documents sont des éléments de rapport écrit : le premier concerne un rapport au directeur de la NSA stipulant qu'un élément dépassant de la glace avait été repéré sur le Mont Ararat ; le second précise qu'une enquête avait été diligentée entre 1990 et 1992 à ce sujet, à la demande du directeur de la CIA, mais qu'elle avait été abandonnée à cause du coût qu'elle aurait entraîné pour la mener à terme. Insight, qui a mené sa propre recherche, en obtenant des images satellite précises du site, a confié à des experts l'analyse des images ainsi obtenues. Leurs avis furent partagés, certains affirmant qu'il s'agissait d'un objet façonné par l'homme, d'autres prétendant le contraire. Est-ce l'arche ou juste un morceau de rocher ? La question que se pose maintenant Insight concerne l'intérêt pour la CIA de conserver ces images comme classées. Insight envisage même de poursuivre cette agence de sécurité devant la Cour Fédérale afin qu'elle rende publics tous ses documents au sujet de la recherche de l'arche de Noé. (InsightMag) ajouté le 15/12/2002 |
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Voxdei Texte intégral
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Découverte concernant le temple de Jérusalem. NDLR: 2 Chroniques 24:4,13:"Joas eut à coeur de rénover la maison de l'Eternel (...). Ceux qui étaient chargés de l'ouvrage travaillèrent, et les réparations s'exécutèrent par leur intermédiaire. Ils remirent en état la maison de Dieu et la consolidèrent." Une tablette datant du 9ème siècle avant Jésus-Christ a été découverte dans les sous-sols du Temple de Salomon. Elle contient des inscriptions en hébreux ancien et décrit les réparations effectuées dans le lieu de culte à l'époque du roi Joas. Les journalistes israéliens donnent peu d'informations concernant cette découverte. Elle rend effectivement encore plus délicate les relations entre les autorités israéliennes et palestiniennes. Le lieu où elle a été trouvée et son contenu contredisent en effet la thèse des palestiniens et confirme la véracité du récit biblique. Ces derniers soutiennent qu'il n'y a jamais eu de juifs dans la partie Ouest du Temple... Pour plus d'informations : www.raidersnewsupdate.com (Front Page Magazine) ajouté le 21/1/2003 |
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Voxdei Texte intégral
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"Jacques, frère de Jésus" : des experts israéliens vont examiner l'authenticité de l'inscription sur un ossuaire Les autorités israéliennes chargées des antiquités ont annoncé que deux commissions d'experts ont été chargées de déterminer si un ossuaire de calcaire datant du 1er siècle peut être considéré comme la plus ancienne référence authentique archéologique de l'existence de Jésus. La boîte porte une inscription en araméen, "Jacques, frère de Jésus". Certains experts pensent qu'elle pourrait dater de 63 apr. J.-C. Pour l'expert français André Lemaire, spécialiste de l'étude des inscriptions anciennes à la Sorbonne, les caractères en araméen sur le côté de l'ossuaire ont une forme cursive d'écriture utilisée seulement pendant la période allant de 10 à 70 apr. J.-C. A son avis, l'inscription est authentique. Cette découverte pourrait permettre d'apporter une preuve matérielle concernant Jacques (dit le Juste ou le Mineur) qui, dans le Nouveau Testament, est cité soit comme "frère" de Jésus. Selon la tradition, il était à la tête de la première communauté chrétienne de Jérusalem. La mission de la première des deux commissions mises en place par Israël sera de vérifier "les aspects scientifiques de l'écriture et du style pour pouvoir confirmer l'authenticité de l'écriture". (Protestinfo/ ENI) ajouté le 9/4/2003 |
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Voxdei Texte intégral
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Les Croisades furent-elles un conflit de civilisation ou la période la plus noire de l'Eglise? NDLR: Editorial de frère André Les croisades furent-elles un conflit de civilisations ? Ou la période la plus noire de l'histoire de l'Eglise ? J'entends encore ma maîtresse d'école primaire nous parler des héroïques croisés, courageux défenseurs de la foi. Mais je ne me souviens pas qu'elle ait évoqué l'aspect spirituel de leur combat, ni les innombrables personnes massacrées au nom de la Croix. L'Eglise du Moyen-Orient s'en est-elle jamais remise ? Oui, il existe encore une Eglise au Moyen-Orient, même une Eglise évangélique. Mais elle ne grandit pas : au contraire, elle diminue rapidement, tant en influence qu'en nombre. Elle est tombée de trente à trois pour cent, voire moins de deux pour cent dans la région la plus vitale, Israël. L'Eglise d'Occident y a-t-elle seulement prêté attention ? Si l'Eglise du Moyen-Orient disparaît un jour, parce que les chrétiens palestiniens auront fini par fuir leur pays - prions Dieu pour que cela n'arrive jamais ! - alors une occasion extraordinaire d'annoncer l'Evangile aux musulmans de la région aura disparu pour toujours. Quand les disciples de Jésus lui demandèrent quels seraient les signes de sa venue et de la fin du monde, il répondit clairement : ne vous laissez pas tromper ! Ce ne sont ni la destruction du Temple, ni les guerres, ni les révolutions, ni les famines, ni les tremblements de terre, ni les apostasies, ni les faux prophètes, ni l'anarchie, ni la tiédeur. Mais « cette Bonne Nouvelle du Royaume sera annoncée dans le monde entier pour que le témoignage en soit présent à tous les peuples, et alors viendra la fin. » (Matthieu 24:1-14) Le seul moyen sûr est d'apporter la vie de Jésus à la population de la région, car lui seul peut y instaurer la PAIX. Voilà pourquoi Portes Ouvertes investit dans les Eglises juives et palestiniennes, dans les Sociétés bibliques et dans le mouvement de réconciliation Musalaha, sans oublier l'Ecole biblique de Bethléem, l'une des rares Ecoles bibliques évangéliques du Moyen-Orient. Mais le besoin n'a jamais été aussi grand qu'aujourd'hui. C'est pourquoi nous lançons le projet « Compassion pour le Corps du Christ ». Il s'agit de venir en aide aux chrétiens, d'origine juive ou palestinienne, qui sont victimes du conflit, afin de leur permettre de continuer à vivre dans le pays où Dieu les a placés. Ce sont les personnes les mieux à même de répondre au grand commandement missionnaire, et nous sommes les mieux à même de leur venir en aide. Pouvez-vous comprendre un peu notre passion ? Frère André (Portes Ouvertes) ajouté le 8/7/2003 |
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Voxdei Texte intégral
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L'ossuaire du frère de Jésus" est un faux, selon les experts d'Israël Le Département des antiquités israélien a annoncé mercredi qu'un ossuaire portant des inscriptions bibliques faisant référence à Jésus et une tablette de pierre supposée remonter au IXème siècle avant JC étaient des faux. M. Shouka Dorfman, directeur du Département israélien des Antiquités, a convoqué une conférence de presse à Jérusalem pour présenter les conclusions, "catégoriques" selon lui, des deux commissions chargées par ses soins de vérifier l'authenticité de ces deux pièces archéologiques. Composée de paléographes, de géologues, de linguistes et d'archéologues, les deux commissions sont arrivées à la même conclusion à l'unanimité: ces deux objets qui avaient fait tant de bruit lors de leur découverte en octobre 2002 sont des faux récemment réalisés. Le premier est un ossuaire où l'on peut lire les mots suivants: "Jacques, fils de Joseph et frère de Jésus". Ce type d'ossuaire, sur lequel était gravée l'identité du défunt, était courant chez les juifs à l'époque de Jésus. "A l'examen, il est apparu que l'inscription (sur l'ossuaire) a été gravée récemment", a affirmé M. Dorfman. Le second vestige est une tablette de pierre noire portant une inscription phénicienne attribuée au roi juif Jehoash, qui régna sur Jérusalem à la fin du IXème s. av. JC. Cette inscription de dix lignes écrite à la première personne fait état de "réparations ordonnées dans le Temple" par le roi Jehoash et ressemble beaucoup à un passage du Livre des Rois (chapitre XII). Si cette pièce avait été authentique elle aurait été la première preuve écrite non biblique de l'existence du premier Temple de Jérusalem, aucune découverte archéologique n'ayant jusqu'à présent confirmé son existence. Ce fragment aurait été découvert à l'occasion d'importants travaux d'excavation effectués par les musulmans ces dernières années sur l'esplanade des Mosquées, le mont du Temple pour les juifs, site du deuxième Temple, détruit par les Romains en 70 de notre ère. Là encore, "cet écrit est récent", a affirmé M. Dorfman, en donnant de nombreuses explications scientifiques pour étayer ses conclusions. Les deux pièces d'antiquités à l'origine douteuse sont la propriété d'un collectionneur israélien, Oded Golan, qui prétend les avoir achetés à un antiquaire de la Vieille Ville de Jérusalem, dont il dit avoir oublié l'identité. Les travaux des deux commissions israéliennes ont duré deux mois et demi et vont à l'encontre des recherches antérieures qui avaient estimé leur valeur à des millions de dollars. Les responsables du Département des antiquités ne se sont pas penchés sur l'aspect juridico-policier de cette affaire. Une enquête contre le propriétaire des deux pièces est effectivement en cours, celui-ci étant soupçonné d'être mêlé à la supercherie. "Pas moins de 14 chercheurs, les meilleurs dans leurs domaines respectifs, ont accompli un remarquable travail scientifique", a encore déclaré M. Dorfman, mettant ainsi un point final à beaucoup de rêves. (AFP/ CID) ajouté le 18/6/2003 |