NDLR: Un texte
long, mais qui mérite d'être imprimé, lu et déposé devant le Seigneur.
(Extrait d'un
texte du Dr Alain Scohy, Auteur-Editeur, Docteur en Médecine, 146
impasse des Cigales, RdC, Quartier du Brèsis à 30100 - Alès, FRANCE,
tél: 04 66 52 52 89)
.
HISTORIQUE
La vaccination
est une pratique vieille maintenant de 200 ans environ.
Le terme
"vaccination" vient de "vaccine"... Une maladie de la vache, petite
éruption purulente des pis, évoquant vaguement les lésions de la
variole.
La variole
évoluait en effet par grandes épidémies au cours des 17ème et 18ème
siècles, générant une terreur profonde chez les gens simples de
l'époque. Il faut dire que la mortalité suite à cette maladie était
considérable, ainsi que les dégâts qu'elle provoquait (cécité,
cicatrices, séquelles neurologiques).
Vers 1720, on
utilisait déjà en Europe une technique de variolisation artificielle.
Le pus provenant des pustules de malades bénins était inoculé aux
personnes indemnes et aux enfants dans l'espoir de prévenir les
catastrophes engendrées par la maladie grave. Cette technique a eu un
certains succès malgré l'hostilité de nombreux médecins: il semble en
effet qu'elle n'était guère efficace et déclenchait parfois de
nouvelles épidémies.
.
1)
1798, les premières vaccinations
Jenner publie
les résultats de plusieurs années d'observation et d'expérimentation de
l'inoculation à l'homme du pus de la vaccine. Cette technique fut mieux
accueillie par les médecins. Pourquoi? Est-ce parce que c'était un
savant occidental qui en faisait la promotion? Toujours est-il que son
succès fut évident et qu'elle fit le tour de l'Europe en moins de deux
ans. Elle apparut de toute évidence alors comme le pendant des idéaux
révolutionnaires. Liberté, Egalité, Fraternité, c'était déjà une image
du paradis terrestre. La disparition des maladies devenait un autre
pilier de ce paradis à atteindre. On chercha dès ce moment d'autres
techniques équivalentes pour atténuer les germes d'autres maladies et
les inoculer préventivement... Ce sera la gloire de Louis Pasteur de
parvenir à faire partager à tous cette utopie. Avec son avènement, la
médecine de l'époque commença à baigner dans l'espoir fou d'éradiquer
toutes les maladies contagieuses. Espoir qui perdure de nos jours.
.
2)
Louis Pasteur, le grand "gourou" indétrônable de la Grande Secte
Cela a été dit
et redit, mais pas assez encore! Pasteur n'a jamais rien découvert ni
inventé, mis à part sans doute le marketing publicitaire, associé à une
incroyable fébrilité et un appétit de gloire et de richesses tout à
fait évidents. Il ne faudrait pas oublier qu'il n'était qu'un médiocre
chimiste, pas même médecin, pas même biologiste.
Même l'idée du
microbe ne vient pas de lui mais de personnages moins célèbres comme
François-Vincent Raspail (1794-1878), le Dr Sommelweiss, le Dr Davaine,
le Pr. Antoine Béchamp!
Nous allons
prendre l'exemple du vaccin contre la rage, l'un de ses prétendus
fleurons.
Ce n'est pas
Pasteur, mais un vétérinaire, Galtier, qui a montré dès 1879 que la
rage n'est dangereuse que lorsque la maladie atteint les centres
nerveux. La période d'incubation est fonction du temps de migration du
germe entre la morsure et les centres nerveux, ce qui peut être fort
long. Galtier proposa donc un traitement curatif par immunothérapie
active. Cette méthode sera récupérée par Pasteur pour sa plus grande
gloire.
Mais Galtier
semblait plus honnête que notre saint savant... Il constata et annonça
spontanément des différences de virulence importantes selon les
espèces, différences qui sont imprévisibles. Ainsi, son vaccin est
efficace chez les moutons et les chèvres, non chez le chien.
Avant
d'inoculer ce virus aux humains, il faut bien sûr atténuer sa
virulence. Mais la longueur et la variabilité de l'incubation retardent
les expérimentations sur l'atténuation. Galtier a montré que le passage
de lapin à lapin augmente la virulence, celui de singe à singe la
diminue.
On en est là
lorsque Pasteur prend les choses en mains. Sa technique consiste à
inoculer de la substance nerveuse prélevée sur un animal enragé
directement dans les centres nerveux d'un autre animal, après
trépanation: la rage se déclare plus vite. Premier temps, il faut
augmenter la virulence pour diminuer le temps d'incubation. Puis
réduire cette virulence par de nouveaux passages sur le chien et le
singe. L'hypothèse est qu'un virus rendu hypervirulent puis
secondairement affaibli peut gagner de vitesse un virus fort, sauvage,
déjà inoculé par une morsure.
Pourtant, force
est bientôt d'admettre que l'atténuation n'est pas obtenue. Pasteur
reprend alors à son compte les travaux du médecin Emile ROUX qui
travaille sous ses ordres, et avait constaté une atténuation de la
virulence en laissant vieillir "in vitro" et en présence de potasse
caustique des moelles prélevées sur des animaux enragés. Le virus est
d'autant plus atténué que le vieillissement a été durable. La technique
mise au point par ROUX est alors d'inoculer successivement des moelles
d'abord très atténuées, puis de moins en moins...
Les premières
expérimentations sur l'homme sont faites pratiquement de suite, sur des
condamnés à mort du Brésil. Après plusieurs cas de décès que Pasteur
attribue à des traitements insuffisant, il expérimente sa méthode en
juillet 1885 sur Joseph Meister, un enfant de 9 ans, en allant jusqu'à
une moelle ayant moins d'un jour d'incubation, donc d'atténuation.
Meister survit.
Il faut savoir
que le même jour, d'autres enfants avaient été mordus par le même
chien. Aucun n'en mourut.
On sait depuis
longtemps qu'un animal réellement enragé ne transmet la maladie que
dans 5 à 15% des cas. Tout dépend du lieu de la morsure, et de l'état
de la victime. Joseph Meister avait été mordu à la main, ce qui lui
donnait en fait 5% de chances d'avoir été contaminé, si toutefois le
chien était réellement enragé et non tout simplement affamé.
En octobre de
la même année, un autre enfant survit des suites des inoculations de
moelles de Pasteur.
Ces deux cas
suffisent à Pasteur pour faire une communication à l'Académie des
Sciences le 26 octobre 1885. La "Méthode pour prévenir la rage après
morsure" est officiellement lancée...
En novembre
1886, soit un an plus tard, Pasteur annonce environ 1.700 français
traités, la plupart depuis très peu de temps (or l'incubation est fort
longue). Sur ce nombre, il reconnaît que 10 sont morts malgré - ou
grâce - au traitement. Aucun contrôle n'a été fait pour savoir si ces
personnes avaient été réellement mordues par un animal enragé. Les
chiens n'ont pratiquement jamais été autopsiés.
Dans le même
temps, le Dr Quiquandon parle lui de 53 morts parmi les "patients" de
Pasteur, dont 18 français. Cette même année, 17 personnes meurent de
rage en dehors de la clientèle de Pasteur... Un Pasteur qui n'a
probablement pas eu un tiers de la population des français mordus par
des chiens réellement enragés à traiter...
Pasteur sera
alors accusé d'homicide par imprudence. Il oblige plus ou moins trois
de ses collaborateurs à servir de cobayes pour prouver sa bonne foi et
l'efficacité de sa technique. Mais lui-même ne se fait pas traiter. Il
est d'ailleurs reconnu que l'inoculation de tissu nerveux d'un lapin à
l'homme ne peut être un geste anodin: ces inoculations répétées
inoculent incontestablement la rage, mais en plus, elles peuvent
provoquer des paralysies et des réactions organiques - quoique Pasteur
le nie.
A noter parmi
les nombreuses bavures le cas de l'enfant Jules Rouyer, pour lequel il
existe un témoignage écrit du neveu et collaborateur de Pasteur: Adrien
Loir, et de nombreux autres auteurs...
Pasteur,
contrarié par ses échecs, a mis au point un "traitement intensif" qui
consiste à inoculer les moelles les plus virulentes très rapidement,
parfois en 24h, sans même attendre la mise en place progressive d'une
éventuelle immunité.L'enfant est mordu le 8 octobre 1886. Le traitement
est inoculé selon cette technique intensive. L'enfant meurt le 26
novembre. Le père porte plainte. L'autopsie est confiée - en l'absence
de Pasteur alors en vacances - à un de ses amis, médecin légiste, le Dr
Brouardel. Le bulbe et la moelle de l'enfant sont inoculés par le Dr
Roux à des lapins qui ne tardent pas à mourir enragés. L'enfant avait
donc la rage. Or, le délai est trop court entre la morsure et le décès
pour que la rage en question soit d'origine sauvage. Par contre, le
virus vaccinal, par suite des manipulations subies, a acquis une durée
d'incubation courte. De toutes façons, les morts suite à l'inoculation
des moelles de lapin sont atteints de rage paralytique... Ce qui aurait
déjà dû permettre de se faire une opinion. Qu'à cela ne tienne.
Brouardel déclare que l'enfant est mort d'une crise d'urémie.
Quelles que
soient les circonstances des "bavures", pour Pasteur, il n'est pas
question de remettre en cause l'efficacité de son vaccin, ou même
d'envisager des effets secondaires...
Plus tard, la
technique de Roux-Pasteur est abandonnée car trop dangereuse au profit
de celle de Toussaint-Fermi. A l'heure actuelle, le vaccin est préparé
comme tous les vaccins à virus par culture du virus sur cellules
"immortelles", c'est à dire cancérisées... Cellules diploïdes humaines
(Mérieux) ou souche Véro (comme la polio) pour Pasteur.
Mais Pasteur a
au moins le mérite d'avoir été un précurseur incontestablement génial
du MARKETING MODERNE... Sous son impulsion, l'Institut du même nom voit
le jour dès le 14 novembre 1888. Pasteur restera dans l'histoire le
premier de la dynastie des savants fous. Ceux là même qui sont en train
de nous mitonner à l'heure actuelle le plus invraisemblable des chefs
d'oeuvres: l'inoculation à l'homme, en direct, de fragments de
chromosomes - ou gènes -, pour obliger l'organisme humain à fabriquer
lui-même des antigènes étrangers prêts à l'emploi! (Pr. GIRARD, "le
Téléphone sonne" , France Inter, 12 octobre 1995)
Pasteur s'est
éteint le 28 septembre 1895. Il a eu droit à des funérailles nationales
à Notre Dame de Paris. La République a tout fait pour faire de Pasteur
un saint laïc, exploitant son image pour glorifier le scientisme
patriotique. Il est devenu un symbole vivant, celui de la science comme
celui de la France. Pourtant, sur son lit de mort, le vieil homme avait
confié à un proche:
"Claude Bernard
avait raison: le microbe n'est rien, c'est le terrain qui est tout".
.
3) La
diphtérie: exemple de manipulation historique des réalités
Il illustre
bien cette maxime que l'on entend sans cesse chez les partisans des
vaccins: "l'efficacité des vaccinations n'a plus à être démontrée!" Et
pour cause...
En 1925, un
premier essai de vaccination (Dr Zoeller à Mayence) chez 305 appelés à
l'armée, déclenche 11 cas de diphtérie suite à la première injection.
Un seul cas dans le groupe témoin de 700 appelés. Mais l'aveuglement
des vaccinalistes, leur volonté farouche de promouvoir et vendre des
millions de doses de vaccin, les amènent à prétendre que ces 11 cas
survenant chez des gens non encore parfaitement immunisés, doivent être
rattachés au groupe témoin. On a donc traduit "officiellement" ces
statistiques par: 12 cas chez les non-vaccinés, pour 0 cas chez les
vaccinés ! En conséquence, l'efficacité du vaccin était prouvée. Il
fallait le faire...
La campagne de
vaccinations qui va suivre va déclencher une véritable hécatombe,
pendant des années. Mais nos pouvoirs publics savaient déjà fort bien
étouffer ce genre de problème, pour ne pas inquiéter les populations...
Comme ils le font actuellement pour le SIDA provoqué sans doute à 80%
par l'abus de vaccinations tous azimuts (nous le verrons plus loin).
Comme ils vont
le faire dans quelques années pour les innombrables cas de tératogenèse
que nous allons pouvoir observer à la suite de la vaccination aveugle
contre l'hépatite B...
.
Conclusion
de cet historique
Il semble bien
que le milieu politique se soit emparé de la chose vaccinale, et l'ait
littéralement piraté au corps médical, dès le siècle dernier. Au nom de
l'idéal, de cette fameuse utopie dont nous venons de parler. Et ce tout
particulièrement en France qui est encore aujourd'hui sur le podium
mondial des obligations vaccinales hautement scélérates avec cinq
obligations plus ou moins incontournables! Ce qui pourrait expliquer un
tant soi peu le décalage incroyable entre l'immunologie moderne et la
mythologie vaccinale officielle, avec toutes ces obligations propres à
la France... Comme si un acte médical, (comme une appendicectomie, une
mammectomie, une hystérectomie), relevait de la compétence et de la
décision des hommes politiques plutôt que des médecins! Ce furent les
premières initiatives de "santé publique", que l'on testa d'abord dans
les colonies...
Puis la
première obligation vaccinale, qui date de 1902 en France (vaccin
antivariolique = vaccine), alors même que la variole perdait son
caractère de fléau mondial, et que l'Angleterre, qui avait adopté
l'obligation en 1853, revenait en arrière et adoptait une clause de
conscience. Comme on pouvait s'y attendre, la pratique de cette
vaccination n'est pas confiée aux médecins mais aux bons soins de
l'école laïque... Il faudra des années pour que l'efficacité et
l'innocuité de la vaccination commence à être discutée, et ce malgré
les accidents survenus dès les premières années.
De nos jours,
l'aspect totalement utopique des vaccinations demeure... Une enquête
menée par la sociologue Claudine Marenco du CNRS [sur la vaccination]
entre 1880 et 1980 montre qu'en cent ans, rien n'a bougé. La
vaccination reste un acte de foi, une pratique magique, sans éducation
sanitaire associée, et sans lien avec les avancées de la science
immunologique:
"Les médecins
se refusent à procéder à une éducation qui aboutirait à les confronter
à une clientèle moins docile, moins confiante, à les déposséder d'une
partie de ce pouvoir auquel ils se montrent d'autant plus attaché qu'il
tend à leur échapper..."
Et pour cause
puisqu'il leur a déjà échappé, depuis 200 ans... Et qu'ils font tout
pour essayer de le récupérer. Ils n'ont pas encore compris qu'on les a
dépossédés de ce pouvoir, qu'ils sont manipulés, réduits à l'état
d'eunuques obéissant et serviles... Quand on le leur explique, ils
s'insurgent, portent plainte devant leurs instances ordinales. Mais ces
dernières - pourtant chargées de veiller au maintien des principes de
moralité, de probité et de dévouement indispensables à l'exercice de la
médecine, à l'observation par tous ses membres de devoirs
professionnels ainsi que des règles édictées par le Code de
Déontologie, et d'assurer la défense de l'honneur et de l'indépendance
de la profession médicale - s'avouent incompétentes sur le plan
scientifique et juridique vis à vis des vaccinations!
Claudine
Marenco écrit encore :
"Les médecins
généralistes orthodoxes ont un discours stéréotypé, ce n'est pas pour
eux un sujet de réflexion ou de discussion, certains s'étonnent qu'on
puisse y consacrer une recherche. L'utilité de la vaccination est pour
eux une évidence si incontestable qu'ils ne sentent pas le besoin
d'argumenter leur position. Ils vaccinent parce qu'il faut vacciner et
que c'est une bonne chose".
Elle saisit sur
le vif quelques réflexions de médecins:
"Que l'enfant
hurle ou pas, il ressort avec son vaccin. Rhino-pharyngite ou pas, je
vaccine. Les familles sont venues pour ça. Elles sont d'accord, on le
fait, c'est simple".
"Je n'ai pas le
temps d'expliquer. Je n'ai pas à leur faire de cours. Il n'y a pas
d'échange, les gens ne demandent rien. On ne peut quand même pas
analyser ce que les gens pensent à propos de ce qu'on fait sur eux : on
n'en sortirait pas".
"Je leur fais
peur (...). "Vous préférez qu'il soit malade, votre gosse, qu'il
souffre ?". Le seul truc qui marche, c'est la culpabilité des parents".
"Ils aiment
bien l'homéopathie, maintenant, c'est un truc qui plaît, alors je leur
dis que la vaccination c'est une sorte d'homéopathie".
"Je vaccine de
plus en plus, on leur fait faire presque tout ce qu'on veut à ces gens
là, il suffit de leur présenter un tableau bien noir de la maladie. Les
gens ne savent même pas contre quoi on vaccine. Je fais selon mon
optique, et les gens me suivent. Alors que j'aie tort ou raison, de
quoi me plaindrais-je ?"
On peut se
poser sérieusement la question. Il est vrai que tous les médecins
officiels vous répondront que cette efficacité n'a plus à être
démontrée. Voire!
.
1) La
variole
L'OMS et
l'institut Pasteur clament à corps et à cris que la variole a été
éradiquée aux alentours des années 1975/1979 grâce à deux siècles de
vaccinations.A y regarder de plus près, il semble bien que le mensonge,
l'aveuglement volontaire et les trucages sont les trois grands piliers
de ce soi-disant succès.
L'exemple de la
variole aux Philippines est significatif. En 1905, la mortalité par
variole dans les îles est de l'ordre de 10%. Une campagne de
vaccinations massive est mise en route. Immédiatement, se déclenche une
épidémie, qui tue 25% de la population. La campagne de vaccinations est
intensifiée, sans état d'âme. En 1925, une nouvelle épidémie se
déclenche, qui tue 54% de la population. Population alors vaccinée à
95%... Dans la capitale, Manille, la mieux vaccinée, le taux de décès
atteint 65,3%. Dans l'île de Mindanao où la vaccination avait été
refusée, ce taux plafonne à 11,4%.
En Europe, les
choses sont du même ordre... Il faut savoir que toutes les épidémies,
toujours, évoluent selon une courbe de GAUSS, en forme de cloche.
L'épidémie démarre, le nombre de cas augmente vertigineusement en
quelques semaines, voire quelques années. Puis les choses se
stabilisent, et subitement, probablement par épuisement des individus
susceptibles de tomber malade, (sans doute pour des raisons tout à fait
autre), le nombre de cas s'effondre, aussi brutalement qu'il avait
augmenté, de façon symétrique.
Lorsque
l'épidémie commence à disparaître spontanément (dans les années 1900),
alors que la Grande Bretagne, qui avait rendu la vaccination
obligatoire en 1853, revient sur sa décision et accorde l'objection de
conscience, la vaccination devient obligatoire en France (1902) et la
campagne vaccinale prend son ampleur. C'est immédiatement la
catastrophe: les épidémies repartent et se succèdent, manifestement
réveillées par ces campagnes vaccinales, puis par les conditions de vie
défavorables au cours des deux guerres mondiales. Qu'à cela ne tienne,
l'Institut Pasteur affiche des tableaux statistiques tronqués, ne
démarrant qu'après la fin de la seconde guerre mondiale. Il est
probable que si la vaccination n'avait pas été rendue obligatoire et la
campagne vaccinale intensifiée à ce point, la VARIOLE aurait disparu
spontanément dans les années 1910, et non pas 1979...
On pourrait
signaler ici encore les dernières flambées épidémiques en Inde et dans
les pays orientaux dans les années 1960, malgré une couverture
vaccinale et des campagnes de vaccination massives...
.
2)
L'exemple de la polio est aussi fort significatif...
Un article de
JAMA, un journal médical [Journal of the American Medical Association,
le plus fort tirage de la presse médicale mondiale], du 18 octobre 1994
(n° 299) nous donne le point de la maladie et de la vaccination, grâce
à des chiffres fournis par l'Organisation Mondiale de la Santé. Au
niveau du globe, on dénombrait en 1988: 32.286 cas de poliomyélite
paralysante, contre 9.714 en 1993. Dans le même temps, la couverture
vaccinale (au moins trois doses de vaccin polio oral avant l'âge de 1
an) était de 67% en 1988, contre 81% en 1993.
De quoi chanter
un superbe "cocorico" si les choses en restaient là... Sauf que...
Sauf qu'en
1988, on comptabilisait avec les "cas de poliomyélite antérieure aiguë
paralysantes" toute une kyrielle de maladies liées à des virus
différents (virus echo, virus coxsackie) que l'on ne pouvait distinguer
du virus polio... En 1993, on sait faire la distinction. Et on la fait,
trucage des résultats statistiques oblige! Ce qui fait que les chiffres
annoncés ne veulent plus rien dire! D'autant qu'il est probable que
l'introduction artificielle de virus poliodans l'organisme favorise
l'éclosion des maladies à virus echo ou coxsackie...
Sauf que
l'Organisation Mondiale de la Santé divise le globe en six zones
géographiques qui permettent de suivre l'évolution de la vaccination et
de la maladie. Evolutions qui apparaissent totalement indépendantes et
incohérentes, si bien sûr on accepte de regarder les chiffres
objectivement: Ainsi, en Afrique, la couverture vaccinale est passée de
44% à 50% entre 1988 et 1993 - soit une augmentation infime - ce qui
n'a pas empêché le nombre de cas de passer de 4546 à 1437.
Dans le même
temps, par contre, en Méditerranée Orientale, la couverture vaccinale
passe de 69 à 75%, et là, le nombre de cas augmente, paradoxalement, de
2.332 cas en 1988 à 2.451 en 1993. Il semble bien que cette zone, avec
l'Inde, correspond aux foyers endémiques les plus préoccupants du
monde.
En Europe,
inversement, la couverture vaccinale diminue de 86 à 72%, mais le
nombre de cas diminue de 206 à 198 cas, toujours entre 1988 et 1993. Le
dernier cas de Poliomyélite observé en France, en 1991, était lié au
virus vaccinal !
En Asie du
Sud-Est, tandis que la couverture vaccinale passe de 57 à 90%, le
nombre de cas évolue de 22.814 à 4.414.
Le continent
américain voit passer le nombre de cas de 340 à 0, pour une couverture
vaccinale qui passe de 82 à 86%. Et ces derniers 340 cas objectivent
pratiquement tous la responsabilité du virus vaccinal, et non pas du
virus sauvage! Ce qui n'est pas précisé dans cet article, bien sûr.
Et enfin, dans
le Pacifique Ouest, la couverture vaccinale passe de 89 à 93% entre
1988 et 1993, tandis que le nombre de cas fluctue de 2079 à 1214 en
1993.
Tout ceci
démontre bien, si l'on accepte de regarder les choses objectivement,
qu'il n'y a pas la moindre cohérence entre le nombre de cas et la
couverture vaccinale. Et que par conséquent la vaccination n'a pas la
moindre influence objective sur la pandémie mondiale, sinon peut-être
de la majorer. Mais le petit tableau - récapitulant région du monde par
région du monde l'évolution de la couverture vaccinale et du nombre de
cas - est littéralement noyé dans trois pages de "littérature" qui
clament haut et fort le cocorico français: "nous y sommes,
l'éradication de ce fléau sera bien obtenu comme prévu en l'an 2000 si
nous continuons l'effort de vaccination". Ce genre de comportement - de
la part d'un journal soi-disant professionnel et scientifique -
s'apparente au lavage de cerveau.
.
3) Le
SIDA enfin, ou plutôt la séropositivité au HIV, qui n'est pas si
sûrement que ça le SIDA, nous fournit encore une démonstration patente
de l'inefficacité des vaccins
Le 31 mai 1994,
le QUOTIDIEN DU MEDECIN annonce l'infection de cinq américains par le
VIH malgré une vaccination réputée efficace (taux d'anticorps
contrôlés). Ce chiffre est de 10 dans un autre article de JIM D'OR no
318, à la même période. De toutes façons, ce taux est pratiquement dix
fois supérieur aux groupes témoins, non vaccinés. Le même journal (n°
5426) reprend ce problème quelques jours après, le 3 juin 1994, pour
essayer de rassurer le corps médical... Mais déjà l'introduction est
inquiétante. Le journal pose à Mme Margaret Johnston, Directrice de la
Division SIDA du N.I.A.I.A. aux USA, la question "Que faut-il en penser
?", et elle répond:
"Premièrement,
qu'en aucun cas c'est le vaccin qui a provoqué l'infection.
"Deuxièmement,
que le vaccin n'est pas efficace à 100%. (Il semble certes très
efficace pour favoriser le contage !).
"Troisièmement,
(et tenez-vous bien !) qu'il n'est pas exclu qu'il puisse induire une
facilitation de l'infection.
Un peu plus
loin, l'article reprend les arguments classiques de tous les
vaccinalistes: la vaccination n'avait peut-être pas été terminée tout à
fait complètement avant la contamination, les sujets concernés avaient
des comportements à risques, etc... Il est sûr en tous cas que les cinq
volontaires infectés avaient développé, chacun, des taux d'anticorps
anti-VIH suffisant en théorie pour les mettre à l'abri de toute
contamination. L'article reprend ensuite le problème de "la
facilitation par les anticorps", pour avouer l'ignorance quasi-totale
de tous les savants sur ce sujet. Et Mme Johnston de remettre les pieds
dans le plat: "une réponse 'immune' partiellement efficace n'empêche
pas l'établissement de l'infection, et entraîne même une
immuno-dépression qui permet au microbe de causer une maladie plus
sévère. Cela s'est vu avec quelques vaccins expérimentaux, par exemple
le vaccin contre la dengue".
.
4) Une
exception relative? Rougeole/Oreillons/Rubéole
Il s'agit ici
de vaccins à virus vivants, tous les trois. Et il semble bien qu'ils
aient une certaine efficacité, compte tenu des résultats obtenus aux
USA comme dans certains pays d'Europe du Nord... Mais cette efficacité
apparaît très relative :
Il faut y
regarder à deux fois car ces gens-là sont passés maîtres dans l'art de
truquer ou masquer les statistiques, nous l'avons vu.
Si elle est
réelle, ce n'est pas forcément liée à la présence ou non d'anticorps,
ni à la vaccination elle-même. D'autres facteurs ont pu entrer en ligne
de compte, comme l'hygiène, les facteurs placebos, les facteurs
psychiques, etc... D'autant que ces maladies dans nos pays semblent
fortement liées à des mécanismes de maturation psychologique et
physique. Admettons néanmoins par principe que les maladies
correspondantes ont effectivement régressé pour les enfants entre 2 et
15 ans.
Mais les
épidémies repartent, aujourd'hui dans ces pays et dans tous les autres
pays du monde, en touchant d'autres cibles: les adultes, et les tous
jeunes enfants... Soit que l'immunité prétendument apportée par la
vaccination est insuffisante... Au point qu'on parle maintenant de
refaire des rappels, pendant toute la vie de l'adulte, alors que le
vaccin était réputé efficace avec une dose unique. Soit que la maladie
sauvage est en train de se modifier...
Ces maladies
chez l'adulte sont beaucoup plus sévères, laissent beaucoup plus de
complications, et sont beaucoup plus invalidantes sur le coup. Cela
s'est produit au printemps 1993 en France aussi, où une épidémie de
rubéole a cloué au lit plus de 800 jeunes appelés dans les garnisons,
un peu partout en France... La rubéole passe pourtant le plus souvent
inaperçue lorsqu'elle survient chez l'enfant, à l'âge normal!
Chez les tous
jeunes enfants, ces maladies sont gravissimes. Il est probable que ces
enfants n'héritent plus, à la naissance, de cette immunité solide et
durable qui était offerte auparavant par la maman. Elle a été vaccinée
et n'a pas grand chose à sa disposition pour protéger ses petits à
naître ! Quant aux complications inhérentes à ces maladies bénignes,
fort rares, elles sont aussi nombreuses suite aux vaccinations.
Sans même tenir
compte des risques de cancers, maladies auto-immunes et autres horreurs
qui sont toujours possibles, nous allons le voir. Ces derniers mois par
exemple, il a été prouvé que le vaccin contre la rougeole pouvait
provoquer des maladies de Crohn ou recto-colites hémorragiques !
Rassurez-vous, tous les médecins britanniques ont été informés qu'il ne
fallait pas tenir compte de ce risque!
D'après le
LANCET 1995: 1071-4:
Une étude
britannique met en cause la vaccin anti-rougeoleux dans la fréquence
des maladies de Crohn et Recto-Colites Ulcéro-Hémorragiques (qui sont
des maladies auto-immunes) de façon irréfutable (2,5 à 3 fois plus de
cas chez les vaccinés sur un groupe de 3.545 personnes contre 22.000
sujets témoins - avec présence du virus de la rougeole dans les
prélèvements intestinaux biopsiques).
LA REVUE DU
PRATICIEN, n° 299, 15/3/1995, p.3, couple cette information de ces
petites phrases caractéristiques:
"Cette
observation permet-elle d'établir un lien de causalité entre la
vaccination antirougeoleuse et les pathologies digestives qui lui sont,
ici, associées? En aucune manière. Pour autant, une lecture rapide du
Lancet pourrait laisser croire à l'existence d'un tel lien. C'est
pourquoi les autorités sanitaires britanniques, anticipant sur la
publication de l'hebdomadaire médical londonien, ont diffusé à tous les
médecins généralistes du pays une série de précisions sur ce travail et
ses limites. De l'avis de ces autorités, TOUT COMME DES SPECIALISTES
FRANÇAIS DE VIROLOGIE ET D'EPIDEMIOLOGIE que nous avons interrogés, la
publication du Lancet ne doit aucunement conduire à une remise en cause
de la politique de vaccination anti-rougeoleuse même si des travaux
visant à améliorer l'efficacité et l'innocuité du vaccin actuel sont
nécessaires."
Autre petite
anecdote "croustillante" :
D'après le
Journal of Clinical Microbiology de juin 1994, n° 6, une équipe de
chercheurs japonais du Centre de recherche biomédicales de la Faculté
de Tokyo a mis en évidence la présence de fragments d'ARN du virus de
la peste dans des vaccins contre la rougeole, la rubéole et les
oreillons (vaccins simples et vaccins associés). Le plus étonnant et le
plus inquiétant aussi, c'est que ces chercheurs assurent que les
vaccins ne pouvaient être "contaminés". Les ARN du virus de la peste
seraient donc apparus par un phénomène de recombinaison qui reste
encore à expliquer. (D'après l'IMPATIENT - Hors-Série n° 11 - Juin
1996)