Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Groves, Müller, Chapman - (suite)


3. G. Müller et H. Craik. Les orphelinats

George Müller (120) attacha également une grande importance à l'obéissance littérale aux Écritures. Il naquit près de Halberstadt, Prusse, en 1805. Bien qu'il se préparât au saint ministère, il en vint à mener une vie dissolue et, une fois même, fut emprisonné pour escroquerie. Se sentant profondément malheureux, il fut conduit par un ami à une réunion privée, à Halle, où il entendit lire la Bible. Il avait alors vingt ans. En dépit de ses longues études, cette lecture était pour lui chose nouvelle. Il en fut tout de suite puissamment saisi et, avant longtemps, l'amour de Jésus pour lui et la suffisance de son sang expiatoire trouvèrent un écho dans son coeur: il aima et il crut. A partir de cette crise, il eut de grandes luttes spirituelles, mais l'habitude de lire la Bible avec prière chaque jour, régulièrement, l'amena à une connaissance croissante de la volonté de Dieu.

Désirant vivement devenir missionnaire parmi les juifs, il se rendit en Angleterre pour étudier sous les auspices de la «London Jews Society». A peine arrivé en Angleterre, il apprit avec bonheur ce que A. N. Groves faisait, en sacrifiant un bon revenu, partant comme missionnaire en Perse et comptant sur le Seigneur pour pourvoir à ses besoins. Séjournant à Teignmouth pour sa santé, il y rencontra Henry Craik qui avait vécu sous le toit de Groves. Ce fut le commencement d'une amitié à vie. Là, il reçut de nouvelles bénédictions spirituelles, surtout en voyant plus clairement que la Parole de Dieu est le seul guide du croyant, et le St-Esprit, son seul maître. D'autres lumières créèrent dans son esprit des difficultés sur sa relation avec la société missionnaire et, finalement, après entente amicale avec le Comité, il rompit son association avec l'oeuvre. Les raisons de sa décision furent les suivantes: il comprit que ce n'était pas selon l'Écriture d'être consacré, soit dans l'Église luthérienne, soit dans l'Église anglicane. Il vit aussi qu'une église nationale quelconque, étant un mélange du monde et de la vraie Église, renfermait des principes propres à éloigner de la Parole de Dieu. Puis le fait que ces Églises sont des institutions les empêche de changer leurs méthodes, quelles que soient les nouvelles lumières qu'elles pourraient recevoir par les Stes-Ecritures. Enfin il avait une objection de conscience à dépendre d'une direction humaine dans son travail missionnaire. Il sentait qu'un serviteur de Christ doit être guidé par l'Esprit pour l'emploi de son temps et quant au lieu choisi pour son activité. Enfin, bien qu'aimant les juifs, il ne pouvait s'engager à travailler presque exclusivement parmi eux. Il avait déjà coûté quelque argent à la Société, ce qui le plaçait sous une obligation vis-à-vis d'elle, mais cette difficulté fut levée par un arrangement satisfaisant avec le Comité, qui le traita avec beaucoup de bienveillance.

La question se posa quant à ses besoins temporels; mais il n'en fut pas troublé. Il put se reposer sur les promesses du Seigneur, telles que Matthieu 7. 7-8; 6. 25-34; Jean 14. 13-14. Il saisit que, s'il cherchait premièrement le royaume de Dieu et sa justice, ces choses, ses besoins temporels, lui seraient données par-dessus. En ce temps-là, le pasteur de la chapelle d'Ebenezer, à Teignmouth, ayant quitté son poste, Müller fut invité par les dix-huit membres de l'église à devenir leur ministre, avec un traitement de cinquante-cinq livres sterling par an. Il accepta et travailla régulièrement parmi eux, mais entreprit aussi des tournées de prédication dans plusieurs localités des environs. Il trouva qu'en exposant les Écritures son ministère donnait les meilleurs fruits.

Un jour, auditeur d'une conversation entre trois soeurs en Christ, au sujet du baptême, il comprit alors que, tout en ayant toujours fortement défendu le baptême des enfants, il n'avait jamais étudié sérieusement, et en priant, les Écritures à ce sujet. Il se mit à le faire et fut convaincu que l'Evangile n'enseignait que le baptême des croyants, et cela par immersion. Beaucoup d'objections se présentèrent à son esprit quant à l'obéissance immédiate à ce commandement. Toutefois s'étant assuré que c'était bien la volonté du Seigneur qu'il obéît littéralement, il fut baptisé. Peu après, il observa encore - bien que ce ne soit pas un commandement - que les apôtres nous ont laissé l'exemple de rompre le pain chaque dimanche; puis que, d'après les Écritures, le St-Esprit devrait avoir pleine liberté d'agir en se servant de tel ou tel frère, selon son bon plaisir, afin que tous bénéficient des dons que le Seigneur a répartis parmi eux. Après avoir été examinées par l'église, ces choses furent introduites dans la pratique.

La même année (1830), Müller épousa la soeur de Groves, en laquelle il trouva une épouse totalement dans les mêmes dispositions que lui pour chercher à comprendre et à exécuter la volonté de Dieu, révélée dans les Écritures. Elle participa pleinement aux nouvelles initiatives qu'ils prirent. Pensant qu'ils ne devaient plus recevoir de traitement fixe. provenant de la location des bancs et des contributions régulières des membres, ils y renoncèrent. Puis ils prirent une détermination encore plus difficile que la précédente, dans la conviction qu'ils obéissaient à Dieu, celle de ne jamais demander d'aide financière, ou de faire connaître leurs besoins aux hommes, mais d'aller droit au Seigneur et de compter sur Lui pour subvenir à tous leurs besoins. Peu après, ils reçurent la grâce de prendre à la lettre cet ordre du Seigneur. « ... Vends ce que tu possèdes et donne-le aux pauvres.» Écrivant plus de cinquante ans après, il disait : «Nous ne regrettons en rien la décision prise alors. Dans sa tendre miséricorde, notre Dieu nous a donné aussi la grâce de demeurer dans la même pensée quant aux points ci-dessus, en pratique comme en principe. Et ceci nous a permis d'expérimenter le tendre amour et les soins de notre Dieu pour ses enfants, même dans les moindres détails, comme jamais nous ne l'avions réalisé auparavant. Nous avons surtout appris à connaître le Seigneur, mieux que jamais, comme étant le Dieu qui exauce la prière.»

En 1832, les Müller et Henry Craik allèrent se fixer à Bristol, où les deux frères furent quelque temps les pasteurs de la «Gideon Chapel». Puis ils louèrent aussi la Chapelle de Béthesda, d'abord pour une année. Là, un frère et quatre soeurs entrèrent en communion avec eux, «sans aucun règlement, désirant - disaient-ils - n'agir que selon la lumière que le Seigneur voudrait bien leur accorder par sa Parole». Cette église grandit rapidement et fut, dès le début abondante en bonnes oeuvres. Au bout de cinq ans, une question se posa qui les amena à sonder avec soin l'Écriture pour arriver à une solution. Lors de la fondation de l'Église, tous les membres étaient des croyants baptisés. Puis une demande d'admission fut faite par trois soeurs, dont la foi et la piété ne pouvaient être mises en doute, mais qui n'avaient pas été baptisées comme croyantes, et qui, lorsqu'on leur expliqua les Écritures sur ce point, ne furent pas convaincues que c'était là le chemin qu'elles devaient prendre. La majorité dans l'église, entre autres Müller et Craik, estimaient qu'elles devaient être reçues, mais plusieurs ne pouvaient, en bonne conscience, recevoir des croyants non baptisés.

Après de longues discussions, les Écritures en mains, le nombre des opposants fut réduit à une infinie minorité. Quelques-uns furent éclairés par le conseil de Robert Chapman, de Barnstaple, homme qui, par son caractère de sainteté, par sa connaissance de la Parole et son bon sens, s'était attiré le respect de tous ceux qui venaient en contact avec lui. Il présenta la question ainsi : ou bien les croyants non baptisés sont du nombre des gens vivant dans le désordre, et dans ce cas nous devons nous éloigner d'eux (2 Thess. 3. 6); ou bien ils ne vivent pas dans le désordre. Si un croyant vit dans le désordre, ce n'est pas seulement à la table du Seigneur que nous avons à nous éloigner de lui; mais notre conduite envers lui sera entièrement différente de ce qu'elle serait s'il ne vivait pas dans le désordre, et cela en toute occasion, dans nos rapports .avec lui, ou dans les rencontres possibles. Évidemment ceci ne s'applique pas à la conduite de croyants baptisés envers des frères non baptisés. L'Esprit ne le permet pas. Il témoigne plutôt que le fait de ne pas avoir été baptisé n'entraîne pas nécessairement le désordre dans la vie et qu'il peut exister la plus précieuse communion entre croyants baptisés et non baptisés. L'Esprit ne nous autorise pas de leur refuser la communion lorsqu'il s'agit de la prière, de la lecture et de l'étude de la Bible, de rapports sociaux et intimes, ou de l'oeuvre du Seigneur. C'est pourtant ce qu'il faudrait faire, s'ils vivaient dans le désordre. On en vint à la conclusion que. «nous devons recevoir tous ceux que Christ a reçus (Rom. 15. 7), quelle que soit la mesure de grâce ou de connaissance à laquelle ils sont parvenus». A cause de cela, quelques membres quittèrent l'église, mais la plupart y retournèrent ensuite, et ce sujet ne causa plus jamais de difficultés.

Plus tard, les frères eurent l'esprit exercé par des questions touchant les anciens, ainsi que l'ordre et la discipline dans l'église. Ils examinèrent longuement et soigneusement les Écritures sur ces sujets. Ils reconnurent que le Seigneur Lui-même avait établi, dans chaque église, des anciens pour le gouvernement et l'enseignement, et que cet ordre devait être continué aujourd'hui, comme aux temps apostoliques, malgré l'état de décadence de l'Église. Ceci n'implique pas que des croyants réunis en assemblée doivent nommer des anciens à leur gré. Ils doivent s'attendre à Dieu, qui suscite des hommes qualifiés pour enseigner et diriger dans son église. Ceux-ci sont désignés par le St-Esprit, qui leur révèle - ainsi qu'à ceux qu'ils serviront - la charge spéciale à remplir, par un appel secret, par la possession des qualités requises et par la bénédiction de Dieu sur leurs travaux. Les saints doivent les reconnaître et se soumettre à eux dans le Seigneur. Les questions de discipline doivent être résolues finalement en présence de l'église, car elles concernent tout le corps. Quant à la réception de frères à la communion, c'est -un acte de simple obéissance au Seigneur, soit de la part des anciens, soit de toute l'église. Selon cette parole. «Recevez-vous... les uns les autres, comme Christ vous a reçus à la gloire de Dieu> (Rom. 15. 7), nous avons le devoir et le privilège de recevoir tous ceux qui font une profession sincère de leur foi en Christ.

Ces conclusions et d'autres n'étaient pas les règlements de l'église, mais elles exprimaient ce que les membres avaient compris et désiraient mettre en pratique, aussi longtemps qu'ils n'avaient pas reçu d'autres lumières par les Écritures. Concernant la Cène du Seigneur, on déclara: «Bien que n'ayant aucun ordre défini quant à la régularité de son observation, l'exemple des apôtres et des premiers disciples nous conduit à la célébrer chaque dimanche»... «Par cet acte nous manifestons notre participation collective à tous les bienfaits découlant de la mort de notre Seigneur, notre union à Lui et les uns aux autres. L'occasion devrait être aussi saisie pour l'exercice des dons d'enseignement et d'exhortation, ainsi que de la communion dans la louange et la prière. La manifestation de notre participation commune aux dons de chaque membre ne saurait être complète, dans ces réunions, si toute l'assemblée est obligatoirement dirigée par un seul frère. Ce genre de réunions ne supprime cependant pas la responsabilité de ceux qui ont des dons d'enseignement et d'exhortation, d'édifier l'église, quand l'occasion se présente».

En 1843, George Müller visita l'Allemagne. Il passa quelques mois auprès d'un groupe de croyants qui l'avaient invité et désirait jouir de son ministère. Mais, lorsqu'il s'agit de rompre le pain avec eux, ils ne le lui permirent pas, parce qu'il était prêt à le faire avec les chrétiens de l'Église nationale, ou avec des croyants non baptisés comme adultes. Ils essayèrent même de lui faire promettre qu'il ne romprait jamais le pain avec des croyants qui, bien que baptisés eux-mêmes, ne refusaient pas de se réunir avec ceux qui ne l'étaient pas.

Parlant de ces choses, George Müller dit: «Ces enfants de Dieu avaient eu raison de considérer le baptême des croyants comme biblique et de se séparer de l'Église nationale... Mais ils avaient mal mis l'accent sur ces deux points. Certes, le baptême des croyants est la vérité de Dieu; il est juste aussi que les enfants de Dieu se séparent de l'Église nationale, puisqu'ils savent qu'une église est une congrégation de croyants et ne voient dans les églises nationales qu'un mélange du monde avec quelques vrais chrétiens. Cependant, on peut attacher trop d'importance à ces points, leur donner une place excessive, comme s'ils embrassaient tout, et il en résulte une perte spirituelle pour ceux qui agissent ainsi. Gardons-nous donc de trop insister sur une partie quelconque de la vérité, même sur les plus précieuses doctrines concernant notre vie de ressuscités avec Christ, notre vocation céleste, ou la prophétie -, tôt ou tard, ceux qui auront mal mis l'accent sur ces parties de la vérité, les plaçant au premier plan, perdront quelque chose dans leurs propres âmes et, s'ils enseignent, ils nuiront 'à leurs auditeurs. C'est ce qui se passa à Stuttgart. Le baptême et la séparation d'avec l'Église nationale étaient presque tout pour ces chers frères: - Nous sommes l'église. La vérité ne se trouve que chez nous. Tous les autres sont dans l'erreur, et à Babylone -. Telles étaient les phrases constamment employées par notre frère ... » «Dieu veuille, dans sa grâce leur donner et leur conserver, ainsi qu'à moi, un coeur humble!»

Les deux frères Craik et Müller sentaient fortement que tout croyant est tenu, d'une manière ou de l'autre, d'aider la cause de Christ, mais que les moyens requis ne devaient pas être obtenus des hommes, et surtout pas des inconvertis. Ils devaient venir du Seigneur Lui-même, qui exauce la prière de la foi. Donnant suite à cette conviction, ils fondèrent en 1834 «The Scriptural Knowledge Institution for Home and Abroad» (l'institution de la connaissance de l'Écriture pour le pays ou au dehors), dont le but était d'aider des écoles de la semaine, des écoles du dimanche et des écoles d'adultes, où l'instruction serait donnée sur des lignes bibliques; puis de répandre les Stes-Ecritures, et d'assister les missionnaires dont les méthodes étaient les plus conformes aux Écritures. Leur raison pour fonder une nouvelle institution, alors qu'il existait déjà tant d'autres sociétés religieuses, était que, tout en reconnaissant le bien fait par ces dernières, il y avait certains points qu'ils ne pouvaient en toute bonne conscience approuver. Le but, disaient-ils, que se proposent ces sociétés, est l'amélioration graduelle du monde jusqu'à ce que tous soient un jour convertis. Tandis que l'Écriture nous enseigne que la conversion du monde n'aura pas lieu avant le retour du Seigneur, que, dans la présente dispensation, l'état spirituel du monde empirera, mais que le Seigneur se choisit un peuple du sein des nations. En outre, ces sociétés ont beaucoup de relations avec le. monde, en sorte qu'une personne inconvertie peut devenir membre. Puis on demande souvent de l'argent aux inconvertis et les présidents de réunions, les patrons et membres associés sont généralement choisis parmi les hommes riches et influents. Enfin ces sociétés contractent des dettes. Or, toutes ces choses sont contraires à l'esprit et à la lettre du N. Testament.

Ces frères décidèrent donc de ne jamais demander d'argent, mais d'accepter les fonds qui pourraient leur être librement offerts; de ne recevoir aucune personne inconvertie pour aider à la direction ou à la bonne marche de l'institution; de ne pas étendre leur sphère d'activité en faisant des dettes, mais «d'apporter au Seigneur, dans la prière secrète, les besoins de l'oeuvre, et d'agir selon les moyens que Dieu leur accorderait». De ce petit commencement, sans capital initial, sans réclame, se répandit un fleuve constant de bénédiction, augmentant toujours de volume. Les pauvres furent secourus; des écoles s'ouvrirent avec succès en divers pays; les Écritures furent vendues ou données en très grand nombre; des secours furent envoyés aux missionnaires dans bien des pays, et ceci sans exercer sur eux le moindre contrôle limitant leur liberté, mais seulement pour subvenir à leurs besoins et à ceux de l'oeuvre. Toutes ces activités étendues et croissantes se poursuivirent dans la simple dépendance de Dieu. Nombre de fois, ces frères n'avaient rien en mains pour pourvoir aux besoins si variés de ce service, ou pour leurs dépenses personnelles. Mais toujours en réponse à la prière les fonds indispensables arrivaient au bon moment. Aussi leur foi en Dieu et leur communion avec Lui en furent-elles exercées et fortifiées, tandis que d'autres furent aussi encouragés à marcher par la foi.

En 1836, George Müller ouvrit son premier orphelinat, en louant, pour une année, à Wilson Street, Bristol, une maison où il reçut vingt-six enfants. Il explique comme suit ses raisons pour commencer cette oeuvre: « 1) Afin que Dieu soit glorifié, s'il Lui plaît de me fournir les moyens, et que l'on voie que se confier en Lui n'est pas chose vaine, et qu'ainsi la foi de ses enfants soit fortifiée. 2) Pour le bien spirituel des enfants privés de leurs parents. 3) Pour leur bien temporel». Remarquant que beaucoup de chrétiens sont chargés de soucis et d'anxiétés, il désirait donner une preuve visible, tangible que, de nos jours, comme en tout temps, Dieu entend et exauce les prières, et qu'Il subvient à nos besoins, si nous nous confions en Lui et recherchons sa gloire. Il avait été grandement aidé lui-même par l'exemple de Franke, de Halle en Allemagne, qui, en ne comptant que sur le Dieu vivant, avait construit et entretenu un vaste orphelinat. Il avait l'assurance, qu'à Bristol, une entreprise semblable serait le meilleur témoignage de la fidélité de Dieu dans ce pays. Ses espoirs furent plus que réalisés. Bien qu'il fût souvent réduit à une disette extrême, le nombre des orphelins alla toujours croissant. Cette oeuvre se continua jusqu'à sa mort, à l'âge de 93 ans, et dès lors ses successeurs la poursuivent dans le même esprit. Le grand nombre d'orphelins élevés, dont beaucoup se convertirent, les immenses bâtiments construits, les énormes sommes d'argent reçues et utilisées - tout cela fournit un exemple frappant de la puissance victorieuse de la prière de foi.

En 1837, George Müller publia la première partie de son livre: «Exposé de quelques-unes des dispensations de Dieu envers G. Müller», qui a exercé une influence extraordinaire sur la vie d'un grand nombre de personnes, les encourageant à s'attendre au Seigneur.


120) A Narrative of some of the Lord's Dealings with George Müller».

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