Charles Mosee

Je veux être un vendeur pour Jésus. Je travaille dans le secteur de l’électroménager et je peux dire à mes clients que le réfrigérateur que nous avons est le meilleur que l’on puisse avoir pour son prix. Ce n’est qu’une petite comparaison avec le fait d’être un vendeur pour Jésus. L’Évangile de Jésus-Christ est réel. Il est bon. C’est la plus grande chose au monde. J’ai commencé à vivre lorsque Jésus est entré dans mon cœur.

J’étais à la recherche des choses de ce monde, je voyais ce que le monde avait à offrir en sensations fortes, je cherchais tout ce que je pouvais trouver pour me satisfaire. Si le monde avait de la satisfaction à donner, je l’aurais trouvée.

J’avais des raisons de vivre. J’ai commencé comme animateur de gymnase et instructeur d’athlétisme au lycée. Je me produisais sur scène; je combattais soir après soir sur le ring. J’avais l’habitude de voler la vedette à maintes reprises. Quand j’étais jeune, je savais ce que l’on ressentait quand on entendait la foule hurler et hurler après une performance de dix ou quinze rounds, alors que je me tenais debout, la main droite levée en signe de victoire.

Le jour de mon dix-neuvième anniversaire, j’avais la main droite levée au-dessus de ma tête en tant que champion du Nord-Ouest. N’importe qui aurait pu penser qu’en tant que garçon j’étais sur la bonne voie de la gloire. Mais le lendemain matin, alors que j’étais couché sur mon oreiller, je me suis demandé de quoi il s’agissait. Le problème était que mon cœur n’était pas en harmonie avec Dieu. J’étais sur la mauvaise voie. Je ne cherchais pas dans les bons canaux.

Dieu sait comment traiter chaque individu. Il m’a accueilli dans une petite ville de scierie où il a pu me parler. Puis, lors d’un service de Foi Apostolique, il m’a définitivement appelé. Il n’y avait aucun doute sur la voix de Dieu. Une grande peur s’est emparée de moi, car je savais que Dieu était tout aussi miséricordieux. Je suis retourné au travail, mais les choses n’étaient plus les mêmes après cela.

J’ai prié plusieurs fois, mais je n’ai pas été sauvé tout de suite. Finalement, craignant que Dieu ne m’accepte pas, je me suis épanché en désespoir de cause devant Lui. Une grande transformation s’est produite. Quand Dieu est intervenu, tous les problèmes ont disparu et Il m’a donné la joie et la victoire.

Source: « The Apostolic Faith Church of Portland, Oregon »