Day Wanda

Je me réjouis de la vie merveilleuse que Dieu m’a donnée. Je veux apporter une offrande de louange et de gratitude à la maison de Dieu – un panier de prémices, en quelque sorte, le meilleur de ma vie et tout à mon Dieu qui a tant fait pour moi.

Un jour, j’étais sur le point de périr. J’étais cruellement affligé dans mon corps. Mais ce n’était pas le pire, mon âme était dans les ténèbres. J’avais les bases d’un niveau de vie moral et d’une bonne formation. J’ai essayé de construire une bonne vie sur les fondations brisées des bonnes œuvres. Pendant des années, j’ai apporté ces bonnes œuvres à Dieu, m’attendant à ce qu’Il me fasse grâce, mais il n’y avait aucune grâce.

Lorsque ma santé a été compromise et que j’étais dans une grande obscurité, j’ai continué à examiner la Parole de Dieu, scrutant mes pensées et mes paroles pour voir si elles correspondaient aux normes chrétiennes. J’ai aussi prié, et Dieu m’a aidé. J’étais seul à la maison, le soir du Nouvel An, et j’ai prié: «Ô Dieu, je sais qu’il y a quelque chose qui ne va pas dans ma vie. Veux-tu me montrer ce que c’est? Je suis prête à ce que Tu me le montres de la manière que Tu veux, par tous les moyens que Tu choisiras, par tous ceux que Tu enverras.»

Il ne fallut pas longtemps avant que le Seigneur me le montre à travers Sa Parole. Je lisais dans 1 Pierre 5, où le Seigneur nous exhorte à nous humilier et à nous revêtir d’humilité, à nous soumettre les uns aux autres. Je me suis dit: «Ô Dieu, je ne veux pas me soumettre aux autres.» Puis, grâce à la référence croisée dans la marge de ma Bible, je me suis tourné vers le troisième chapitre de Jacques. J’y ai lu ce que signifie avoir la sagesse qui vient d’en haut, qui est d’abord pure, puis paisible, douce, pleine de miséricorde, de bons fruits, facilement accessibles. Je me suis dit: «Ô Dieu, je ne suis pas facilement accessible.» Quand je pensais qu’une chose était juste et que j’avais une idée, j’étais très déterminé; personne ne pouvait me persuader.

Je remercie Dieu de m’avoir aidé à me repentir. J’ai baissé la tête de honte quand j’ai entendu ce qu’il avait à me dire à propos du péché et du mal dans ma vie. J’ai dit: «Oui, Dieu, je suis coupable.» Il m’a fait verser des larmes de repentance. J’ai pleuré devant le Seigneur. Je lui ai demandé de me pardonner, et il l’a fait. Dieu a mis la foi dans mon cœur pour saisir sa promesse, et j’ai su que j’étais sauvé. Ma vie a changé. Ceux qui n’ont pas fait l’expérience de la nouvelle naissance ne comprendront pas, car ce n’est pas un changement d’esprit, ce n’est pas juste essayer de faire le bien. J’avais fait tout cela. Maintenant, mon cœur était changé. J’avais une nouvelle vie.

Ce qui m’a le plus aidé sur ce chemin, c’est la Parole de Dieu. Dieu m’a guidé et dirigé. Il m’a donné sa voix à travers sa Parole, cette voix derrière moi qui me dit: «Voici le chemin, marchez-y.» Je le loue pour cette vie merveilleuse et bonne.

Juste à côté de la chaire, un dimanche après-midi, le Seigneur m’a sanctifié. Quelque temps plus tard, le pasteur a prêché sur les champs de mission. Il a dit: «Les ouvriers sont si peu nombreux.» J’ai senti que je devais m’offrir pour y aller, mais je savais que je ne pouvais pas y aller sans le baptême. Je me suis agenouillé sur une chaise et j’ai épanché mon cœur au Seigneur, et Il m’a baptisé du Saint-Esprit. J’ai réalisé que je parlais dans une langue que je ne connaissais pas. J’étais si heureux!

Même si je ne suis pas allée très loin de chez moi, l’esprit des champs de mission est dans mon cœur et j’apprécie ce que j’ai pu faire. Je remercie le Seigneur pour la victoire.

Source: « The Apostolic Faith Church of Portland, Oregon »