Lester Nees

Je suis reconnaissant que Dieu m’ait permis de connaître l’Évangile. Il y a des années, il m’a trouvé au coin d’une rue de cette ville, une âme découragée et démoralisée. Je n’étais pas en difficulté financière, mais spirituelle. J’avais parcouru seize États différents à la recherche de la réalité de la vie et je ne savais pas vers où me tourner.

J'ai été élevé dans une merveilleuse famille chrétienne dans l'un des États du sud-est des États-Unis, mais mon cœur a commencé à devenir rebelle et je me suis demandé si le monde n'avait pas quelque chose de mieux à offrir.

Je me suis vite rendu compte que j’allais sûrement avoir des ennuis si je ne donnais pas mon cœur au Seigneur. Il y avait alors de nombreuses religions différentes et peut-être 99 % des gens étaient religieux. J’étais pourtant pleine de doutes et de craintes. J’avais peur de tout ce qui était considéré comme une religion.

Je voulais un changement définitif dans mon cœur et je voulais savoir que le salut était réel.

J’avais parcouru le monde à la recherche de quelque chose qui m’excite, mais je n’avais pas réussi à trouver ce que Dieu avait prévu pour un homme. Je remercie Dieu que lorsque j’ai entendu pour la première fois cette histoire de l’Évangile au coin de la rue Third et Burnside, Dieu ait parlé à mon cœur et m’ait ouvert les yeux. Bien que je n’aie jamais été ivre de ma vie, j’étais un jeune homme insatisfait. En écoutant ce soir-là les témoignages de ces vieux guerriers, racontant comment le Seigneur les avait sauvés et rachetés de leur ancienne vie, je me suis demandé si Dieu ferait un jour cela pour moi. J’étais stupéfait et je pensais que si Dieu faisait ce changement dans mon cœur comme il l’avait fait pour eux, ce serait la plus grande chose au monde. Tout mon prestige et tout le reste ont disparu de ma vue ce soir-là.

J’ai suivi ce groupe de personnes jusqu’à l’église et j’ai écouté le service. Un soir, lorsque l’appel à l’autel a été lancé, je me suis agenouillé sur le banc de pin et j’ai prié. Dieu a répondu et a sauvé mon âme. Je peux dire que la moitié n’a jamais été racontée. Je remercie Dieu pour ce que je ressens dans mon âme chaque jour lorsque je raconte les merveilles de ce grand salut.

Après vingt ans, je suis heureux d’avoir un cœur qui loue la religion d’autrefois. Je n’ai jamais voulu m’en éloigner. Elle me fait du bien tous les jours. Le Seigneur descend et bénit au milieu du trafic des choses ordinaires que les hommes traversent de nos jours. Je peux dire que l’Évangile est adapté à chaque situation. Dieu me donne la paix, la joie et le bonheur. Il y a quelque chose dans l’Évangile qui fait regarder en avant. Il y a des sommets et des profondeurs à atteindre, et je vais obtenir ce que Dieu a pour moi.

Source: « The Apostolic Faith Church of Portland, Oregon »