J.F. Bohrer

Pendant vingt-cinq ans, j’ai confessé mes péchés à un prêtre, mais cela ne m’a jamais servi à rien. Je suis sorti de l’église le même vieux pécheur que j’étais en entrant. Je n’avais jamais vu l’intérieur d’une Bible, je n’avais jamais su un mot de ce livre.

Le temps est venu où j'ai tout abandonné et j'ai dit que la religion n'avait aucune valeur et que je ne confesserais plus jamais mes péchés à un prêtre. Je ne croyais pas que Dieu pouvait mettre un homme au purgatoire où il pouvait être exaucé par la prière. J'en avais assez des faux-semblants. Je ne croyais même pas qu'il y avait un Dieu. Mais, grâce à Dieu, je sais aujourd'hui qu'il y a un Dieu au Ciel. J'ai trouvé la réalité. J'ai trouvé la sortie du péché.

J'ai trouvé la réalité. J'ai trouvé la sortie du péché.

Un jour, les gens de la Foi Apostolique ont prié pour mon voisin, un jeune homme qui marchait avec des béquilles depuis quinze ans. Il avait la tuberculose dans une jambe et semblait n’avoir que la peau et les os. Il n’avait jamais travaillé de sa vie. C’était le fils d’une veuve. Les médecins avaient échoué, mais ces gens l’ont rencontré à trois pâtés de maisons de chez lui et lui ont dit de s’asseoir sur une vieille bûche. À la demande de sa mère, ils se rendirent chez lui pour prier pour lui. Ils l’ont oint d’huile selon Jacques 5:14 et ont fait la prière de la foi, et Dieu a guéri ce garçon instantanément! Il est rentré chez lui à pied sans ses béquilles. En quelques mois, le garçon a pris du poids jusqu’à peser 98 kilos, l’image même de la santé, et s’est mis à travailler dans le genre de travail le plus dur.

J’étais un incroyant misérable, mais ce cas m’a sauté aux yeux.

Peu de temps après, je suis allé à l’une de ces réunions de la Foi Apostolique avec mon père. À l’époque, il avait soixante-douze ans et souffrait d’une otite. La mère du garçon qui avait été guéri a dit: «Descends et demande à ces gens de prier pour ton père et Dieu le guérira comme il a guéri mon fils.» C’est à cause de ce cas que nous sommes arrivés à l’Église de la Foi apostolique.

À la fin de cette réunion, nous avons tous deux été invités à l’autel de la prière; et là, pour la première fois de ma vie, on m’a dit que si j’étais prêt à abandonner mes péchés et à servir le Seigneur de tout mon cœur, Dieu me sauverait de tous mes péchés et me donnerait la victoire sur mon ancienne vie.

Juste là, j'ai crié grâce et Dieu m'a sauvé et je le savais.

Ils ont dit: «Tu sauras quand tu seras sauvé.» C’est ce que je voulais. Je voulais savoir, et je remercie Dieu de l’avoir su avant de franchir cette porte. À cet instant, j’ai imploré la miséricorde et Dieu m’a sauvé et je l’ai su. J’ai su que j’avais le témoignage que le Sang de Jésus était sur mon cœur. La puissance de Jésus était réelle. J’ai su à cet instant que j’étais un enfant de Dieu, né de nouveau. J’ai utilisé la pipe pendant vingt-cinq ans, mais je n’ai jamais eu le désir d’en avoir depuis ce jour jusqu’à aujourd’hui.

Quand mon père a prié, sa vie a changé aussi. Cette habitude de fumer avait disparu. Il n’en avait plus envie. Il avait utilisé la pipe pendant soixante ans. Mon père jurait comme moi, mais mon père et moi ne jurons plus. Une fois sauvés, les vieilles habitudes ont disparu. Toutes les habitudes anormales ont disparu.

Ma santé était défaillante, mais je suis aujourd’hui en meilleure santé qu’à l’époque, car le Seigneur est intervenu et m’a donné la santé. J’ai détruit les flacons de médicaments et les pilules – un panier entier. Je connais un Dieu puissant qui guérit. Lorsque nous sommes malades, nous l’invoquons et il nous guérit.

Source: « The Apostolic Faith Church of Portland, Oregon »