Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

VIENS ET VOIS

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LE VERSET A-T-IL CHANGÉ?


Une pauvre femme se rendit à une réunion d’évangélisation. Elle lut amenée à la lumière par un petit verset du cinquième chapitre de Jean:

«En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole et qui croit à celui qui m’a envoyé a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie».

L’évangéliste lui donna le verset écrit sur une petite carte et elle retourna chez elle pleine de joie avec son petit garçon. Ce soir-là, ils se couchèrent heureux comme des anges. Mais, le matin venu, elle descendit déjeuner aussi triste que jamais, le visage sombre et le cœur entièrement découragé. Elle avait passé une nuit de lutte, de doute, de craintes, et, lorsque son petit garçon lui demanda ce quelle avait, elle fondit en larmes et dit:

«Oh, c'est fini, je croyais être sauvée, mais je me sens aussi mauvaise que jamais».

Le petit bonhomme parut tout bouleversé et dit:

«Quoi, Maman, ton verset a-t-il changé? Je vais aller voir».

Il courut à la table, ouvrit la Bible, prit la petite carte et lut:

«En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole et croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie.»

«Eh bien! Maman, dit-il, IL N’Y A RIEN DE CHANGÉ DU TOUT, il est exactement le même qu’hier, IL N’Y A RIEN QUI AILLE MAL AVEC LE VERSET».


La maman regarda en souriant le petit prédicateur dont la simple confiance avait suffi à la sauver et, le prenant dans ses bras, elle remercia Dieu de ce que Son précieux verset était toujours le même et de ce que sa paix était établie sur la Parole Éternelle de Dieu.

N’est-ce pas là ce que l’Apôtre veut dire?

Nous sommes justifiés, maintenant, saisissons la paix et gardons là.


Ce n’est pas seulement le pardon,

mais c’est un décret éternel.


Marchons en y puisant notre force et ne permettons jamais à l’ombre d’un doute ou d’une crainte de venir assombrir notre ciel ensoleillé.

«Elim Evangel»

Source: https://pentecostalarchives.org/

Viens et Vois 1932- 10


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