Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

VIENS ET VOIS

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TÉMOIGNAGES


Étant dans ma 79e année, j’étais atteint, depuis vingt ans, d’une maladie de foie très prononcée; ma peau était jaune comme celle d’un citron et je souffrais constamment de maux d’estomac; condamné au régime végétarien le plus strict, j’étais tombé dans une extrême faiblesse. Malgré les soins dévoués de mon docteur, les crises de foie se succédaient et aucune amélioration ne se produisait dans mon état de santé.

Ma faiblesse étant sans cesse grandissante, j’eus l’heureuse idée de faire appel au Pasteur de l'Église Évangélique, M. Daniel Farina, qui s’empressa de venir me voir, car j’étais dans l’impossibilité de marcher. Au cours de sa visite, il adressa une prière au Seigneur et me fit l’imposition des mains.

Quelques jours plus tard, je sentis un soulagement appréciable, ma jaunisse avait complètement disparu et aucune crise ne m’avait repris. Depuis ce jour je constate une amélioration régulière dans mon état, mes maux diminuent et les forces reviennent progressivement; je travaille tous les jours, ayant abandonné le régime végétarien et je puis manger de tout sans ressentir aucun mal.

Je certifie que c’est par la grâce de Jésus notre Seigneur que j’ai été délivré et je crois en Lui. Je lui suis reconnaissant pour le prompt secours qu’il accorde à toute demande.

M. Auguste A., Les Damps par Pont-de-l’Arche (Eure).


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Je suis heureuse de pouvoir rendre témoignage à l’amour de Dieu et à Sa grande puissance, déployés en ma faveur. Je souffrais depuis dix ans d’hémorragies nasales et, après avoir suivi beaucoup de traitements différents, je fus finalement déclarée «incurable» par les docteurs, mon mal provenant du cœur.

Ayant appris qu’on prêchait l’Évangile dans une salle, je m’y rendis et je me confiai de tout mon coeur au Seigneur Jésus après quelques luttes spirituelles.

Dès mon retour à la maison, j’eus trois hémorragies consécutives, mais le Seigneur me donna la force de persévérer et mon plus grand désir fut de retourner à la réunion évangélique. Depuis près de dix-huit mois, j’ai abandonné tout médicament me confiant uniquement en Jésus et à Sa Parole, et II m’a délivrée!

Je bénis le Seigneur de m’avoir ainsi amenée à Sa merveilleuse lumière et de m’avoir donné Sa paix.

Il m’a fait comprendre qu’il était le même qu'autrefois pour pardonner les péchés et pour guérir toute maladie. Je désire, de tout mon cœur, que ceux qui souffrent physiquement ou moralement puissent faire la même expérience que la mienne en se prosternant aux pieds de Jésus, en le prenant pour leur Sauveur et leur Guide en ces temps difficiles. Il est doux d’appartenir à ce divin Maître. Il est la Vérité et la vie; Sa Sainte Parole est une lumière, chaque jour, sur notre sentier.

Mme Berthe, Albi (Tarn).


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C’est à la gloire du Seigneur qu’aujourd’hui je puis témoigner de Son inlassable bonté à mon égard. Il y aura bientôt onze ans que je confessai le beau Nom de Jésus dans les eaux du baptême.

Après quelques années, je subis quelques épreuves desquelles j’aurais pu triompher (je le dis à ma honte) si j’avais eu réellement l’amour de Christ dans le cœur et... je m’éloignai de l'Assemblée... Cependant je n’abandonnai jamais ni la prière, ni la lecture de la Parole de Dieu, mais je ne jouissais plus pleinement de la Présence du Seigneur.

Pendant plus d’un an, nous fûmes, mes enfants et moi, constamment malades; j’étais triste, tourmentée et découragée. Me souvenant des promesses que j’avais faites à l’Éternel, je ne méprisai pas la correction, car «Dieu châtie ceux qu’il aime», et, en décembre 1942, je me sentis tellement misérable et je me jetai éperdument au pied de la croix de Jésus.

Qu’il me fut doux, alors, dans une pleine et entière communion avec le Seigneur d’implorer Sa grâce et, gloire Lui soit rendue, Il me l’accorda immédiatement. Si, bien souvent, j’ai pleuré sans être consolée, ce furent des larmes de joie qui coulèrent de mes yeux ce soir-là. Et je puis réaliser, maintenant, la plénitude de l’Esprit!

Oh! Alléluia! Quelle joie règne, désormais, dans mon cœur; je chante à l'éternel, je chante le beau Nom de Jésus! J’ai cru et j’ai vu la gloire de Dieu! Que Son Saint Nom soit béni!

Mme H., Darnétal (Seine-Inférieure).


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Née en Italie, de très bonne famille, j’ai eu la douleur, après quelque temps de mariage, de voir mon mari, atteint de folie, s'adonner au jeu. Perdant de fortes sommes (jusqu'à 200.000 et 300.000 fr. par soirée), il eut tôt fait de dissiper tous nos biens et il me fallut envisager de me mettre moi-même à travailler afin d’assurer son existence, la mienne et celle de nos 4 enfants.

Étant jeune fille, j’avais commencé mes études de médecine; c’est donc dans cette voie que je décidai d'orienter ma vie; je repris mes cours, passais mon doctorat et, espérant trouver dans les voyages un apaisement à ma peine, je m’embarquais, en qualité de doctoresse sur les bateaux sillonnant le monde, laissant mon mari et mes enfants aux soins d’une gouvernante.

Par un soir de très mauvais temps, alors que j’étais de service, je dus relever un malade qui avait été projeté à terre; l’effort que je fis pour le remettre sur sa couchette m’occasionna une énorme déchirure au ventre; je me vis dans l’obligation de cesser mon travail et de rester alitée pendant dix ans, sans obtenir ni guérison, ni amélioration dans mon état. Bien au contraire, j'eus, par la suite de l’hydropisie, mes médecins et professeurs qui me visitèrent déclarèrent ne pouvoir rien faire pour moi. Je me vis condamnée à dix nouvelles années de lit.

C’est à ce moment-là que j’entendis parler de réunions où par l’imposition de mains faite au Nom de Jésus, les malades étaient guéris. J’y allai et si je n’y trouvai pas immédiatement la guérison de mon corps, j’y trouvai le salut de mon âme.

J’ai accepté Jésus comme mon Sauveur personnel, je Lui ai donné mon cœur et trois mois plus tard, le Seigneur m’accordait la guérison complète de mon corps. Gloire à son merveilleux Nom!

Peu après, j’ai eu de la gangrène à un pied; déjà la plante de ce pied était noire comme pourrie. Malgré mes voisines qui voulaient m’empêcher de marcher, je me rendis, ou plutôt me traînai jusqu’à la réunion qui avait lieu afin que l’on priât pour moi en m'imposant les mains. Ce qui fut fait. Le lendemain, ma chair était devenue comme celle d’un jeune enfant; mon pied ne portait plus aucune trace de gangrène.

Par la suite j’ai fait de l’angine infectieuse avec forte fièvre (40°2); je souffris beaucoup, mais une fois de plus j’eus recours à Dieu. Sachant qu’il pouvait me délivrer comme précédemment j’ai placé en Lui ma confiance et là encore ma guérison a été immédiate.

Les bénédictions de Dieu ne se sont pas arrêtées là, mais se sont étendues aussi à ma famille.

Une de mes filles avait eu, durant sa grossesse de l’eczéma et à sa naissance l’enfant en était couvert. Nous l’avons amené à l’imposition des mains et la maman et le bébé ont été complètement guéris.

Il me serait difficile d’énumérer toutes les grâces que le Seigneur m'a accordées depuis que je lui appartiens, mais chaque jour je vois Sa main à l’œuvre. Il a changé ma tristesse en joie et auprès de Lui j’ai trouvé la paix et le bonheur que j'avais cherchés en vain en parcourant le monde entier. A Lui seul toute la Gloire.

Mme G., Marseille.

Source: https://pentecostalarchives.org/

Viens et Vois 1943 - 08


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