Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

VIENS ET VOIS

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TÉMOIGNAGES



«Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement» (Hébreux XIII, 8)

J’ai eu la joie de recevoir le Seigneur comme mon Sauveur il y a quelques années. J’ai déposé mes fardeaux et mes péchés à Ses pieds et j’ai reçu le «don» de la Vie Éternelle.

Quelque temps plus tard, mon mari se convertit, ce fut la transformation complète du foyer et la vie nouvelle pour moi. Le 5 juillet de l’an dernier, alors que j’attendais mon sixième enfant, je fus frappée d’une congestion pulmonaire, cas aggravé par le cœur malade au dernier degré. Le médecin parlait d’une situation extrêmement grave et ne donnait aucun espoir de guérison.

Me rendant compte de mon état, je me résignai à toute éventualité. Neuf jours plus tard, un serviteur de Dieu vint prier avec moi. La Parole de Dieu ayant mis en mon cœur une telle confiance, je décidai de m’abandonner entièrement au Seigneur pour ma guérison en rompant avec l’aide impuissante offerte par les hommes.

Dès l’instant où cette foi entra dans mon cœur, la fièvre commença à baisser et, le lendemain, j’étais en voie de guérison; enfin après quelques jours je me trouvais complètement remise.

Une quinzaine plus tard, je rechutai, alors que tout semblait aller pour le mieux et la raison de ce contretemps me fut bientôt révélée.

J’avais eu dans mon cœur un moment de doute et de crainte et j’avais oublié que celui qui se confie à Dieu n’a rien à craindre.

La leçon bien apprise, je fus à nouveau guérie miraculeusement par Jésus-Christ. Depuis, j’ai eu la joie de mettre au monde une petite fille resplendissante de santé. Et, moi-même, je puis reprendre ma tâche dans le ménage en glorifiant Dieu pour Ses nombreux bienfaits.

Mme B., Argenteuil (S.-et-O.).


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«Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la détresse» (Psaume XLVI, 1). 

Depuis onze ans que j’appartiens au Seigneur, Il m’a souvent prouvé son amour et sa puissance de guérison. Je fus très gravement blessé à la tête par un éclat d’obus le 27 mai 1940, alors que j’étais à Calais. Quand je repris connaissance... j’étais aveugle et fus transporté dans une cave où je restai longtemps sans aucun soin.

Je subis ensuite la trépanation à Boulogne. Dans ma détresse je criai à Dieu avec larmes, lui demandant de me rendre la vue et sentant que cette épreuve était au-dessus de mes forces. Dieu, dans son amour, entendit mes supplications, car, le quatrième jour, je recouvrai la vue.

Je restai cependant entre la vie et la mort assez longtemps en proie à de fréquentes hémorragies. À chaque pansement, le chirurgien désespérait de me sauver. Enfin je fus déclaré guéri le 30 juin, mais le 8 juillet je contractais une pleurésie et une pneumonie; je crus que le Seigneur voulait me reprendre cette fois-ci, et je dis en mon cœur:

«Que Ta volonté soit faite!»

Mais il lui a plu de me guérir; on m’a appelé «le ressuscité». Voici le diagnostic à ma sortie d’hôpital: trépanation occiputale; foyer pleuro-pulmonaire à pneumocoque avec épanchement puriforme.

Le Seigneur a terminé Son œuvre au foyer et je suis maintenant rétabli. À Dieu soit toute la gloire!

M. Henri G., Harfleur

Source: https://pentecostalarchives.org/

Viens et Vois 1942 - 04


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