VIENS ET VOIS

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TÉMOIGNAGE

«Quelqu’un parmi vous est-il malade?

Qu’il appelle les anciens de l’Église, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au nom du Seigneur; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera.» (Jacques V, 14-15.)

Au mois de décembre 1939, mon petit garçon, Jean, âgé de sept ans, eut une nuit agitée par les cauchemars et il ne cessa de se plaindre. En se levant, le lendemain, il marchait difficilement, mais le surlendemain le mal s’aggrava et il lui fut impossible de faire le moindre pas.

Le docteur appelé d’urgence déclara qu’il s’agissait d’une pointe de paralysie infantile et dit, en outre, que le mal était incurable. C’est alors que je fis appeler M. Marc Nicolle, pasteur de l’Église de Calais; l’enfant fut oint d’huile au nom du Seigneur et à la visite du pasteur, un mois plus tard, l’enfant marchait déjà depuis une quinzaine de jours, mais à cause de son «déhanchement» il reçut de nouveau l’imposition des mains au nom du Seigneur et, depuis ce jour, toute trace de mal a disparu; l’enfant peut courir, sauter, aller à bicyclette, aussi bien qu’auparavant.

Le docteur «n’en revient pas!» Gloire à Jésus!

Un certain matin, au cours du mois de mai, en se levant, l’enfant fut pris de maux de tête et de vomissements; le thermomètre monta jusqu’à 39°9. Le docteur déclara une «action méningée»; le pauvre petit était tout raide dans son lit. M. Marc Nicolle fut, à nouveau, appelé et l’enfant reçut une seconde fois l’onction d’huile au nom du Seigneur; il semblait alors être réellement mourant. Cependant, peu de temps après, il ouvrit les yeux et nous comprîmes qu’il était sauvé encore une fois.

Le docteur, à sa visite du lendemain, fut très surprise! déclara que l’enfant était sauvé; il était déjà assis sur son lit. Quelques jours plus tard, il n’y paraissait plus et depuis il se fortifie, grandit, a bon appétit et bon sommeil. Gloire au beau nom de Jésus!

Nous sommes heureux de donner ce beau témoignage à la gloire de Dieu; notre cœur Lui restera attaché jusqu’à notre dernier souffle!

M. et Mme G., Rosendaël (Nord).

Source: https://pentecostalarchives.org/

Viens et Vois 1941 - 11