VIENS ET VOIS

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TÉMOIGNAGES


«Jésus leur répondit: allez rapporter à Jean ce que vous avez vu et entendu: les aveugles voient, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts ressuscitent, la Bonne Nouvelle est annoncée aux pauvres.» (Luc VII, 22).

C'est avec une grande joie que je puis témoigner de la puissance de Dieu. Je le bénis parce qu'après mes égarements et mes chutes, Il a permis que je revienne à Lui. C’est dans l’Assemblée de la «Bonne Nouvelle» (Paris, 47, rue de la Cour-des-Noues) que j’ai été touchée par la grâce de Dieu en entendant la prédication de Sa Parole; il y a quatre ans et demi de cela; j’ai reçu, alors, l’assurance que je devenais une nouvelle créature, pardonnée et héritière de la vie éternelle.

Ainsi, après une vie tourmentée, j’ai enfin trouvé le repos, la joie et la raison de vivre dans un abandon complet entre les Mains de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le Ressuscité, mon Sauveur et mon Seigneur.

Tout récemment. Il vient de se manifester puissamment en me délivrant d’un horrible cancer et je suis heureuse de rendre témoignage tout à Sa Gloire!

En juin 1940, je commençai à souffrir de douleurs au cou: une grosseur apparut qui prit rapidement de grandes proportions; en quelques mois, elle gagnait la gorge et je craignis d’étouffer. Me trouvant, alors, dans une réunion de prières de l’Assemblée, tous ensemble, nous avons crié à Dieu et le mal a été subitement arrêté et repoussé vers le sommet de l’épaule droite.

Quelques jours plus tard, poussée par la curiosité, j’allai voir un docteur qui, me déclarant le cas très grave, me conseilla d’aller sans retard consulter les spécialistes de l’Hôpital. Là, je subis un examen médical complet, y compris une radio. On voulut me garder afin de m’opérer d’urgence, mais je refusai obstinément, et je rentrai chez moi avec la conviction absolue que Dieu pouvait me guérir Lui-même; puisqu’il avait déjà posé Sa Main à cet endroit, je savais qu’il achèverait l’œuvre commencée par Sa grâce.

Cette grosseur cancéreuse resta superficiellement stationnaire pendant quelques mois, mais, au début de janvier dernier, le mal s’aggrava. Notre pasteur avait mis au cœur des frères et sœurs de prier pour ce cas qui, à vues humaines, paraissait désespéré.

À la fin de janvier, le mal avait pris une telle ampleur qu’à moins d’une intervention divine, il n’y avait qu’à attendre la mort. C’est à ce moment que notre pasteur me dit:

«il ne s’agit pas de prier un peu, comme pour un cas sans autre gravité, il faut absolument vous tenir constamment dans la prière jusqu’à la délivrance; même, s’il le faut, passez la nuit entière et davantage encore à crier à Dieu, jusqu’à ce que vous receviez la réponse du Seigneur vous promettant l’exaucement, car Dieu peut encore vous guérir, mais il faut absolument crier à Dieu tout le temps nécessaire en laissant tout le reste de côté.»

Une jeune sœur en Christ me proposa alors de passer la soirée et la nuit en prière avec moi; c’est ainsi que nous avons prié depuis sept heures du soir à cinq heures du matin. À ce moment précis, le Seigneur nous donna, à l’une comme à l’autre, l’assurance merveilleuse que l’exaucement nous était accordé et qu’il fallait saisir la guérison par la foi.

Le dimanche suivant, notre pasteur me fit l’onction d’huile au Nom du Seigneur et il m’imposa les mains. Le soir même, un point jaune apparaissait sur cette vilaine grosseur cancéreuse. Dans la nuit du lundi au mardi 28 janvier, je m’étais endormie paisiblement; pendant mon sommeil, le Seigneur vint confirmer Sa promesse et faire Lui-même l’opération; c’est ainsi que je m’éveillai à une heure du matin inondée, linge de corps, oreiller, matelas tout trempés, non pas dans la souffrance, comme lorsqu’on se réveille encore sous l’action du chloroforme, mais dans la joie de la délivrance, avec un cantique de louange et de reconnaissance dans le coeur.

On ne pouvait plus voir qu’un tout petit trou, semblable à une piqûre d’aiguille; la grosseur avait entièrement disparu et c’est avec une réelle stupéfaction que le docteur constata la disparition totale de ce cancer.

Gloire au Seigneur Tout-Puissant! Je le bénis pour cette entraide fraternelle dans la prière où je me suis sentie si réellement soutenue dans les jours mauvais et pour cette ressource merveilleuse et efficace qu’est la prière fervente.

Dieu entend la prière du plus misérable!

Gloire à ce merveilleux Sauveur! Je veux Lui rester fidèle pour accomplir Sa volonté!

M B., (Paris-11e).

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Je rends gloire à Dieu et je bénis mon Sauveur à cause de Sa bonté à mon égard dès le jour où j’ai été appelée à Sa Sainte Parole en 1933.

Je vins pour la première fois aux Réunions évangéliques en vue de ma propre guérison, souffrant d’un ulcère à la cheville depuis 32 ans; aucun docteur n’avait pu me guérir.

À la suite de l’imposition des mains, j’ai été complètement guérie; je souffrais aussi de rhumatismes, depuis plus de 20 ans, dans les épaules et les bras. J’ai essayé de tous les remèdes possibles sans aucun succès, mais le Seigneur a opéré Lui-même ma guérison. Guérie aussi d’un début de bronchite. Dieu est bon et miséricordieux!

Je remercie mon Sauveur pour toutes les grâces qu’il m’accorde; Il a sauvé mon âme, Il m’a pardonné mes péchés et Il m’a donné l’assurance de posséder la Vie Éternelle.

Je suis descendue dans les eaux du baptême le 21 novembre 1937 et je veux le servir fidèlement jusqu’à la fin.

Gloire au merveilleux nom de Jésus! Alléluia!

Mme A., Rouen.

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Je donne gloire à Dieu pour son infinie bonté à mon égard. Avant de connaître Sa Sainte Parole, j’étais un païen et j’avais de tristes passions, mais le Seigneur m’en a délivré. J’étais la terreur de mon propre foyer, mais mon Sauveur a transformé ma nature. Il a fait de moi une nouvelle créature! À Lui soit toute la Gloire! Mon âme est sauvée et je verrai le Seigneur face à face! Que le glorieux Nom de Jésus soit béni!

M. L., Neuville-Lès-Dieppe (Seine-Inférieure)

Source: https://pentecostalarchives.org/

Viens et Vois 1941 - 08