VIENS ET VOIS

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TÉMOIGNAGES

«J’aime l’Éternel, car il entend ma voix, mes supplications;

Car il a penché son oreille vers moi; Et je l’invoquerai toute ma vie.»

(Psaume CXVI, 1 et 2.)

Je souffrais d’ulcères variqueux aux chevilles depuis près de neuf ans. Je ne pouvais plus me chausser, j’avais perdu le sommeil à cause des terribles douleurs que j’endurais. J’ai essayé bien des remèdes et fait beaucoup de pèlerinages sans grand résultat. Un jour, un enfant de Dieu rencontré incidemment sur le marché me conseilla d’aller à la salle d’évangélisation de Louviers, m’assurant que la puissance du Seigneur Jésus pouvait me guérir.

Aujourd’hui, je glorifie mon Sauveur, car j’ai reçu de Lui l’exaucement à mes supplications et je suis heureux d’avoir été l’objet de Sa tendre sollicitude. J’ai compris la Parole de la Vérité et je souhaite que beaucoup puissent faire la même expérience.

Je rends gloire à Dieu pour Sa miséricorde inlassable par laquelle j’ai été guéri et je remercie tous ceux qui m’ont aidé à me rapprocher de Lui.

Que le Seigneur soit à jamais béni!

M. Jules L., Acquigny (Eure).

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Nous extrayons du Christianisme au XXe siècle, daté du 22 mai 1941, l’article qui suit:

Puissance de la prière

On nous écrit:

Par une nuit froide de décembre dernier, le pasteur est réveillé: des parents le demandent à l’hôpital pour baptiser leur enfant qui va mourir. Aussitôt le pasteur part et arrive en toute hâte au chevet du petit garçon.

Il y a à peine quelques jours, l’enfant (7 ans) a pris froid; par la suite, une méningite s’est déclarée et les docteurs, après avoir épuisé les ressources de la science, ont quitté l’hôpital, disant aux parents que le petit ne passerait pas la nuit.

C’est alors que les parents pensent au pasteur, et la mère — catholique — se dit que son garçon partirait donc sans avoir reçu le baptême?...

Le pasteur trouve ce ménage désespéré: l’enfant commençait à râler. Alors, troublé en lui-même, il crie à Dieu de faire un miracle, de rendre cet enfant à sa mère. Et il prie avec une foi décuplée par ces instants tragiques. Puis il dit aux parents: «Continuez de prier.»

Rentré chez lui, le pasteur passe lui-même la nuit en prière.

Le lendemain matin, il court à l’hôpital: l’enfant vivait! Les docteurs n’en revenaient pas; et, peu de jours après, le petit garçon demandait à manger! Quinze jours plus tard, le petit Pierre venait retrouver à la maison ses petites sœurs (5 ans 1/2 et 8 mois).

Je connais ces enfants et leur mère, qui tient un modeste petit magasin de journaux: le père vient de trouver du travail à Courbevoie.

L. B. R.

Source: https://pentecostalarchives.org/

Viens et Vois 1941 - 07