Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

VIENS ET VOIS

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TÉMOIGNAGES


Je suis heureuse de donner mon témoignage à la gloire de Jésus-Christ mon Sauveur. Je lui appartiens depuis bientôt trois ans et je puis dire que ma vie a été transformée. J’ai d’abord été l’objet d’une guérison divine à la première imposition des mains. À la suite d’une commotion cérébrale, j’étais atteinte d’une paralysie de tout le côté gauche depuis trois ans. De l’avis des docteurs, j’étais incurable. Inutile de dire que, devant ma de brisée, j’étais devenue neurasthénique au dernier degré.

Mais, gloire soit rendue à mon Sauveur qui a guéri miraculeusement tout mon corps et, ce qui est plus merveilleux encore, II a guéri mon âme. Je ne saurais exprimer l’immense paix, la lumière et la joie que Dieu a mises en moi depuis ce jour béni.

J'ai eu la joie de descendre dans les eaux du baptême pour proclamer ma foi dans le Seigneur Jésus, car je sais maintenant, par expérience, qu’il a souffert sur la croix de Golgotha pour mes péchés, que je suis sauvée par Ses souffrances et que j’ai en moi la Vie Éternelle. Aussi, je rends gloire à mon Sauveur pour toutes ses grâces envers moi et je veux le servir éternellement.

Mon plus grand désir serait que mon témoignage, fait en toute liberté et en toute sincérité, puisse orienter beaucoup d’âmes vers le Seigneur et leur permettre d’expérimenter la vie vraiment heureuse que l’on ne trouve qu'en Dieu seul. Alléluia!

Mme L. L., 
Paris (17e).


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Je rends témoignage, au nom de notre Seigneur, de ce qu’il a fait en ma faveur. Je suis heureuse de l’écrire, car les paroles sortent du cœur. J’étais souffrante depuis des années et, ayant subi une opération, j’étais découragée. Une amie, maintenant sœur en Christ, convertie à la Parole de Dieu, me conseilla d’aller à l’imposition des mains dans les réunions auxquelles j’assistais. Après quelques impositions des mains, je sentis que le Seigneur m’avait exaucée, car dans mon exode je n’ai jamais souffert, j’ai cependant parcouru 450 kilomètres tandis qu’autrefois il m’était impossible de faire 2 kilomètres sans souffrir.

Depuis mon enfance, j’ai appris à connaître et à aimer la Parole de Dieu dans une Mission évangélique fondée par le pasteur Le Coat et j’en ai gardé la divine semence dans mon cœur. Cette «Parole» a été ma force et mon soutien dans les épreuves, dans les maladies. Ma foi ne m’a jamais fait défaut, même dans les jours si tristes que nous traversons actuellement.

Vous, frères et sœurs en Christ, vous qui avez le privilège d’assister à des réunions, d’être unis dans la prière, demandons tous à notre Seigneur de garder notre foi pour que nous lui restions fidèles jusqu’à Son glorieux retour. À Dieu seul soit toute la gloire!

Mme D.,
 par Tragny-sur-Epte (Oise).


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Je remercie Dieu de ce qu’il m’a appelé dans ma jeunesse. Avant de connaître la vérité, j’aimais les plaisirs du monde: cinémas, théâtres, etc... Je ne cherchais pas Dieu. Je vins pour la première fois dans une salle évangélique, pour faire plaisir à ma mère; c’était en 1934, la réunion était présidée par Mr. Jeffreys. Lorsque le prédicateur fit «l’appel», ma mère insista pour que je lève la main; mais je me promis bien de ne plus revenir jamais dans ces réunions... Dieu, dans son immense amour, m’appela à nouveau le 1er janvier 1938 et je résistai une seconde fois à l’appel divin. Puis, je fus attiré par les réunions de Mr. Scott, que je ne suivais que le vendredi seulement, parce que, le dimanche, je sortais dans les plaisirs du monde. Un certain jour, Mr. Scott dit: «Jusques à quand aurez-vous les pieds perclus... ; vous boitez des deux côtés...»

Ce fut comme un trait de lumière dans mon cœur. Depuis ce jour, ma vie changea et je suis heureux maintenant d’appartenir au Sauveur. Je suis descendu dans les eaux du baptême, le 17 mars 1940, pour confesser Son beau Non et Lui promettre fidélité. J’attends maintenant Son glorieux retour et la paix pour l’étenité! Gloire à Son Saint Nom!

M. B. Bernard. Petit-Quevilly (S.-L).


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UN SILENCIEUX MESSAGER


Un grand marchand de pierres précieuses emballait avec soin quelques diamants de valeur, destinés à l’un de ses clients établi aux Indes. Pour cela, il se servit d’un papier souple et fin (convenant parfaitement à cette précieuse marchandise) qu’il arrachait feuille après feuille d’un gros volume placé devant lui. Ce volume était une Bible qui avait été déjà souvent mise à contribution pour cet emploi.

Arrivé à la plus précieuse de ses pierres, le marchand employa les trois premiers chapitres de l’Évangile de Jean.

Le destinataire, un Indou, reçut le tout et se trouva en possession d’une page du Livre de Vie, sur laquelle il lut ces mots: «Car Dieu a tant aimé le monde, etc...»

Confondu par une semblable déclaration, il y pensait sans cesse.

«Oh! que n’ai-je appris cela plus tôt!», s’écria-t-il. Par la puissance du Saint-Esprit, la Parole produisit son effet dans son cœur.

«Quiconque, se disait-il, c’est sûrement moi! ALORS, JE PUIS ÊTRE SAUVÉ!»

Et il accepta, par la foi, ce merveilleux salut. Il en parla autour de lui et quand un missionnaire traversa cette région, ne pensant rencontrer que des païens, il y trouva une assemblée chrétienne florissante.

Source: https://pentecostalarchives.org/

Viens et Vois 1940 - 11


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