VIENS ET VOIS

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TÉMOIGNAGES

Je rends gloire à Dieu pour les grands miracles qu’il a accomplis en moi en me délivrant de la paralysie.

Je suis restée sans pouvoir marcher pendant trois ans (de 1935 à 1938), et aucun docteur n’a pu me guérir; à leur avis, il n’y avait pas de guérison. Ne comprenant pas mon cas, ils voulurent me faire transporter à l’hôpital afin de mieux examiner mon état et pour savoir si cette maladie résidait dans la moelle épinière ou ailleurs. Mais je refusai. Je luttai pendant trois ans; la guérison vint lentement, mais sûrement et, maintenant, je suis entièrement guérie!

Les docteurs ne comprennent rien à ma guérison, mais moi je sais que c’est le Seigneur qui a fait ce miracle! Gloire à Son Nom!

Outre cela j’ai été guérie d’un eczéma aux mains que j’avais contracté il y a une dizaine d’années. Je ne pouvais presque pas me servir de mes mains et surtout je ne pouvais pas les mettre dans l’eau. À la suite de quelques impositions des mains, le Seigneur m’en a guérie complètement. Maintenant, je puis tout faire, même la lessive.

Sans le Seigneur, je ne serais certainement plus de ce monde. Je Lui rends gloire et je veux Lui rester fidèle jusqu’à ce qu’Il vienne me prendre ici-bas.

Mme M. R., Le Havre, le 12 février 1940.

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Je bénis le Seigneur pour la merveilleuse guérison qu’il m’a accordée. Ayant répondu aux ordres de la mobilisation, je tombai gravement malade peu de temps après. Envoyé d’urgence à l’hôpital, les docteurs trouvèrent mon cas tellement sérieux qu’ils me proposèrent pour le Conseil de Réforme. Je fus renvoyé aussitôt chez moi dans un état de faiblesse alarmant, car j’étais atteint d’une maladie de poitrine. Revenant au Havre, je fis un court séjour à l’hôpital.

Effrayé de me trouver en compagnie des incurables, je demandai à rentrer chez moi, me souvenant que le Seigneur m’avait déjà guéri, il y a quelques années. Je demandai la visite de M. Gallice qui vint m’imposer les mains au Nom du Seigneur et à nouveau, le Seigneur agit merveilleusement. Il entendit la prière de son serviteur et après un certain temps, ma santé s’améliora à tel point qu’il me fut possible de reprendre mon travail à l’usine. Mon grand désir est de rester fidèle au Seigneur jusqu’à la fin. À Dieu seul soit toute la gloire!

René B., Le Havre.

Source: https://pentecostalarchives.org/

Viens et Vois 1940 - 07