VIENS ET VOIS

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TÉMOIGNAGES

J’ai trouvé la perle précieuse, le bonheur ineffable, la paix du cœur que seul le Sauveur peut donner. Je rends gloire au Seigneur Jésus, car en LUI, j'ai trouvé la joie du salut; je le louerai tant que je vivrai!

Je dus quitter mon travail en 1930, épuisée par le surmenage et la maladie; la vie me devenait insupportable et la seule délivrance que j’entrevoyais était la mort! J’étais neurasthénique et malheureuse. J’ai recherché la paix dans l’Église Catholique, mais je revenais de la messe plus triste encore qu’à mon départ, n’ayant rien trouvé pour combler le «vide de mon cœur». Maintenant, gloire à Dieu qui m’a sauvée de cette triste vie!

Ayant entendu parler d’une Salle d’Évangélisation à Liévin, je m’y rendis, en curieuse, avec quelques amis. Je fus immédiatement touchée par la prédication et l’exposition si simple du plan du Salut. Au moment de l’imposition des mains aux malades, je suivis timidement la foule et quand la dame qui était devant moi eut terminé sa prière, je lui dis:

«Madame, si par votre moyen je pouvais trouver un peu de paix, je ne saurais comment vous remercier.»

Elle me répondit, avec un bon sourire:

«Madame notre plus grand bonheur, c’est de voir les gens heureux.»

Paroles inoubliables qui me remplirent de joie et d’espérance; c’était en Octobre 1930. Quand je rentrai chez moi, à Calais, en Janvier 1931, j’étais une nouvelle créature, j’avais trouvé la paix et la guérison de cette terrible maladie, la neurasthénie. J’ai persévéré dans les Enseignements et la Parole et j’ai réalisé l’invitation du Seigneur: «Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos.» (Matthieu XI-28)

Mme H., Calais.

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Je connus la Parole de Dieu en Juin 1934, j’étais malade et découragé. Atteint d’une maladie de foie, je devais suivre un régime très sévère qui m’avait été ordonné par deux docteurs. J’avais aussi consulté un «rebouteur»; je n’obtins de tout cela aucun résultat!

Mais, j’ai saisi la grâce du Dieu vivant par la foi en Jésus et j’ai été guéri en un mois à peine.

J'ai aussi été guéri d’un «chaud et froid» par le Seigneur, après avoir fait appel aux prières des frères de Maromme. Voici trois ans que j’appartiens au Seigneur; j’ai confessé son Nom dans les eaux du baptême et, maintenant, dans les bons comme dans les mauvais jours, j’ai la paix de Dieu dans le cœur! Alléluia!

Roger P.

«aux armées»

Source: https://pentecostalarchives.org/

Viens et Vois 1940 - 04