Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

VIENS ET VOIS

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TÉMOIGNAGES


Dieppe le 17 Décembre 1939. Je remercie le Seigneur de ce qu’il a fait pour moi; j’étais atteint d’une maladie d’intestins depuis 20 ans. Catholique fervent, j’ai fait plusieurs pèlerinages (Lourdes 5 fois; Lisieux 4 fois; St-Antoine de Padoue 1 fois) sans avoir obtenu aucun soulagement. Je me suis, ensuite, adressé à la science; j’ai vu, au moins, six docteurs de divers pays; je n’ai obtenu aucune guérison non plus, de ce côté-là.

Il n’y a que lorsque j’ai connu la Salle de la Rue Jean Ribault, le 1er Juillet 1938, que j’ai senti du soulagement, car à la quatrième imposition des mains j’ai été complètement guéri!

Je suis descendu dans les eaux du baptême, ainsi que ma femme, le 9 Octobre 1938 pour être chrétien et appartenir à Jésus notre seul Sauveur.

M. C., Dieppe (Seine-Inf.)


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Dieppe le 27 Décembre 1939. J’étais un païen, un athée, je ne croyais en rien, je ne voulais même pas croire que Dieu existait et je vivais donc comme tous ceux qui ne connaissent pas Dieu.

J’étais désespéré, car la maladie faisait son œuvre dans mon foyer. Je ne travaillais que pour le docteur et le pharmacien, ma femme étant depuis longtemps malade. Combien je me décourageais de voir ma compagne souffrir et de constater que la science était impuissante devant le mal.

Nous sentions que la mort rôdait autour de nous et lorsque je partais au travail, je me disais anxieusement: «la retrouverai-je ce soir à la maison?», car elle m’avait souvent dit que, lassée de souffrir..., elle se tuerait!

Nous étions donc tous deux fort découragés, lorsqu’une amie nous parla de la Salle Evangélique de la Rue Jean Ribault. Je répondis alors qu’il s’agissait probablement de quelque guérisseur qui cherchait à attraper de l’argent, mais il me fut répondu:

«allez-y; rendez-vous compte par vous-même de ce qu’on y fait.»

Comme ma femme me pressait, elle aussi, d’y aller, j’y allai pour lui faire plaisir. Mais quelle ne fut pas ma surprise d’y rencontrer des personnes de ma connaissance, que je savais réellement malades depuis longtemps et qui étaient maintenant guéries! Mais cela ne frappait pas encore suffisamment mon incrédulité car je n’avais pas encore bien compris; cependant je demandai moi-même à ma femme d'y revenir le dimanche suivant.

Nous revîmmes donc et à la troisième imposition des mains, ma femme était entièrement guérie! Je ne puis expliquer combien je fus heureux dès ce jour-là, le bonheur commençait à entrer dans le foyer et cependant l’incrédulité subsistait encore!

Ainsi, après avoir vu ma femme ainsi guérie, j’osais dire à Dieu: «Si tu existes, enlève-moi toutes mes passions qui me rendent malade!» Le Seigneur, afin de vaincre mon incrédulité m’avait exaucé, car dans l’espace d’une semaine, j’étais délivré de l’esclavage de mes passions.

J’avais la passion de l’alcool et du tabac et elles me conduisaient au tombeau. Je remercie le Seigneur pour le bonheur qu’il a versé à flots dans mon foyer, alors que je ne méritais que le châtiment et je lui demande pardon d’être resté si longtemps loin de Lui. Maintenant je suis heureux d’être son enfant. Gloire à Jésus!

F. Charles «Aux Armées».

Source: https://pentecostalarchives.org/

Viens et Vois 1940 - 02


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