VIENS ET VOIS

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TÉMOIGNAGES

«Racontez Sa gloire parmi les nations et Ses merveilles parmi les peuples.» (Ps. 96/3).

C’est avec reconnaissance et une très grande joie que je témoigne dans ce journal de ce que Dieu a fait pour moi.

Un proverbe bien connu dit que «l'habit ne fait pas le moine». Eh bien, je dis aussi que la religion ne fait pas le chrétien. Car ma famille et moi avions une religion, et nous disions même qu’elle était la meilleure. Mais cependant, nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie (Ésaïe 53/6); car nous ne connaissions pas comme aujourd’hui celui qui a dit: JE SUIS LE CHEMIN, LA VÉRITÉ ET LA VIE (Jean 14/6).

Mais, Alléluia! Il s'est révélé à nous en nous montrant dans sa bonté infinie qu'il était toujours le même, hier, aujourd'hui et éternellement (Heb. 13/8) et qu'il lui était encore de nos jours aussi aisé de dire:

«TES péchés te sont pardonnés»

que

«prends ton lit et marche!»

J’ai été guérie par sa toute puissance. J'avais une congestion pulmonaire avec pleurésie. Les docteurs et spécialistes ne laissaient aucun espoir, car pour avoir une toute petite chance, disaient-ils, il fallait m’extraire du liquide du poumon; et ils ne pouvaient le faire à cause de mon cœur trop faible.

Mais, alléluia! nous avons invoqué Celui qui délivre magnifiquement, et à qui rien n’est impossible.

Mes parents ont appelé un serviteur de Dieu qui, après m'avoir fait l’onction d’huile comme il est écrit dans Jacques 5/13, a prié pour moi en m'imposant les mains au nom du Seigneur Jésus, et ainsi nous avons une fois de plus obtenu une grande victoire, au grand étonnement des docteurs qui trouvaient cela inconcevable, disant que c’était une résurrection.

J’ai dit plus haut que c’était une victoire de plus que nous avions obtenue.

En effet, nous avons reçu depuis que nous appartenons au Seigneur d’autres grandes bénédictions. Ma nièce a été guérie il y a quatre ans de tuberculose pulmonaire, et mon beau-frère a laissé complètement l'alcool.

Enfin, je rends grâce à Dieu de tout mon cœur de ce qu’il a fait pour nous, et pour la paix parfaite qu’il a mise dans nos cœurs, car malgré la gravité des événements actuels, nous disons comme le psalmiste:

«Dieu est pour nous un refuge, un appui et un secours

qui ne manque jamais dans la détresse,

c'est pourquoi nous sommes sans crainte

quand la terre est bouleversée»

(Psaume 46/2-3).

Mlle Lucie F., Marseille (II. du H.)

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Je bénis le Seigneur de ce qu’il a fait dans mon corps. Il m’a guérie de la tuberculose des os et de la tuberculose pulmonaire, et j'ai vu dans cette guérison l'accomplissement de sa promesse: «Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris» (Marc 16-18).

Pendant 18 mois, j’ai lutté par tous les moyens de la médecine pour guérir, mais à la fin de ces dix-huit mois, mon mari apprenait qu’il n’y avait plus aucun espoir de guérison. Je ne pouvais plus marcher et je ne me nourrissais plus qu’avec un peu de laitage mêlé d’eau, et je puis dire que mon corps était dans un état squelettique.

Et si mon corps était près de la tombe, mon âme était loin du Sauveur et privée de la gloire de Dieu. Mais le Seigneur m'a pardonné mes péchés et donné l'assurance de la vie éternelle.

Un an après que la Parole du Seigneur fut entrée dans notre maison, nous avons, mon mari et moi, obéi à notre Sauveur en descendant dans les eaux du baptême. Il y a quatre années que nous avons donné notre cœur au Seigneur, et notre joie est parfaite en Lui. À lui soit toute la gloire.

«Oh! combien est grande ta bonté

Que tu tiens en réserve pour ceux qui te craignent

Que tu témoignes à ceux qui cherchent en toi leur refuge.»

(Ps. 31/19-20)

Mme V., LISIEUX (Calvados)

Source: https://pentecostalarchives.org/

Viens et Vois 1939 - 09