Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

VIENS ET VOIS

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LE DIVORCE


L’enseignement sur le divorce répond actuellement à une pressante nécessité pour le chrétien.

Nous avons besoin d’examiner l'enseignement de la Parole de Dieu sur ce grave sujet, et, quand il est nécessaire, d’en faire état; car notre désir suprême est d’être LOYAL AVEC LES ÉCRITURES DE VÉRITÉ et de ne pas nous laisser entraîner par les arguments populaires, souvent plausibles.

Si une conception claire du grand principe gouvernant ce domaine est nécessaire et urgente, il faut aussi, parallèlement, guider l’application de ce principe.

Dans mon expérience personnelle et dans celle des serviteurs de Dieu que j’ai rencontrés par tout le monde, il nous a été souvent demandé un avis pratique:

«Comment doit agir un chrétien dans les difficultés du mariage et du divorce, si compliquées parfois qu’elles semblent déjouer nos ressources faites de dons spirituels et d’expérience mûre.»

Quel commentaire fournir sur un tel état de chose dans les conditions présentes de la vie sociale!

Remercions Dieu que des hommes et des femmes convertis par le pouvoir de l’évangile désirent immédiatement redresser dans leur foyer tout ce qui n’est pas droit.

C’est le vrai fruit convenable de la repentance, mais il faut une grande sagesse pour donner le conseil nécessaire sur ce qui serait un fait accompli, craignant de faire du mauvais travail, le pire, et fuir un péché pour tomber dans un autre.


La clef du conseil de Dieu pour le chrétien se trouve dans Matthieu 19/3-9:

«Les pharisiens l’abordèrent et dirent pour l'éprouver: Est-il permis à un homme de répudier sa femme pour un motif quelconque?»

Il répondit:

«N’avez-vous pas lu que le Créateur, au commencement, fit l’homme et la femme et qu’il dit: c’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair.

Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint.

Pourquoi donc, lui dirent-ils, Moïse a-t-il prescrit de donner à la femme une lettre de divorce et de la répudier?

Il leur répondit: c’est à cause de la dureté de votre cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes. AU COMMENCEMENT, IL N’EN ÉTAIT PAS AINSI.

Mais je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour infidélité, et qui en épouse une autre, commet un adultère.»


Ces versets contiennent l’enseignement personnel du Seigneur sur le divorce, rapporté pour nous dans un langage sans équivoque.

C’est dans les épîtres de Paul, spécialement dans I Cor. 7, que nous trouvons l’enseignement qui nous aide sur les problèmes qui s’élèvent devant les chrétiens. Prenant ce passage comme une base, immédiatement et simplement, nous voyons que le principe fondamental pour comprendre est:


LA SAINTETÉ DU MARIAGE

(Matt. 19/3-6)

Quand Christ fut interrogé concernant les légitimes questions du divorce, immédiatement, il éleva le sujet au niveau de la conception fondamentale du mariage contenu dans l’acte divin de la création des sexes.

Ce n’est pas un avantage social institué par le genre humain pour remplir certaines conditions temporaires, et pouvant, par cela même, être arrangé ou rejeté pour assembler des idées et des goûts passagers, ou même des nécessités apparentes.

Le mariage est une institution permanente établie par Dieu le Tout-Puissant lui-même, dans la nature même de la race humaine, et il ne peut y être porté atteinte sans faire chanceler l’édifice social.

Le foyer et la famille restent invariablement l’unité essentielle de la santé de la nation.

Dans toutes circonstances, lorsque nous affaiblissons la sainteté essentielle du mariage, nos pensées perdent leur clarté, notre sens moral se brouille et la sentimentalité et l’émotivité seules peuvent nous influencer.

a) Nous sommes trop familiarisés avec le type d’argument pour le divorce que nous fournissent des cas de vraie souffrance, tels que l’incompatibilité, la cruauté, la démence, l’abandon, etc... La sympathie de toute personne équitable ira vers l’innocent qui souffre de ces tristes choses. Mais LES CAS PARTICULIERS NE SONT PAS DES ARGUMENTS VALABLES pour se départir d’un principe et établir une loi fondamentale.

C’est un fait positif, la loi la meilleure et la plus sage inflige quelquefois des souffrances à des individus innocents.


On peut conclure que c’est la loi qui a besoin d’être ajustée pour préserver le principe, et ainsi éviter la souffrance de l'innocent, mais ceci devient plus difficile quand la gravité du résultat en dépend.

Le fait est qu’il est faux et dangereux d’aborder une question fondamentale comme celle du mariage, pour discuter du divorce sur la base de cas de souffrance individuels. Ils sont inévitables avec les choses où elles en sont, et c’est une folie dangereuse d’essayer de corrompre par de telles raisons la loi fondée sur la création de la race humaine, qui pose par-dessus tout la sainteté des liens du mariage.

C’est une profonde erreur de «regarder le mariage comme devant apporter premièrement le bonheur des deux parties intéressées». C’est là que repose le danger moderne d’un jugement superficiel et la nécessité de revenir au Calvaire pour y méditer et voir l’ombre apportée sur le genre humain par le péché.


b) Le mariage doit toujours être précédé de sérieuses pensées, de réflexion, et pour le chrétien de beaucoup de prière. Un grand empêchement à la folie du mariage fait en hâte, est de savoir que, une fois accompli, le mariage est indissoluble, excepté par la mort.

Je suis convaincu que la majorité des difficultés du mariage qui ont été amenées devant moi, personnellement, auraient été évitées, si l’union avait été précédée de considérations particulières et justes sur le pas décisif qui allait être fait.

Pour les chrétiens, il semble improbable qu’une simple toute petite prière soit quelquefois faite à la suite d'une demande en mariage. Et il est indigne que les personnes qui professent la spiritualité persistent à plaisanter sur ce sujet, et à n’en pas parler toujours sérieusement, parfois même en prêchant.

Une indigne et insuffisante conception de la sainteté du mariage signifie non seulement la perte de l'individu, mais aussi de la communauté entière. Les divorces faciles encouragent cette indigne conception.


c) Nous référant à la Parole du Seigneur pour la Création, il est clair que, pour le cœur, LE DIVORCE N'EST PAS NATUREL, et est une violation de la loi scellée par le Créateur dans la race qu’il a formée à son image.

Ceux qui craignent Dieu abhorrent et évitent le divorce comme une énormité: la mort seule délie. Paul, évidemment, accepte et applique le même principe quand, dans un passage typique, il dit: «Si donc, du vivant de son mari, elle devient la femme d’un autre, elle sera appelée adultère; mais si le mari meurt elle est affranchie de la loi en sorte qu’elle n’est point adultère en devenant la femme d’un autre.» (Rom. 7/3).


LE DIVORCE SEULEMENT PERMIS


(Matt. 19; 7-9).


Si les pharisiens n’avaient pas posé la question, notre Seigneur aurait laissé la chose comme fixée définitivement par la référence directe à la loi établie à la création. Il prend garde d’exposer emphatiquement que ce fut seulement «à cause de la dureté du cœur» humain que le divorce fut permis par Moïse pour certaines raisons.

Ce point semble nécessaire pour éclairer beaucoup de personnes.

Quelques-uns semblent penser que la fornication et l’adultère dissolvent automatiquement les liens du mariage devant Dieu; et quelques-uns semblent même penser que le divorce pour ces raisons est une ordonnance divine.

Il est reconnu que l’incontinence et l’impudicité, avant ou après le mariage, imposent un des plus grands efforts imaginables pour la continuité de l’affection conjugale et de la confiance mutuelle.

D’ailleurs, un profond examen montre que quelque chose de sacré, et une part de l’essence du but divin dans le mariage, a été souillé et violé par de tels actes. La nature même du mariage a été attaquée. La véhémence des vieux prophètes, en employant l’adultère comme un type de péché spirituel mortel, renforce la gravité d’une telle offense.


a) Mais ni la fornication ni l’adultère ne forcent au divorce, ni ne rendent automatiquement un mariage nul. Il y a un meilleur chemin: LE CHEMIN DU PARDON.

Et où le pardon est véritable et comparable avec le pardon que Dieu, pour l’amour de Christ, nous a accordé, les relations du mariage sont restaurées et continuées. Le divorce est une concession à «la dureté du cœur». Il sera librement admis qu'une grâce spéciale est nécessaire pour un tel pardon, mais le chrétien doit toujours garder devant lui le pur modèle de la Nouvelle Alliance.


b) Même où le manque de foi a donné la permission scripturaire du divorce, où il n’y a pas suffisamment de grâce d’un côté pour pardonner ni le désir de l’autre côté pour la réconciliation, cette voie ne semble pas permettre le remariage pour l’une ou l’autre partie.

Il y a un autre point sur lequel beaucoup ne semblent pas très au clair.

Beaucoup de choses ont été faites quelquefois par la simple permission en apparence contenue dans le mot «excepté» (Matt. 19/9) et il est argué que le divorce pour la raison d’adultère permet scripturairement aux parties de se remarier pendant que l’autre est encore en vie.

Le point est très douteux.

Dans Matthieu 5/32 il semble clair que l’adultère est commis devant Dieu quand un homme est marié avec une femme qui a été répudiée pour son adultère, et le même principe doit s’appliquer à une femme mariée avec un homme dans les mêmes conditions.

L’adultère permet le divorce, mais ne semble pas inclure la liberté de se remarier pendant que l’autre partie est en vie. Les divorcés doivent rester sans se remarier.

Ceci peut sembler dur à première vue, et beaucoup de choses amères ont été dites et écrites sur le simple enseignement de ce point par Christ. Mais quand les questions de «bonheur» personnel sont tenues devant la blanche lumière de la nécessité de supporter loyalement une loi fondamentale de la race entière, alors l’enseignement de notre Seigneur brille avec tout le lustre de ses pensées claires et infaillibles et sa pureté de cœur. Nous dévierons les paroles de Christ à notre péril personnel et national.

Aucune altération dans les lois humaines ne changent l’Éternelle loi du Tout-Puissant.


c) Reste la question de séparation et de divorce quand un croyant est forcé par un incroyant pour raison d’incompatibilité religieuse. Paul résout ce délicat problème dans I Cor. 7/10-17.

Certains principaux points doivent nécessairement être éclaircis.

1°) En premier lieu l’initiative d’une séparation ne doit jamais venir des croyants. C’est leur part d’endurer toujours, espérant que l’Esprit de Christ finalement prévaudra, et que, par la grâce de Dieu, le conjoint incrédule viendra au salut. Le croyant est libre d’accepter le divorce pour ces raisons, mais non de le rechercher.

2°) L’incompatibilité de vue n’est pas un heurt du tempérament naturel, mais strictement le gouffre profond qui divise ceux qui ont la vie en Christ de ceux qui ne l’ont pas.

3°) Un divorce dans ces circonstances ne donne pas la permission de se remarier. Le mariage avec une personne divorcée pour raison d’incompatibilité n’est pas seulement un acte d’adultère défini devant Dieu, mais il ferme aussi la porte sur la possibilité d’une ultime réconciliation, qui serait le but du chrétien en face d’une telle tragédie domestique. «Restez sans vous remarier» est la parole de conclusion de l’apôtre qui parle avec une autorité consciente et divine. Qui sait si le gouffre ne peut pas être franchi par un pont et que les deux reviennent encore ensemble pour préserver intacte la loi fondamentale de la sainteté essentielle du mariage.


LA CONFUSION DU DIVORCE
 ET DU REMARIAGE


Beaucoup de croyants aujourd’hui sont en face de problèmes pratiques et poignants au sujet du divorce et des difficultés qu’ils ont amenées avec eux de la vieille vie dans la nouvelle, quand ils sont nés de nouveau.

Hélas, même après la régénération, quelques chrétiens sont entrés dans un dilemme en contractant des unions qui ne sont pas scripturaires, soit par manque de connaissance, l’enseignement de la Parole sur ce point ne leur ayant jamais été donné, soit encore par rébellion volontaire contre la lumière quand ils passaient par une période de reniement.

Mes compagnons de service connaissent trop bien le type de problème devant lequel nous nous trouvons souvent quand les croyants sont devenus désireux, par un esprit de réveil dans l’Église, de redresser leur vie extérieure devant Dieu et devant les hommes.

Où le Saint-Esprit travaille avec grâce, il commencera vite à remuer les hommes et les femmes au sujet du mariage illégal. Mais les problèmes actuels sont souvent extrêmement embrouillés.

Dans quelques cas, les parties ont été l’une et l’autre coupables d’adultère et de divorce avant et quelquefois même après être passées par la conversion. Peut-être des enfants sont nés de presque chaque union. Le mariage légal peut être difficile, et spécialement si Ion veut se conformer aux Écritures. Le divorce légal semble également difficile. Les premiers conjoints ont été l’un et l’autre remariés et se sont complètement perdus de vue. La séparation s’ajoute au problème.

Le principe le plus sûr est que chaque cas soit déterminé en accord avec ses propres circonstances particulières.

Ce serait une très dangereuse folie de vouloir écrire un code et y incorporer des décisions hâtives et stéréotypées.

Une grande patience et beaucoup de prières humbles sont requises pour acquérir la sagesse qui nous est promise quand nous sentons notre faiblesse.

Paul est un guide splendide à l’esprit droit qui nous aide quelle que soit toute l’intensité et la profondeur des problèmes spirituels. Il nous conduit dans une voie magnifiquement équilibrée et large d'esprit pour trouver une solution aux problèmes pratiques qui surgissent dans la vie chrétienne.

Un avis très clair pour résoudre le problème concernant les enfants se trouve dans I Cor. 7/14. Une personne qui n’a rien à faire avec le divorce en appréciera toute la force. Habituellement, les enfants ont le plus à souffrir à travers tous ces désaccords et ces souillures domestiques. Ceci est la seule considération que nous devons retenir pour essayer d’aider les personnes en difficulté dans leur foyer et à travers les problèmes personnels.

Ici sont donnés quelques principes généraux pour aider, non pour gouverner.

a) Nous devons loyalement accepter les paroles du Seigneur Jésus concernant le divorce et le remariage et devons être prêts à y obéir, même au coût que beaucoup de souffrance et la perte certaine et immédiate d’un bonheur personnel.

Le Saint-Esprit fortifiera avec grâce pour tout supporter en faisant la volonté de Dieu, avec une joie qui peut être beaucoup plus grande que celle fournie par la gratification d’une affection humaine. Il ne doit pas y avoir compromission avec la vérité dans le cœur. Une permission apparemment nécessaire dans un fait accompli doit être honnêtement reconnue pour ce qu'elle est, et ne doit en aucune façon être regardée comme élevant une permission au niveau d’un commandement.


b) Il est des cas où une obéissance trop servile à ce qui est en apparence la lettre de la Parole peut plonger ensemble l’une et l’autre des parties dans un péché égal à leur condition présente. Elles seraient soumises certainement à une tentation qui peut être trop grande pour être supportée. Cette obéissance agirait aussi certainement avec dureté sur l’enfant innocent et cela ne serait pas bon.

Souvent un premier conjoint s’est remarié, et même si cela était légalement permis, un retour à la première union entraînerait en plus un double divorce, brisant plus d’un seul foyer et amenant la confusion et la vie dure pour le reste de la famille.

La séparation volontaire de personnes divorcées vivant dans une union non scripturaire peut souvent sembler une solution simple à cette affaire, si les deux parties ensemble sont consentantes pour cela. Cependant cette direction ne saurait être recommandée sans plus de considération pour toutes les complications qui en résulteraient, touchant la famille, le foyer, l'endurance, l’âge, l’incontinence, etc....

Là où un père et une mère ont été soudainement convertis d’une vie de péché et semblent maintenant capables d’amener leur famille (ou familles) dans tous les avantages d’un foyer chrétien, il semblerait que la supériorité spirituelle, morale et sociale de leurs vies unies l’emporterait de loin sur le bienfait possible d’une séparation volontaire. Il semble que le principe de Paul est de vouloir faire un accommodement pratique dans un tel cas.


c) Au-dessus de tout, nous pouvons certainement admettre le pardon par la grâce de Dieu en Christ, où il y a une pure repentance et où il y a maintenant un désir sincère de plaire à Dieu en toutes choses. Nous avons senti souvent que le Seigneur était plus prêt à pardonner que quelques-uns de ses enfants ne paraissaient le faire.

Nous jugerions avec imprudence en concluant que la nouvelle vie exonère l’enfant de Dieu des responsabilités qui touchent sa vieille vie, et nous devons faire attention quand nous répétons ces mots: «Si un homme est en Christ, il est nouvelle créature, toutes les choses anciennes sont passées et voici toutes choses sont devenues nouvelles

Les Écritures prouvent d’une façon concluante que cela ne s’applique pas quand il s’agit d’une action en restitution, comme de toute évidence pour Zachée (Luc 19-8), et Paul en faveur d’Onésime (Philémon 18-19) et ne s’applique pas non plus à quelque autre fruit de la repentance en réparant, aussi loin qu’il est en notre pouvoir, les fautes ou les mauvaises actions que nous aurions commises.


Mais il arrive un moment où cela est au-dessus de notre pouvoir, et Dieu le sait.

Dans de tels cas nous croyons qu’il n’y a pas de présomption sur la divine grâce de faire un nouveau départ de la position où nous fûmes sauvés et où nous vîmes pour la première fois la vérité de la Parole de Dieu dans sa parfaite volonté pour notre vie et notre conduite.

Dieu est miséricordieux, et sur cette base, nous pouvons sûrement ancrer nos âmes quand nous sommes accablés par l’assaut de tourments et de troubles causés par la menace du péché.

Une parole supplémentaire semble être nécessaire. Une règle est spécialement établie à la fois dans le Nouveau et l'Ancien Testament pour ceux qui servent Dieu. Dans le commandement essentiel donné aux «évêques» et «diacres» il est répété qu’ils doivent être «mari d’une seule femme» (I Tim. 3/2-12) et il semble extrêmement clair que ce texte défend non seulement la polygamie, mais aussi donne un conseil pour la moralité dans toutes les relations du mariage.

Ceci est logique pour ceux qui doivent être regardés comme des exemples pour les autres croyants, et essentiel pour les conducteurs spirituels devant le monde. Les conditions présentes des choses du monde qui touchent le divorce, justifie que l’église demande à ses conducteurs un témoignage irréprochable dans leur vie privée, où cette question est soulevée et ceux qui aspirent à une position dans une assemblée locale ne peuvent pas se plaindre si c’est là une chose exigée sur laquelle on insiste.

La fidélité aux principes les plus élevés, c’est un plus grand amour. Et la pure obéissance du disciple du Christ dans le chemin de la Croix, quoique cela puisse signifier l’abandon d’un bonheur assuré dans la voie naturelle, lui apportera certainement plus de joie profonde et éternelle que ce qui pourrait lui être apporté par un amour terrestre.

Ce n’est pas trop dire que le Calvaire nous montre la lumière même dans les problèmes du divorce.

Donald Gee  (Rédemption Tidings)

Source: https://pentecostalarchives.org/

Viens et Vois 1938 - 03


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