VIENS ET VOIS

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QUELQUES TÉMOIGNAGES

Le Havre, le 9 avril 1932.

C'est avec joie que je rends ce témoignage. J’étais atteint de surdité de l’oreille gauche depuis plusieurs années, et aucun spécialiste n’avait pu me guérir.

Voici 2 mois, je vins à la lumière de Dieu, et à présent j'entends très bien de cette oreille, je rends gloire à Dieu mon Sauveur, et je remercie ses fidèles serviteurs.

Roger H., Photographe
, Le Havre.

Je souffrais depuis quatre ans d’une salpingite (infection des trompes qui relient l'utérus aux ovaires) passée à l’état chronique d’après le docteur. Je vins à la lumière de Dieu; à la première imposition des mains, je sentis un grand soulagement, et après quelque temps tout avait disparu. Je souffrais d'insomnie depuis une dizaine d’années; maintenant je dors très bien. Je rends gloire à Dieu et je veux le servir toute ma vie.

Mme Madeleine H. , Le Havre.

Parmi des offres de travail, venues de différentes parties de la France, j'en trouvai une pour Le Havre. Un port de mer serait nouveau pour moi et c'est pourquoi je me décidai pour Le Havre, plutôt que pour Paris ou un château isolé dans la Garonne. Une voix intérieure confirmait ma décision: «Va au Havre, là-bas tu seras mon témoin...»

Ne pensant ni ne pouvant supposer que cette décision allait avoir de telles conséquences, je me rendis au Havre. Un capitaine anglais, membre d'une assemblée de +frères larges» à Paris, me donna l'adresse d'une assemblée au Havre.

Quatre semaines après mon installation. M. Scott qui venait d'Angleterre, nous parla de la guérison divine un dimanche matin au culte. J'avais entendu beaucoup de prédicateurs différents jusqu’ici, mais je fus tellement surprise de la manière dont parlait M. Scott que je me dis: «Cet homme a quelque chose que je n’ai pas. Je veux cette joie et ce bonheur à tout prix. Mais pourquoi les autres serviteurs de Dieu ne m'ont-ils pas fait la même impression?»

J’allai bientôt le savoir. Depuis treize mois j'étais triste, ayant perdu ma mère, et aucun médecin ne pouvait guérir ma neurasthénie. Huit jours plus tard, j’allai trouver M. Scott pour lui demander s'il y avait possibilité pour moi d’être guérie et de devenir heureuse. Lui et Mme Scott m'imposèrent les mains au nom du Seigneur Jésus et je fus guérie.

Jamais auparavant je n'avais entendu parler de ce merveilleux baptême du Saint-Esprit, je commençai à le rechercher avec plus d'empressement que je n’en aurais mis pour un héritage d'un million, et selon Ps. 37: 4. Je m’informai auprès de M. Scott des conditions nécessaires pour l’obtenir.

Il me répondit: «Être sauvé, baptisé dans l'eau et donner son cœur, son esprit et son corps au Seigneur».

Je saisis la première occasion pour prendre le baptême et je me souviens combien je fus heureuse d’avoir obéi au commandement du Seigneur. Quinze jours après le baptême par immersion, le Seigneur me baptisa de son Saint-Esprit!

Alléluia! Gloire à son Saint Nom!

Les quarante jours de désert ne m'ont pas été épargnés mais Jésus fut vainqueur et depuis je suis si heureuse que souvent je ne puis contenir ma joie. Je cherche à mettre en évidence ce précieux don et à parler à tous ceux que le Seigneur met sur mon chemin de l’amour du Rédempteur sur la Croix.

Je demande à Dieu de se servir de moi pour amener plusieurs âmes au pied de la Croix afin qu’elles trouvent un Sauveur, un médecin, un maître, un ami, un Souverain Sacrificateur tels que je les ai trouvés en Jésus-Christ.

Mlle G.

Bd Stâfa (Zurich) Suisse

Fécamp le 28 avril 1931,

Je viens vous remercier pour mon petit garçon qui a été guéri aussitôt que vous lui avez imposé les mains, il y a trois semaines de cela, il a gagné depuis 1 kg 700. Auparavant il ne pouvait supporter aucune nourriture. Le docteur ne savait pas quoi lui donner. Depuis le lendemain du jour où vous lui avez imposé les mains, il boit du lait et ne le vomit plus, même le lait pur. Gloire à Dieu!

Et vous, Monsieur, je vous remercie mille fois, ainsi que Dieu qui a guéri mon petit garçon âgé de 11 mois. Je vous remercie également d’avoir eu la bonté de prier une fois pour ma maladie d’estomac. Je ne pouvais plus manger.

Depuis ce jour je n’ai plus ressenti aucun malaise. Je puis manger de tout sans inconvénient. Je vous remercie ainsi que Dieu. Gloire à Dieu.

Recevez, etc.

Gaston G., boulanger, à Fécamp.

Source: https://pentecostalarchives.org/

Viens et Vois 1932- 06