Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !



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LA LUMIÈRE ARRIVA


Un jour, une partie d’un journal de la Foi Apostolique tomba entre mes mains. Je n’étais pas de ceux qui allaient à l’église. Je ne connaissais pas de chrétiens dans cette ville de l’Est où je vivais alors.

Je connaissais beaucoup de personnes qui pouvaient m’indiquer le chemin qui mène aux difficultés de toutes sortes, mais j’appris que leur amitié et leur argent ne pouvaient me sortir de ces difficultés ou expier les nombreux péchés que j’avais commis.

Comme beaucoup d’autres jeunes gens, je pensais que le seul but de ma vie était de bien m’amuser, d’avoir beaucoup d’argent à dépenser, d’aller et de venir à ma guise. Tous les soirs, je faisais les salles de jeu, les théâtres et les salles de danse et tous les Dimanches je me donnais, corps et âme, au péché.

Mais cette sorte de vie m’apporta chagrins et misères. Je souhaitais la mort. Un jour, je me crus à l’article de la mort. Beaucoup de personnes vinrent me voir et tâchèrent de me réconforter, mais je me détournai d’elles, je me disais: «Leur amitié ne peut me sauver; je suis une âme perdue!»


Dieu, en Sa miséricorde, me remit sur pied, et quatre mois plus tard, je lis juste six mots dans un morceau de journal de la Foi Apostolique — «LE JUGEMENT DU GRAND TRÔNE BLANC.»

Je regrettai de ne pas en savoir davantage sur le Jugement Dernier. Regardant de nouveau, j’observai la référence de la Bible. Seul, je pris la Bible et tournai la page au vingtième chapitre de l’Apocalypse: je lus que les morts, les petits et les grands, se tiendront devant Dieu, que les Livres seront ouverts et que chacun sera jugé selon la vie qu’il aura menée ici-bas. Je regardai en haut et dit: «Oh Seigneur, aurai-je à répondre de tous les péchés que j’ai commis?»

J’étais désolé. Alors que mes péchés se déroulaient devant mes yeux, je dis: «Seigneur, si Vous me sauvez de mes difficultés et me délivrez de mes péchés, je Vous servirai tout le reste de ma vie.»

Je ne savais pas prier. Je ne connaissais personne dans la ville qui sache prier. Finalement, je me mis en contact avec une de ces personnes. Elle pria:

«Jésus, Vous avez dit que Vous veniez chercher et sauver ce qui était perdu.»

Je dis:

«Jésus, voulez-Vous me sauver?» Et il me sauva.

À partir de ce jour-là, je n’ai jamais eu le moindre désir pour les péchés de mon passé. L’amour des choses mondaines quitta mon cœur. Dieu me fit un vrai chrétien biblique et mit dans mon âme l’amour de la pureté et d’une vie sans tache.

Avant d’avoir reçu le salut, j’allais constamment au médecin, mais quand les pasteurs firent une certaine prière pour moi, demandant à Jésus de me guérir de la tête aux pieds, Jésus me guérit complètement.

Beaucoup d’années se sont écoulées durant lesquelles j’ai pu mettre à l’épreuve du temps cette vieille religion des temps passés.

Dieu m’a donné tant de bénédictions que je ne pourrais jamais les énumérer toutes.

J. E. B.

Source: https://pentecostalarchives.org/

Foi Apostolique  1957 - 12


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