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ON TROUVE LE BONHEUR
 ET LA VICTOIRE

«Après avoir lu votre journal pour la première fois, la foi est entrée dans mon cœur. Je vous demande de prier Jésus, s’il vous plaît, que je puisse retourner immédiatement aux pieds de mon Sauveur, et qu’il m’aide dans ma petite entreprise. Je suis marin-navigateur.»

Quelques mois plus tard, nous recevons ces nouvelles:

«C’est avec le cœur plein de joie que j’ai reçu vos journaux, moi qui ai passé toute ma vie sans aucun plaisir, pensant que tout était fini pour moi. Mais aujourd'hui, le Seigneur m’a ramené à la vie. Il m'a montré à suivre la bonne voie.

Je remercie infiniment le Seigneur pour tout ce que vous avez fait pour moi. Le Seigneur m'a donné la preuve que je suis aujourd'hui un homme fort et riche dans Sa bonté Depuis ma conversion, j’ai trouvé le bonheur, grâce au Seigneur.»

J. M. Martinique

Instituteur Pasteur

«Pendant des années j’avais regardé des hommes sans feu ni lieu, des hommes décidément «hors de combat» et je pensais; Dieu merci, je ne suis pas comme ces hommes-là. Mais un jour, je franchis le seuil qui me conduisit à l’un de ces services religieux, et Dieu émut mon âme. Ce bouton «Jésus Sauve» que je portais sur le revers de mon veston me parut soudainement mesquin. Oh, mes intentions étaient bonnes, mais l’expérience n’avait jamais pénétré dans mon for intérieur.

Ce seul service fut suffisant pour me convaincre que j’étais perdu et avais besoin du salut de la Bible; j’avais besoin dans mon âme de quelque chose qui me donne un espoir au-delà de la tombe. Je suis content qu'il y avait un autel. Je m'y agenouillai et priai Dieu d'avoir pitié de moi

La religion des temps jadis est devenue une part de ma vie.»

E.H.

Plus d'Endroits Malfamés

«J'étais dans une triste condition quand Dieu fit ma connaissance à San Francisco il y a plusieurs années. J’étais un jeune homme et avais jeté ma vie entière au péché. J'avais, une fois avant, écouté ceux qui montrent la voie pour sortir du péché, mais je m’éloignai de cette voie et retournai en mer fréquentant les endroits malfamés dans différentes parties du monde. Je contractai une maladie du sang qui se porta au cerveau — allant dans trois hôpitaux.

À San Francisco, California, parmi les débardeurs des quais, j'entendis un homme de mer, norvégien, témoigner que Dieu l'avait sauvé.

À trois heures du matin, je m’agenouillai et me mis à prier. Le pouvoir de Dieu descendit et me délivra immédiatement et guérit mon corps. Il parla du Ciel et dit:

«Ton corps contaminé par la maladie est sain. Tes péchés sont pardonnés. Commence à vivre dans la décence avant qu’une éternité de condamnation ne descende sur ton âme.»

G. M.

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Quand le rideau se lèvera, quand l’aube de l'éternité commencera à poindre, quelle bénédiction sera en réserve pour celui qui a dit: «Je me voue au travail de Jésus, je ferai les choses qui passent inaperçues, celles que personne ne veut faire.»

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Celui qui REFUSE de recevoir le salut CHOISIT la perdition.

Source: https://pentecostalarchives.org/

Foi Apostolique  1957 - 12