GUÉRI ET SAUVÉ
Je crois à la prière. Si Dieu n'avait pas répondu à la prière, je serais bien loin de Portland. Je serais en enfer.
Mais comme j'étais sur le point de jeter le manche après la cognée, Dieu eut pitié de moi et fit en sorte que je reçoive un petit journal de la Foi Apostolique en Virginia, où je me trouvais. Je me mis à lire les témoignages et je ne m'en moquai pas, ne les rejetai pas. Je dis qu'ils avaient leur raison d'être. Dieu merci pour ce petit journal!
En lisant ces témoignages, j'appris que des gens écrivaient à la Foi Apostolique pour demander des prières et que LE SEIGNEUR GUÉRISSAIT LEUR CORPS ET SAUVAIT LEUR ÂME.
J’étais parmi ceux qui avaient besoin de la guérison; j’en avais grand besoin. Je souffrais depuis 17 longues années. Je n’espérais nullement me guérir. Mais j’envoyai une demande de prières aux gens de Dieu; ils prièrent pour moi et Dieu entendit leurs prières et me guérit instantanément.
Ma femme souffrait de la tuberculose pulmonaire, n’avait plus que les os et la peau. J’avais vu sa sœur en mourir — ma femme l’avait contractée en soignant sa sœur. Les médecins n’y pouvaient rien. Je ne pensais pas qu’elle vivrait plus de deux semaines, MAIS JÉSUS LA GUÉRIT AUSSI.
Cela me donna un grand désir d’être parmi les gens de Dieu.
Plus tard je vins à Portland. J’étais immonde — je chiquais du tabac, je chiquais depuis des années. Une nuit, quelque chose dit: «Jette-le» et je le jetai et fut débarrassé de l’habitude du tabac.
J’avais vécu dans la vieille Virginie, où ils cultivent ce tabac et le chiquent, mais Dieu me délivra complètement. À la Foi Apostolique, je marchai à leur autel et implorai Dieu pour Sa miséricorde — et II me sauva.
Puis, la vie déshonnête que j’avais menée, il me fallut la confronter. Il me fallait faire des restitutions, beaucoup de restitutions. J’avais commis des fraudes envers deux compagnies de chemins de fer et le Bureau de Poste à Washington, D. C.; j’avais volé leurs timbres et les avais vendus. Mais le moment que Dieu me sauva, Il me donna la grâce de retourner sur mes pas, de confesser ma vie déshonnête et de repayer ceux que j’avais trompés.
Quelle est l'importance de ce petit journal qui arriva un jour chez moi?
Dieu merci, il n'y a pas assez d’argent et d’or dans le monde pour payer le prix de ce journal.
Dieu merci, c’est par l’intermédiaire de ce journal que Dieu a sauvé mon âme, sauvé ma famille, guéri notre corps des maladies qui nous avaient assaillis et finalement nous amena ici.
W. T. A.
(L’histoire de cette famille venue de la Virginie ne s’arrête pas là.
Deux des filles sont actives dans le travail des écoles dominicales, un fils est typographe dans l’imprimerie de la Foi Apostolique et contribue ainsi à l'édition de ce journal; un autre fils et une autre fille viennent aussi à l’église ici.
Qui peut supputer exactement le résultat d’un seul petit journal, petit missionnaire aux ailes blanches, envoyé avec des prières et la foi?)
Table des matières |