TRÈS RECONNAISSANT POUR LE CHANGEMENT
JE suis reconnaissant aujourd’hui d’avoir le privilège de donner mon témoignage de ce que Dieu a fait pour moi.
La religion des temps passés m’est précieuse. Je ne me juge pas digne d’être de cette église. J'ai rejeté l’Évangile, m’en suis moqué, mais je suis reconnaissant que Dieu soit resté fidèle à mon âme indigne.
Quelqu’un priait pour moi.
Je repense avec contentement à un certain soir, ii y a douze ans, où je m'agenouillai à l’autel de la prière quand j'étais écœuré de mes péchés, fatigué de la vieille vie, vaincu. Je suis content d’être venu ici à cette époque de ma vie où je me rendis compte que j’avais besoin de Dieu.
Avant, je ne voulais rien avoir à faire avec la religion d’autrefois, mais après la séparation de ma petite famille, je sentis que c’était la seule chose qui pourrait toucher mon cœur. Dieu descendit en moi et troubla mon cœur et me fit voir clairement la voie dans laquelle je m’étais engagé.
C'était le péché qui avait causé la destruction de mon foyer
la dissipation de ma vie.
Je ne regrette pas les ennuis qui me sont arrivés parce qu’ils m'ont amené à Dieu. Après que tout cela me soit arrivé, je me rendis compte que j'avais besoin de quelque chose de meilleur que ce que la vie me donnait.
Environ un mois plus tard, je m’agenouillai à l’autel de la prière. Ce soir-là, j'étais prêt à prier sincèrement et à demander à Dieu Sa miséricorde et le pardon de mes péchés. Il entendit ma prière et y répondit.
Je trouvai enfin la paix pour mon âme troublée.
Je découvris ce que Dieu pouvait faire.
Je découvris que Dieu pouvait faire un changement profond et merveilleux dans mon cœur.
Je perdis la passion du jeu et la tyrannie de la boisson parce que Dieu me les enleva. Rien d’autre n'aurait pu le faire. À plusieurs reprises, j’avais essayé de me réhabiliter, sans pouvoir y parvenir. Ceci était réel. Je peux vous assurer que j’ai encore la religion des temps passés.
Dieu m'a rendu mon foyer.
Je retournai à la maison après avoir reçu le salut et je racontai à ma femme ce que Dieu avait fait pour moi. Elle me rit à figure. Elle savait quelle sorte de vie j’avais menée, mais elle ne savait pas ce que Dieu avait fait pour moi. Mais ma nouvelle vie ne tarda pas à le prouver. C'était ici même à Portland qu'elle revint.
Je suis reconnaissant pour ce que Dieu m’a donné. Je serais un véritable poltron si je ne défendais pas la cause de Jésus, si je ne disais pas les grandes choses que Dieu a effectuées dans mon cœur et ma vie.
J'estime que c’est un grand privilège d’être dans la congrégation des justes. Dieu m'a donné une plus grande faim, une plus grande soif, pour ce qu'U veut que je fasse.
W.T.
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