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UN BOUCLIER PUISSANT

Je considère que le plus grand privilège de ma vie est d’être ici, de louer Dieu pour tout ce qu’Il a fait pour moi. Ma femme et moi avons une grande famille et nous avons toujours eu confiance en Dieu comme notre grand Médecin.

Nous n’avons jamais eu besoin d'un seul médicament pour prendre soin de notre famille.

Si un de nos enfants se réveillait la nuit avec une fièvre très élevée, nous prenions un journal de la Foi Apostolique et le mettions sur l’enfant et priions. Tous les journaux de la Foi Apostolique, avant d'être envoyés dans le monde entier, reçoivent les prières des pasteurs et travailleurs évangéliques (voir Actes 19: 12 qui parlent de mouchoirs). Notre petit enfant s’endormait et le lendemain matin, il, ou elle, était en bonne santé.

Je remercie Dieu pour ce merveilleux Évangile du Christ. C’est un bouclier puissant contre le péché pour une famille. Chaque fois qu’il y avait un service religieux à l’église, nos enfants étaient présents, le meilleur endroit du monde où mener les enfants. Je crois que le message de l’Écriture que l’Apôtre Paul donna au geôlier de Philippes: «Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille,» était aussi pour moi.

Aujourd'hui nous avons des enfants et des petits enfants qui ont le salut et sont heureux de vivre ainsi.

J’aime plus que je ne saurais le dire la famille chrétienne parmi laquelle je vis. Ce sont mes amis.

Quand ma fille avait la diphtérie et qu'on nous avait dit qu'elle ne pouvait pas vivre, tous ces gens se mirent à prier pour elle et aujourd’hui elle est en bonne santé et forte. Dieu n’aime rien mieux que d’exaucer les prières de Son peuple.

Ma mère était une excellente femme. Une fois, alors que je n’avais pas encore reçu le salut, je fus victime d’un accident et on me transporta chez nous, très blessé; mais elle avait foi en Dieu. Elle L’implora à genoux.

Le docteur lui dit que son garçon allait mourir; mais ma mère dit: «il ne faut pas qu’il meure; il n’est pas prêt à mourir.»

Elle demanda à Dieu d’épargner ma vie jusqu’à ce que je sois réconcilié avec Lui. Une semaine plus tard, j'étais de retour à l’école. Cela prouve ce que cela veut dire d’avoir une mère qui prie.

Je me rappelle qu’une fois un homme bien habillé, un agent d'assurances vint chez nous. Il persuada mon père que ce serait une bonne chose d’assurer notre récolte. Mon père dit: «Très bien, je vais en parler à ma femme.» Il s’agissait d'une assurance contre les orages de grêle. Ma mère lut la police d’assurance, laquelle contenait ces mots: «Assurance contre les actes de Dieu.»

Ma mère en resta horrifiée. Elle dit:

«C'est une chose ridicule — s’assurer contre les actes de Dieu!

Comment pouvons-nous faire cela?

Laissez-moi prier! Nous ne prendrons pas l’assurance cette année. Nous verrons ce que Dieu fera pour nous.»

L’orage de grêle vint cette année-là. Durant ces orages, les hautes plantes de maïs sont couchées sur le sol. On peut les entendre à plusieurs kilomètres de distance. Mais ma mère ne s’évanouit pas quand la grêle commença à tomber. Elle pria — elle pria à genoux comme elle le faisait toujours. La grêle continua à venir vers nous.

Le nuage de grêle se fit de plus en plus menaçant, mais elle continua à prier, La grêle tomba jusqu'à la palissade — et s'arrêta. Puis les grêlons commencèrent à s’amonceler le long de la palissade. Ils ne pouvaient tomber plus loin. Dieu l’interdit.

Un jour, alors que je travaillais dans un bureau, quelqu’un me dit: «Jeune homme, avez-vous une assurance sur la vie?»

Je dis: «Non.»

Ils allèrent chercher leurs livres, mais quand ils revinrent je dis:

«Je vous demande pardon, j’ai une assurance. J’ai la meilleure police d’assurance qui ait jamais été écrite. En voici le texte:

«Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes; mettez-moi de la sorte à l’épreuve, dit l’Éternel des armées. Et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses des deux, si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance» (Malachie 3:10)».

Quand j’eus fini de leur dire cela, ces agents d’assurance s'en allèrent séance tenante.

J’ai observé que lorsque je fais prévaloir la vérité, Dieu me prend sous Sa protection.

Je Le remercie de la paix, de la victoire et du triomphe qu'il y a dans ma vie.

Aujourd’hui: j’ai l’espoir du Ciel.

J’honore la Parole de Dieu.

Je veux vivre par cette Parole et mourir en l’observant.

Je l’ai mise à l’épreuve à chaque moment du besoin.

V. E.

Source: https://pentecostalarchives.org/

Foi Apostolique  1962 - 09