GUÉRIE MIRACULEUSEMENT D'UN TROUBLE DU COEUR ET D'UN CANCER
JE suis contente que Dieu soit venu un jour et me parla, une mère désespérée et découragée, ne sachant où donner de la tête. Mais oh! Dieu en Sa miséricorde me conduisit à un petit service religieux de la Foi Apostolique.
Je tombai à genoux à un autel de prière et fit appel à Dieu. Il descendit en moi et sauva mon âme. De cela, je Le remercie.
Il y a maintenant longtemps que Dieu a sauvé mon âme, et durant toutes ces longues années, Il ne m’a jamais abandonnée, Il n’y a pas eu un seul problème qu’il n’ait pu résoudre; il n’y a pas eu un seul fardeau qu’il n’ait pu m’aider à porter. Oh, Il est descendu si souvent en temps de maladies et a touché nos corps!
Je me rappelle qu’il y a quelques années seulement je suis allée visiter mes parents. J’avais eu quelque trouble de cœur et Dieu m’en avait guérie, mais mon père ne pouvait accepter ce fait et prit un rendez-vous avec un médecin pour un examen médical. J'y suis allée parce que je savais sans l’ombre d’un doute que Dieu avait guéri mon cœur; mais durant l’examen, ils trouvèrent autre chose. Ils trouvèrent un cancer.
Après un long examen — je restai là presque dix heures — le médecin m’appela et me dit: «Si vous avez quelqu’un qui puisse venir, envoyez-le avec votre mari et parlez-lui de ceci; vous allez avoir une opération. Je vais faire les arrangements nécessaires pour que cette opération soit faite de bonne heure demain matin parce que ceci est déjà allé aussi loin que possible sans être fatal.»
Ceci se passait à Seattle, et je pensai à mon fils qui était à Chehalis. Nous lui parlâmes par téléphone et il dit: «Maman, n’oublie pas la fois que Dieu t’a guérie d’une infarction (nécrose des tissus); ton cœur était très malade.» Je pensai à cela, et mon fils ajouta: «Le cancer n’est pas pire que cette attaque de cœur.»
Lui et sa femme s’agenouillèrent et prièrent avant de venir à Seattle. Il vint avec moi et nous parlâmes avec ce spécialiste.
Le médecin dessina la place où était le cancer pour que mon fils le voie et dit que cette opération était nécessaire.
Mon fils dit: «Cela dépend de ce que ma mère veut faire. Nous avons mis notre confiance en Dieu il y a des années»; et je dis: «Oui, et nous avons confiance en Lui maintenant.»
Je revins à Medford. Je ne parlai de rien à qui que ce soit. Je ne parlai qu’au Seigneur. Je lisai la Bible et priai et jeûnai et priai. Un jour, j’eus l’impression que le temps était venu où Dieu allait me guérir. Je demandai alors à notre pasteur si lui et un autre pasteur voudraient bien venir à son bureau après le service, et ils vinrent.
Je leur demandai s’ils croyaient que Dieu pouvait faire quoi que ce soit. Je savais qu'ils le croyaient, mais je voulais les entendre le dire. Ils répondirent: «Naturellement nous le croyons!»
Alors, ils m’oignirent et prièrent pour moi — et ils ne cessèrent de prier; nous priâmes sans interruption jusqu’à ce que le pouvoir de Dieu descende et je sentis la vertu guérisseuse du Christ passer sur mon corps. J'allai chez un médecin ici en ville et fut examinée. Il écrivit un rapport au spécialiste à Seattle disant que j’étais en parfaite condition.
Je vous assure que j’ai un Christ qui vaut la peine d'être servi.
Je n'ai nulle crainte de me confier à Lui dans quelque circonstance ou quelque épreuve que ce soit. Il ne m'a jamais abandonnée et je l'aime aujourd’hui, pour l’importance qu'il tient dans ma vie.
G. H.
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