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CE QUE DIEU PEUT FAIRE

Je suis content que Dieu m'ait accordé Sa miséricorde. Je n’étais qu'un pécheur et faisais tout ce qui me plaisait. J’ai été élevé dans une famille dont le père travaillait dans une taverne. Mon père me disait souvent: «Tu n’es pas dans ce monde pour longtemps, donc, amuse-toi le plus que tu pourras!»

J’essayai, mais je ne trouvai rien de bien amusant.

J’allais souvent avec mon père dans cette taverne et y restais jusqu’à la fermeture le soir; ensuite, j’allais à la maison et me demandais si tout cela valait la peine d’être venu au monde.

Notre foyer n’était pas un foyer de paix; il n’y avait aucun bonheur.

On s’y disputait souvent et mon cœur était lourd comme du plomb. Je ne crois pas que la famille d’un homme qui travaille une taverne puisse être heureuse.

Ma mère aimait Dieu, mais ce n’était pas une chrétienne; elle me disait qu'il y avait un Dieu et que Dieu parlerait à mon cœur; je remercie Dieu pour cela.

Un soir — un soir de «Thanksgiving» en 1921, (la fête de «Thanksgiving» est une célébration instituée par les premiers colons des États-Unis, pour remercier Dieu de les avoir sauvegardés des périls qui les entouraient de tous côtés) Dieu nous conduisit à un service religieux de ces gens de la Foi Apostolique et ils nous dirent comment sortir des difficultés qui nous assaillent.

Je n’oublierai jamais ce soir-là. C’était la première fois que je venais en contact avec la vérité. Cela toucha mon cœur, et je voulais sortir du péché. Mon père et moi, nous nous agenouillâmes côte à côte près d'un banc à l’ancienne mode, pour y prier. Dieu répondit à la première prière que j'avais jamais faite. Il effectua un changement merveilleux. Mon attitude devint sérieuse. Mon vieux père, qui travaillait dans une taverne, fit appel à Dieu et Dieu effectua un changement dans sa vie aussi.

Cela se passait il y a bien longtemps — il y a environ 37 ans. Je n’étais encore qu’un jeune garçon, mais le péché pesait sur mon cœur: Dieu effaça le péché de ma vie, et je ne voulais jamais plus pécher. C’était un soir merveilleux, et j’ai eu beaucoup de soirs merveilleux depuis. Je ne suis pas plus fort que je l’étais, mais le Dieu que je sers peut sauvegarder quiconque veut être sauvegardé.

Dieu donna le salut à ma mère et à mes frères et sœurs. Je peux vous dire qu’il ne pourrait y avoir aucun bonheur dans un foyer qui n’est pas chrétien. Je suis allé avec mon père dans les prisons et aux coins des rues pour dire ce que Dieu peut faire pour un homme qui gagne sa vie dans une taverne et pour son fils. Dieu merci pour la religion des anciens temps! Mon père est maintenant au Ciel.

J’ai eu l’opportunité de voir aussi le pouvoir guérisseur de Dieu, de le voir de mes propres yeux. Ma mère était une invalide affligée du cancer. Le docteur avait dit: «Dans un an tout au plus, votre mère n’y sera plus.» Il lui dit que si elle mangeait des aliments solides, elle en mourrait.

Mais le même jour que Dieu me donna le salut, le jour de «Thanksgiving», elle se mit à table pour un grand dîner et je la vis manger de tout. Elle dit que ces gens avaient prié pour elle et que Dieu l’avait guérie. IL y a trente-sept ans de cela et elle est encore forte et en bonne santé!

Après un accident qui m'est arrivé il y a quelque temps, le docteur me regarda en face et dit; «Jeune homme, si vous n’allez pas à l’hôpital pour une opération de votre jambe, vous serez estropié pour le reste de vos jours.» Je le regardai bien en face et lui dit: «Vous ne connaissez pas le Dieu que je sers.»

Quelques jours plus tard, je retournai chez ce docteur qui m’avait dit que ma jambe ne serait plus jamais droite. Je marchai vers lui et lui montrai ce que Dieu avait fait pour moi. Depuis, je travaille tous les jours et la mauvaise jambe est meilleure que la bonne.

Il y a plusieurs années, un vaisseau sanguin se rompit dans ma tête et j’eus des hémorragies pendant seize heures. Le docteur dit qu’il n’y avait pas la moindre chance de me sauver. Mais mon Dieu n’abandonne jamais.

Les gens de Dieu prièrent pour moi et je ne l’oublierai jamais — comment le Dieu du Ciel descendit du Ciel et me guérit.

Ne pensez-vous pas que j’ai bien de quoi être reconnaissant à Dieu?

Être honteux de Jésus?

Pourquoi le serais-je?

Cet Évangile est exactement ce qu’il me faut!

E. C.

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Il n’y a pas de terrain neutre en ce qui concerne cette vérité éternelle.

Jésus a dit: «Celui qui n’est pas avec moi est contre moi.»

Vous exercez une influence soit contre Lui, soit en Sa faveur.

Votre vie, votre conduite, témoignent en faveur du Christ ou contre Lui.

Quand arrivera le grand jour, vous vous tiendrez debout à droite, ou à gauche. Il n'y aura pas alors de terrain neutre.

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Le Seigneur Jésus-Christ a acheté et payé votre salut avec Son propre Sang.

Tout ce qu’il vous reste à faire est d’entrer dans la voie que Dieu vous a tracée, vous repentir de vos péchés et accepter la miséricorde pour laquelle Dieu a déjà la rançon.

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Il y a plus de trente mille promesses dans la Bible — des promesses absolues.

Mais toutes comportent la condition de l’obéissance.

Si vous voulez hériter des promesses de Dieu,

il vous faut obéir à Ses commandements.

Source: https://pentecostalarchives.org/

Foi Apostolique  1961 - 01