UNE AUTRE OPPORTUNITÉ
Je peux certainement dire que j’apprécie la miséricorde du Seigneur. Sa miséricorde pour moi a été grande, car durant beaucoup d’années j'ai repoussé l’amour de Dieu.
J’ai été élevé dans un foyer chrétien; mes parents m’enseignèrent les vertus chrétiennes; d’aussi loin que je puisse me rappeler, ils me lisaient les histoires de la Bible, j’allais à l’église et j’entendais la Parole bénie de Dieu et Elle faisait peser une conviction sur mon âme. Mais cela me semblait trop monotone alors, je traitais cette conviction à la légère et me disais: «Un de ces jours, je veux être chrétien. Un de ces jours, avant de quitter ce monde, je donnerai ma vie à Dieu.»
Mais alors que j’étais encore un adolescent, une catastrophe prit place. Je me trouvais sur la côte Est de la rivière, cherchant des amusements, une satisfaction mondaine quand je fus renversé de ma bicyclette, perdant connaissance, presque tué.
Mon frère était avec moi et il s’assit sur le bord du trottoir avec ma tête sur ses genoux et promit à Dieu que, s’il ne me laissait pas mourir, il Le servirait.
Quand je m’éveillai, j’étais dans un lit d’hôpital. C’est alors que Dieu me fit voir l'erreur de ma conduite, qu'il avait épargné ma vie pour un but défini. J'avais promis ma vie à Dieu et Il S'attendait à ce que je tienne ma parole, me donnant une autre opportunité de me mettre en paix avec Lui.
CE N’EST QUE LA MISÉRICORDE DE DIEU QUI M'ÉPARGNA.
Je remerciai Dieu d’être encore vivant; je Le remerciai de ne pas m’avoir pris au milieu de mes péchés. Je me rendis compte qu'il y avait une chose qu'il me fallait faire si je vivais un jour de plus – il fallait que je signe ma paix avec Dieu.
Les premiers mots que j’entendis venaient de deux pasteurs penchés sur mon lit. L'un d'eux dit: «Est-il en bonne position aux yeux de Dieu?»
Mes parents baissèrent la tête et dirent: «Non, je ne crois pas.»
Je savais que je n’étais pas sauvé et de chaudes larmes tombaient sur mon oreiller. Je les sentais couler sur mes joues. Je dis: «Dieu, je Vous remercie de cette opportunité; si Vous me donnez la force de me lever et de sortir d’ici, je Vous servirai jusqu’à mon dernier jour.»
Dieu entendit cette prière.
Environ dix jours plus tard, je m’agenouillai à un autel de prière; je donnai mon cœur à Dieu; je renonçai à ces péchés.
Ce Dimanche matin, le Portail du Ciel s’ouvrit. Il m’a semblé que les anges descendaient tout autour de moi et mon âme était au comble de la joie. Mon cœur était changé; ma vie était changée, parce que Dieu m’avait donné une autre opportunité. Dieu merci, je saisis cette opportunité de faire ma paix avec Dieu!»
(Le frère aussi tint sa parole. Quelques jours après l’accident, il implora la miséricorde de Dieu à un autel de prière et Dieu le sauva. Maintenant, il sert Dieu comme pasteur à San Francisco).
Je remercie Dieu pour la force et la santé que je possède maintenant. Quand j’étais un petit garçon de sept ans, j'eus une méningite et pendant plusieurs semaines je fus en proie aux convulsions. Par moments, mon corps se tordait et n’avait plus forme humaine. Des pasteurs furent appelés à mon chevet.
Ils prièrent au nom de Jésus et m'oignirent avec de l’huile conformément au cinquième chapitre de Jacques. Dieu descendit et me guérit. Dieu merci, j’ai maintenant la force et la santé. Je dois ma vie à Dieu. Je Lui dois tout.
A. G. A.
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Nous sommes assez «vieux-jeu» pour prêcher la Parole entière de Dieu;
les résultats prouvent qu’elle est juste
et assez moderne pour les pécheurs d'aujourd’hui.
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Quand un homme riche meurt, les gens demandent:
«Combien a-t-il laissé?»
IL A TOUT LAISSÉ.
Nous ne pouvons rien emporter de ce monde. Dieu dit à l’homme riche: «Insensé! cette nuit même ton âme te sera redemandée; et ce que tu as préparé, pour qui sera-t-il?» (Luc 12:20).
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