EN AVANT

ET

CRI DE GUERRE

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PENSÉES DU GÉNÉRAL

Que le salut des âmes soit l’affaire de votre vie. C’est par là que j’ai commencé, par là que j’ai continué. C’est là que j’en suis aujourd’hui, c’est là que je veux en être à ma mort.

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DEVOIR! qu’il est précieux ce mot de «DEVOIR».

Découvrir ce que c’est que le devoir, l’accepter comme la loi de notre vie et aller de l’avant dans l’obéissance à cette loi, sans avoir égard à ce qui est agréable, profitable, bien vu, ni à rien d’autre, voilà ce qui vous formera un caractère. C’est là la façon de penser, de sentir, d’agir, qui fait les saints, les héros, qui fait les conquérants.

ÊTRE FIDÈLE À NOS VŒUX et aimer Dieu de tout notre cœur et aimer notre prochain comme nous-mêmes.

Si vous choisissez une autre devise, ayez soin d’y ajouter ce précieux mot de: DEVOIR!

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La religion de l’amour pour tous les hommes est celle dont le monde a besoin.

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Jésus ne s’est pas donné pour que nous lisions la Bible ou que nous allions à l'Église ou à l’Armée du Salut, mais pour que, sur cette terre, nous soyons sauvés de tout péché.

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Quand, nous, les Soldats ou ouvriers auxquels Dieu a donné la mission de sauver les hommes, serons prêts à payer le prix, nous verrons le résultat merveilleux, divin, mais, pas avant.

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Oh! certes c’est un dur labeur, un travail qui use, de secourir les hommes et les femmes en perdition sur les vagues grondantes de la destruction temporelle et éternelle, et de les amener en sûreté aux pieds du Rédempteur; mais, malgré tout, c’est bien le plus glorieux et le plus divin usage que puisse faire de ses forces et de ses facultés un habitant du grand Univers de Dieu.

À l’œuvre donc!

En avant 1910 04 09