Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

LE TRESOR DES ANCIENS SENTIERS

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INJUSTICE DANS UN CIMETIÈRE!

James Smith

1858
 

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«Le salaire du péché, c'est la mort!» Romains 6:23

L'autre jour, alors que je flânais dans un cimetière de village et que je lisais les inscriptions sur les tombes et les pierres tombales, je ne pouvais m'empêcher de penser qu'il existait une sorte d'injustice.

Partout, on critiquait la mort – on la qualifiait de cruelle, d'insatiable et de bien d'autres qualificatifs –, mais PAS UN MOT N'ÉTAIT PRONONCÉ CONTRE LE PÉCHÉ.


Et pourtant, la mort n'est que le fruit du péché.

Sans le péché, il n'y aurait ni mort ni cimetière.


La mort est une infliction divine, à l'origine une punition pour le péché de l'homme!

Elle vient de Dieu; c'est pourquoi l'homme est plus enclin à parler durement de la mort que du péché, qui est son propre acte.

Nous blâmons la mort de nous avoir volé nos parents, nos enfants et nos amis; mais:


NOUS DEVRIONS BLÂMER LE PÉCHÉ,

qui a donné son pouvoir à la mort.


Et ainsi, nous devrions nous blâmer nous-mêmes, par qui le péché est entré dans le monde et a perpétué la mort ici-bas.


Le péché est le père:

- de la maladie,

- de la douleur,

- du chagrin,

- de la tristesse,

- de la déception,

- de la vexation,

- de l'anxiété,

- du malheur,

- de la mort:

- oui, de tous les maux! 



Et l'homme est le père du péché!



Le péché est né de nous – et toute misère naît du péché.




Dieu, dans la mort, ne donne à l'homme que ce qui lui est dû.


Combien sommes-nous enclins à fixer notre regard sur les effets (la mort)

sans jamais penser à la cause (le péché)!


Ou si nous admettons que la cause est le péché, nous le considérons et en parlons, comme si le péché était une calamité plutôt qu'un crime!

Quand je foulerai le sol du cimetière et que je verrai les preuves que des multitudes y ont été enterrées, je demanderai avec Jéhu: «Qui a tué tous ces hommes?» Et la seule réponse juste sera: PÉCHÉ!


Certains seraient prêts à dire:

«Oh, c'était la variole, la tuberculose, le cancer, le choléra, etc.»

C'est vrai, mais qui est-ce qui a introduit toutes ces maladies dans notre monde, car elles n'existaient pas à l'origine?

Ah, c'était le péché, NOTRE PÉCHÉ!


Il faut donc faire remonter la souffrance et la mort à la maladie!

Il faut faire remonter la maladie au péché!

Il faut faire remonter le péché à l'homme!


L’HOMME EST DONC LA CAUSE DE TOUTE SA MISÈRE!


L'homme n'a personne d'autre à blâmer que lui-même. Il est inutile de chercher à rejeter la faute sur qui que ce soit d'autre.


Mais comme le péché a introduit la maladie, la misère et la mort dans notre monde, est-il possible de s'en débarrasser?

Car, si nous pouvons nous en débarrasser, nous pouvons alors nous débarrasser de toutes ses conséquences.


Dieu soit béni, le péché peut être éliminé!

La Bible, et elle seule, peut nous éclairer sur la manière d'y parvenir.

«Car le salaire du péché, c'est la mort;

mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur!» Romains 6:23

Personne ne pourrait concevoir un plan pour se débarrasser du péché, si ce n'est Dieu, infiniment sage.

Personne ne pourrait en fournir les moyens, si ce n'est le Possesseur du ciel et de la terre.


Cela exige un sacrifice des plus coûteux, et le Fils de Dieu l'offre.

Cela exige un changement prodigieux en nous, rien de moins qu'une nouvelle création, et l'Esprit de Dieu le produit.


Si nous voulons nous débarrasser du péché:

NOUS DEVONS, étant pleinement convaincus d'être coupables et de mériter d'être punis,

NOUS DEVONS fixer notre esprit sur le Fils de Dieu, notre sacrifice.

NOUS DEVONS ensuite confesser nos péchés et implorer Dieu de les pardonner, sur la base du sacrifice de Jésus, et ainsi nous obtiendrons le pardon.

NOUS DEVONS également demander au Saint-Esprit de renouveler et de sanctifier notre nature, et ainsi être délivrés de la puissance et de la souillure du péché.

NOUS DEVONS vivre en croyant à l'efficacité du sang de Jésus pour effacer notre culpabilité, et à la puissance et à la grâce de l'Esprit pour faire de nous de nouvelles créatures, puis prendre les préceptes de l'Évangile comme guide et l’exemple de Jésus comme modèle.


Ainsi, nous serons délivrés de la condamnation du péché, de la puissance et de l'amour du péché, ainsi que de sa pratique.

Ainsi, vivant et mourant, nous serons finalement délivrés de l’habitation du péché et de toutes ses conséquences.


Alors, délivrés du péché, nous sommes réellement délivrés de la mort, dont la nature même est transformée, de sorte que nous nous endormons en Jésus, nous partons pour être avec lui, et enfin nous réveillons à l'image exacte de Jésus, corps et âme!


Lorsque nous pensons à la mort ou à la souffrance, attribuons-la au péché,

ET FAISONS DE NOTRE MIEUX POUR NOUS EN DÉBARRASSER!


Aucun remède ne sera efficace s'il ne s'attaque à la racine du mal et ne l'éradique.

Nous devons nous débarrasser du péché, de sa culpabilité et de sa puissance, SINON nous ne serons jamais en sécurité, nous ne pourrons jamais être heureux.


Il n'y a pas d'autre moyen de se débarrasser du péché que par la foi en Christ et la possession du Saint-Esprit.

Aucun sacrifice n'expiera jamais nos péchés, si ce n'est la mort du Christ.

Aucune puissance ne nous délivrera jamais de l'autorité et de l'influence asservissante du péché, si ce n'est la puissance du Saint-Esprit.

Le sang du Christ ne nous délivrera pas sans une application personnelle; ni la puissance du Saint-Esprit, si ce n'est reçu dans nos cœurs et n'y demeure.


Il est donc primordial d'être délivré du péché,

sans quoi nous ne pouvons être délivrés de la mort ni sauvés de l'enfer,

ADRESSONS-NOUS SANS TARDER AU CHRIST!


Si nous avons déjà recours à Jésus, adressons-nous à lui chaque jour; demandons à notre Père céleste d'être rempli du Saint-Esprit.

Ne nous reposons pas sur nos lauriers tant que nous n'avons pas prouvé sa présence en nous, par une haine constante du péché et une soif constante de sainteté parfaite.

Et ne soyons pas satisfaits, même si nous avons l'Esprit, sans un travail profond et complet de sanctification.


Et, comme il existe des degrés de sainteté, et que plus nous sommes saints, plus nous sommes heureux et plus Dieu est glorifié, ASPIRONS À LA SAINTETÉ PARFAITE.

Prions pour cela, aspirons à cela, et le résultat sera un dévouement total à Dieu, la joie de notre élection et de notre vocation, et une utilité croissante dans le monde et dans l'Église.


Et si tel devait être le cas dans un cas particulier, à la suite de la lecture de ces quelques lignes, je ne regretterai pas ma promenade dans le cimetière du village, ni le travail d'écrire les pensées suggérées par les inscriptions sur les tombes et les pierres tombales.

Fin

Source: « gracegems.org/ »  /  trad.: DeepL  /  Mise en page et adaptation: JMR


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